tondelier
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Retraites : "On va se battre, sans promettre aux gens que c'est le grand soir", dit Marine Tondelier
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Marine Tondelier interrogée sur l'écologie et l'union de la gauche sur le plateau de l'Huma
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BACKSEAT - S04E09 - On attend le premier ministre, avec Marine Tondelier
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«L’écologie n’est pas compatible avec l’extrême droite» : grand entretien avec Marine Tondelier
10 déc. 2024Pour le nouvel apéro de son Club, Vert reçoit la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier. Au menu : Est-ce que l’écologie, c’est forcément politique ? À quoi ressemble l’écologie sous l’extrême droite ? Comment rendre l’écologie mainstream ? L'apéro du Club, c'est une rencontre tous les trois mois entre les soutiens de Vert, la rédaction du média et des invité·es exceptionnel·les. Tout ce petit monde papote, réfléchit, rit et trinque. Qui a dit que l'écologie était une punition ? L'apéro du Club, c'est la preuve que ça peut aussi être une fête !
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Marine Tondelier : "un gouvernement doit être compact et cohérent"|LCI
10 déc. 2024La patronne des écologistes était l'invitée du 6/9 de Jean-Baptiste Boursier, où elle a évoqué le budget, les consultations à l'Élysée et l'absence du RN et de LFI de celles-ci.
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Après la censure du gouvernement Barnier, comment la gauche voit-elle la suite ?
5 déc. 2024Appel à la démission du président et refus de coalition du côté de LFI, engagement à ne pas utiliser le 49.3 pour les Ecologistes... Après le vote de la censure du gouvernement de Michel Barnier, les différentes composantes du Nouveau Front Populaire présentent ce qu'elles attendent pour la suite. Olivier Faure, Manuel Bompard, Cyrielle Chatelain, Mathilde Panot et François Ruffin ont fait le tour des matinales pour l'expliquer.
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France Info - "Il aura la censure et le déshonneur" estime Marine Tondelier au sujet de Michel Barnier
3 déc. 2024Marine Tondelier, secrétaire nationale des Ecologistes et Lucie Castets, candidate au poste de Première ministre du NFP étaient les invitées du "8h30 franceinfo", mardi 3 décembre. Elles répondaient aux questions de Salhia Brakhlia et Jérôme Chapuis.
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Avec Le NFP (archives septembre 2024)
28 septembre
Dans une interview à Libération, la candidate de la gauche pour Matignon déplore de n’avoir pas pu «développer», mardi soir sur BFMTV, une pensée qui sorte de la binarité “tous ou pas tous”.»
26 septembre
La Vie des idées - Travailler mieux, un recueil de propositions
Conditions de travail difficiles, perte de sens, manque de reconnaissance, accidents et maladies professionnelles, les maux du travail sont nombreux. Fondé sur les acquis des sciences du travail, le recueil de propositions « travailler Mieux » vise à répertorier les mesures susceptibles d’améliorer la qualité du travail en France.
Les Français sont parmi les Européens les plus attachés au travail, près de 70% d’entre eux affirmant que le travail est très important. Cependant, pour beaucoup, la vie au travail en France est difficile : le nombre d’accidents du travail y est largement supérieur aux moyennes européennes (3,32 accidents mortels pour 100 000 personnes en emplois en France en 2021, contre 2,66 en Italie, 1,54 en Pologne, 0,84 en Allemagne, 0,77 en Suède ou 0,33 aux Pays-Bas), les conditions de travail sont souvent moins bonnes qu’ailleurs en Europe ; de nombreuses personnes manquent de reconnaissance pour les tâches accomplies ; problèmes de santé au travail et perte de sens gagnent de nombreuses professions, y compris celles d’encadrement (perte de vocation des managers).
25 septembre
Invitée mardi soir de BFMTV, la première-ministrable de la gauche a considéré que «les migrants sont stigmatisés en permanence» alors qu’ils «contribuent au fonctionnement de la société».
C’est un sujet pour le moins éruptif. Alors que le nouveau ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, chantre d’une fermeté sur l’immigration, entend, comme il l’a annoncé au Figaro , «mettre un coup d'arrêt aux entrées illégales, et augmenter les sorties», l’une des principales figures de l’opposition a pris le premier flic de France à rebours. Invitée mardi soir de BFMTV, Lucie Castets, la première-ministrable du Nouveau Front populaire (NFP), s’est montrée «plutôt favorable» à la régularisation de «tous les sans-papiers». Qu’ils travaillent ou pas.
Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a réagi ce mercredi 25 septembre sur BFMTV sur les propos tenus la veille par Lucie Castets, qui se disait "plutôt favorable" à la régularisation de "tous les sans-papiers".
Les socialistes ont annoncé ce mardi 24 septembre qu’ils ne voteront pas le texte du Rassemblement national qui prévoit d’abroger la réforme des retraites d’Emmanuel Macron, dont l’examen est prévu le 31 octobre.
24 septembre
Invité de la matinale de Public Sénat, Pierre Jouvet, député européen et porte-parole du Parti socialiste est revenu sur la composition du gouvernement et la nomination de Bruno Retailleau à l’intérieur. Ce dernier dénonce la communication du nouveau ministre, s’interrogeant sur la politique qu’il souhaite défendre sur le fond.
Terra Nova - Quel rendement peut-on réellement attendre de la taxation des plus fortunés ?
Entre le dogme présidentiel de l’impossibilité d’augmenter les impôts et le programme fiscal voué à l’échec du Nouveau Front Populaire (NFP), il doit exister une voie pour plus de justice fiscale et la prise en compte des contraintes budgétaires. C’est ce que propose la présente note, après avoir rappelé les urgences de la situation de nos finances publiques.
Le programme porté par le Nouveau Front Populaire (NFP) pendant la campagne des récentes élections législatives aura eu la vertu de remettre le sujet de la fiscalité des plus fortunés au centre des débats.
Il s’agit d’un sujet tout à fait légitime dans un contexte où la France va devoir réaliser un effort d’économies massif – de l’ordre d’une centaine de milliards d’euros[1] – rien que pour stabiliser son endettement.
L’outil fiscal doit néanmoins être manié avec prudence et agilité, en particulier quand il s’agit de prélever des recettes sur les plus fortunés, qui sont généralement bien conseillés et assez mobiles. En la matière, la gesticulation politique au mépris du droit, qui n’est que trop fréquente, ou la simple erreur technique, se payent cash.
23 septembre
Le Vent se léve - Benjamin Morel - République en claire obscure
La période actuelle semble devoir marquer une profonde mutation de la Ve République, pour le meilleur mais aussi pour le pire. Si l’absence de majorité aux ordres nous rappelle que nous sommes dans un vrai régime parlementaire, l’épisode actuel démontre aussi de vraies failles dans notre édifice constitutionnel. Par Benjamin Morel, professeur de droit public.
La Ve République est un vrai régime parlementaire. Nous l’avons oublié, et pourtant, le texte constitutionnel ne saurait être plus clair sur ce point. Le gouvernement est responsable devant le Parlement. Le Président dispose certes de pouvoirs importants, mais ce sont des pouvoirs d’exception. Dire que le Président est fort parce qu’il peut déclencher l’article 16 (pleins pouvoirs), l’article 12 (dissoudre l’Assemblée nationale) ou utiliser le feu nucléaire relève du sophisme.
22 septembre
Le député de Corrèze et ancien président de la République a qualifié dimanche le gouvernement Barnier de « fragile » et dénoncé « un attelage qui paraît déjà brinquebalant ».
À peine né pour tenter de clore une longue crise politique, le gouvernement de Michel Barnier est déjà sous le feu des critiques, aussi bien de la gauche que du Rassemblement national (RN), mais pour différentes raisons. Ces derniers tiennent néanmoins la survie de ce nouveau gouvernement entre leurs mains, chaque camp se disant prêt à le censurer.
21 septembre
Le sénateur socialiste Patrick Kanner se dit "déçu pour les Français"."La clarification est devant nos yeux : on va passer d'un gouvernement de centre-droit et de droite à un gouvernement de droite et de centre-droit", a dénoncé, jeudi 20 septembre sur franceinfo, le patron des sénateurs socialistes, Patrick Kanner, alors que Michel Barnier a proposé une architecture de gouvernement à Emmanuel Macron.
