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montebourg - Page 11

  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 décembre

    A LA UNE

    Libé - Lawrence Lessig: «On doit s’inquiéter de la manière dont Internet nourrit la polarisation»

    Les réseaux et les algorithmes cantonnent les individus à leur propre bulle d’information. Il y a urgence, selon le grand spécialiste du droit sur le Net, à construire un espace où discuter des mêmes questions politiques, base de la démocratie. Et contrer ainsi le pouvoir des nouveaux souverains (Facebook, Twitter, Google…).

    «Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. […] Ce régulateur, c’est le code.» En 2000, lorsque l’Américain Lawrence Lessig publie un article qui deviendra l’une des références de la littérature consacrée à Internet, Code Is Law («le Code fait loi»), le développement du réseau est encore porteur de toutes les utopies. Aujourd’hui, à l’heure où le code a pénétré toutes les dimensions de nos vies, et où se pose en tout domaine la question des conséquences politiques des choix technologiques, l’avertissement sonne comme une urgence. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lessig est aussi, de longue date, un fervent promoteur des «biens communs numériques» - il a créé les licences Creative Commons, qui permettent depuis quinze ans aux créateurs de partager leurs œuvres - et de l’ouverture des données publiques.

    MONTEBOURG/HAMON

    France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

    PS

    France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

    PRIMAIRE

    Le JDD - Primaire de la gauche : Bertrand Delanoë ne soutiendra personne

    INDISCRET - Betrand Delanoë a confié à ses amis qu'il ne soutiendra personne dans la primaire de la gauche. Ce qui ne l'empêche pas de juger, souvent durement, les candidats en lice.

    France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    REVENU UNIVERSEL

    Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide

    MONTEBOURG

    La Croix - Présidentielle 2017 : les 70 propositions d’Arnaud Montebourg

    Occupant une place originale au sein de la primaire du PS, l’ancien ministre de l’économie qui plaide pour une nouvelle Europe et une politique de relance de la croissance, a mis en ligne l’ensemble de ses propositions pour 2017

    Libé - Montebourg invente le «remade in France»

    L'ancien ministre de l'Economie a publié une compilation de ses 70 propositions présentées au fil de l'automne. Une façon de prouver qu'il en a plus sous le pied qu'un Manuel Valls ou un Vincent Peillon.

    La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    HAMON

    Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    Le Figaro - Cafés interdits aux femmes : accusé de déni, Hamon se justifie

    LE SCAN POLITIQUE - Invité à commenter des scènes filmées par France 2 démontrant l'absence de mixité dans certains établissements de banlieue, le candidat à la primaire a relativisé.

    C'est un reportage qui a beaucoup fait couler d'encre. Diffusé la semaine dernière sur France 2, il montre les l'absence de mixité dans certains cafés de banlieue, comme dans un établissement de Sevran (Seine-Saint-Denis). «On est à Sevran, on n'est pas à Paris. T'es dans le 93 ici. C'est des mentalités différentes, c'est comme au bled», commente le gérant du café dans le sujet.

    Muslim Post - A gauche, Benoît Hamon est-il le candidat naturel des musulmans de France ?

    Il est l’un des seuls, à gauche, à ne pas vouloir que l’Islam soit l’un des enjeux de la présidentielle. Hamon s’impose-t-il naturellement comme le candidat des musulmans de France ?

    Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

    PEILLON

    Libé - Vincent Peillon : «Je suis le candidat de la jeunesse de France»

    Sans tracts mais entouré de micros, l'ancien ministre de l'Education et candidat à la primaire à gauche était en campagne dans le XIIe arrondissement de Paris. Au marché de Daumesnil, pas de petites phrases, des poignées de main et des regards intrigués.

    REVENU UNIVERSEL

    Le Temps - «Un jour, nous nous demanderons comment nous avons pu vivre sans revenu universel de base»

    Philippe Van Parijs, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université catholique de Louvain, est à Zurich ce jeudi pour parler du revenu inconditionnel de base

    Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*

    PODEMOS

    Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

  • "Nous allons demander aux banques de financer une partie de la sortie de crise", prévient Arnaud Montebourg


