Après l’adoption de la loi travail en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, mercredi 6 juillet, la fin de plus de quatre mois d’affrontement social semble se dessiner. Françoise Fressoz, éditorialiste au Monde, retient surtout l’échec du gouvernement « à convaincre ses troupes que cette loi était une loi de progrès social ».