20 septembre
Les critiques de François Ruffin contre La France insoumise et Jean-Luc Mélenchon rouvrent certaines fractures existant au sein du Nouveau Front populaire. Si certains regrettent l'étalage des divergences en public, les élus semblent se réjouir de la capacité retrouvée des partis de gauche à discuter.
19 septembre
Dans un communiqué, ils estiment que la procédure est "vouée à l'échec" et qu'elle pourrait donner une forme de "légitimité" au chef de l'Etat.18 septembreEn 2016, le groupe Les Républicains avaient tenté une procédure similaire contre le président socialiste après la parution du livre « Un président ne devrait pas dire ça ».
17 septembre
L'Huma- Lucie Castets : « Il est faux de dire que le NFP n’a pas tendu la main à d’autres forces »
La candidate à Matignon des quatre partis du NFP était à l’Agora de la fête de l’Humanité, vendredi, devant un public dense et attentif.
C’est d’abord pour battre en brèche le narratif servi par Emmanuel Macron que Lucie Castets s’est exprimée à l’agora de l’Humanité. Des éléments de langage distillés par son entourage et ses ministres démissionnaires, martelant que si Macron n’a pas nommé Lucie Castets à Matignon, c’est parce que la gauche aurait été censurée aussitôt.
16 septembre
France Info - Nouveau Front populaire : le torchon brûle entre François Ruffin et Jean-Luc Mélenchon
À gauche, rien ne va plus entre François Ruffin et Jean-Luc Mélenchon. Le député de la Somme accuse l’ancien candidat à la présidentielle d’autoritarisme et d’avoir abandonné une partie de l’électorat rural.
Parmi les sujets d'opposition au sein de la gauche figure notamment la procédure de destitution portée par La France insoumise, et dont la recevabilité sera examinée mardi par le bureau de l'Assemblée.15 septembreLe député picard a été pris à partie par des sympathisants insoumis lors d’un débat face au député LFI Raphaël Arnault.
Les Echos - SONDAGE EXCLUSIF - Lucie Castets, nouvelle coqueluche du peuple de gauche
La candidate malheureuse du Nouveau Front populaire à Matignon réalise une percée éclair dans l'électorat de gauche, montre le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Elle devient la deuxième personnalité préférée de son camp.
13 septembre
Politis- L’unité à gauche, un bien précieux
S’il y a bien une gauche qui n’a rien fait pour gouverner après que le NFP est arrivé en tête aux législatives, c’est bien celle qui veut renouer avec le hollando-cazeneuvisme. La principale bataille des temps prochains sera de maintenir l’unité du Nouveau Front populaire.
ll a beaucoup été reproché aux insoumis de ne pas vouloir gouverner. En tout cas, pas maintenant. Jamais on ne s’interroge sur la volonté réelle des socialistes rebelles – ceux qui n’ont pour projet que de critiquer leur premier secrétaire et de renouer avec le hollando-cazeneuvisme – de prendre le pouvoir. Pourtant, depuis la Nupes, dont ils ne voulaient pas, jusqu’au Nouveau Front populaire (NFP), dont ils ne voulaient guère plus, ceux qu’on appelle les anti-Faure – d’Anne Hidalgo à Nicolas Mayer-Rossignol ou encore Hélène Geoffroy – n’ont eu de cesse de saboter les initiatives du NFP et son aspiration à gouverner le pays, avec Lucie Castets pour hôte de Matignon.
12 septembre
Le 20 juin 1944, trois miliciens viennent chercher Jean Zay à la maison d’arrêt de Riom où l’ancien ministre du Front populaire est incarcéré depuis 1941 et l’assassinent dans un bois près d’une carrière à Molles, dans l’Allier.
Pour le régime de Vichy et la presse collaborationniste, Jean Zay est une figure honnie. Ce radical, né en 1904 à Orléans, issu d’une famille juive, mais élevé dans la foi protestante, franc-maçon et membre de la Ligue des droits de l’homme, est pour le camp nationaliste l’incarnation même de cette IIIe République abhorrée et rendue responsable du désastre de 1940.