    "Nous allons demander aux banques de financer... par publicsenat

  • Primaire du PS: le débat est ce soir sur Mediapart, à partir de 20h

    A-t-on envie, ou non, d'aller voter à la primaire ? Notre émission «En direct de Mediapart» accueille les mercredis 4 et 11 janvier les quatre principaux candidats à la primaire du parti socialiste et de ses satellites. Ce mercredi à partir de 20h30, Arnaud Montebourg sera face à la rédaction de Mediapart, ainsi que deux représentants de Manuel Valls qui, pour sa part, n'a pas souhaité y participer
     
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  • Arnaud Montebourg critique ses adversaires sur le revenu universel et la défiscalisation des heures supplémentaires


    Arnaud Montebourg critique ses adversaires sur... par publicsenat

  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 décembre

    A LA UNE

    Libé - Lawrence Lessig: «On doit s’inquiéter de la manière dont Internet nourrit la polarisation»

    Les réseaux et les algorithmes cantonnent les individus à leur propre bulle d’information. Il y a urgence, selon le grand spécialiste du droit sur le Net, à construire un espace où discuter des mêmes questions politiques, base de la démocratie. Et contrer ainsi le pouvoir des nouveaux souverains (Facebook, Twitter, Google…).

    «Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. […] Ce régulateur, c’est le code.» En 2000, lorsque l’Américain Lawrence Lessig publie un article qui deviendra l’une des références de la littérature consacrée à Internet, Code Is Law («le Code fait loi»), le développement du réseau est encore porteur de toutes les utopies. Aujourd’hui, à l’heure où le code a pénétré toutes les dimensions de nos vies, et où se pose en tout domaine la question des conséquences politiques des choix technologiques, l’avertissement sonne comme une urgence. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lessig est aussi, de longue date, un fervent promoteur des «biens communs numériques» - il a créé les licences Creative Commons, qui permettent depuis quinze ans aux créateurs de partager leurs œuvres - et de l’ouverture des données publiques.

    MONTEBOURG/HAMON

    France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

    PS

    France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

    PRIMAIRE

    Le JDD - Primaire de la gauche : Bertrand Delanoë ne soutiendra personne

    INDISCRET - Betrand Delanoë a confié à ses amis qu'il ne soutiendra personne dans la primaire de la gauche. Ce qui ne l'empêche pas de juger, souvent durement, les candidats en lice.

    France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    REVENU UNIVERSEL

    Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide

    MONTEBOURG

    La Croix - Présidentielle 2017 : les 70 propositions d’Arnaud Montebourg

    Occupant une place originale au sein de la primaire du PS, l’ancien ministre de l’économie qui plaide pour une nouvelle Europe et une politique de relance de la croissance, a mis en ligne l’ensemble de ses propositions pour 2017

    Libé - Montebourg invente le «remade in France»

    L'ancien ministre de l'Economie a publié une compilation de ses 70 propositions présentées au fil de l'automne. Une façon de prouver qu'il en a plus sous le pied qu'un Manuel Valls ou un Vincent Peillon.

    La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    HAMON

    Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    Le Figaro - Cafés interdits aux femmes : accusé de déni, Hamon se justifie

    LE SCAN POLITIQUE - Invité à commenter des scènes filmées par France 2 démontrant l'absence de mixité dans certains établissements de banlieue, le candidat à la primaire a relativisé.

    C'est un reportage qui a beaucoup fait couler d'encre. Diffusé la semaine dernière sur France 2, il montre les l'absence de mixité dans certains cafés de banlieue, comme dans un établissement de Sevran (Seine-Saint-Denis). «On est à Sevran, on n'est pas à Paris. T'es dans le 93 ici. C'est des mentalités différentes, c'est comme au bled», commente le gérant du café dans le sujet.

    Muslim Post - A gauche, Benoît Hamon est-il le candidat naturel des musulmans de France ?

    Il est l’un des seuls, à gauche, à ne pas vouloir que l’Islam soit l’un des enjeux de la présidentielle. Hamon s’impose-t-il naturellement comme le candidat des musulmans de France ?

    Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

    PEILLON

    Libé - Vincent Peillon : «Je suis le candidat de la jeunesse de France»

    Sans tracts mais entouré de micros, l'ancien ministre de l'Education et candidat à la primaire à gauche était en campagne dans le XIIe arrondissement de Paris. Au marché de Daumesnil, pas de petites phrases, des poignées de main et des regards intrigués.

