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municipales - Page 2

  • La Vie des idées - Le PS bouge encore

    Anatomie d’une transformation partisane

    À quelques jours du second tour des municipales, que reste-t-il du parti qui domina à gauche pendant une quarantaine d’années, jusqu’à 2017 ? Au-delà de l’extinction de ses ressources, cet article propose de considérer les transformations du parti à l’aune de sa culture organisationnelle.

    « Les partis meurent longtemps », soulignait M. Offerlé (Le Monde, 31 mai 2017), surtout les plus puissants ; leurs modalités de survie ou de recomposition sont multiples. À la tribune du Conseil national du Parti socialiste (PS) le 1er février 2020, son Premier Secrétaire Olivier Faure a lancé la campagne des élections municipales en appelant à en faire un « moment de renaissance » pour son parti, reconnaissant ainsi implicitement que celui-ci était moribond.

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  • Basta - Derrière la victoire attendue des écologistes à Lyon, l’espoir encore fragile d’un véritable renouveau

    Donnée favorite, la liste écologiste, désormais alliée à d’autres formations de gauche, pourrait faire coup double à Lyon, et remporter à la fois la mairie et la Métropole. Le plus dur restera encore à venir, tant certains aspects du programme demeurent imprécis et les alliances fragiles. Reportage.

    En l’espace de quelques jours, Yasmine Bouagga est devenue un symbole pour les écologistes lyonnais. Un symbole de victoire, notamment, puisque la sienne est d’ores et déjà acquise : à la tête de la seule liste se présentant dans le premier arrondissement de Lyon pour le second tour des élections municipales, Yasmine Bouagga est donc assurée d’en devenir la prochaine maire, sous l’étiquette EELV. Une victoire lourde de sens, dans ce quartier historiquement acquis à la gauche, nourri de traditions contestataires et d’imaginaires alternatifs. C’est ici, au cœur de ces célèbres pentes aux couleurs pastel, que sont nées les premières coopératives au 19ème siècle, que s’est activée la résistance pendant la seconde guerre mondiale et qu’ont prospéré diverses expériences post-soixante-huitardes.

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  • Hémisphère Gauche - Perspectives pour le 2ème tour des municipales : prime au sortant, relatéralisation par le local et pas de déferlante verte

    À la veille du 1er tour des municipales, nous avions publié un panorama de la situation politique dans les principales métropoles du pays. Si les pistes définies dans cette analyse se sont trouvées confirmées par le vote du 15 mars, les effets de la crise sanitaire sur le scrutin et le climat d’ensemble ne peuvent être négligés. Il convient néanmoins de nuancer leurs effets en terme de renversements d’équilibres. Prime aux sortants, évolution de l’abstention : les principaux enseignements du 1er tour sont en grande partie connus. Mais si cette abstention a été largement commentée, elle est inégale sur le territoire. Comme le remarque Hervé Le Bras, « la hausse de l’abstention est plus faible que la moyenne et que leur environnement dans une majorité de grandes villes : 15,6 % à Toulouse, 14,8 % à Lille, 15,8 % à Nantes, 17,7 % à Strasbourg, 10,2 % à Grenoble, 14 % à Paris. ». La prime aux sortants est quant à elle bien réelle et laisse entrevoir une possible relatéralisation du champs politique, bien que les réalités locales témoignent d’un affaiblissement des partis politiques nationaux. À la lumière des résultats du 1er tour et des alliances engagées, nous tentons ici, alors que les listes du second tour ont toutes été formellement déposées le 2 juin, de dresser un panorama des forces politiques en présence dans les grandes villes de France et d’en dégager les grandes tendances.

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  • Regards - F. Sawicki :« Ces élections municipales traduisent le faible ancrage territorial de LFI, LREM et du RN »

    Quels enseignements tirer du premier tour des élections municipales et du second qui se prépare ? Qui va tirer son épingle du jeu ? La gauche éclatée par endroits, réunie par d'autres ? LR qui va sûrement conserver sa majorité de mairies ? On en parle avec Frédéric Sawicki, professeur de science politique à Paris I Panthéon-Sorbonne.

  • Libé - Municipales : à gauche, «s’unir permet de recréer du clivage»

    Pour la politologue Virginie Martin, le rassemblement est nécessaire afin de pouvoir peser lors de l’élection présidentielle.

    La gauche peut-elle reconquérir le pouvoir en passant par le bas ?

