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  • Alain Duhamel : "Du socialisme en France, il ne reste que les socialistes" rtl.fr


    Alain Duhamel : "Du socialisme en France, il ne... par rtl-fr

  • Lionel Jospin devant la Commission d'enquête sur les 35 heures par Mediapart

    Devant la commission d'enquête sur les 35 heures de l'Assemblée nationale, l'ancien premier ministre socialiste a vanté jeudi 9 octobre 2014 sa grande réforme des 35 heures. Au grand plaisir des "frondeurs" socialistes venus l'écouter....


    Lionel Jospin devant la Commission d'enquête... par Mediapart

  • La Tribune - P.A. Muet (PS) : "La gauche aura beaucoup mal à se remettre de l'abandon de nos valeurs"

    Député PS, vice président de la commission des Finances, Pierre-Alain Muet critique le grand écart de François Hollande, qui défend un soutien de la demande en Europe mais promeut en France une politique de l'offre.

    Comment le gouvernement français devrait réagir face à la menace de sanctions européennes, concernant le budget 2015 ?

    Nous n'avons pas à rechercher l'indulgence de l'Europe. Il faut affirmer que l'Europe s'est enfoncée dans la dépression à cause de politiques d'austérité complètement irréalistes. Ce qui est catastrophique, c'est qu'on réplique depuis trois ans les politiques menées dans les années trente. Si le gouvernement français considère qu'il doit ralentir fortement la réduction des déficits, c'est parce qu'il pense que l'Europe devrait faire de même.
    Le cocktail de politique économique préconisé par Bruxelles, consistant en des coupes massives dans les dépenses -notamment au sud de l'Europe- , et des baisses de coût du travail, voire de salaire -en Europe du sud, aussi-, a enfoncé l'Europe dans la récession et la déflation (qui sévit actuellement dans les pays du sud).

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  • Observatoire des inégalités - Comment évoluent les très hauts revenus en France

    2 octobre 2014 - Les 0,01 % les plus riches ont gagné 243 000 euros de revenus annuels supplémentaires entre 2004 et 2011. Un gain équivalent à dix huit années de Smic.


     L’évolution des hauts revenus à court terme

     Entre 2004 et 2011, le seuil d’entrée parmi les 0,01 % aux revenus les plus élevés [1] s’est accru de 42,8 %, soit 243 000 euros (données avant impôts), passant de 567 700 à 810 700 euros (inflation déduite, en euros de 2011). Cette augmentation est équivalente à dix huit années de Smic. Le niveau minimum des 1 % les plus riches a progressé de 9 800 euros, soit une augmentation de 11,8 % alors que le revenu médian a gagné 1 400 euros supplémentaires au cours de ces sept années (+ 7,7 %).

     La part des revenus détenue par les plus aisés est passée, entre 2004 et 2011, de 1,7 % à 2,1 % pour les 0,1 % les plus riches, de 4,6 % à 4,8 % pour les 0,9 % les plus riches et a diminué de 73 % à 72,6 % pour le reste de la population.

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  • Libé - «Le capitalisme entraîne une crise de l’attention»

    Internet, SMS, réseaux sociaux : la concentration est devenue, comme l’eau, un bien rare. Professeur de littérature, Yves Citton considère qu’il est nécessaire d’envisager une «écologie attentionnelle».

    En cette époque de surcharge informationnelle et de distraction généralisée, l’attention est devenue un bien rare, le «temps de cerveau disponible» que cherche à capturer le capitalisme consumériste. En dédiant non pas un mais deux livres à l’épuisement de nos ressources attentionnelles, Yves Citton est conscient de la contradiction. «Il aurait fallu écrire un tweet […] mais pas un livre», plaisante le professeur de littérature à l’université de Grenoble et codirecteur de la revue Multitudes qui plaide pour une «écologie de l’attention».

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  • Slate, Gaël Brustier - «Combat culturel» partout, «combat culturel» nulle part?

    Membre de l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès, chercheur en science politique au Cevipol (Université libre de Bruxelles), spécialiste des droites et des dimensions culturelles de la politique.
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    L'oeuvre d'Antonio Gramsci est au coeur de l'idée de combat culturel. Aujourd'hui, l'expression est utilisée aussi bien par les Veilleurs issus de la Manif pour tous que par les Identitaires. Mais la domination culturelle des droites est d’abord une crise de la gauche, qui dépasse à la fois ses piètres résultats économiques et le cadre strictement français.

