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Les matins - Valérie Rabault
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Budget 2015 : "Nous tenons nos engagements", estime Manuel Valls par rtl.fr
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Le Monde - Les Etats démocratiques ont besoin d’un nouveau Wallenberg - Par Grigori Chvedov (Agence Internet Caucasian Knot et éditeur en chef) et Aage Borchgrevink (Conseiller au Comité Helsinki de Norvège)
Sous couvert de la guerre en Ukraine, la Russie et ses Etats voisins attaquent les défenseurs des droits de l’Homme et les médias. Les Etats démocratiques doivent oeuvrer pour protéger les défenseurs en danger
Au moment où la guerre qui se déchaine dans l’Est de l’Ukraine ramène les relations entre la Russie et les Occidentaux à l’époque révolue de l’avant-Gorbatchev, une lutte interne entre forces libérales et régimes autoritaires prend une bien mauvaise tournure en Russie et dans plusieurs ex-républiques soviétiques.
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Libé - Universalité des allocations familiales et paradoxe de la redistribution Guillaume ALLÈGRE Economiste OFCE - Sciences-Po
13 octobre 2014 TRIBUNE
Certains députés PS veulent rouvrir le débat de la mise sous condition de ressources des allocations familiales. S’ils avancent dans cette direction, la gauche aura répondu au «ras-le-bol fiscal» des classes moyennes en finançant la baisse de l’impôt sur le revenu des petites classes moyennes par la réduction des allocations versées aux classes moyennes plus aisées. A première vue, la manœuvre est habile : elle est redistributive et elle permet de démontrer, à ceux qui ont un sentiment anti-impôts, que les impôts ne tombent pas dans une boîte noire mais qu’ils servent bien à financer des prestations.
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Mediapart, Laurent Baumel - Des pistes pour résoudre la crise du Parti socialiste
Le député Laurent Baumel, un des chefs de file du mouvement socialiste « Vive la gauche » qui conteste le cap économique du gouvernement, appelle le chef de l'Etat à sortir d'une « inflexibilité désastreuse » et à « faire mouvement dans cette période historique incandescente qui appelle des initiatives urgentes ».
Avec l’abstention récurrente des députés dits « frondeurs », les interventions publiques de Martine Aubry, les déclarations des anciens ministres, s’est répandu ces derniers jours dans les médias le sentiment que l’ampleur de ses déchirures internes serait en train d’amener le Parti socialiste au bord d’une rupture interne.
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Manuel Valls prend la défense de Cazeneuve et des policiers par Le Monde.fr
Manuel Valls prend la défense de Cazeneuve et... par lemondefr -
Sivens: Hugues Fourage exprime la solidarité et la compassion des députés socialistes par Groupe SRC
Sivens: Hugues Fourage exprime la solidarité et... par GroupeSRC -
Le Monde - Réduire la pauvreté et les inégalités, un investissement d’avenir pour toute la société
Plus de 5 millions de Français sont privés d’emploi mais 8,5 millions vivent sous le seuil de pauvreté. Si l’on ajoute qu’en 2012, 25% des personnes sans domicile fixe travaillaient, il apparaît clairement que l’emploi seul ne protège pas toujours de la précarité. Il n’est plus forcément synonyme de promotion sociale : le risque de pauvreté se transmet largement des parents aux enfants, alimentant la peur d’un déclassement durable et bafouant cette notion d’égalité des chances à laquelle nous sommes si attachés.
Dans ce contexte, la maîtrise nécessaire des déficits et de l’endettement public de notre pays ne peut se faire au détriment des plus fragiles, c’est-à-dire des politiques de redistribution sociale et de lutte contre la reproduction des inégalités.
Acteurs de la solidarité, du développement économique, chercheurs, citoyens, nous pensons que l'emploi et la croissance ne suffisent pas à faire disparaître les fléaux qui étouffent notre société : la pauvreté, les inégalités et la stigmatisation des plus fragiles.
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«La croissance harmonise le bonheur de tous»
INTERVIEWA rebours des théories décroissantes, la chercheuse Claudia Senik affirme que le bien-être est aussi affaire de développement économique. Une thèse qu’elle défend avec chiffres et enquêtes de satisfaction.
La croissance rend-elle les gens plus heureux ? Question hautement polémique au moment où la France s’enlise dans la récession, où la menace écologique est une urgence et où une partie des citoyens et des chercheurs militent pour un modèle décroissant. En interrogeant les ressorts de la croissance au regard du bien-être dans son nouveau livre l’Economie du bonheur, Claudia Senik, professeure à l’université Paris-Sorbonne et à l’Ecole d’économie de Paris, relance le débat. Cette chercheuse travaille sur un matériau assez nouveau, le bonheur, qui aussi subjectif et insaisissable soit-il, affine la compréhension des comportements humains dans une économie de marché. Ainsi se développe une approche psychologique de la crise, basée sur de grandes enquêtes de satisfaction auprès de la population.
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Hollande sur la mort de Fraisse: "La vérité doit être connue" par BFMTV