    C’est sa seule chance. Emmanuel Macron se fout complètement de l’ancrage territorial. Là-dessus, LREM est un échec complet, la gauche a donc une carte à jouer. Mais pour cela, il faut qu’elle s’unisse, car aucune force ne peut prendre le leadership et entraîner derrière elle les électeurs. Comme après la guerre froide, on est passé d’un monde bipolaire à un monde multipolaire, avec Emmanuel Macron le paysage politique à gauche est devenu multipolaire…

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  • Le Figaro - Municipales à Marseille : le candidat EELV se retire et rejoint le Printemps marseillais

    Le cartel de gauche, qui rassemble des socialistes, des communistes et des Insoumis derrière l'écologiste Michèle Rubirola, était arrivé en tête du premier tour le 15 mars dernier.

    La campagne reprend peu à peu ses droits... Et elle réserve son lot de surprises et de rebondissements. Alors que les municipales ont été suspendues au lendemain du premier tour face à l'ampleur de la crise du coronavirus, l'hypothèse d'un second tour au mois de juin circule de nouveau avec insistance. En attendant le rapport du Conseil scientifique - qui dévoilera cette semaine ses recommandations sur l'organisation du scrutin -, l'exécutif observe avec attention l'évolution de la situation sanitaire, qui semble continuer de s'améliorer jour après jour.

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  • Municipales: l'hypothèse d'un second tour en juin resurgit

    Paris (AFP) - Avec le déconfinement, l'hypothèse de la tenue fin juin du second tour des élections municipales refait surface, mais le gouvernement reste prudent et s'en remet à l'avis du Conseil scientifique qui doit dire d'ici le 23 mai si les conditions sanitaires sont réunies.

    L'enjeu est celui de la relance économique en sortie de crise du coronavirus, pour laquelle les communes auront un rôle central.

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  • Libé - Municipales : à gauche, oui ou non à l’union ?

    Des socialistes moins hégémoniques depuis 2017, des insoumis moins sûrs d’eux après la claque des européennes, des écologistes qui cognent un peu moins sur leurs concurrents… Mais toujours des egos, des rancœurs et des ambitions. La gauche peut-elle s’entendre pour rebondir aux élections de mars ?

    Une sorte de marronnier. La question se pose inlassablement à chaque fois qu’une élection pointe son nez : la gauche va-t-elle s’unir ? Les municipales approchent et la réponse reste en suspens. Les tractations se multiplient entre les chefs de famille et les concernés dans les grandes et petites villes. Chaque patelin a sa vérité. Parfois, la gauche se parle et s’allie. D’autres fois, elle s’affronte et s’abîme. Premier constat à cinq mois du scrutin : la dynamique n’est pas folle.

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  • La Nouvelle République - André Laignel : un manifeste pour les municipales

    Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a demandé au maire d’Issoudun de réfléchir à une stratégie pour les municipales de 2020. Un enjeu pour la reconquête du pouvoir.

    Interview :
    Emmanuel Bédu
    Premier vice-président de l’Association des maires de France, président du comité des finances locales, maire d’Issoudun et maintenant chargé de la stratégie nationale des élections municipales de 2020. A l’heure du non-cumul des mandats, vous n’êtes pas en phase ?

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  • Europe 1 - Municipales : La République en marche lance déjà l'assaut contre les mairies PS

    Selon des informations d'Europe 1, le mouvement d'Emmanuel Macron a déjà identifié les villes à prendre lors des municipales de 2020 et celles avec lesquelles il peut envisager une alliance avec les majorités sortantes. Les bastions PS, en particulier, font partie de la première catégorie.

    C'est une situation inédite : le parti présidentiel ne compte aucune mairie issue des élections de 2014*, pour la simple raison qu'il n'existait pas encore à cette époque. Aussi, les deux années à venir jusqu'aux municipales de 2020 ne seront pas de trop à La République en marche pour se préparer. C'est ce que révèle Europe 1 jeudi : à partir des premiers objectifs fixés par la formation, la radio a réalisé une carte de France des villes dites "compatibles" de celles qu'il faudra aller conquérir.

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  • L'actualité des socialistes du 31 mars au 5 avril (mise à jour)

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    Le Monde - Hollande-Valls, l'histoire secrète du remaniement

    Depuis quand le président a-t-il compris qu’il y avait quelque chose de dysfonctionnel dans le couple qu’il formait avec Jean-Marc Ayrault ? « En réalité, il a tranché depuis très longtemps, assure un intime. Depuis la fin de l’été 2012, il sait que cela ne marche pas. » Il aura pourtant fallu patienter jusqu’à la dernière minute de la dernière réunion pour que M. Hollande, après avoir laissé pendant des mois planer un anxiogène suspense, signifie à Manuel Valls qu’il le nommait premier ministre. Et encore le président ne l’a-t-il pas complètement verbalisé. En mai 2012, il le lui avait annoncé sans ambages, en tête à tête : « Tu seras le ministre de l’intérieur. » Cette fois, il est resté plus sibyllin : « Jean-Marc Ayrault m’a adressé sa lettre de démission. »

    5 et 6 avril

    Le Monde - Cent députés PS en colère réclament un « contrat de majorité »

    Ils considèrent que plus rien ne doit jamais être comme avant. Selon nos informations, près de cent députés socialistes – soit un tiers du groupe à l'Assemblée nationale – ont signé une lettre, que Le Monde et BFM TV se sont procurés, réclamant un « contrat de majorité » avec le nouveau gouvernement. La liste définitive des signataires devrait être connue ce week-end, avant le discours de politique générale de Manuel Valls et le vote de confiance à son gouvernement, mardi 8 avril.