    REVENU UNIVERSEL

    Le Temps - «Un jour, nous nous demanderons comment nous avons pu vivre sans revenu universel de base»

    Philippe Van Parijs, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université catholique de Louvain, est à Zurich ce jeudi pour parler du revenu inconditionnel de base

    Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*

    PODEMOS

    Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 décembre

    A LA UNE

    Libé - Lawrence Lessig: «On doit s’inquiéter de la manière dont Internet nourrit la polarisation»

    Les réseaux et les algorithmes cantonnent les individus à leur propre bulle d’information. Il y a urgence, selon le grand spécialiste du droit sur le Net, à construire un espace où discuter des mêmes questions politiques, base de la démocratie. Et contrer ainsi le pouvoir des nouveaux souverains (Facebook, Twitter, Google…).

    «Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. […] Ce régulateur, c’est le code.» En 2000, lorsque l’Américain Lawrence Lessig publie un article qui deviendra l’une des références de la littérature consacrée à Internet, Code Is Law («le Code fait loi»), le développement du réseau est encore porteur de toutes les utopies. Aujourd’hui, à l’heure où le code a pénétré toutes les dimensions de nos vies, et où se pose en tout domaine la question des conséquences politiques des choix technologiques, l’avertissement sonne comme une urgence. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lessig est aussi, de longue date, un fervent promoteur des «biens communs numériques» - il a créé les licences Creative Commons, qui permettent depuis quinze ans aux créateurs de partager leurs œuvres - et de l’ouverture des données publiques.

    MONTEBOURG/HAMON

    France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

    PS

    France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

    PRIMAIRE

    Le JDD - Primaire de la gauche : Bertrand Delanoë ne soutiendra personne

    INDISCRET - Betrand Delanoë a confié à ses amis qu'il ne soutiendra personne dans la primaire de la gauche. Ce qui ne l'empêche pas de juger, souvent durement, les candidats en lice.

    France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    REVENU UNIVERSEL

    Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide

    MONTEBOURG

    La Croix - Présidentielle 2017 : les 70 propositions d’Arnaud Montebourg

    Occupant une place originale au sein de la primaire du PS, l’ancien ministre de l’économie qui plaide pour une nouvelle Europe et une politique de relance de la croissance, a mis en ligne l’ensemble de ses propositions pour 2017

    Libé - Montebourg invente le «remade in France»

    L'ancien ministre de l'Economie a publié une compilation de ses 70 propositions présentées au fil de l'automne. Une façon de prouver qu'il en a plus sous le pied qu'un Manuel Valls ou un Vincent Peillon.

    La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    HAMON

    Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    Le Figaro - Cafés interdits aux femmes : accusé de déni, Hamon se justifie

    LE SCAN POLITIQUE - Invité à commenter des scènes filmées par France 2 démontrant l'absence de mixité dans certains établissements de banlieue, le candidat à la primaire a relativisé.

    C'est un reportage qui a beaucoup fait couler d'encre. Diffusé la semaine dernière sur France 2, il montre les l'absence de mixité dans certains cafés de banlieue, comme dans un établissement de Sevran (Seine-Saint-Denis). «On est à Sevran, on n'est pas à Paris. T'es dans le 93 ici. C'est des mentalités différentes, c'est comme au bled», commente le gérant du café dans le sujet.

    Muslim Post - A gauche, Benoît Hamon est-il le candidat naturel des musulmans de France ?

    Il est l’un des seuls, à gauche, à ne pas vouloir que l’Islam soit l’un des enjeux de la présidentielle. Hamon s’impose-t-il naturellement comme le candidat des musulmans de France ?

    Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

    PEILLON

    Libé - Vincent Peillon : «Je suis le candidat de la jeunesse de France»

    Sans tracts mais entouré de micros, l'ancien ministre de l'Education et candidat à la primaire à gauche était en campagne dans le XIIe arrondissement de Paris. Au marché de Daumesnil, pas de petites phrases, des poignées de main et des regards intrigués.

    REVENU UNIVERSEL

    Le Temps - «Un jour, nous nous demanderons comment nous avons pu vivre sans revenu universel de base»

    Philippe Van Parijs, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université catholique de Louvain, est à Zurich ce jeudi pour parler du revenu inconditionnel de base

    Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*

    PODEMOS

    Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

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    Benoît Hamon : avec Arnaud Montebourg, "nous n... par Europe1fr

  • Le Figaro - Intégré dans l'équipe de Montebourg à son insu, Guy Bedos rechigne

    Petit couac dans la campagne d'Arnaud Montebourg. Le candidat a convoqué la presse dès 9 heures, lundi matin, pour présenter son organigramme de campagne. L'humoriste Guy Bedos figurait sur le document, en qualité de président du comité de soutien. «Guy Bedos a décidé de s'engager. Il est très fédérateur par son humour», a vanté l'ancien ministre. Sauf que l'intéressé n'était pas au courant d'une telle nomination... «Je ne veux pas être président du comité de soutien. Je ne veux pas de poste, je suis un artiste», a-t-il indiqué au Figaro.

