Michel Sapin : "Nous avons choisi de financer... par FranceInfo
michel sapin - Page 12
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Michel Sapin : "Nous avons choisi de financer l'emploi"
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Michel Sapin : l'invité de Ruth Elkrief
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L'actualité des socialistes du 26 novembre au 2 décembre (mise à jour)
Les 1er et 2 décembre
Le Monde - Florange : Montebourg restera à son "poste de combat"
L'annonce faite vendredi par le premier ministre Jean-Marc Ayrault d'un investissement de 180 millions d'euros sur 5 ans par ArcelorMittal sur son site de Florange (Moselle) a été vue comme un désaveu envers Arnaud Montebourg, en première ligne sur le dossier. Un sentiment renforcé par le silence dans lequel s'est muré le ministre du redressement productif jusque samedi soir
Le Nouvel Obs - La nationalisation de Florange est toujours possible prévient Montebourg
PARIS (AFP) - Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a affirmé samedi que la nationalisation de Florange, écartée par le gouvernement sur le futur du site sidérurgique d'ArcelorMittal, était toujours possible si Lakshmi Mittal ne tenait pas ses engagements
Le Figaro - Florange : Montebourg exclut de démissionner
Le ministre du Redressement productif a décidé de «rester à son poste de combat» et promet que la nationalisation reste «une arme sur la table» si le groupe Mittal ne respecte pas ses engagements.
Le Nouvel Obs - Montebourg : "J'ai décidé de rester à mon poste de combat"
"Si j'avais dû me sentir désavoué, je n'aurais pas été seul", a expliqué sur TF1 le ministre du Redressement productif, lâché par Matignon sur le dossier Florange.
Le Nouvel Obs + - Florange : Arnaud Montebourg a perdu le bras de fer face à Lakshmi Mittal
"Pas de plan social", "pas de nationalisation". Entre les menaces d'ArcelorMittal et celles du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, Jean-Marc Ayrault a choisi une troisième voie pour les hauts-fourneaux de Florange. Le ministre n'aurait pas dû s'avancer si vite, il avait tout à perdre, selon Jean-Marcel Bouguereau, éditorialiste.
Le Monde - Florange : un désaveu pour Arnaud Montebourg ?
En première ligne dans le dossier de Florange, le ministre du redressement productif n'a toujours pas réagi à l'annonce par Jean-Marc Ayrault d'un investissement de 180 millions d'euros sur 5 ans par ArcelorMittal. Arnaud Montebourg devrait s'exprimer samedi soir lors du journal télévisé de TF1, a-t-on appris dans son entourage. Il a en revanche annulé sa participation à l'émission "Tous politiques" dimanche en fin d'après-midi, organisée par France Inter, Le Monde et l'Agence France-Presse. Selon France Inter, le ministre a annulé en raison "d'un agenda chargé".
Europe 1 - Le maire PS de Florange est "sceptique"
Le maire PS de Florange (Moselle) Philippe Tarillon s'est dit "sceptique" vendredi soir après la déclaration du Premier ministre Jean-Marc Ayrault concernant l'accord obtenu avec ArcelorMittal. Contacté par l'AFP, l'élu a qualifié l'accord "d'acceptable dans son principe" mais se demande où sont "les assurances que cette parole sera tenue?"
Déclaration du Premier ministre sur l'avenir du site de Florange
Libé - L’Elysée coincé par un dossier piégé
Hollande, qui a désavoué Montebourg, risque de faire les frais de la gestion du conflit.... Comment Arnaud Montebourg pourra-t-il se remettre d’un tel désaveu ? Mystère. D’autant que, vendredi soir, Jean-Marc Ayrault ne s’est pas privé de le désavouer en public. Non seulement il n’a pas eu un mot pour son ministre, mais en plus, il a qualifié la solution de la nationalisation comme une «expropriation [qui] peut être nécessaire dans des conditions historiques, particulières», mais peu «efficaces» pour des «entreprises qui ont des problèmes de débouchés et de compétitivité».