11 septembre
Public Sénat - Après la nomination de Michel Barnier, les secousses continuent au PS
Depuis la nomination de Michel Barnier à Matignon, la ligne du Parti socialiste opposée à Olivier Faure multiplie les prises de parole tenant sa direction pour responsable dans l’échec de la nomination de Bernard Cazeneuve. Une accusation dont elle se défend, alors que le parti à la rose souhaite peser davantage à gauche.Les élus des quatre partis de gauche font leur rentrée parlementaire en promettant de tout mettre en œuvre pour censurer le futur gouvernement. La France insoumise veut même destituer le chef de l'Etat. Sans assurance, pour l'instant, d'arriver à ses fins.
10 septembre
Radio France - La gauche a-t-elle laissé passer sa chance ?
Le NFP est apparu victorieux lors du résultat des élections législatives, mais se présente désormais comme le grand perdant. En refusant tout compromis, la gauche a-t-elle manqué à son devoir de parti de gouvernement? A-t-elle encore seulement les moyens de gouverner?
Avec- Stéphanie Roza Chargée de recherches au CNRS, spécialiste des Lumières et de la Révolution française.
- Frédéric Sawicki Professeur de science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne
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« Sur l’écologie Michel Barnier a enfilé des perles. » Marine Tondelier sur Public Sénat
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Après le second tour des Législatives (mise à jour du 29 juillet)
A LA UNE
Le Figaro - Impôts : Lucie Castets prône une «grande réforme fiscale»
«Il faut aussi que les expatriés fiscaux payent leurs impôts au fisc français, comme le font les Américains expatriés vis-à-vis du fisc des États-Unis», déclare notamment celle que le Nouveau Front populaire veut envoyer à Matignon, dans un entretien à La Tribune dimanche.
BFM - Nouveau Front populaire: Lucie Castets vise 150 milliards d'euros de recettes fiscales
La candidate du Nouveau Front populaire à Matignon n'entend pas respecter le pacte de stabilité européen et veut aller "chercher des recettes fiscales et sociales à hauteur de 150 milliards d'euros à l'horizon 2027".
29 juillet
Le député socialiste estime que "s'il n'y a pas de compromis, il n'y aura pas de stabilité gouvernementale" et au final "il y aura une crise et à la fin une démission du président de la République".Fondation Jean Jaurès - Retour sur le vote Nouveau Front populaire aux élections législatives
Les élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet 2024 ont vu le Nouveau Front populaire obtenir le plus grand nombre de députés à l’Assemblée nationale. Jean-Daniel Lévy, directeur délégué de Harris Interactive, revient sur les motivations de vote des électeurs du NFP, leur profil, mais aussi leurs espoirs à la fois quant à l’application de son programme comme au choix du futur Premier ministre.
Dans un contexte où le Nouveau Front populaire (NFP) dispose du plus grand nombre de députés à l’Assemblée nationale, de nombreuses questions émergent. Quelles ont été les motivations de vote des électeurs du NFP ? Sont-elles uniformes selon l’âge, le genre, la catégorie sociale ou encore la proximité politique de cet électorat ? Souhaitent-ils l’application stricto sensu du programme proposé par cette alliance ou des aménagements apparaissent-ils possibles/envisageables ?
26 juillet
Lors d’un conseil national, le courant du maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol, et celui d’Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin, ont réclamé « une convention de clarification » de la position du PS dans le NFP
Les Echos - Le PS se divise sur le Nouveau Front populaire
Deux courants minoritaires du Parti socialiste réclament une convention de « clarification » de la ligne, vis-à-vis du Nouveau Front populaire et de sa volonté de gouverner.
Au moment où le pays traverse une crise politique et institutionnelle majeure, la parole de terrain doit être écoutée et le chemin de la réconciliation nationale passera nécessairement par le local. Florian Bercault, maire de Laval, livre son analyse d’élu local en première ligne et montre que la crise démocratique n’est pas une fatalité : ce qui se fait à Laval est symptomatique de cette crise mais constitue aussi un laboratoire d’actions pour y répondre.
La déflagration politique résultant de la dissolution de l’Assemblée nationale voulue par le président de la République le soir des résultats des élections européennes dit beaucoup à la fois de l’état de fragilité de notre pays mais aussi des attentes fortes de nos concitoyens. C’est comme si notre pays avait perdu sa boussole et ses repères au gré des intempéries vécues ces dernières années.
