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Présidentielle 2017 : le quinquennat Hollande "a échoué", estime Arnaud Montebourg
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Présidentielle 2017 : Montebourg "prêt à payer le prix" du blocage des institutions européennes
Présidentielle 2017 : Montebourg "prêt à payer... par rtl-fr -
Le Grand rendez-vous avec Jean-Yves Le Drian
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Invitée : Aurélie Filippetti - Parlement hebdo (04/11/2016)
Invitée : Aurélie Filippetti - Parlement hebdo... par publicsenat -
LCI - Pour Montebourg "on ne réforme pas la gauche en allant voter à la primaire de la droite"
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L'actualité des socialistes du 28 octobre au 3 novembre
A LA UNE : ALAIN TOURAINE
Bibliobs - Alain Touraine, cet optimiste qui veut réconcilier Manuel Valls et Nuit debout
Dans son dernier essai, le sociologue dénonce le gauchisme autant que le capitalisme rentier. Et rêve d'un projet moderniste.
« Le Nouveau Siècle politique», le dernier livre d'Alain Touraine, est une analyse en forme de plaidoyer. Le sociologue appartient aux fondateurs de la sociologie française de l'après-guerre, issue d'un savant mélange d'excellence académique, d'immersion sur le terrain et de fréquentation de la sociologie américaine. A 91 ans, il rappelle que sa génération a toujours son mot à dire sur les évolutions contemporaines.
LAURENT BOUVET
Le Figaro - La gauche survivra-t-elle à François Hollande ?
Avec 4% d'opinions favorables, François Hollande chute lourdement dans les sondages. Pour Laurent Bouvet, le président de la République a précipité dans l'abîme toute la gauche française de gouvernement.
FIGAROVOX. - Avec 4% d'opinions favorables, le chef de l'État est en passe de redevenir «Monsieur 3%», comme en 2011. Au-delà du personnage de François Hollande, que dit ce chiffre sans précédent sur l'état de la gauche de gouvernement?
Laurent BOUVET. - Le fait que François Hollande, président de la République, soit quasiment redescendu au score dans l'opinion qui était le sien avant qu'il devienne le favori pour la présidentielle en 2011 - c'est-à-dire avant la sortie de la course de Dominique Strauss-Kahn en mai à New York - est un symbole très fort de ce qu'il a fait de la responsabilité que lui ont confié les Français. Le sentiment de gâchis, à gauche, et sans doute au-delà, est terrible. Et évidemment, il a précipité avec lui dans l'abîme, même s'il n'en est assurément pas le seul responsable, toute la gauche de gouvernement française. Il a sans doute aussi achevé le PS tel qu'il était jusqu'ici et dont il a été le premier secrétaire pendant 11 ans.
PAUL ALLIES
Paul Alliès- Les limites des Primaires
Le débat en cours sur et dans la Primaire de la Droite porte sur leurs limites politiques: doivent-elles aller jusqu'à l'électorat de gauche et de l'extrême-droite ? Ce faisant ce débat occulte un autre type de limite, celle sociale, de la population qui s'intéresse à elle et y participe.La polémique sur l'espace politique est assez vaine. Les Primaires ouvertes partent du principe qu'elles ne sauraient se fonder sur une discrimination idéologique quelconque. Tous les citoyens inscrits sur les listes électorales (et parfois quelques autres catégories) peuvent librement y participer. Les partis organisateurs ont trouvé une formule pour limiter les risques de leur instrumentalisation par leurs adversaires. C'est la déclaration de principe préalable au vote lui-même par laquelle l'électeur dit partager "les valeurs républicaines de la droite et du centre" ou se reconnaitre "dans les valeurs de la Gauche et des écologistes" (formulation officielle des deux Primaires de 2016).SONDAGESelon notre sondage Kantar Sofres OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL, François Hollande est éliminé dans tous les cas de figure dès le premier tour de la présidentielle, systématiquement devancé par les candidats de la droite et du FN, mais aussi par Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Manuel Valls, quant à lui, ne fait pas mieux que le chef de l'État.RASSEMBLEMENTValls, Le Foll ou encore Cambadélis ont appelé leur famille politique à ne pas se diviser. Le refrain pourrait s’entendre si l’exécutif n’était pas le premier responsable de cet éclatement de la gauche à quelques mois de la présidentielle.MARIANNEIl a vu partir sa sœur pour les terres de l’Etat islamique (EI) et, après deux années de silence, Amine Elbahi prend la parole pour dire cette colère que la République n’a pas su ou pas pu retenir. Bonne élève, elle s’ennuyait à la faculté de droit et a choisi la radicalisation. Pourquoi Marianne n’a-t-elle pas su ou pas pu la retenir? La panne de l’ascenseur social, les barrières à franchir quand on vient des «quartiers» et que l’on porte un nom qui dit que l’on n’est pas «gaulois», la volonté de dénoncer clairement ou subrepticement «eux» par rapport à «nous», comme le soulignent Karim Amellal et Béligh Nabli ? Tout cela y concourt. L’EI mène une offensive idéologique violente et les valeurs de la République se trouvent menacées. Amine Elbahi, 20 ans, va dans les écoles expliquer aux enfants et adolescents les raisons pour lesquelles il faut aujourd’hui se battre pour défendre la liberté, l’égalité et la fraternité, auxquelles Karim Amellal et Béligh Nabli proposent d’ajouter la laïcité comme valeur fondatriceREVENU DE BASEUn revenu versé à tous, sans condition ni contrepartie ? Longtemps cantonnée aux débats intellectuels, l'idée séduit désormais de plus en plus de partis politiques ou de mouvements citoyens en Europe. La plupart des partis Verts européens la défendent, en Espagne, elle figure sur la plateforme de Podemos. En avril 2015, en Finlande, la victoire du parti du Centre aux élections législatives a amené au pouvoir une formation dont le programme prévoit l'expérimentation d'un revenu de base. En revanche, en Suisse, l'initiative populaire qui a conduit à un référendum sur la question en juin 2016 s'est soldée par un rejet, à 76,9%, du revenu inconditionnel.PIKETTYLe fondateur de la Nouvelle Gauche a interpellé l’économiste sur son intention d’aller voter Alain Juppé à la primaire de la droite. Ce dernier lui répond et l’interroge sur les intentions de Mélenchon, que Hoang-Ngoc soutient.NATHALIE PERRIN-GILBERTCNILLa CNIL a épinglé le Parti socialiste en raison de manquements graves à la protection des données personnelles, après avoir constaté que les mesures élémentaires de sécurité n'avaient pas été mises en oeuvre sur la plateforme gérant les primo-adhésions au parti. Une faille du système pouvait entraîner une fuite sur les coordonnées de plusieurs dizaines de milliers d'adhérents.USA -
Montebourg 2017
6 novembreArnaud Montebourg, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, a refusé samedi, « par délicatesse », de commenter le refus par les cadres du PCF d’un ralliement à Jean-Luc Mélenchon, et prôné à nouveau « l’union des gauches ».
« Les partis politiques s’autodéterminent librement. Je n’ai pas à intervenir dans les choix des autres partis de gauche (...)
Je peux dire en revanche ce que je fais, je construis l’union des gauches, c’est-à-dire la capacité à avoir une solution et une offre politique à vocation majoritaire qui nous permette de gouverner la France, et d’éviter que les électeurs de gauche se retrouvent dans la situation d’avoir à arbitrer les élégances entre la famille Le Pen et un des candidats de la droite. »L'Obs - Présidentielle : Montebourg rêve de libérer la France
... Montebourg ne veut pas dévier de sa ligne : "Je défends mon programme. Je construis une offre politique nouvelle, innovante et originale", pérore-t-il. Il ne veut pas être dans le commentaire de la vie politique, des péripéties des uns et des autres. La descente aux enfers de François Hollande pourrait l'empêcher de se présenter, l'ancien ministre du redressement productif ne sait pas qui il affrontera les 22 et 29 janvier prochain dans la primaire socialiste.