Libé - Florange : ni plan social, ni nationalisation, annonce Ayrault
Le gouvernement a obtenu d’ArcelorMittal qu’il s’engage à préserver l’emploi à Florange (Moselle) et investisse 180 millions d’euros sur cinq ans sur le site, ce qui lui permet d'écarter une nationalisation des hauts-fourneaux.
Libé - A Florange, déception et colère après les déclarations de Jean-Marc Ayrault
Les annonces du Premier ministre vendredi soir -ni plan social, ni nationalisation- ont été accueillies avec beaucoup de méfiance par les syndicats. La déception était grande vendredi à Florange (Moselle) où les réactions, tant de la part des syndicats que du maire de la ville, exprimaient de manière parfois vive une méfiance sur les promesses du gouvernement et d’ArcelorMittal.
Le Monde - Délinquance : Manuel Valls cède aux sirènes des chiffres
"Je veux passer d'une politique du chiffre à une exigence de sécurité pour tous les Français", "abandonner certains travers statistiques", et il est dommage que "les chantiers liés à la modernisation et à la refonte de l'outil statistique [aient] curieusement traîné". Ces phrases volontaristes sont celles de Manuel Valls. Le ministre de l'intérieur les a prononcées le 25 juin, à Saint-Cyr-au-Mont-d'Or (Rhône) devant la 62e promotion de l'Ecole nationale supérieure de police.
Le Monde - Compétitivité : les députés PS sous surveillance
Une forme de liberté surveillée. Voilà le sentiment qui règne ces jours-ci au parti et dans le groupe socialiste, à propos du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE). Ce dernier fait l'objet d'un amendement gouvernemental dans le collectif budgétaire de fin d'année qui doit être examiné en séance à l'Assemblée à partir du lundi 3 décembre.
Le Monde - A la recherche d'une troisième voie pour Florange
Le suspense devrait durer. Alors que Lakshmi Mittal a fixé à vendredi 30 novembre minuit la date limite pour que l'Etat français trouve un repreneur aux deux haut-fourneaux de Florange (Moselle), le couperet pourrait ne tomber que samedi soir voire dimanche.
Le Nouvel Obs - ArcelorMittal: Montebourg rend visite aux métallos de Florange campant à Bercy
PARIS (AFP) - Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg est allé vendredi matin à la rencontre des salariés d'ArcelorMittal de Florange (Moselle) installés depuis mercredi devant son ministère et qui attendent une solution pour leur site, espérant sa nationalisation.
Le Figaro - Harlem Désir met en garde Mélenchon
Harlem Désir, numéro un du PS, a demandé aujourd'hui à Jean-Luc Mélenchon, coprésident du Parti de gauche, de ne pas utiliser "la guillotine contre la gauche responsable". Sur i>TELE, l'eurodéputé socialiste a tancé le co-président du PG pour avoir, dans une interview à Libération, accusé le président François Hollande d'être "aussi aveugle que Louis XVI".
Le Monde - Un proche conseiller de François Hollande visé par une enquête préliminaire pour faux
La justice s'intéresse à l'un des proches conseillers de François Hollande à l'Elysée, Faouzi Lamdaoui. Le parquet de Paris a ouvert deux enquêtes préliminaires, en mai, à la suite des plaintes déposées par Mohamed Belaïd, un ex-militant PS d'Argenteuil (Val-d'Oise). La première, qui visait François Hollande et Faouzi Lamdaoui pour "travail dissimulé", "menaces et intimidations", a été classée sans suite, jeudi 29 novembre. Mais la seconde, ouverte pour "faux et usage de faux" devrait donner lieu à l'audition prochaine du conseiller à l'égalité et à la diversité.
Le 30 novembre
Le Monde - Face aux tensions à gauche, le PS tente de rassurer ses alliés
Il était temps qu'ils se voient. Surtout après le nouveau coup d'éclat des communistes qui se sont abstenus au Sénat, mercredi 28 novembre, sur le projet de loi de finances pour 2013, entraînant le rejet du texte. Depuis la victoire de la gauche aux législatives en juin, les responsables de ses différentes composantes ne s'étaient pas rencontrés de manière formelle.