    Le Nouvel Obs - Vote de confiance : 100 députés PS posent leurs conditions

    Près de cent députés socialiste en colère ont signé une lettre réclamant un "contrat de majorité" avec le nouveau gouvernement, juste avant le discours de politique générale de Manuel Valls mardi.

    Le Monde - Comment Hollande et Valls ont défini leur plan de bataille

    Le remaniement a poursuivi François Hollande jusqu'à Bruxelles. Le président n'a pu profiter de l'entrée servie au dîner des chefs d'Etat et de gouvernement réunis pour le sommet Union européenne-Afrique, mercredi 2 avril : il suivait en direct la première prestation télévisée de Manuel Valls, à 20 heures sur TF1.

    Le Monde - L'urgence d'une refondation du Parti socialiste

    Henri Emmanuelli aime le parler dru. A 68 ans, l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste – de juin 1994 à octobre 1995 –, auquel il a adhéré dès 1971, a perdu de l'influence, mais il cultive son image de sage un peu « archaïque ». La déroute historique du PS aux élections municipales l'a conduit à assener un véritable coup de semonce. « Le PS n'existe plus, a martelé le député et président du conseil général des Landes, jeudi 3 avril, à Mediapart. Ni à l'attaque ni en défense. » Il est devenu, enchaîne-t-il, « un parc à moutons » en état de « coma profond ».

    Le Monde - Le ministère « voiture-balai » de Najat Vallaud-Belkacem

    Un « ministère fourre-tout » ou une mission inspirée de Léo Lagrange, secrétaire d'Etat aux sports et aux loisirs du Front populaire ? L'étendue du portefeuille de Najat Vallaud-Belkacem, promue ministre des droits des femmes, de la ville, de la jeunesse et des sports n'a pas manqué d'interroger les acteurs des quatre domaines concernés. Est-ce le signe d'une promotion pour la jeune et brillante ex-porte-parole du gouvernement Ayrault ? Ou un ministère sans cohérence dans lequel sont rassemblés tous les dossiers sensibles mais sur lesquels le gouvernement ne compte pas faire grand-chose ?

    Le Nouvel Obs - Ce que Valls a vraiment proposé aux écolos

    Nucléaire, EPR, gaz de schiste, OGM, décentralisation… Voici comment le Premier ministre a tenté de convaincre EELV.

    Le Monde - Valls-Montebourg-Hamon : le pacte des ambitieux

    C'est l'histoire d'un trio qui ne fait plus qu'un. Depuis mercredi 2 avril, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont deux des poids lourds – le premier comme copatron de Bercy, le second à la tête du ministère de l'éducation nationale – du gouvernement d'un troisième, Manuel Valls. S'il peut paraître détonant, vu le parcours de chacun, ce ménage à trois n'est pas une surprise au regard des rapprochements tissés au fil des derniers mois

    4 avril

    Libé - Le PS est dans un état de «coma profond» pour Emmanuelli

    Le député et ex-premier secrétaire du parti appelle à un congrès extraordinaire ou à la démission d'Harlem Désir.

    Le député socialiste Henri Emmanuelli a appelé à la tenue d’un congrès extraordinaire du Parti socialiste ou à une démission de son premier secrétaire, Harlem Désir, estimant dans une interview à Mediapart diffusée jeudi que ce parti, «parc à moutons», était plongé dans un état de «coma profond».

    L'Humanité - Crise politique et maintenant? On n’a jamais redressé un pays dans l’austérité

    Par Christian Paul, député PS de la Nièvre, représentant de la Gauche durable. Le 30 mars, la gauche a subi une des pires déroutes électorales de son histoire sur fond d’abstention massive. Avec la crise politique qui touche droite et gauche, et le poids menaçant de l’extrême droite, quelles réponses apporter à cette coupure profonde avec les Français ? Et pour la gauche, où sont les alternatives ? L’Humanité ouvre d’urgence le débat.

    Libé - Ségolène Royal souhaite «remettre à plat» l'écotaxe

    La nouvelle ministre de l'Ecologie a indiqué n'être pas favorable à une «écologie punitive» assortie de taxes qui frapperaient ceux qui n'ont pas accès à des transports propres.