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  • Huffington Post - Guy Bedos nommé président du comité de soutien d'Arnaud Montebourg

    Et le directeur du comité de soutien d'Arnaud Montebourg est... Guy Bedos. C'est en tout cas ce qui ressort de l'organigramme de campagne du candidat à la primaire de la gauche, publié lundi 2 janvier.

    Si la nomination "officielle" de l'humoriste peut surprendre, son soutien est tout sauf inattendu. En décembre 2016, il avait déjà annoncé, dans Paris Match, son intention de voter pour le chantre du "Made in France", parce que "c'est un mec sincère et plus sympa que Manuel Valls."

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  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 décembre

    A LA UNE

    Libé - Lawrence Lessig: «On doit s’inquiéter de la manière dont Internet nourrit la polarisation»

    Les réseaux et les algorithmes cantonnent les individus à leur propre bulle d’information. Il y a urgence, selon le grand spécialiste du droit sur le Net, à construire un espace où discuter des mêmes questions politiques, base de la démocratie. Et contrer ainsi le pouvoir des nouveaux souverains (Facebook, Twitter, Google…).

    «Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. […] Ce régulateur, c’est le code.» En 2000, lorsque l’Américain Lawrence Lessig publie un article qui deviendra l’une des références de la littérature consacrée à Internet, Code Is Law («le Code fait loi»), le développement du réseau est encore porteur de toutes les utopies. Aujourd’hui, à l’heure où le code a pénétré toutes les dimensions de nos vies, et où se pose en tout domaine la question des conséquences politiques des choix technologiques, l’avertissement sonne comme une urgence. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lessig est aussi, de longue date, un fervent promoteur des «biens communs numériques» - il a créé les licences Creative Commons, qui permettent depuis quinze ans aux créateurs de partager leurs œuvres - et de l’ouverture des données publiques.

    MONTEBOURG/HAMON

    France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

    PS

    France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

    PRIMAIRE

    Le JDD - Primaire de la gauche : Bertrand Delanoë ne soutiendra personne

    INDISCRET - Betrand Delanoë a confié à ses amis qu'il ne soutiendra personne dans la primaire de la gauche. Ce qui ne l'empêche pas de juger, souvent durement, les candidats en lice.

    France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    REVENU UNIVERSEL

    Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide

    MONTEBOURG

    La Croix - Présidentielle 2017 : les 70 propositions d’Arnaud Montebourg

    Occupant une place originale au sein de la primaire du PS, l’ancien ministre de l’économie qui plaide pour une nouvelle Europe et une politique de relance de la croissance, a mis en ligne l’ensemble de ses propositions pour 2017

    Libé - Montebourg invente le «remade in France»

    L'ancien ministre de l'Economie a publié une compilation de ses 70 propositions présentées au fil de l'automne. Une façon de prouver qu'il en a plus sous le pied qu'un Manuel Valls ou un Vincent Peillon.

    La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    HAMON

    Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    Le Figaro - Cafés interdits aux femmes : accusé de déni, Hamon se justifie

    LE SCAN POLITIQUE - Invité à commenter des scènes filmées par France 2 démontrant l'absence de mixité dans certains établissements de banlieue, le candidat à la primaire a relativisé.

    C'est un reportage qui a beaucoup fait couler d'encre. Diffusé la semaine dernière sur France 2, il montre les l'absence de mixité dans certains cafés de banlieue, comme dans un établissement de Sevran (Seine-Saint-Denis). «On est à Sevran, on n'est pas à Paris. T'es dans le 93 ici. C'est des mentalités différentes, c'est comme au bled», commente le gérant du café dans le sujet.

    Muslim Post - A gauche, Benoît Hamon est-il le candidat naturel des musulmans de France ?

    Il est l’un des seuls, à gauche, à ne pas vouloir que l’Islam soit l’un des enjeux de la présidentielle. Hamon s’impose-t-il naturellement comme le candidat des musulmans de France ?

    Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

    PEILLON

    Libé - Vincent Peillon : «Je suis le candidat de la jeunesse de France»

    Sans tracts mais entouré de micros, l'ancien ministre de l'Education et candidat à la primaire à gauche était en campagne dans le XIIe arrondissement de Paris. Au marché de Daumesnil, pas de petites phrases, des poignées de main et des regards intrigués.

    REVENU UNIVERSEL

    Le Temps - «Un jour, nous nous demanderons comment nous avons pu vivre sans revenu universel de base»

    Philippe Van Parijs, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université catholique de Louvain, est à Zurich ce jeudi pour parler du revenu inconditionnel de base

    Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*

    PODEMOS

    Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 29 décembre

    A LA UNE

    Libé - Lawrence Lessig: «On doit s’inquiéter de la manière dont Internet nourrit la polarisation»

    Les réseaux et les algorithmes cantonnent les individus à leur propre bulle d’information. Il y a urgence, selon le grand spécialiste du droit sur le Net, à construire un espace où discuter des mêmes questions politiques, base de la démocratie. Et contrer ainsi le pouvoir des nouveaux souverains (Facebook, Twitter, Google…).

    «Nous sommes à l’âge du cyberespace. Il possède lui aussi son propre régulateur, qui lui aussi menace les libertés. […] Ce régulateur, c’est le code.» En 2000, lorsque l’Américain Lawrence Lessig publie un article qui deviendra l’une des références de la littérature consacrée à Internet, Code Is Law («le Code fait loi»), le développement du réseau est encore porteur de toutes les utopies. Aujourd’hui, à l’heure où le code a pénétré toutes les dimensions de nos vies, et où se pose en tout domaine la question des conséquences politiques des choix technologiques, l’avertissement sonne comme une urgence. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lessig est aussi, de longue date, un fervent promoteur des «biens communs numériques» - il a créé les licences Creative Commons, qui permettent depuis quinze ans aux créateurs de partager leurs œuvres - et de l’ouverture des données publiques.

    MONTEBOURG/HAMON

    France Info - Primaire de la gauche : Hamon et Montebourg sont-ils vraiment si semblables ?

    Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont souvent fait cause commune : au PS au début des années 2000, où ils ont milité dans le même courant. Ou encore dans le gouvernement de Manuel Valls, dont ils ont été remerciés en même temps. Aujourd'hui, ils sont tous deux des prétendants de la primaire de la gauche. Montebourg revendique une candidature "sociale républicaine", "au cœur des gauches", quand Hamon se situe à la gauche du PS. Qu'est-ce qui les différencie aujourd'hui dans leurs programmes ? Franceinfo s'est penché sur leurs propositions : ce qui les rapproche et ce qui les différencie.

    PS

    France Inter, Renaud Dély - 2017: la fin du PS?

    A l’approche des fêtes, une grande peur qui commence à planer sur le Parti Socialiste pour l’année prochaine.

    Et cette angoisse se résume en une question à la fois simple et assez cruciale: et si 2017 était la dernière année ? Et si 2017 marquait la fin du PS. Alors, vous me direz, on peut sûrement vivre après le Parti socialiste. D’autant qu’on a déjà vécu, et plutôt pas mal, avant… Il n’empêche que ce serait quand même un sacré événement politique. Parce que le PS n’est plus tout jeune. Dans sa forme actuelle, il a quand même bientôt 46 ans. Il est né, ou plutôt il a ressuscité, en juin 1971, lors du fameux congrès d’Epinay marqué par la prise du pouvoir de François Mitterrand. Depuis, avec ses congrès, ses courants, ses déchirements et ses motions de synthèse, le parti socialiste, c’est un véritable art de vivre.

    PRIMAIRE

    Le JDD - Primaire de la gauche : Bertrand Delanoë ne soutiendra personne

    INDISCRET - Betrand Delanoë a confié à ses amis qu'il ne soutiendra personne dans la primaire de la gauche. Ce qui ne l'empêche pas de juger, souvent durement, les candidats en lice.

    France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    REVENU UNIVERSEL

    Libé - A gauche, «revenu minimum décent» ou «revenu universel d’existence» ?

    Alors que Benoît Hamon propose la création d’un «revenu universel d’existence», Manuel Valls préfère envisager un «revenu minimum décent». On fait le point pour s’y retrouver entre les visions des candidats à la primaire socialiste.

