En 2017, l’ensemble des prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) payés par les particuliers et les entreprises devrait franchir la barre symbolique des 1 000 milliards d’euros. Soit 44,5 % de la richesse produite cette année-là, contre 42,6 % en 2011. La trajectoire du quinquennat semble donc claire, celle d’une hausse de la fiscalité. Pourtant, ce résultat global ne dit rien des orientations différentes suivies par le gouvernement au cours du quinquennat. On peut les résumer en trois phases.
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