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valls - Page 2

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 1er juillet

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 30 juin

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • Le Monde - Manuel Valls quitte le Parti socialiste et rejoint le groupe LRM à l’Assemblée

    L’ancien premier ministre siégera comme député apparenté au groupe La République en marche, après un vote à mains levées mardi matin du groupe dirigé par Richard Ferrand. 

    L’ancien premier ministre Manuel Valls a annoncé, mardi 27 juin sur RTL, qu’il « quitte le Parti socialiste » et qu’il compte siéger « dans la majorité » durant la prochaine législature alors que les députés font leur entrée à l’Assemblée nationale à 15 heures. Dans la foulée de cette annonce, le groupe de La République en marche au Palais-Bourbon a voté, à mains levées, pour que l’ancien maire d’Evry soit apparenté au groupe majoritaire.
     
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  • Manuel Valls était l'invité de RTL le 27 juin 2017


    Manuel Valls était l'invité de RTL le 27 juin 2017 par rtl-fr

  • Europe 1 - SONDAGE. Législatives : Manuel Valls en difficulté dans son fief d'Evry

    Selon le sondage Ifop-Fiducial pour Le Journal du Dimanche et Sud Radio, l’ancien Premier ministre Manuel Valls se trouve à égalité au second tour avec la candidate mélenchoniste, dans sa circonscription d'Evry.

    Grosse surprise dans la 1ère circonscription de l’Essonne, à Évry et Corbeil-Essonnes. Selon le sondage exclusif Ifop-Fiducial pour le JDD et Sud Radio, réalisé par téléphone auprès de 605 électeurs*, Manuel Valls n’est pas assuré de l’emporter les 11 et 18 juin. Alors que ni le PS, dont il s’est affranchi, ni Emmanuel Macron, qu’il courtise, ne présentent de candidat face à lui, l’ex-Premier ministre arrive de peu en tête au premier tour (30% d'intentions de vote, contre 48,6 % en 2012). Il est talonné par la candidate mélenchoniste, Farida Amrani (26 %). A ce niveau, les marges d'erreur vont de 3,3 à 3,7 points.

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  • BFMTV - Législatives: entre recyclés et recalés, quelle part du PS chez En Marche?

    Si plusieurs membres du Parti Socialiste ont émis le souhait de rejoindre les rangs d'Emmanuel Macron, peu ont finalement franchi le pas. Selon des sources à En Marche et au PS, entre 70 et 100 députés PS sortants ont sollicité l'étiquette du parti d'Emmanuel Macron, mais seule une pincée à été acceptée.

    En Marche, usine à "recycler" du PS comme l'en accusent ses adversaires? Le parti d'Emmanuel Macron a certes investi plus d'une vingtaine de députés sortants de gauche, mais il fait valoir que beaucoup de postulants socialistes ont été recalés.

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  • L'Obs - Manuel Valls se voit En Marche ! aux législatives : "Le Parti socialiste est mort"

    L'ex-Premier ministre lance le bal des ralliements au mouvement d'Emmanuel Macron et appelle les députés sortants "progressistes" à le rejoindre. Le PS tient un Bureau national explosif ce mardi.

    Il aura attendu à peine 24 heures. Invité de RTL ce mardi 9 mai, l'ex-Premier ministre Manuel Valls a annoncé son intention d'être investi à Evry (première circonscription de l'Essonne) sous l'étiquette La République en marche, en vue des législatives du mois de juin : "Je serai candidat de la majorité présidentielle et je souhaite m'inscrire dans ce mouvement."

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  • Le Figaro - Cambadélis demande à Valls de choisir entre le PS et La République en marche

    Pas de double appartenance possible, assure la direction du parti. Pour «punir» l'ex-premier ministre, les proches de Benoît Hamon souhaitent investir un candidat face à lui.

    Pas de cadeau pour Manuel Valls. Le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a souligné mardi qu'il était «impossible» à Manuel Valls d'avoir à la fois sa carte d'adhérent au PS et de briguer l'investiture En Marche! aux législatives comme l'ancien premier ministre l'a annoncé dans la matinée.

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  • Les Echos - Législatives : Macron n'imposera pas à ses candidats de quitter leur parti

    Le prétendant à l'Elysée est revenu ce vendredi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les candidats socialistes.

    Emmanuel Macron fait marche arrière. S'il accède à l'Elysée, les candidats investis sous l'étiquette "majorité présidentielle" n'auront pas forcément à quitter leur parti d'origine. Le candidat d'En Marche! revient ainsi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les socialistes.

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