    Le Figaro - Avec Moscovici à Bruxelles, le PS pourrait perdre la majorité absolue à l'Assemblée

    Le député du Doubs serait obligé de remettre en jeu son mandat lors d'une législative partielle risquée pour le PS. En cas de défaite, le Parti radical de gauche deviendrait indispensable au Parti socialiste à l'Assemblée.

    Libé - Des députés PS et écolos proposent une loi sur la famille

    Après le report de la loi Bertinotti sur la famille, des élus ont déposé une proposition de loi en reprenant le contenu.

    Une proposition de loi PS-écologistes concernant «l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant» a été déposée à l’Assemblée nationale, traduction de la promesse de textes spécifiques faite après le report sine die du projet de loi Bertinotti.

    Le Point - Lyon : le torchon brûle entre les Verts et l'exécutif

    Les membres d'EELV, élus sur les listes PS, ne participeront pas à l'exécutif faute d'avoir trouvé un accord avec le maire de la ville Gérard Collomb.

    Les Echos - La France veut négocier le rythme de réduction des déficits, affirme Michel Sapin

    Selon Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics, "le rythme" de réduction du déficit public sera "discuté" à Bruxelles, car il est dans "l'intérêt commun de l'Europe de trouver le bon rythme".

    Libé - A la télé, Manuel Valls joue la carte de la loyauté

    Pour sa première intervention télévisée en tant que Premier ministre, Manuel Valls a évoqué avec déférence le président Hollande et a insisté sur le besoin de justice dans la société française.

    Les Echos - Quand Valls reçoit Pigasse, le banquier qui pourfend l’amateurisme de la « présidence normale »

    Le banquier d’affaires et patron de presse Matthieu Pigasse, ancien conseiller de DSK, a été reçu par Manuel Valls jeudi. L’économiste, qui éreinte dans son dernier livre la politique menée par François Hollande, plaide pour des réformes structurelles associées à une relance économique à l’italienne...

    Les Echos - Sondage : pas d’état de grâce pour Manuel Valls

    Selon le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique, 41% seulement des Français font « confiance » à Manuel Valls pour « résoudre les problèmes ». Un niveau très bas. 47% ne lui font pas confiance.

    Le Monde - Védrine torpille les illusions françaises

    Pays en état dépressif mais aux atouts substantiels. Puissance moyenne confirmée mais sur le déclin. Economie largement mondialisée mais victime de blocages structurels et psychologiques. Personnalité collective encline à entretenir des illusions, sur elle-même et sur le monde, victime d'un système politico-médiatique narcissique et hostile au changement. Ce diagnostic porté sur la France, sans complaisance mais sans catastrophisme, est signé Hubert Védrine.

    Slate, Laurent Bouvet - L'équation Manuel Valls, ou la nouvelle bataille des deux gauches

    Par son réformisme en matière économique comme son républicanisme sur le plan des valeurs et de l’ordre, Manuel Valls incarne une synthèse nouvelle de la gauche qui s'oppose terme à terme à celle défendue par Christiane Taubira, EELV ou l'aile gauche du PS. Mais les deux mouvances sont condamnées à s'unir pour accéder au pouvoir.

    Huffington Post - Anciens ministres : les pouvoirs sont passés, que vont-ils devenir?

    Ministres, ils ne le sont plus. Par choix personnel ou parce que François Hollande et Manuel Valls l'ont décidé, ils sont une petite dizaine -sur 20 membres de l'équipe Ayrault- à ne pas avoir intégré le gouvernement resserré annoncé mercredi matin. Depuis, ils ont passé les pouvoirs aux nouveaux ministres, au cours de cérémonies souvent convenues où ils ont loué leur bilan et adressé leurs encouragements à leur successeur.

    3 avril

    Le Monde - Royal, Montebourg, Hamon... l'équation risquée de Manuel Valls

    Au lendemain de la passation de pouvoir à Matignon entre Jean-Marc Ayrault et le nouveau premier ministre, Manuel Valls, la composition du gouvernement a été annoncée par le secrétaire général de l'Elysée, Pierre-René Lemas, mercredi matin. Seuls les ministres de plein exercice ont été donnés, il faudra attendre la semaine prochaine pour connaître les secrétaires d'Etat.

    Le Monde - L'éducation, un « short » ministériel taille XL pour Benoît Hamon

    Ces derniers mois, Benoît Hamon s'estimait à l'étroit au ministère délégué à l'économie sociale et solidaire et à la consommation. « Il trouve que Hollande lui a donné un short trop petit dans l'équipe du gouvernement », plaisantait un cadre socialiste. En privé, ce quadra, fan de rugby, hésitait entre trois futurs possibles: soit un «short» ministériel taillé plus grand, soit la tête du PS, soit briguer la présidence de la région Ile-de-France en 2015. Ce sera donc le «short» taille XL.