25 juillet
Agée de 37 ans, jeune énarque et porte-parole du collectif Nos services publics, Lucie Castets espère prendre la tête d'un gouvernement Nouveau Front populaire, malgré le refus d'Emmanuel Macron.22 juillet
HuffPost - À l’Assemblée nationale, le NFP obtient la majorité absolue au sein du bureau
À la surprise générale, le Nouveau Front populaire a décroché la majorité des sièges au sein du bureau de l’Assemblée. Une instance peu connue, mais aux pouvoirs importants.
La candidate des socialistes, des communistes et des écologistes a annoncé dans une lettre « prendre acte » des oppositions au sein de la coalition de gauche. « Tout cela ne semble pas mener à l’apaisement dont nous avons tant besoin », constate-t-elle.
L’Insoumis Eric Coquerel a été réélu samedi à la commission des Finances de l’Assemblée nationale mais le Nouveau Front populaire a été défait pour la quasi-totalité des autres présidences de commission.
Un nouveau sondage Odoxa pour Le Figaro révèle l’opinion de la société française par rapport aux conséquences politiques des élections législatives. 54 % des Français estiment que le président devrait nommer un ministre qui n’est pas issu du NFP. Ils souhaitent des coalitions et l’incapacité des partis politiques à en construire continue de dégrader leur image.
21 juillet
A défaut de s’entendre sur un nom pour Matignon, socialistes, insoumis, communistes et écologistes se sont entendus ce mercredi 17 juillet sur André Chassaigne pour tenter de conquérir, jeudi, le perchoir de la Chambre basse.Alternatives Economiques - Le programme fiscal du Nouveau Front populaire est-il confiscatoire ? Le Nouveau front populaire a permis de rouvrir le débat sur la fiscalité : des hausses d’impôts ciblées sont possibles sans craindre une baisse de l’activité, même si plusieurs mesures du programme doivent être revues.
17 juillet
Economiste, diplomate, cheville ouvrière de l’Accord de Paris… C’est la personnalité de la société civile proposée par les socialistes, les écologistes et les communistes pour briguer Matignon au nom du Nouveau Front populaire. Une figure trop proche d’Emmanuel Macron, jugent les insoumis.
15 juillet
Les socialistes ont notamment été accusés par certains cadres de La France insoumise d'avoir bloqué la candidature d'Huguette Bello pour devenir Premier ministre du Nouveau Front populaire.Le Nouveau Front populaire poursuit les négociations pour proposer le nom d'un Premier ministre issu de ses rangs. Invité de France 2 ce lundi 15 juillet, Olivier Faure estime qu'il est normal que cela "prenne du temps".
14 juillet
France 24 - Le PS ne valide pas Huguette Bello pour Matignon, LFI lui reproche de "tout bloquer"
Le Conseil national du Parti Socialiste à annoncé samedi soir ne pas valider la candidature de la Réunionnaise Huguette Bello au poste de Première ministre, et a appelé à poursuivre les discussions au sein du Nouveau Front populaire pour trouver un nom qui fait consensus. Le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard a reproché samedi au PS de "tout bloquer" et a convoqué dimanche les instances de LFI.
La présidente du conseil régional de La Réunion, soutenue par LFI, les Ecologistes et le PCF, a dit « prendre acte » que sa candidature « n’est pas soutenue par le PS ». Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, veut prendre « le temps de discuter » et promet un nom pour Matignon le 18 juillet.
13 juillet
François Ruffin prend ses distances avec les Insoumis - C à Vous - 11/07/2024
12 juillet
L'"Association pour une République écologique et sociale (L'Après)" a pour vocation d'être "au service du Nouveau Front populaire", ont fait savoir ses membres.
L’ancien Premier ministre estime que c’est au Nouveau Front populaire, arrivé en tête, de former un gouvernement. Il reconnaît toutefois que « ce n’est pas un cadeau ».
Les négociations se poursuivent entre les quatre forces du NFP. Le Parti socialiste pousse toujours le nom d'Olivier Faure, mais La France insoumise ne veut pas céder à cette seule proposition.Olivier Faure, le flegmatique patron du PS qui se voit à Matignon
Longtemps accusé d'avoir voulu effacer le Parti socialiste, dont il a pris les rênes en 2018, Olivier Faure, discret apparatchik mais savant manœuvrier, s'affirme et tente de s'imposer comme potentiel Premier ministre du Nouveau Front populaire, dont il défend l'unité.