Libé - Florange : Montebourg engrange les soutiens parlementaires
Ils sont désormais 82 à avoir signé la tribune de soutien au projet de «contrôle public temporaire» de l'aciérie. Par LAURE BRETTON
Le bras de fer se muscle. Ils étaient une quarantaine au départ, ils sont désormais 82 parlementaires à avoir signé la tribune de soutien à Arnaud Montebourg dans son projet de «contrôle public temporaire» de l’aciérie de Florange (Moselle). Lancée par les députés socialistes Laurent Baumel et Philippe Doucet, le texte a reçu jeudi l’approbation de trois parlementaires écologistes, les deux patrons du groupe, Barbara Pompili et François de Rugy, ainsi que son porte-parole Sergio Coronado.
Public Sénat - Non-cumul : le questionnaire secret de Rebsamen
Le président du groupe PS, François Rebsamen, a envoyé une lettre à l’ensemble des sénateurs socialistes. Il leur demande s’ils approuvent les conclusions du rapport Jospin sur le non-cumul. Le patron du groupe PS ne cache pas son opposition sur le sujet. Il défend la spécificité du Sénat.
INFO OBS. Vers un recul du non-cumul ?
S'il s'applique dès les élections locales de 2014 et 2015, le non-cumul risque de provoquer des législatives partielles dangereuses pour la majorité...
La commission Jospin n'a pas pensé à tout. A la fin du chapitre qu'elle consacre au non-cumul, elle a pourtant pris soin de préciser : "Pour le cas où un nombre non négligeable de parlementaires titulaires de fonctions exécutives locales choisiraient de conserver celles-ci", mieux vaudrait qu'un "député soit remplacé par son suppléant".
Libé - Filippetti veut «remettre la culture au coeur des priorités de l'UE»
En visite à Berlin, la ministre de la Culture a notamment plaidé pour plus d'échanges artistiques entre les pays. La ministre française de la culture, Aurélie Filippetti, a estimé jeudi à Berlin «plus que jamais indispensable de remettre la culture, l'éducation au coeur des priorités de l’Union européenne», alors que la culture est touchée par «une sorte de désamour»
Libé - Nantes : PS et Verts montrent leurs muscles
Article + Documents Aéroport. Après l’offensive EE-LV, les élus socialistes favorables au projet ont contre-attaqué, hier. Par JONATHAN BOUCHET-PETERSEN
Si les deux camps réclament un «dialogue serein», c’est bien leur seul point commun. Sur le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), trouver des convergences ou de possibles compromis entre partisans et opposants relève de l’exploit. La tâche de la «commission du dialogue» promise, le week-end dernier, par Jean-Marc Ayrault, s’annonce ardue d’avance.
Libé - Jean-Noël Guérini, acculé, veut mettre au pas «La Provence»
Jean-Noël Guérini était très en colère, ce mercredi matin. Il y avait réunion du groupe socialiste au conseil général, rendez-vous désormais fixé le mercredi, en même temps que le conseil des ministres, pour empêcher la présence de sa principale opposante, Marie-Arlette Carlotti, secrétaire d'Etat aux Handicapés. Le président PS du conseil général des Bouches-du-Rhône tenait devant lui l'édition du jour de La Provence, ouverte sur une page détaillant les raisons de la demande de levée de son immunité parlementaire, pour le mettre en garde à vue.
Libé - Le député PS Le Guen appelle à «une nuit du 4 août pour le Grand Paris»
Il soutient notamment la création d'un «Smic territorial». Le député PS de Paris Jean-Marie Le Guen appelle sur son site internet à «une nuit du 4 août pour le Grand Paris», et à une plus grande «solidarité entre les territoires» de l’Ile-de-France qui pourrait passer par la création d’un «Smic territorial».