    Le Monde - La revanche de Ségolène Royal

    Ségolène Royal, ministre de François Hollande. Comment ne pas sourire ? Comment ne pas penser à tout ce qu'a d'extraordinaire une telle situation ? En entendant Pierre-René Lemas, le secrétaire général de l'Elysée, annoncer mercredi 2 avril que « Madame Ségolène Royal » était nommée « ministre de l'écologie », il était évidemment impossible de rester impassible.

    Libé- Cambadélis (PS): Manuel Valls ne sera pas «le droitier de service»

    Le député et secrétaire national du PS Jean-Christophe Cambadélis a jugé mardi qu’il existait «une confusion» au sujet de Manuel Valls, qui ne sera pas «le droitier de service» mais a été nommé à Matignon pour «mettre en mouvement la feuille de route de François Hollande».

    2 avril

    Libé - Valls à Matignon : de nouveaux espaces pour «l'opposition de gauche» ?

    Très remontée vis-à-vis du nouveau Premier ministre, la gauche radicale espère rallier les mécontents dans la rue le 12 avril – et pourquoi pas s'entendre avec les écologistes, si ceux-ci quittent l'exécutif

    Le Nouvel Obs, Laurent Joffrin - Valls est-il trop à droite ?

    Le nouveau Premier ministre, au profil jugé "droitier", correspond à la demande des Français exprimée dans les urnes. Encore faut-il qu'il obtienne des résultats.

    Le Nouvel Obs, Renaud Dély - Manuel Valls, l'évidence

    Comme souvent, ce n’est pas le président de la République qui choisit le nouveau Premier ministre. C’est la situation politique qui le lui impose.

    Le Nouvel Obs - Ces chantiers qui attendent le gouvernement Valls

    Economie, chômage, énergie, éducation... Les chantiers qui attendent le nouveau Premier ministre Manuel Valls s'annoncent difficiles.

    Le Nouvel Obs - Le non de EELV à Valls : "C’est de la folie !"

    "Il y a une fracture énorme entre les parlementaires et les instances dirigeantes du parti", fait savoir François-Michel Lambert, député EELV qui, lui, "veut gouverner". Interview.

    Le Huffington Post, Julien Dray - 1977 à l'envers...

    Les urnes ont parlé et, comme toujours en pareille circonstance, on aurait tort de se focaliser sur le seul Front National. On a d'ailleurs tort de succomber à la fascination, tort de s'en remettre aux seuls anathèmes et à des discours incantatoires. Le FN obtient des victoires dans plusieurs communes, comme Hayange, Hénin-Beaumont, Fréjus et a soutenu la victoire de Robert Ménard à Béziers... Ce sont des faits, mais il faut savoir les comprendre rationnellement. Au-delà de ces quelques très emblématiques communes, c'est le bleu horizon des listes UMP, UDI, DVD qui a coloré la carte de notre pays et c'est cela la leçon première à tirer de ces élections.

    Le Nouvel Obs + - Choisir Valls est une provocation : militant PS, je me trouve désormais dans l'opposition

    LE PLUS. François Hollande a fini par trancher. Fragilisé par la claque reçue par le PS lors des élections municipales, le président de la République a choisi de changer de Premier ministre : Jean-Marc Ayrault s'en va et c'est Manuel Valls qui le remplace à Matignon. Une nomination qui est loin de réjouir notre contributeur Roland Greuzat, militant socialiste proche de la gauche du parti.

    RTL - Remaniement ministériel : les guerriers de Manuel Valls seront avant tout "hollandais"

    DÉCRYPTAGE - Depuis sa nomination, Manuel Valls est est à la manœuvre pour composer son gouvernement, dont les membres seront annoncés mercredi dans la matinée.

    Les Echos - Valls aurait proposé aux Verts un grand ministère de l'Ecologie

    Pour convaincre les Verts de participer à son gouvernement, Manuel Valls leur aurait proposé un grand ministère de l'Ecologie. Il se serait également engagé sur trois thèmes  : la transition énergétique, la décentralisation et la justice sociale.

    Lyon Capitale - Bret engage le bras de fer avec Collomb

    Jean-Paul Bret annonce, ce mardi, qu'il veut monter avec les socialistes de Villeurbanne son propre groupe politique. Il se démarque de Gérard Collomb, engageant ainsi un rapport de force. Le maire réélu avec 45% des voix veut récupérer plus de projets et de financements pour sa commune. Pour lui, "la métropole doit être moins polarisée" sur Lyon.

