Le Foll appelle les électeurs à "voter" aux... par FranceInfo
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François Rebsamen sur Areva : "Des suppressions de postes" mais "sans licenciement"
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François Rebsamen : "Dans notre pays, on a une certaine jubilation à gonfler le nombre de chômeurs"
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Nouvelle standing ovation pour Taubira à l'Assemblée
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L'édito politique : "Claude Dilain, figure de la politique de la ville"
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La Tribune - Avec la Grèce, pour une Europe solidaire
Isolé, le gouvernement grec a dû renoncer à ses promesses. L'Europe sortira du marasme à une condition: qu'Angela Merkel choisisse entre une reflation salariale massive dans son pays et une sortie de l'Allemagne de la zone euro....
Coralie Delaume est l'auteur du livre « Europe, les Etats désunis »
Frédéric Farah et Thomas Porcher sont les auteurs du livre : « Tafta, l'accord du plus fort »
Jean-Jacques Ohana est président de Riskelia
Steve Ohana est l'auteur du livre « Désobéir pour sauver l'Europe »
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Laurent Bouvet : "En période de crise, le rapport à l'Autre est plus compliqué"
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France Culture - L’esprit de François Mitterrand anime-t-il encore la gauche française ?
On célébrera l’an prochain les 100 ans de la naissance de François Mitterrand, mais aussi les 20 ans de sa mort. Celui qu’on surnommait Tonton, mais aussi Dieu, avait l’art du verbe et le sens de la formule. Il disait par exemple en 1991, « Gouverner, ce n’est pas plaire ». Cette saillie plairait sans doute, elle, au président François Hollande qui observe sa cote de popularité redescendre en flèche après le sursaut connu au moment des attentats de janvier.
Si gouverner n’était pas plaire, gouverner était en revanche une ambition claire pour cet homme d’Etat qui, sa vie durant, a mené quasiment en solitaire une traversée de la Ve
Les matins - L’esprit de François Mitterrand... par franceculture -
Slate - «L’insécurité culturelle», l’expression qui met la gauche intellectuelle en panique, Jean-Laurent Cassely
Plusieurs chercheurs et intellectuels affirment qu’il faut regarder les tensions culturelles et identitaires en face pour sortir du malaise français. Une controverse qui n’en finit plus de diviser à gauche.
Les enquêtes et sondages réalisés ces dernières années montrent que les opinions négatives vis à vis de l’immigration et de l’islam touchent en gros deux tiers des personnes interrogées –voir par exemple cette enquête du Cevipof, ce sondage Ipsos ou cette autre enquête du même institut. C’est beaucoup, même si sur le long terme la société française est plutôt plus tolérante qu’avant et si un sondage réalisé après les attentats de janvier donnait des chiffres plus nuancés que les années précédentes. Sur le plan des moeurs et des modes de vie familiaux, là aussi, la France est à la fois plus libre et tolérante en même temps que crispée sur des débats de société, ce qu'a révélé le mouvement né de la contestation du «mariage pour tous».
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Le Député du Jour : Brigitte Bourguignon, députée PS du Pas-de-Calais
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Telos - Les ressorts de la défiance, Philippe Guibert
Défiance partout, confiance nulle part. Experts et dirigeants s’en inquiètent à longueur de discours : la confiance serait introuvable chez les Français. Ceux-ci se défieraient de tout, des politiques comme de leurs voisins, de l’Etat comme du capitalisme, de l’islam comme de la mondialisation économique. D’où l’ambition de « restaurer la confiance » – ambition si souvent réaffirmée qu’elle finit par signer son propre échec. Pourquoi la défiance l’emporte-t-elle dans notre vie collective, comme le montre encore une fois le baromètre du Cevipof publié jeudi dernier ?
La confiance n’est pas seulement une disposition mentale : elle est d’abord une relation aux autres, une action et un pari, travaillés par la possibilité de la tromperie, par la crainte de se « faire avoir ». C’est sur un double registre que se déploie la confiance : le registre des intérêts matériels et celui des intérêts moraux - notre dignité, ce qui nous fonde comme personne. On pourrait définir la confiance comme un échange : une relation entre confiance donnée et une confiance reçue.
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