    Que ce soit au sein de La Manif pour tous ou à la Fête de l’Humanité, au sein du Parti socialiste ou chez les Veilleurs, chez les écologistes ou chez les Identitaires, le terme «combat culturel» est redevenu à la mode, au risque de devenir une nouvelle «tarte à la crème» dénuée de sens.

    Loin de se réduire à un combat pour les «valeurs», le combat culturel prend une dimension autre, dimension qui manque manifestement aujourd’hui à la social-démocratie comme à la gauche radicale des pays européens.

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  • Jean Gadrey - « L’imposture économique » (3) : l’analyse de l’offre des entreprises est inconsistante

    Dans la théorie néoclassique hyper dominante, la « courbe d’offre » repose sur une représentation des décisions des entreprises de produire plus ou moins afin de maximiser leur profit. Et le critère est qu’elles produisent de sorte que le prix des marchandises vendues soit égal au « coût marginal » (la dépense additionnelle nécessaire pour produire une unité supplémentaire de produit). Si cette égalité n’est pas réalisable, la courbe d’offre… ne peut exister. La théorie suppose par ailleurs 1) que ce coût marginal est croissant lorsque les quantités produites augmentent, et 2) que l’offre et la demande répondent à des comportements indépendants les uns des autres. Aucune de ces hypothèses ne résiste à la critique.

    Commençons par cette idée que le prix est égal au coût marginal. Elle explique notamment l’hostilité des néoclassiques envers les monopoles, car ces derniers disposent du pouvoir de fixer les prix au dessus du coût marginal, ce qui interdit d’envisager une courbe d’offre. Seule la « concurrence parfaite » le permet, selon les néoclassiques.

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  • Observatoire des inégalités - Couples : on se marie toujours entre même catégorie sociale

    26 septembre 2014 - 83,4 % des ouvriers vivent avec une ouvrière ou une employée, contre 2,2 % avec une femme cadre supérieure. Le choix du conjoint reste lié à la position sociale.


    Qui se ressemble s’assemble : le milieu social détermine pour beaucoup la composition des couples. Les sociologues français n’étudient plus guère ce phénomène pourtant essentiel, qu’ils qualifient d’« homogamie ». Les dernières données sur le sujet datent de 1999 [1]. Un travail peu connu du sociologue Milan Bouchet-Valat, présenté à l’automne 2013 [2], vient à point pour actualiser ces données. Il fait apparaître une diminution de l’homogamie dans le temps long même si celle-ci persiste.

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  • Jean Gadrey - « L’imposture économique » (2) : l’analyse de la demande des consommateurs ne tient pas la route

    On ne rend pas compte d’un tel ouvrage en quelques pages sans procéder à une sélection sévère d’un nombre très limité de thèmes. Dans ce billet et dans le suivant, j’ai fait le choix de retenir deux des fondements les plus décisifs et les plus connus des étudiants dès leur première année d’études économiques : les courbes de demande et les courbes d’offre des marchandises, celles dont la bienveillante rencontre détermine le « prix d’équilibre ». Je reviendrai dans le troisième et dernier billet sur cette « idéologie de l’équilibre » liée à la croyance dans les vertus du libre marché dans tous les domaines.

     

    Tous les grands manuels destinés aux étudiants du monde entier, de celui de Paul Samuelson, « L’économique », le plus vendu dans le monde à ce jour (première édition en 1948, suivie de nombreuses autres jusqu’en 2010) à ceux de Gregory Mankiw (en particulier les « principes de l’économie », publié pour la première fois en 1998 et qui a connu une diffusion planétaire) et quelques autres, commencent par ce B-A-BA, accessible à des personnes n’ayant jamais « subi » d’enseignement économique.

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  • Observatoire des inégalités - Villes, périurbain, rural : quels sont les territoires les moins favorisés ?

    18 septembre 2014 - Entre la ville, l’habitat périurbain ou rural, où les niveaux de vie sont-ils les plus élevés ? Le débat sur les niveaux de vie des territoires n’est pas nouveau. Extrait du Centre d’observation de la société.


    Entre la ville, l’habitat périurbain ou rural, où les niveaux de vie   sont-ils les plus élevés ? Longtemps, la richesse des villes a attiré les populations démunies de la campagne, et entraîné un phénomène qualifié d’exode rural. La division de l’espace est devenue plus complexe, notamment du fait de l’étalement urbain. Les banlieues des villes se sont étendues, en particulier du fait de l’essor de l’habitat pavillonnaire périurbain.

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