Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

politique - Page 21

  • La revue de presse du 2 au 8 octobre

    Reuters - La nouvelle fiscalité du capital a entraîné un bond des dividendes

    PARIS (Reuters) - Les réformes de la fiscalité du capital mises en oeuvre après l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron ont entraîné une forte hausse des dividendes en 2018, concentrés sur un plus petit nombre de foyers fiscaux très fortunés, montre un rapport publié jeudi par l'organisme public France Stratégie.

    Dans son deuxième rapport, le comité d'évaluation de la suppression de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et de l'instauration d'un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% sur les revenus du capital, mises en oeuvre en janvier 2018, se dit en revanche encore incapable de mesurer l'impact de ces mesures sur l'investissement des entreprises.
    __________________

    Reporterre - Loi Asap : le gouvernement continue à défaire le droit de l’environnement

    La loi dite de « simplification » de l’action publique est discutée par les députés cette semaine. Ce texte poursuit à marche forcée le démantèlement du droit de l’environnement, dénoncent ses détracteurs. Il facilite par exemple l’implantation de sites industriels au moment même où Lubrizol a démontré la nécessité d’une meilleure surveillance.

    Un texte « fourre-tout », dénoncent en cœur ses détracteurs. Ou qui permettra de « rapprocher l’administration du citoyen, simplifier les démarches (…), faciliter le développement des entreprises », comme l’explique le gouvernement ?

    Le projet de loi Asap ­— pour accélération et simplification de l’action publique — est discuté à l’Assemblée nationale depuis lundi 28 septembre. Son titre est transparent quant à l’intention de l’exécutif : « asap » comme « as soon as possible » — aussi vite que possible.
    _____________________

    Fondation Jean Jaurès - Rééquilibrer les effets du quinquennat

    Dans sa contribution d’une série réalisée en partenariat avec L’Hétairie, le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’université de Lille et auteur du blog La Constitution décodée, revient sur les vingt du quinquennat, une réforme qui a stabilisé le pouvoir présidentiel en omettant de renforcer le pouvoir législatif.

    Le quinquennat a vingt ans !

    Il fut introduit le 24 septembre 2000, par référendum constitutionnel. Plébiscité à l’époque (mais par une faible partie d’électeurs, tant l’abstention avait été record), il est aujourd’hui vertement critiqué. Il a pourtant un nécessaire effet stabilisateur, qui n’interdit pas de réfléchir à des évolutions.

    D’abord, dénonçons quelques idées reçues et rétablissons quelques contre-vérités.

    D’une part, on l’associe toujours à «  l’inversion  » du calendrier électoral, car une loi votée postérieurement à l’adoption de la révision constitutionnelle a reporté au mois de juin le terme du mandat de député, là où il expirait auparavant début avril. L’objectif était effectivement de permettre que se déroule d’abord l’élection présidentielle, puis les élections législatives.
    ____________________

    Basta - «Aujourd’hui pour sauver l’accumulation du capital, on est obligé de détruire la démocratie»

    L’inaction écologique menace désormais l’espace démocratique, estime le philosophe Pierre Charbonnier. Les régimes autoritaires qui émergent ne se constituent-ils pas en appui à l’accumulation de richesses par quelques-uns au prix de la dilapidation des ressources de tous ? Face à cette destructrice « utopie du marché », les progrès politiques viendront du contre-mouvement social. Entretien réalisé en partenariat avec l’hebdomadaire Politis.
    ____________________

    À propos de : Frank Georgi, L’Autogestion en chantier. Les gauches françaises et le « modèle yougoslave » (1948-1981), Nancy, L’Arbre bleu.

    Introduit en Yougoslavie en 1949, le principe de l’autogestion dans les entreprises a fasciné de larges pans de la gauche française jusqu’à la fin des années 1970. Cet enthousiasme, nourri par des échanges et des voyages, n’a pas résisté à l’étatisme et au centralisme français.

    Le rapport au modèle soviétique, pour les gauches françaises, est un sujet aussi connu que documenté, tant il a accompagné une grande partie de celles-ci tout au long du XXe siècle

    . D’autres expériences (castriste, maoïste) ont pu fasciner des secteurs – au demeurant limités – de ces forces politiques, et de manière intermittente. Aujourd’hui oublié (le pays a même disparu), un autre modèle a interrogé, voire attiré les gauches françaises : l’autogestion yougoslave.

    Depuis la fin des années 1940 jusqu’à l’arrivée de François Mitterrand au pouvoir, l’expérience menée par Tito n’a pas peu suscité une riche gamme de réactions, de l’enthousiasme au rejet véhément. C’est à ce dossier que s’attelle Frank Georgi, historien spécialiste des mouvements sociaux contemporains, dans un ouvrage tiré d’une HDR soutenue en 2017.
    __________________

    Reporterre - L’écologie ne peut qu’être politique et radicale

    Critique du capitalisme, de la rationalité économique devenue envahissante, réflexion novatrice sur les conséquences des « métamorphoses du travail »… Dans « Fonder l’écologie politique », Robert Chevanier revient sur l’œuvre d’André Gorz.

