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  • OFCE - L’essentiel, l’inutile et le nuisible (suite et fin provisoire) 14 avril 2020 , Éloi Laurent

    L’humanité est-elle une espèce nuisible ? Pour les autres êtres de Nature qui cohabitent de plus en plus difficilement avec elle sur la planète, la réponse ne souffre pas d’ambiguïté : sans aucun doute.

    La vie sur terre, vieille de 3,5 milliards d’années, peut être estimée de différentes manières. L’une d’elles consiste à évaluer la biomasse respective de ses composantes. Il apparaît alors que la biomasse totale sur la Terre pèse environ 550 Gt C (giga tonnes de carbone), dont 450 Gt C (ou 80%) sont des plantes, 70 Gt C (ou 15%) sont des bactéries et seulement 0,3% sont des animaux. Au sein de cette dernière catégorie, les humains ne représentent que 0,06 Gt C. Et pourtant, les 7,6 milliards de personnes comptant donc pour seulement 0,01% de la vie sur le globe sont à elles seules responsables de la disparition de plus de 80% de tous les mammifères sauvages et de la moitié des plantes.  

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  • Philippe Frémeaux, L'économie sociale et solidaire, une réponse à la crise ? Dans Revue Projet 2013/5-6 (N° 336-337), pages 85 à 93

    L’économie sociale et solidaire est parée de mille vertus en raison de la promesse qu’elle porte : celle d’une économie gouvernée démocratiquement, dont l’objectif n’est pas de faire du profit mais de satisfaire les besoins. En pratique, cette promesse n’est pas toujours tenue. Tour d’horizon des défis auxquels le secteur est aujourd’hui confronté.

    2Dans quelle mesure les organisations de l’économie sociale et solidaire (ESS) sont-elles compatibles avec la transformation de l’économie qui nous semble souhaitable et désirable ? Telle est la question ouverte par cet article. Car l’enjeu n’est pas de s’adapter à une croissance devenue faible, voire inexistante, mais de penser un nouveau régime d’activité riche en bien-être pour tous et réellement soutenable.

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  • LIBAN : le Parti socialiste adresse ses condoléances

    Ce 4 août 2020, le port de Beyrouth a subi une double explosion d'origine indéterminée laquelle a causé la mort de dizaines de personnes et blessé environ 2750 autres.

    Le Parti socialiste exprime sa profonde tristesse et ses sincères condoléances aux familles des victimes, mais aussi à l'ensemble du peuple libanais. Ce drame terrible frappe un pays affecté par une crise politique, économique et sociale profonde, que la pandémie de la Covid-19 a accentuée.

    Le Parti socialiste attend de la France et de l'Union européenne d'être aux côtés du Liban pour l'aider à traverser cette nouvelle épreuve qui le fragilise davantage face aux défis à relever sur les plans national et régional.

  • L'Obs - A Beyrouth après les explosions, les images des dégâts considérables

    Des vidéos filmées dans le centre-ville de Beyrouth témoignent de la puissance des deux explosions successives qui ont secoué mardi 4 août la capitale du Liban. La Croix-Rouge libanaise déplore des centaines de blessés et l'agence d'information nationale libanaise évoque des morts. Plus d'informations sur notre site : https://bit.ly/explosions-Beyrouth

  • Idées d'été : Insitut Rousseau : Rousseau et la nature, Matthieu Abgrall

    L’omniprésence de la Nature dans l’œuvre de Jean-Jacques Rousseau procure beaucoup d’occasions pour le lecteur moderne de réfléchir et de trouver une inspiration pour le XXIème siècle. Rousseau, longtemps avant de nombreux auteurs, a pensé l’importance capitale de notre rapport a la nature et de notre fonctionnement en écosystème avec elle. Il serait même, pour certains, le précurseur de « l’écologie profonde », à l’heure où l’effondrement rapide de la biodiversité va jusqu’à remettre en cause le primat de la lutte contre le réchauffement climatique. Il affirme de manière simple l’importance de la notion d’écosystème contre ceux qui voient dans la Nature un simple objet inerte : 

    « Quelque élégante, quelque admirable, quelque diverse que soit la structure des végétaux, elle ne frappe pas assez un œil ignorant pour l’intéresser. Cette constante analogie, et pourtant cette variété prodigieuse qui règne dans leur organisation, ne transporte que ceux qui ont déjà quelque idée du système végétal. Les autres n’ont, à l’aspect de tous même ce qu’il faut regarder ; et ils ne voient plus l’ensemble, parce qu’ils n’ont aucune idée de cette chaîne de rapports et de combinaisons qui accable de ses merveilles l’esprit de l’observateur. » (Les Confessions, Livre XII, 1813)

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  • Philippe Frémeaux, La lutte contre les inégalités, un objectif et une méthode, Revue du MAUSS 2014/1 (n° 43), pages 31 à 34

  • RDC 2016 [LA CONFIANCE] Interview littéraire Philippe Frémeaux

    Les Rencontres de Cannes 2016 sur le thème de la Confiance.
    Une Interview d’ Olivier Biscaye