15 nov. 2022
Congrès du PS : "Il ne faudrait pas que chacun considère le PS comme leur propre patrimoine. Il y a une règle majoritaire, puis il y a les frondeurs. François Hollande s'évertue à fronder à l'extérieur du parti" déclare Olivier Faure
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15 nov. 2022
Congrès du PS : "Il ne faudrait pas que chacun considère le PS comme leur propre patrimoine. Il y a une règle majoritaire, puis il y a les frondeurs. François Hollande s'évertue à fronder à l'extérieur du parti" déclare Olivier Faure
Observatoire des inégalités - La pauvreté paradoxale
Analyse 2 novembre 2022
Une partie des pauvres ne sont pas ceux que l’on attend. Cette pauvreté paradoxale frappe des travailleurs, des retraités, des propriétaires et des cadres, autant de catégories a priori protégées. Reste que si tout le monde peut être concerné par la pauvreté, ce n’est pas avec la même probabilité. Une analyse de Louis Maurin, extraite de Constructif.
Le chef de file des députés socialistes estime que l'heure de faire chuter le gouvernement n'est pas venue, car il n'existe pas de majorité alternative.
Ce n'est pas simple d'être député socialiste en 2022. Il faut s'accorder avec de nouveaux alliés Insoumis qu'ils conspuaient hier, et avoir dans son dos les vieux et encombrants éléphants du parti, tout en espérant des jours meilleurs pour le PS. Et puis il y a ces 89 députés du Rassemblement national, une réalité que Boris Vallaud, patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, n'ignore pas mais qu'il refuse de "banaliser".
Charlie Hebdo - Dans le drôle de cabinet du ministre Béchu , Fabrice Nicolino ·
Privée de majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement a subi un nouveau revers lors de l'examen du projet de loi de budget, sur la rénovation thermique des logements.
Lundi 31 octobre au soir, l’Assemblée nationale a voté pour rajouter près de 12 milliards d’euros de crédits en faveur de la rénovation thermique des logements . Des amendements déposés par le Parti socialiste et les écologistes, que le Rassemblement national a votés notamment. Même si le gouvernement ne les retiendra probablement pas dans la version finale du budget, c’est un nouveau revers pour le camp présidentiel.
Fondation Jean Jaurès - Midterms 2022 : le point de vue d’un militant démocrate de Los Angeles
Le 8 novembre prochain, les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin complexe se déroule en réalité sur plusieurs semaines, dans un contexte de vives tensions entre démocrates et républicains et alors que le système électoral américain est fondamentalement différent du système français. Steve Cron, président du club des démocrates de Pacific Palisades (Los Angeles), nous éclaire sur les activités du Parti démocrate au niveau local et sur le vote du 8 novembre qui regroupe des élections à de nombreuses fonctions municipales, nationales et un vote « référendaire » sur des sujets variés.
LVSL - Élections de mi-mandat : les démocrates pris à leur propre piège
Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…
Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États.
LVSL - Grèce : la tragédie qui n’en finit pas
En 2009, la crise de la dette grecque débutait. Depuis, de nombreux plans de « sauvetage » comprenant des « réformes » sous la tutelle de la « Troïka » (FMI, BCE et Commission européenne) se sont succédés. Si les banques ont effectivement été sauvées, le bilan social d’un tel programme est catastrophique. Fortement appauvrie, la Grèce est devenue un Club Med géant où les infrastructures stratégiques ont été privatisées et où les services publics ont été bradés. La population, elle, se résigne ou quitte le pays.
Le 20 août dernier, la Grèce est sortie de la surveillance économique renforcée de la Commission européenne. Un jour qualifié d’« historique » par le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, tandis que la Présidente de la Commission Européenne vantait la « résilience » de la Grèce et l’enjoignait à « envisager l’avenir avec confiance ». Le bilan des « réformes » et de ce programme d’« aides » est pourtant peu reluisant, pour ne pas dire catastrophique.
Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.
Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.
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Vendredi 4 novembre, Jérôme Guedj intervenait à la tribune de l'Assemblée nationale dans le cadre de la discussion et du vote de la #MotionDeCensure déposée par La France insoumise après un quatrième recours à l'article 49-3 par le gouvernement, cette fois-ci pour adopter l'ensemble du projet de loi finances en première lecture. Découvrez son discours en intégralité
Dans « Autopsie du cadavre », le journaliste Olivier Pérou enquête sur les raisons de la débâcle du PS à la présidentielle. Et cherche le coupable.
Les meurtres en politique ont toujours fasciné. Il y a les meurtres réussis, comme celui de Chaban-Delmas par Chirac en 1974 ou celui de Giscard par le même Chirac, décidément tueur en série ; il y a les meurtres ratés, comme celui de Le Pen par Mégret en 1998 ou de Chirac par Séguin et Pasqua en 1990. Et il y a ceux qui passent complètement inaperçus. Olivier Pérou s'intéresse à l'un d'eux dans Autopsie d'un cadavre (Fayard). Le journaliste de L'Express se transforme en enquêteur dans un récit à la Agatha Christie avec la précision d'un procès-verbal. La victime : le Parti socialiste, tombé le 10 avril 2022 avec le pire score de son histoire (1,7 %). Les suspects : ils sont sept et ont tous de bons mobiles pour avoir tué une institution qui a structuré depuis 50 ans la politique française. « Il ne reste plus grand monde pour pleurer, ni électeurs à l'évidence, ni vieille garde non plus, ni ex-présidents, ni militant », constate l'auteur.
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Philippe Brun, député socialiste de l'Eure, a été chargé par la commission des finances d'être le rapporteur spécial sur les participations de l'État. Il est le député référent qui informe ses collègues sur le budget des participations de l'État dans les entreprises.
Parmi les opérations de l'année, il y a cette OPA de l'État sur EDF. Aujourd'hui, nous n'avons aucune information sur cette opération, il s'est donc rendu à Bercy pour consulter des documents sur la situation d'EDF et sur les intentions du gouvernement. Nous l'avons suivi !
Lundi 31 octobre, Olivier Faure intervenait à la tribune de l'Assemblée nationale au nom du groupe socialiste suite à l'utilisation du 49.3 par le gouvernement sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Il y explique pourquoi les socialistes n'ont pas signé de #MotionDeCensure.