    • Présentation du livre par son éditeur :

    Parti d’une philosophie du sujet d’inspiration phénoménologique, suivie d’une tentative de refondation du marxisme, André Gorz (1923-2007) devait rencontrer le mouvement écologiste. L’écologie, cependant, ne peut qu’être politique, plus radicale que celle qui est défendue par les courants qui entendent se limiter à la protection de la nature. L’écologie politique naît d’une protestation spontanée contre la destruction de la « culture du quotidien » qui constitue notre milieu de vie.
    ____________________

    L'Obs - TRIBUNE. Jean-Luc Mélenchon : « La créolisation n’est pas un projet ou un programme, c’est un fait »

    Le leader de La France insoumise s’inspire du concept du penseur Edouard Glissant pour proposer « le chaînon manquant entre l’universalisme et la réalité vécue qui le dément ».

    « Créolisation ». Un mot dans mon discours sur la République a fait parler. Je laisse de côté la poignée de sots pour qui ce fut une nouvelle occasion d’essayer de me faire endosser la camisole de force de leurs hantises identitaires. Ainsi de madame Saporta. Son ignorance crasse éclata quand elle affirma que le concept de créolisation renvoyait aux « origines » de chacun. Elle ignore donc ce que veut dire ce mot depuis qu’Edouard Glissant l’a mis en scène. Commençons donc par lire ce qu’en disait Edouard Glissant en 2005 dans une interview au journal « le Monde »
    ______________________

    Le Figaro - Jean-Luc Mélenchon nous répond: «Notre futur n’est pas un passé toujours recommencé»

    FIGAROVOX/TRIBUNE - Le leader de la France Insoumise a souhaité répondre, en termes civils et argumentés, à la tribune de Raphaël Doan, normalien et agrégé de lettres, que nous avons publiée le 29 septembre, intitulée ‘‘«Créolisation» contre «assimilation»: où est le véritable universalisme?’’.

    J’ai emprunté le concept de «créolisation» à la philosophie poétique d’Edouard Glissant. Cela fait débat. Tant mieux. J’ai lu la tribune publiée par Raphaël Doan sur Le Figaro Vox. Son propos me contredit radicalement. Il le fait avec l’élégance d’un raisonnement documenté. Et il reconnait que je ne suis pas partisan du communautarisme.
    _________________

    Non Fiction - Castoriadis : l’actualité d’une pensée radicale

    Cette superbe édition des écrits politiques de Castoriadis pose la question de l’actualité, voire de l’urgence, d’une pensée à la fois radicale et réaliste.

    Avec ces deux volumes, les éditions du Sandre achèvent la publication des Ecrits politiques de Cornelius Castoriadis. C’est là un travail tout à fait remarquable dans lequel peu d’éditeurs sont aujourd’hui disposés à s’engager. L’ensemble comprend 8 volumes, superbement imprimés et reliés, et près de 5 000 pages de textes s’échelonnant sur près d’un demi-siècle, de l’après-guerre au milieu des années 1990.

  • Le Figaro - Congrès du PS : Hélène Geoffroy va faire face à Olivier Faure

    La maire socialiste de Vaulx-en-Velin souhaite s'opposer à la «stratégie d'effacement du PS» de l'actuel premier secrétaire du parti.

    L'hiver sera chaud chez les socialistes... Selon une information révélée mercredi par L'Obs , la maire socialiste de Vaulx-en-Velin (Rhône), Hélène Geoffroy, va tenter de briguer le premier secrétariat du parti face à Olivier Faure lors du congrès prévu pour les 12 et 13 décembre prochains à Villeurbanne. «Je veux m'opposer à la stratégie d'effacement du PS. Nous ne devons pas nous dissoudre. Je ne suis pas là pour organiser une écurie présidentielle, je veux débattre», a-t-elle revendiqué auprès de l'hebdomadaire.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • PS - Notre plan B pour éviter le retour des néonicotinoïdes - Intervention de Dominique Potier

  • PS - Le grand débat | Sommes-nous entrés dans une société de marché ?

    Animation : Maxime des Gayets, secrétaire national PS aux grandes transitions, président du groupe des élus socialistes et apparentés au conseil régional d'Île-de-France

  • Fondation Jean Jaurès - Grand entretien avec François Hollande : la gauche et le pouvoir le 10 à 11h30

    Que nous apprennent les débats qui ont traversé la gauche lorsqu'elle a exercé le pouvoir ? Quelles leçons tirer des expériences précédentes ? François Hollande, ancien président de la République de 2012 à 2017, échange avec Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, dans le cadre des 23e Rendez-vous de l'histoire de Blois, dont le thème en 2020 est « gouvern

  • Laurent FABIUS : "Le réchauffement climatique est bien pire que la COVID"