Lundi 27 mars, Olivier Faure était l'invité d'Audition publique sur LCP et Public Sénat, en partenariat avec Le Figaro. Un entretien que nous vous proposons de voir, ou revoir, en intégralité.
-
-
Olivier Faure « Le vrai signe d’apaisement c’est le retrait de la #RéformeDesRetraites ou le retour au peuple. »
Mardi 28 mars, Olivier Faure était l'invité de Salhia Brakhlia et Marc Fauvelle dans la matinale de Franceinfo. Retrouvez cet entretien en intégralité !
-
OFCE - Fragilité bancaire : quelles conséquences sur la croissance économique et sur sa relation avec les crédits bancaires ?
Jérôme Creel et Fabien Labondance
La faillite de Silicon Valley Bank (SVB) relance les inquiétudes sur la solidité du système bancaire américain et, par effet de contagion, sur celle du système bancaire européen. Elle est une sorte de cas d’étude des relations complexes entre les banques et l’économie.
La faillite de SVB intervient quelques mois après que le Comité pour le prix en Economie en mémoire d’Alfred Nobel, financé par la Banque Royale de Suède, a décerné le prix 2022 à Ben Bernanke, Douglas Diamond et Philip Dybvig pour leurs contributions à l’économie bancaire. Diamond et Dybvig exposent notamment les mécanismes par lesquels une panique bancaire peut se produire (le bouche à oreille suffit – les économistes parlent de prophéties auto-réalisatrices), la difficulté à séparer une crise de solvabilité d’une crise de liquidité et les mesures à mettre en œuvre pour y mettre fin, en assurant les dépôts[1]. Bernanke montre plus particulièrement les mécanismes par lesquels une panique bancaire peut se transmettre à l’économie réelle, justifiant dès lors que la banque centrale mette en œuvre une politique de sauvetage des banques. Indéniablement, leurs travaux permettent de mieux comprendre les décisions récentes des autorités monétaires américaines pour endiguer la crise déclenchée par SVB, comme l’extension de l’assurance sur les dépôts.
Lire la suite
_____________________
_____________________ -
20 minutes - Ariège : La sortante LFI vire en tête lors de la législative partielle et sera opposée à une dissidente PS au 2e tour
Politique Le scrutin est regardé de près par la gauche car la députée Nupes/LFI sortante est opposée à une socialiste dissidente, soutenue par Carole Delga, la présidente PS de la région Occitanie
La députée sortante Nupes/LFI de la première circonscription de l’Ariège, Bénédicte Taurine, est arrivée ce dimanche soir en tête du premier tour de la législative partielle avec 31,18 % des voix. Elle devance la candidate socialiste dissidente, Martine Froger (26,42 %) et le candidat du Rassemblement national Jean-Marc Garnier, qui obtient 24,78 % des voix et arrive troisième, et ne sera donc pas présent au second tour.
Contrairement au scrutin de 2022 où elle s’était qualifiée, Anne-Sophie Tribout, la candidate de la majorité présidentielle, s’effondre avec seulement 10,69 %.
Lire la suite
__________________________________
__________________________________1er tour de l'élection législative partielle en Ariège : Le Parti socialiste appelle au désistement républicain au profit de la candidate de gauche arrivée en tête et à refuser de faire arbitrer un duel de second tour par la droite et l'extrême droite
– Dimanche 26 mars 2023
À l'issue du 1er tour de l'élection législative partielle qui se tenait en Ariège ce dimanche, la candidate de la NUPES, Bénédicte TAURINE, soutenue par le Parti socialiste, arrive en tête avec 31,18 % des voix. Elle devance clairement Martine FROGER, candidate dissidente (26,42 %), arrivée seconde devant le candidat du RN (24,78 %) et la candidate Renaissance (10,69 %).
Le Parti socialiste félicite Bénédicte TAURINE pour son résultat, qui confirme sa place du 1er tour de l'élection de juin 2022. Il salue également le résultat de Martine FROGER, arrivée seconde, qui avec Bénédicte TAURINE, marque la dynamique de la gauche dans une période marquée par le débat sur la retraite à 64 ans.
Il regrette cependant que la présence de deux candidatures de gauche au 1er tour n'ait pas permis une victoire dès aujourd'hui alors même que le parti présidentiel s'effondre en divisant son score par deux et que la candidate RN démontre, par son incapacité à aborder le second tour, l'absence de dynamique de l'extrême-droite.
Dans la perspective du second tour, le rassemblement de toute la gauche doit demeurer notre priorité. C'est pourquoi le Parti socialiste invite au désistement républicain, traditionnel à gauche, de la candidate arrivée en deuxième position. L'élection d'une députée de gauche doit se faire en cohérence et dans la clarté quant à l'opposition à la politique conduite par Emmanuel Macron. Aucune confusion ne doit être possible sur l'interprétation à donner du résultat du second tour. Les duels à gauche ne peuvent être arbitrés par la droite et l'extrême droite.