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  • Affaire Benalla : « Je me sens insulté, humilié » déplore Jean-Pierre Sueur

  • Le Parti socialiste a reçu les signataires des 66 propositions du « pacte pour le pouvoir de vivre »

    Le Parti socialiste est le seul parti à ce jour à avoir rencontré le collectif des 19 ONG et syndicats à l’initiative du « Pacte pour le pouvoir de vivre ». Alors que pour la première fois ces organisations ont mis leur expérience et leur expertise en commun pour apporter des réponses à la crise que le pays traverse, il nous est apparu indispensable de travailler ensemble à des propositions convergentes.

    Les échanges ont été riches autour des 66 propositions de ce pacte écologique et social, portées notamment par le tandem Laurent Berger et Nicolas Hulot.

    Cette crise que notre pays traverse est en réalité double : sur le fond et sur la méthode.

    Pour les socialistes deux exigences sont indissociables à la sortie de crise.

    La première est de porter une rupture : l’écologie et le social ne peuvent plus être pensés de façon distincte. En ce domaine, nos convergences évoquées sont nombreuses : fiscalité verte, solidarité nationale inhérente à l’accompagnement de la transition écologique. Passage du libre-échange au juste échange. Des mesures qui portent une vision de la société plus solidaire. En ce sens, l’action menée par les socialistes dans les territoires – qu’il s’agisse des territoires zéro chômeurs, des territoires à énergies positives – ouvre la voie. Et il s’agit désormais de porter à plus grande échelle cette exemplarité du quotidien.

    La seconde exigence est démocratique : le pouvoir, dans sa verticalité actuelle sous l’hyper présidence d’Emmanuel Macron et dans son rejet des corps intermédiaires ne pourra trouver les bons diagnostics et les bonnes réponses, celles qui sont applicables. Cette réunion a démontré plus que jamais l’importance du dialogue social et l’importance de redonner aux corps intermédiaires toute leur place.

    Le Parti socialiste ouvre sa table de discussion aux acteurs de la société civile, aux ONG, aux syndicats. C’est l’ADN de la social-démocratie, la volonté de définir ensemble le modèle de société de demain.

    C’est pour cela que nous demandons au Président de la République d’organiser une Grande Conférence sociale qui réunirait les partenaires sociaux, ONG, associations, afin d’élaborer et négocier les solutions concrètes nécessaires à une sortie de crise sur la base des revendications portées par les Français. »

  • Le retour des ressortissants djihadistes français : entretien avec Nicolas Hénin

    Nicolas Hénin, président d’Action Résilience, spécialiste des conflits en Moyen-Orient et en Afrique et ancien journaliste, livre son analyse de la délicate question du retour des ressortissants djihadistes français d’Irak et de Syrie, et de ses enjeux, lors d’un entretien avec Louis-Simon Boileau, directeur de l’Observatoire de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Fondation Jen Jaurès - Racisme et violences policières au Brésil

    La victoire à l’élection présidentielle du candidat d’extrême droite au Brésil, Jair Bolosnaro, a provoqué nombre d’inquiétudes, tant au niveau national qu’international, mais a également radicalisé les tensions au sein de la société brésilienne, où racisme et violences policières s’exacerbent. On en débat avec l’écrivain et journaliste Fernando Molica, auteur du roman Noir et Blanc (Éditions Anacaona), en présence de l’avocat et écrivain Henrique Schneider et de Paula Anacaona, directrice des Éditions Anacaona. La rencontre est animée par Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation.

  • Le Vent se lève - 1. Le philosophe : Dominique Bourg | Les Armes de la Transition

    Dominique Bourg est philosophe, et l'un des premiers à s’être intéressé aux bouleversements environnementaux que nous traversons. Il est l'auteur de nombreux ouvrages, enseigne à l'Université de Lausanne et dirige la revue La pensée écologique, pour ne citer qu'une petite partie de ses activités. Nous avons choisi de débuter notre série avec son témoignage, car la transition écologique exige avant tout un changement profond de philosophie.

    Dans cette série de grands entretiens, nous avons choisi de poser les mêmes questions à des personnalités du monde de l'écologie ayant chacune une approche, un métier, différents. Un tel projet est inédit, et son but est de donner à voir comment chacun se complète pour esquisser les grandes lignes de l'urgente transition écologique. Chacun détient une partie de la solution, une partie des armes de la transition. La transdisciplinarité doit devenir une norme de travail, pas une exception.

  • Conclure le grand débat : de la cacophonie au fiasco ? [Olivier Passet]

    Fonder le second temps de son quinquennat sur la ressource du grand débat, tout en restant fidèle à la ligne réformatrice engagée, c’est le pari et, l’on pourrait dire, l’injonction paradoxale adressée à Emmanuel Macron. [...]