A 55 ans, le Premier secrétaire du PS se dit "prêt à assumer" la fonction et demande au chef de l'Etat de "respecter le vote des Français" après l'arrivée en tête des législatives du Nouveau Front populaire.
Alternatives Economiques - Législatives Ecologie : ce qu’il faudra clarifier dans le programme du Nouveau Front populaire Rédigé dans l’urgence, le programme écologique du Nouveau Front populaire a fait des impasses sur des sujets clivants. Pour faire avancer la transition, il faudra construire du consensus.
11 juillet
L'alliance de la gauche "met en garde" le président "contre toute tentative de détournement des institutions".Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale s'oppose à l'idée de coalition centrale voulue par le camp macroniste.
Quatre jour après la victoire du NFP aux législatives, les cadres de gauche n’ont pas encore réussi à s’entendre pour proposer un nom pour Matignon. Les discussions vont trop lentement pour certains.
Le Nouvel Obs - Boris Vallaud réélu président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale
L’ancien Porte-parole du Parti Socialiste, Boris Vallaud, a été réélu président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale « à l’unanimité », mercredi 10 juillet. Un poste qu’il occupait déjà avant la dissolution du 9 juin dernier.
L'alliance de gauche, arrivée en tête des élections législatives anticipées, propose notamment l'augmentation du salaire minimum à 1 600 euros net. Quatre questions pour comprendre cette mesure qui divise les économistes.L’ensemble des socialistes, plusieurs membres de l’opposition interne compris, estiment que leur Premier secrétaire s’impose comme le seul candidat possible à Matignon. Et le font savoir.
Les députés du Nouveau Front populaire ont pris leurs quartiers au Palais Bourbon, alors que les négociations pour Matignon se poursuivent. Ils pressent Emmanuel Macron de leur confier la charge de gouverner.
10 juillet
Les parlementaires socialistes sont de plus en plus nombreux à évoquer, pour pouvoir gouverner, une extension du Nouveau Front populaire vers le bloc central. Ce qui impliquerait d’amender le programme porté par la gauche, au risque de fracturer une alliance fragile et de décevoir leurs électeurs.Législatives : une victoire de la gauche ? - C à Vous - 08/07/2024
Fabien Roussel prêt à lâcher les insoumis ? - C à Vous - 09/07/2024
Les forces de gauche pensent pouvoir gouverner seules malgré leur absence de majorité absolue, et enchaînent les réunions pour tenter de s’entendre sur le nom d’un futur chef du gouvernement.
Considéré depuis quelques années comme un "astre mort", menacé de disparition, le PS reprend des couleurs à l'issue du scrutin de dimanche."C'est le rôle du Nouveau Front populaire, et en son cœur, de notre famille – la famille socialiste – de refonder un projet collectif pour notre pays." Lorsqu'Olivier Faure, numéro un du PS, prend la parole, dimanche 7 juillet à l'issue du second tour des élections législatives, il salue un travail collectif dans la première place surprise obtenue par le Nouveau Front populaire (NFP). Mais il souligne surtout le poids, au sein du bloc de gauche, d'une formation régulièrement qualifiée "d'astre mort" depuis 2015.
Après les législatives, la France s’est réveillée italienne. Elle va devoir apprendre l’art du compromis.
Comment gérer un Parlement sans majorité claire ? Comment gouverner sans coalition évidente ? Après avoir passé la campagne des législatives à Paris, le professeur de droit et juge constitutionnel Sabino Cassese, rouage central de plusieurs gouvernements techniques italien, nous introduit aux secrets d’une formule dont la France ignore presque tout.
9 juillet
Le chef de file sortant du groupe PS à l'Assemblée nationale juge que «les socialistes ont leur légitimité» pour proposer un nom de premier ministre.
Le secrétaire général du Parti socialiste et député européen Pierre Jouvet a affirmé ce mardi auprès de l'AFP que "le seul profil qui peut rassurer et être Premier ministre" était Olivier Faure, le premier secrétaire du PS.
Euractiv - Législatives : la France à la recherche d’une coalition « à l’européenne »
Le Nouveau Front populaire (NFP) a obtenu une victoire inespérée au second tour des élections législatives, mais la coalition des partis de gauche pourrait déjà être menacée, alors que des alliances au centre seront nécessaires pour former une nouvelle majorité, comme au Parlement européen.