    Libé - Seine-Saint-Denis : de la ceinture rouge à la vague bleue

    Malgré la conquête de Montreuil et d'Aubervilliers, l'emprise communiste a encore reculé dans le département francilien, principalement au bénéfice de la droite, qui y détient désormais plus de communes que la gauche.

    Libé - Les syndicats inquiets face à la feuille de route donnée à Valls

    Changement de cap ou continuité ? Mardi, plusieurs syndicats ont fait part de leur perplexité au regard des instructions données par François Hollande à son nouveau Premier ministre.

    Rue 89 - Grand Lyon : comment Gérard Collomb peut résister à la vague bleue

    Maire de Lyon, ce n’est finalement qu’une étape dans la conquête du pouvoir sur le grand territoire lyonnais. Après l’hécatombe de la gauche qui a vu plusieurs de ses villes basculer à droite dans le Grand Lyon, le socialiste Gérard Collomb va devoir batailler pour conserver la présidence de la communauté urbaine, future Métropole.

    Le Nouvel Obs - Ce qu'il faut retenir de l'intervention de Hollande

    VIDEO. Manuel Valls est nommé Premier ministre. Le président annonce un pacte de solidarité pour redonner du pouvoir d'achat aux Français.

    Le Monde - Hollande nomme Valls à Matignon et promet des baisses d'impôts

    Le chef de l'Etat a confirmé lundi 31 mars qu'il avait confié à Manuel Valls la mission de « conduire le gouvernement de la France ». Une triple mission lui incombe, a indiqué le chef de l'Etat lors d'une allocution télévisée diffusée à 20 heures : relancer l'économie, garantir la justice sociale et créer le rassemblement.

    1er avril

    Libé - Manuel Valls, une ascension depuis l'Intérieur

    CHRONO Manuel Valls a été nommé lundi soir Premier ministre, après la démission de Jean-Marc Ayrault. Retour sur ses deux années Place Beauvau

    Libé - Presque deux ans de gouvernement Ayrault

    BILAN Légalisation du mariage gay, efforts budgétaires dans un contexte économique tendu, chômage record et aussi quelques couacs. Que retenir des gouvernements dirigés par Jean-Marc Ayrault depuis le 15 mai 2012 ?

    Le JDD - Hollande s’en remet à Valls pour sauver son quinquennat

    ANALYSE - Au terme d’une folle journée émaillée de rumeurs, tensions et même chantage, le chef de l’Etat a fini par trancher en remerciant Jean-Marc Ayrault et nommant Manuel Valls à sa place. Un coup de Poker du Président contraint de tirer les leçons d’une claque monumentale aux municipales. Après vingt-deux mois à l’Elysée, François Hollande joue la suite de son mandat à quitte ou double.

    Slate - La nomination de Valls à Matignon va-t-elle faire perdre la majorité absolue au PS?

    «Pour gouverner, il faut une majorité nette» à l'Assemblée nationale. Alors encore directeur de la communication du tout fraîchement élu président François Hollande, Manuel Valls appelait le 7 mai 2012 les électeurs à se mobiliser en vue des législatives.

    Le JDD - Le remaniement, c'est quand?

    François Hollande a confié le soin à Manuel Valls de former un gouvernement « resserré » et « de combat ». Le calendrier du remaniement reste quant à lui inconnu.

    Lundi soir, une seule information était certaine quant au remaniement : Manuel Valls remplace Jean-Marc Ayrault à Matignon, à la tête d’un "gouvernement de combat" et "resserré", conformément aux vœux de François Hollande. Combien de ministres composeront cette future équipe, et surtout, quand sa composition sera-t-elle annoncée? Le chef de l’Etat ne l’a pas indiqué.

    France Info - Le PS rassuré par le nouveau cap de Hollande

    REACTIONS | Le "gouvernement de combat" tel qu'il a été décidé par le chef de l'Etat devra appuyer sur trois leviers : l'économie relancée, la justice sociale renforcée et le pouvoir d'achat privilégié.  Message clair, dit-on au PS. Les Verts laissent planer le doute sur leur présence dans la nouvelle équipe. A l'UMP, Jean-François Copé n'a pas entendu de "changement de cap". Marine Le Pen au FN voit Manuel Valls en "homme dangereux."

    France Info - Manuel Valls : l'aile droite de la gauche entre à Matignon

    Manuel Valls a été désigné par François Hollande pour succéder à Jean-Marc Ayrault. Le nouveau Premier ministre devrait rapidement prendre ses fonctions et composer son gouvernement. Itinéraire de l'ascension politique, de la faculté de Tolbiac à Matignon, de celui que l'on présente souvent comme le "Sarkozy de gauche"

    Europe 1 - Le jour où Matignon a valsé

    COULISSES - Jean-Marc Ayrault est remplacé par Manuel Valls à Matignon. Retour sur un lundi peu ordinaire.

