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  • Reporterre - Après l’arrêt définitif de la centrale de Fessenheim, beaucoup de questions subsistent

    Dans la nuit de lundi 29 juin, le deuxième réacteur de la centrale nucléaire de Fessenheim sera définitivement arrêté. Quelles sont les conséquences sociales de cette fermeture ? Comment se déroulera le démantèlement ? Quel avenir pour le site ? Reporterre fait le point.
     
    • Pourquoi le second réacteur de la centrale nucléaire de Fessenheim est-il mis à l’arrêt ?

    Il aura fallu huit ans. En 2012, François Hollande, alors candidat à l’élection présidentielle, promettait de fermer la doyenne des centrales nucléaires françaises, d’ici la fin de son mandat – conformément à un accord signé entre le Parti socialiste (PS) et Europe Écologie — Les Verts en novembre 2011. Une fois élu, il n’avait fait que repousser l’échéance, notamment en conditionnant l’arrêt de Fessenheim à la mise en service de l’EPR de Flamanville. C’est finalement Emmanuel Macron qui, reprenant à son compte les objectifs de la loi de transition énergétique de 2015, a tranché : en février 2019, son ministre de la transition écologique François de Rugy a annoncé la fermeture de la centrale alsacienne en 2020. C’est désormais chose (presque) faite : un premier réacteur a été mis à l’arrêt dans la nuit du 21 au 22 février, et le second devrait s’éteindre définitivement ce lundi 29 juin à 23 h 30.

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  • Boursorama - Présidentielle 2022 : le PS veut "un alliage politique fort" avec EELV, au lendemain de la poussée verte dans les grandes villes

    "L'alternance" désormais "possible" en 2022, estime le Parti socialiste, qui veut un "alliage politique fort" avec EELV, alors que les municipales marquées par les nombreuses victoires de "la gauche rassemblée" et la percée historique des Verts.

    Il faut "une alliage politique fort" avec les Verts, qui doit être "la première étape en vue de l'alternance à gauche en 2022" , lors de la présidentielle, a affirmé lundi Pierre Jouvet, porte-parole du PS, au cours d'une conférence de presse. Selon lui, "l'alternance est possible.

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    L'Obs - Municipales: le PS conserve ses bastions, des victoires éclipsées par la poussée historique des Verts

    Paris (AFP) - Les socialistes ont conforté dimanche leurs positions dans leurs bastions, notamment à Paris où Anne Hidalgo triomphe, mais leurs victoires sont en partie éclipsées par les succès des Verts dans les grandes villes du pays.

    Lyon, Strasbourg, Bordeaux et peut-être Marseille... sont toutes passées dimanche soir de la droite aux mains des Verts, grâce aux alliances tissées entre EELV, le PS ou le PCF.
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  • Non Fiction - Nouvelles censures identitaires sous prétexte d’émancipation

    Dans sa présentation de l’ensemble du dossier, « Nouvelles censures et vieux réflexes totalitaires », la sociologue Nathalie Heinich fait observer que la censure et les tentatives de censure, aujourd’hui et en France, dans les domaines académiques et culturels, n’émanent guère de l’État ou du Rassemblement National, mais de groupes de pression militants qui se réclament de l’extrême gauche. C’est une véritable « chronique de la trouille en milieu intellectuel » que tient la sociologue au fil d’exemples qu’elle a récemment rencontrés : peur de la présidence de l’Université de Bordeaux-Montaigne devant la pression du lobby LGBT visant à empêcher une conférence de Sylviane Agacinski en raison de ses positions sur Procréation Médicalement Assistée et Gestation Pour Autrui ; peur de collègues allemands renonçant à aborder la question des réfugiés devenue taboue ; peur d’un journaliste français rappelé à l’ordre par sa direction pour avoir osé parler de Polanski sans obéir à des féministes radicalisées désireuses de le boycotter ; peur chez des universitaires français de passer pour réactionnaires s’ils refusent de soutenir une grève votée par une assemble générale d’étudiants et d’enseignants. Autant de cas symptomatiques, relevant de l’intimidation ou de la censure : ils viennent allonger une liste d’affaires comportant des accusations de blackface (contre la mise en scène des Suppliantes d’Eschyle par Philippe Brunet) ou d’appropriation culturelle (contre le metteur en scène Robert Lepage pour n’avoir pas fait jouer des acteurs autochtones canadiens dans un spectacle consacré à la défense des peuples autochtones canadiens).

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  • France Culture - Le fameux "Tous keynésiens" est-il encore d'actualité ? Par Brice Couturier

    Le Tour du monde des idées | En 1971, Richard Nixon déclarait dans une formule restée célèbre la victoire totale de ses théories. John Maynard Keynes a révolutionné la science économique en la réinsérant dans un système de pensée plus vaste. Mais 75 ans après la mort de son créateur, que reste-t-il du keynésianisme triomphant ?

    En plein mois d’août 1971, et à la surprise générale, Richard Nixon annonçait que son pays abandonnait l’étalon-or. A un journaliste qui l'interrogeait, le président américain répondit : We are all Keynesians now !

    Depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, afin de stabiliser le cours des monnaies, il avait été décidé, à Bretton Woods, que toutes les devises du monde seraient évaluées en fonction de leur valeur en dollars. La monnaie américaine elle-même était censée être garantie par les énormes stocks d’or accumulées à Fort Knox, dans le Kentucky. Mais la guerre du Vietnam avait appauvri l'Amérique et Washington devait abandonner la convertibilité du dollar en or. On allait bientôt entrer - officiellement en mars 1973 - dans le système de changes flottants.

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  • Municipales 2020 : Allocution de Olivier Faure (PS)

    Plus de trois mois après le premier tour, les électeurs français étaient appelés dimanche à se rendre aux urnes pour le second tour des municipales. Le scrutin a été marqué par une forte abstention. Selon les instituts de sondage, elle devrait se situer à un niveau historique, entre 59% et 60%, soit environ 12 points de plus que pour le second tour de 2014. Les Français ont voté dimanche à l'occasion du second tour des municipales, plus de trois mois après le premier tour. La participation à 17 h s'établissait à 34,67 %, soit quatre points en dessous de ce qu'elle était à la même heure le 15 mars (38,77 %), selon les chiffres du ministère de l'Intérieur. Parmi les premiers résultats : le Premier ministre Édouard Philippe remporte l'élection au Havre avec 59 % des voix ; le député Rassemblement national (RN) Louis Aliot revendique la victoire à Perpignan ; le maire sortant de Pau, François Bayrou (MoDem), est réélu (estimations) ; Anne Hidalgo est reconduite à Paris avec 50,2 % des voix (estimations).

  • Lyon, Bordeaux, Strasbourg... Tour d'horizon de la vague verte qui a déferlé sur les municipales

    Jeanne Barseghian à Strasbourg, Pierre Hurmic à Bordeaux, Grégory Doucet à Lyon, la jeune Léonore Moncond'huy à Poitiers... Les listes menées par des écologistes se sont imposées dans de nombreuses grandes villes de France, au soir du second tour des élections municipales. Le parti écologiste a également revendiqué la victoire à Tours, à Besançon ou encore à Annecy, tout en conservant la ville de Grenoble.