Libé - Montebourg esquisse son libéralisme
Le candidat socialiste à la primaire à gauche à tenté, ce samedi à Paris pour les «Etats généraux» de son «Projet France», de se positionner dans un «autre couloir» que celui de l'Economie et de l'Europe : celui de «l'innovation». Manière de chercher la position politique adéquate en attendant Hollande.
Le Parisien - Présidentielle : et un obstacle de moins pour Montebourg !
Arnaud Montebourg n'a pas bougé hier du premier rang de la salle Olympe-de-Gouges (Paris XIe), où se tenaient les états généraux de son Projet France. Imperturbable. « Je veux écouter, c'est intéressant. » Et ce, malgré une divine surprise qui bouscule la donne. Contre toute attente, les cadres du Parti communiste ont en effet refusé tout net hier d'apporter leur soutien à Jean-Luc Mélenchon ! Certes, les militants du PCF auront encore leur mot à dire à la fin du mois. Mais en attendant, le « robinet à 500 signatures » reste fermé pour le leadeur de la France insoumise, qui peine à trouver les 500 sésames nécessaires pour se présenter. Et la porte ouverte pour Montebourg qui a eu, pas plus tard que vendredi, une discussion « très amicale » avec le numéro un communiste Pierre Laurent.
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Présidentielle : pour Michel Sapin, Valls sera « un candidat parfaitement naturel » si Hollande ne se présente pas
Présidentielle : pour Michel Sapin, Valls sera... par franceinfo -
Accord sur le climat, pollution, débat de la primaire de droite, secrets défense dévoilés par François Hollande, Notre-Dame-des-Landes et risque de pénurie d'électricité pour Noël : Ségolène Royal répond aux questions de Thomas Sotto
Accord sur le climat, pollution, débat de la... par Europe1fr -
L'actualité des socialistes du 28 octobre au 3 novembre
A LA UNE : ALAIN TOURAINE
Bibliobs - Alain Touraine, cet optimiste qui veut réconcilier Manuel Valls et Nuit debout
Dans son dernier essai, le sociologue dénonce le gauchisme autant que le capitalisme rentier. Et rêve d'un projet moderniste.
« Le Nouveau Siècle politique», le dernier livre d'Alain Touraine, est une analyse en forme de plaidoyer. Le sociologue appartient aux fondateurs de la sociologie française de l'après-guerre, issue d'un savant mélange d'excellence académique, d'immersion sur le terrain et de fréquentation de la sociologie américaine. A 91 ans, il rappelle que sa génération a toujours son mot à dire sur les évolutions contemporaines.
LAURENT BOUVET
Le Figaro - La gauche survivra-t-elle à François Hollande ?
Avec 4% d'opinions favorables, François Hollande chute lourdement dans les sondages. Pour Laurent Bouvet, le président de la République a précipité dans l'abîme toute la gauche française de gouvernement.
FIGAROVOX. - Avec 4% d'opinions favorables, le chef de l'État est en passe de redevenir «Monsieur 3%», comme en 2011. Au-delà du personnage de François Hollande, que dit ce chiffre sans précédent sur l'état de la gauche de gouvernement?
Laurent BOUVET. - Le fait que François Hollande, président de la République, soit quasiment redescendu au score dans l'opinion qui était le sien avant qu'il devienne le favori pour la présidentielle en 2011 - c'est-à-dire avant la sortie de la course de Dominique Strauss-Kahn en mai à New York - est un symbole très fort de ce qu'il a fait de la responsabilité que lui ont confié les Français. Le sentiment de gâchis, à gauche, et sans doute au-delà, est terrible. Et évidemment, il a précipité avec lui dans l'abîme, même s'il n'en est assurément pas le seul responsable, toute la gauche de gouvernement française. Il a sans doute aussi achevé le PS tel qu'il était jusqu'ici et dont il a été le premier secrétaire pendant 11 ans.