    Un dernier pied de nez. La nouvelle est tombée un communiqué de Matignon, peu avant 18h ce lundi. Fait inédit, Jean-Marc Ayrault a tenu à annoncer lui-même sa démission et celle de son gouvernement, court-circuitant l'Elysée qui avait prévu de le faire. Et dans un ultime défi, le Premier ministre a fait porter sa lettre de démission par son chef de cabinet sans la présenter directement à François Hollande, comme le veut pourtant l'usage de la Ve République. Quelques minutes plus tard, le nom de Manuel Valls bruissait dans tous les médias avant d'être annoncé officiellement par le président en personne, lors d'une allocution télévisée de quelques minutes, enregistrée à l'Elysée et diffusée lundi à 20h.

    Le Nouvel Obs - Manuel Valls, l'évidence

    Comme souvent, ce n’est pas le président de la République qui choisit le nouveau Premier ministre. C’est la situation politique qui le lui impose.

    Le Monde - Manuel Valls, un ambitieux à Matignon

    Ce sera donc Manuel Valls. Après des semaines de spéculations, qui avaient vu la liste des prétendants crédibles pour Matignon se réduire à son nom et à celui de Jean-Marc Ayrault, après plusieurs jours d'un intense rapport de force entre les deux hommes et quelques heures qui ont vu, dans la foulée de la sévère défaite reçue aux municipales, ministres et conseillers friser la crise de nerfs, la nomination de M. Valls au poste de premier ministre a été confirmée, lundi 31 mars.

    Les Echos - DIRECT François Hollande s'adressera aux Français ce soir à 20H

    + VIDEOS - La vague bleue des municipales accélère le calendrier du remaniement. Le président de la République s'adressera ce soir à 20H aux Français lors d'une allocution télévisée. Ce lundi matin, le président s'est longuement entretenu avec son Premier ministre et leur déjeuner a ensuite été annulé.

    La Croix - Limoges, symbole de la déroute du PS aux municipales

    Bastion historique du PS depuis un siècle, la préfecture de Haute-Vienne a été remportée dimanche 30 mars par Emile-Roger Lombertie (UMP). L’une des plus belles victoires de la droite.

    Le Monde - Nuit de défaite pour le « socialisme municipal »

    Ce sont de grosses larmes, lourdes et chaudes, qui, dimanche soir, ont coulé dans les mairies socialistes de France. Des larmes que, comme la maire défaite de Reims, Adeline Hazan – une femme qui pourtant « ne pleure pas facilement » – l'on a séchées à l'écart, mais pas tout le temps. A Palaiseau (Essonne), Roubaix, Tourcoing (Nord), Toulouse, et dans tant d'autres salles de conseil municipal en France, des milliers de militants épuisés, de personnels administratifs sonnés et bientôt désoeuvrés, mais aussi d'édiles sidérés ont inauguré leur soirée du 30 mars en sanglotant. Un gros chagrin. Les larmes du « socialisme municipal ».

    Le Point - Municipales 2014 : changement de cap ou de méthode ? Les socialistes se divisent.

    La fronde monte dans les rangs socialistes, où percent les clivages entre partisans d'un coup de barre à gauche et ceux qui dénoncent un "problème de méthode"

    Libé - Municipales : "Ce vote est un rejet du pouvoir socialiste"

    Pour le politologue Gérard Grunberg, la défaite du PS marque l'usure du socialisme municipal et peut entraîner une crise politique majeure. Interview.

    Libé - «La confiance au gouvernement, cela se mérite»

    INTERVIEW Des parlementaires PS se réunissent ce soir pour plancher sur une politique alternative. Parmi eux, le le député Christian Paul, sévère sur les deux premières années du quinquennat

    Libé - François, remanie-toi d’abord !

    Allez, c’est reparti comme en 14 ! Ayrault contre Valls, Valls contre Ayrault. Voilà une bonne guerre, façon naguère, pas vrai ? Avec Hollande en Dieu le père à la ligne Maginot enfoncée, ou plutôt en sous-Kaiser à casque sans pointe, qui va finir par décider qui il mettra dans la tranchée, qui en bandes molletières et qui en tenue bleu horizon.

    Le Monde - L'avertissement de l'aile gauche du PS à Hollande

    L'aile gauche du Parti socialiste n'a pas tardé à réagir. Dès les résultats du second tour des élections municipales connus, le courant socialiste « Maintenant la gauche » dirigé par le conseiller régional d'Ile-de-France Emmanuel Maurel, la sénatrice de Paris Marie-Noëlle Lienemann et le député de l'Essonne Jérôme Guedj, a envoyé un coup de semonce à François Hollande. Dans une « adresse » au chef de l'Etat rendue publique près après 20 heures et que s'est procurée Le Monde, ils remettent directement en cause la politique économique suivie depuis bientôt deux ans. « Le sursaut, c'est maintenant! », lancent-ils.