Les forces de gauche rassemblées au sein du Nouveau Front populaire (NFP) sont arrivées en tête des élections législatives du dimanche 7 juillet et obtiennent 182 députés sur les 577 que compte l’Assemblée nationale, mais elles seront incapables de former seule une nouvelle majorité.
Plusieurs dizaines de nouveaux députés élus sous la bannière du Nouveau front populaire vont faire leur entrée à l’Assemblée nationale à l’issue du second tour des législatives anticipées. Parmi eux, plusieurs figures peu connues du grand public.
Malgré sa victoire, la gauche a-t-elle perdu ses bastions historiques ? La percée surprise du Nouveau Front populaire n’a pas grand chose à voir avec la conquête du Front populaire original en 1936. Si la logique de coalition électorale anti-RN y est bien sûr pour quelque chose, il faut étudier le premier tour du vote de 2024 pour saisir une leçon de géographie électorale : les anciens bastions de la gauche ont massivement basculé à l’extrême droite.
Après les législatives, la France s’est réveillée italienne. Elle va devoir apprendre l’art du compromis.
Comment gérer un Parlement sans majorité claire ? Comment gouverner sans coalition évidente ? Après avoir passé la campagne des législatives à Paris, le professeur de droit et juge constitutionnel Sabino Cassese, rouage central de plusieurs gouvernements techniques italien, nous introduit aux secrets d’une formule dont la France ignore presque tout.
Plus de 60 députés socialistes siégeront dans le nouvel hémicycle. Une percée qui permet au parti à la rose de faire quasi jeu égal avec La France insoumise.
A la surprise générale, défiant tous les sondages, le Nouveau Front populaire est arrivé en tête du second tour des élections législatives, dimanche 7 juillet. D’après le comptage du « Nouvel Obs », l’union des gauches envoie donc 185 élus dans l’hémicycle. Dans le détail, 75 insoumis, 62 socialistes, 27 écologistes, 10 communistes et 11 « divers » ont été élus.
Arrivé en tête des élections législatives, le Nouveau Front populaire a placé au cœur de son programme le partage des richesses, au travers d’une véritable «révolution fiscale». Avec beaucoup de gagnants, et quelques perdants.
8 juillet
Plusieurs personnalités, allant d’Olivier Faure à Fabien Roussel, en passant par François Hollande et Yannick Jadot, ont déjà à plusieurs reprises exclu Jean-Luc Mélenchon comme éventuel chef du gouvernement.
Plusieurs représentants des partis au sein de l’alliance de gauche défendent une décision par « consensus », voire par vote pour proposer un nom de Premier ministre issu du NFP. Des discussions sont en cours.
Le Nouveau Front populaire (NFP), alliance de gauche arrivée en tête du second tour des élections législatives anticipées dimanche en France, n'acceptera "aucune coalition des contraires", a déclaré le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Olivier Faure. Il s’est exprimé depuis le QG du PS, à Paris.
Dans son émission, "Touche pas à mon poste", Cyril Hanouna avait assuré qu'il quitterait le pays en cas de victoire de La France insoumise. Qu'en est-il maintenant que la victoire du Nouveau Front populaire est confirmée ?
Pour lui, il faut "une proposition avec un gouvernement du Nouveau Front populaire qui permette de représenter l'ensemble des composantes de cette coalition".
Le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard juge que le choix d'un Premier ministre peut se faire "par consensus" et pas forcément par un vote au sein du Nouveau front populaire.
Entre 2022 et 2024, le Parti socialiste a gagné 34 sièges à l'Assemblée, faisant de ce membre du Nouveau Front populaire le grand vainqueur de ces législatives. À l’inverse, le parti d'Emmanuel Macron, Renaissance, a perdu 73 députés en deux ans.
Notre analyse exclusive des données du ministère de l’Intérieur sur la participation à midi à l'échelle départementale révèle deux premières leçons de cette journée de deuxième tour : là où le RN a performé, la participation est la plus forte. De l’autre côté : la participation baisse là où la gauche était plus forte le 30 juin.
Aujourd’hui et ce soir, toutes nos analyses Législatives 2024 sont en accès libre. Ce travail a un coût.
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Marine Tondelier invitée de Questions Politiques sur France Inter