PAUL ALLIES
Paul Alliès- Les limites des Primaires
Le débat en cours sur et dans la Primaire de la Droite porte sur leurs limites politiques: doivent-elles aller jusqu'à l'électorat de gauche et de l'extrême-droite ? Ce faisant ce débat occulte un autre type de limite, celle sociale, de la population qui s'intéresse à elle et y participe.La polémique sur l'espace politique est assez vaine. Les Primaires ouvertes partent du principe qu'elles ne sauraient se fonder sur une discrimination idéologique quelconque. Tous les citoyens inscrits sur les listes électorales (et parfois quelques autres catégories) peuvent librement y participer. Les partis organisateurs ont trouvé une formule pour limiter les risques de leur instrumentalisation par leurs adversaires. C'est la déclaration de principe préalable au vote lui-même par laquelle l'électeur dit partager "les valeurs républicaines de la droite et du centre" ou se reconnaitre "dans les valeurs de la Gauche et des écologistes" (formulation officielle des deux Primaires de 2016).SONDAGESelon notre sondage Kantar Sofres OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL, François Hollande est éliminé dans tous les cas de figure dès le premier tour de la présidentielle, systématiquement devancé par les candidats de la droite et du FN, mais aussi par Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Manuel Valls, quant à lui, ne fait pas mieux que le chef de l'État.RASSEMBLEMENTValls, Le Foll ou encore Cambadélis ont appelé leur famille politique à ne pas se diviser. Le refrain pourrait s’entendre si l’exécutif n’était pas le premier responsable de cet éclatement de la gauche à quelques mois de la présidentielle.MARIANNEIl a vu partir sa sœur pour les terres de l’Etat islamique (EI) et, après deux années de silence, Amine Elbahi prend la parole pour dire cette colère que la République n’a pas su ou pas pu retenir. Bonne élève, elle s’ennuyait à la faculté de droit et a choisi la radicalisation. Pourquoi Marianne n’a-t-elle pas su ou pas pu la retenir? La panne de l’ascenseur social, les barrières à franchir quand on vient des «quartiers» et que l’on porte un nom qui dit que l’on n’est pas «gaulois», la volonté de dénoncer clairement ou subrepticement «eux» par rapport à «nous», comme le soulignent Karim Amellal et Béligh Nabli ? Tout cela y concourt. L’EI mène une offensive idéologique violente et les valeurs de la République se trouvent menacées. Amine Elbahi, 20 ans, va dans les écoles expliquer aux enfants et adolescents les raisons pour lesquelles il faut aujourd’hui se battre pour défendre la liberté, l’égalité et la fraternité, auxquelles Karim Amellal et Béligh Nabli proposent d’ajouter la laïcité comme valeur fondatriceREVENU DE BASEUn revenu versé à tous, sans condition ni contrepartie ? Longtemps cantonnée aux débats intellectuels, l'idée séduit désormais de plus en plus de partis politiques ou de mouvements citoyens en Europe. La plupart des partis Verts européens la défendent, en Espagne, elle figure sur la plateforme de Podemos. En avril 2015, en Finlande, la victoire du parti du Centre aux élections législatives a amené au pouvoir une formation dont le programme prévoit l'expérimentation d'un revenu de base. En revanche, en Suisse, l'initiative populaire qui a conduit à un référendum sur la question en juin 2016 s'est soldée par un rejet, à 76,9%, du revenu inconditionnel.PIKETTYLe fondateur de la Nouvelle Gauche a interpellé l’économiste sur son intention d’aller voter Alain Juppé à la primaire de la droite. Ce dernier lui répond et l’interroge sur les intentions de Mélenchon, que Hoang-Ngoc soutient.NATHALIE PERRIN-GILBERTCNILLa CNIL a épinglé le Parti socialiste en raison de manquements graves à la protection des données personnelles, après avoir constaté que les mesures élémentaires de sécurité n'avaient pas été mises en oeuvre sur la plateforme gérant les primo-adhésions au parti. Une faille du système pouvait entraîner une fuite sur les coordonnées de plusieurs dizaines de milliers d'adhérents.USA -
Laurent Fabius : "D'habitude les démocrates ne sont pas interventionnistes, Hillary Clinton est beaucoup plus offensive"
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