    La Vie - "La déroute du PS était prévisible"

    Laurent Bouvet est professeur de sciences-politiques à l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, auteur de Le sens du peuple (Gallimard, 2012). Il décrypte pour nous les résultats des municipales, alors que ceux du deuxième tour viennent de tomber.

    31 mars

    Les Echos - Majorité : des députés PS envisagent de ne pas voter la confiance au gouvernement

    Des députés socialistes se réunissent demain pour réclamer à François Hollande un changement de politique après des municipales mauvaises pour la gauche. Certains menacent de ne pas voter la confiance au gouvernement, issu du remaniement.

    Le Figaro - Après les municipales, la révolte gronde au Parti socialiste

    Menace sur la majorité de François Hollande. Au lendemain de la défaite historique du PS lors des élections municipales, le chef de l'État se trouve confronté à une fronde au sein de son propre camp pour qu'il engage un changement de politique. Faute de quoi, plusieurs députés socialistes menacent de ne pas voter la confiance lorsque le nouveau gouvernement que compte mettre en place François Hollande se présentera devant l'Assemblée nationale. «Sans réorientation réelle de la politique de la gauche au pouvoir, notre vote de confiance au futur gouvernement n'est pas aujourd'hui acquis», a assuré dès dimanche soir la gauche populaire, mouvement du PS qui compte suffisamment de députés pour pouvoir sérieusement remettre en cause la cohésion de la majorité.

    Le Nouvel Obs - Vers un remaniement gouvernemental dès ce lundi ?

    A l'heure des résultats des municipales, la question d'un remaniement se pose. François Hollande pourrait être au journal de 20h de TF1 lundi.

    Le Figaro - Municipales 2014 : Collomb réélu pour un troisième mandat à Lyon

    Gérard Collomb va entamer son troisième mandat à Lyon. Élu pour la première fois en 2001, le sénateur maire PS de la capitale des Gaules, dont les listes ont obtenu 50,65 % des voix au second tour, a remporté dimanche soir six des neuf arrondissements de la ville (IIIe, IVe, Ve, VIIe, VIIIe et IXe), alors que son adversaire UMP, Michel Havard, dont les listes UMP-UDI ont recueilli 34,23 % des suffrages, n'a pas réussi à prendre un seul arrondissement à la gauche, ce qui était la condition sine qua non pour tenter de faire basculer la ville à droite.

    Le Nouvel Obs - Municipales : le PS coulé par la vague bleue

    VIDEOS. Les appels au sursaut d'entre-deux tours n'auront eu que très peu d'impact. Les basculements annoncés ont eu lieu, touchant jusqu'aux fiefs historiques de gauche.

    Le Monde - Municipales : le PS en déroute conserve Paris

    Pau, Reims, Saint-Etienne, Limoges, Ajaccio, Roubaix, Belfort basculent à droite. Le FN remporte la mairie à Béziers, Fréjus, Hayange, Beaucaire, Villers-Cotterêts, Le Luc, Le Pontet et Cogolin.

    Le Nouvel Obs - Municipales : ce qu'il faut retenir du second tour

    VIDEO. Déroute pour la gauche, percée du FN et abstention record : "Le Nouvel Observateur" tire les enseignements du scrutin.

    Libé - Municipales : la déroute se confirme pour le PS

    Une abstention toujours forte, de nouvelles mairies Front national, de grandes villes perdues par les socialistes : le second tour des élections municipales semble confirmer les tendances du premier.

    Une abstention toujours forte, de nouvelles mairies Front national, de grandes villes perdues par le PS : le second tour des élections municipales semble confirmer les tendances du premier. Libération synthétise ici les principaux enseignements du scrutin, et les mettra à jour tout au long de la soirée.

    Le Monde - Grenoble : les écolos arrachent la ville au PS 

    Eric Piolle, candidat EELV allié au Parti de gauche et à un collectif citoyen, a remporté la mairie, dimanche 30 mars, dans une quadrangulaire avec 40,8 % des voix.

    Le Monde - Municipales 2014 : Najat Vallaud-Belkacem reconnaît « l'impatience » des Français

    Najat Vallaud-Belkacem a reconnu dimanche sur TF1 la « dimension nationale » des résultats « décevants » de la majorité au second tour des municipales. « Nous entendons le message des électeurs ce soir, a déclaré la porte-parole du gouvernement. Il nous faut plus de clarté, renouer le dialogue sur un certain nombre de points de notre politique. »