    «La première proposition [de Manuel Valls], ça a été d’avoir un revenu décent. Ça a été de faire en sorte que les Françaises et les Français aient un revenu qui leur permette de vivre le plus décemment possible.» Ce mardi matin sur RTL, le président du groupe socialiste au Sénat – et directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire – Didier Guillaume a évoqué une proposition en vogue à gauche, celle d’expérimenter une nouvelle forme d’allocation, qui, selon ses différentes versions, serait dépendante ou non des ressources et remplacerait ou non les autres allocations et aides sociales. Pour vous y retrouver, suivez le guide

    MONTEBOURG

    La Croix - Présidentielle 2017 : les 70 propositions d’Arnaud Montebourg

    Occupant une place originale au sein de la primaire du PS, l’ancien ministre de l’économie qui plaide pour une nouvelle Europe et une politique de relance de la croissance, a mis en ligne l’ensemble de ses propositions pour 2017

    Libé - Montebourg invente le «remade in France»

    L'ancien ministre de l'Economie a publié une compilation de ses 70 propositions présentées au fil de l'automne. Une façon de prouver qu'il en a plus sous le pied qu'un Manuel Valls ou un Vincent Peillon.

    La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    HAMON

    Libé - Edouard Martin : «Benoît Hamon n'est pas le vilain gaucho qui est contre tout»

    L'eurodéputé, proche d'Arnaud Montebourg avec qui il avait planché sur le dossier Florange, explique pourquoi il a choisi de soutenir Benoît Hamon, dont il apprécie le projet social et le discours sur le travail.

    Le Figaro - Cafés interdits aux femmes : accusé de déni, Hamon se justifie

    LE SCAN POLITIQUE - Invité à commenter des scènes filmées par France 2 démontrant l'absence de mixité dans certains établissements de banlieue, le candidat à la primaire a relativisé.

    C'est un reportage qui a beaucoup fait couler d'encre. Diffusé la semaine dernière sur France 2, il montre les l'absence de mixité dans certains cafés de banlieue, comme dans un établissement de Sevran (Seine-Saint-Denis). «On est à Sevran, on n'est pas à Paris. T'es dans le 93 ici. C'est des mentalités différentes, c'est comme au bled», commente le gérant du café dans le sujet.

    Muslim Post - A gauche, Benoît Hamon est-il le candidat naturel des musulmans de France ?

    Il est l’un des seuls, à gauche, à ne pas vouloir que l’Islam soit l’un des enjeux de la présidentielle. Hamon s’impose-t-il naturellement comme le candidat des musulmans de France ?

    Direct Matin - Présidentielle 2017 : le programme de Benoît Hamon

    Il est souvent décrit comme le «troisième homme» de la campagne de la primaire socialiste. Avec un programme qui le situe à gauche du PS, Benoît Hamon peut espérer peser sur l'élection. 

    L'ancien ministre de l'Education a dévoilé les grandes lignes de son programme, qui vise notamment, selon ses propres termes, à «inventer une société où l'accomplissement n'est pas dans le travail». 

    PEILLON

    Libé - Vincent Peillon : «Je suis le candidat de la jeunesse de France»

    Sans tracts mais entouré de micros, l'ancien ministre de l'Education et candidat à la primaire à gauche était en campagne dans le XIIe arrondissement de Paris. Au marché de Daumesnil, pas de petites phrases, des poignées de main et des regards intrigués.

    REVENU UNIVERSEL

    Le Temps - «Un jour, nous nous demanderons comment nous avons pu vivre sans revenu universel de base»

    Philippe Van Parijs, professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université catholique de Louvain, est à Zurich ce jeudi pour parler du revenu inconditionnel de base

    Les Suisses voteront le 5 juin sur une initiative populaire réclamant la création d’un revenu de base inconditionnel. L’idée? Attribuer à chaque citoyen, pauvre ou riche, une somme de base, sans contrepartie. Philippe Van Parijs, professeur ordinaire à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’université de Louvain, observe le débat naissant en Suisse avec enthousiasme. Pour le philosophe qui a fondé le BIEN (Basic income earth network) dans les années 1980, le revenu de base est un vecteur d’émancipation. Il est de passage à Zurich ce jeudi pour croiser le fer avec un opposant à ce projet, l’économiste Reiner Eichenberger*

    PODEMOS

    Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.