Le 29 novembre
Le Figaro - Mariage homo : le PS veut aussi la PMA
Cent députés socialistes militent pour la procréation médicalement assistée. Après la pétition de 75 députés PS enjoignant à François Hollande de respecter son engagement sur le droit de vote des étrangers, parue dans Le Mondeen septembre, cent députés socialistes viennent de signer une tribune dans Médiapart en faveur du mariage et de l'adoption pour les couples homosexuels. Ils se disent aussi favorables à l'ouverture du droit pour «toutes les femmes» d'avoir recours à l'assistance à la procréation médicalement assistée (PMA), jusqu'ici réservée aux couples hétérosexuels stériles.
Le Point - François Chérèque rejoindra l'Igas et peut-être Terra Nova
Le patron de la CFDT, qui passe la main mercredi à Laurent Berger, est en discussion avec le think tank proche du PS. François Chérèque, qui quitte mercredi soir la tête de la CFDT, rejoindra l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et peut-être aussi la fondation Terra Nova, proche du PS, a-t-il indiqué. Interrogé à ce sujet par la presse, François Chérèque a affirmé que pour ce qui est de la présidence de Terra Nova "ce n'est pas décidé, c'est en discussion".
La Tribune - Les députés PS veulent encadrer l'utilisation du crédit d'impôt compétitivité
Ils veulent notamment empêcher que le crédit d'impôt serve à augmenter les bénéfices distribués ou à accroître la rémunération des dirigeants de l'entreprise. Cet amendement, sur lequel la plupart des députés PS intéressés par le dossier sont tombés d'accord, sera discuté ce mercredi soir au sein de la commission des Finances.
Le Figaro - UMP: un "grotesque psychodrame" (Désir)
Le "grotesque psychodrame" en cours à l'UMP doit cesser car il a pour effet entre autres de "nourrir l'extrême droite", a déclaré aujourd'hui le premier secrétaire du PS, Harlem Désir.
Libé - Le PRG va travailler main dans la main avec le PS
Le premier secrétaire du Parti socialiste a annoncé que le Parti radical de gauche avait accepté une «coordination» avec le parti au pouvoir.
Le 28 novembre
Libé - Marqueurs Par Éric Decouty
Six mois. Six mois ont été nécessaires à Manuel Valls pour accoucher d’une circulaire sur la régularisation des sans-papiers et donner le ton de la politique d’immigration du gouvernement socialiste. Résultat, la politique du ministre de l’Intérieur se situe dans la stricte continuité de celle de Nicolas Sarkozy et de Claude Guéant. Il entend même faire mieux que ses prédécesseurs en matière de reconduites à la frontière.
Le Nouvel Obs - Hollande évoque une possible nationalisation de Florange
PARIS (Reuters) - Une éventuelle nationalisation du site sidérurgique de Florange sera décidée d'ici quelques jours, au terme d'ultimes négociations entre le géant de l'acier ArcelorMittal et le gouvernement, a indiqué mardi la présidence française
France Info - 100 députés PS signent une tribune pour le mariage pour tous... et la PMA
Le bras de fer continue entre le gouvernement et une partie des députés socialistes. Ils sont 100 à signer une tribune publiée ce mardi dans Mediapart en faveur de l'ouverture de la procréation médicalement assistée aux homosexuelles, exclue du projet de loi sur le mariage pour tous.
Le Monde (blog) - Notre-Dame-des-Landes : les écologistes pris au piège ?
En décidant de faire un geste envers les opposants au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), le gouvernement a placé Europe Ecologie-Les Verts (EELV) dans une position délicate. Eux qui réclamaient depuis des jours la nomination d'un médiateur "pour faire baisser la pression" n'ont pu que se réjouir de l'annonce, samedi, de la mise en place d'une "commission du dialogue". "Une excellente nouvelle", avait salué dans la foulée Jean-Philippe Magnen, porte-parole du parti dans un communiqué.
Le Monde - La demande de levée de l'immunité de M Guérini cite un système "mafieux"
Le bureau du Sénat devrait statuer, le 12 décembre, sur une seconde demande de levée de l'immunité parlementaire de Jean-Noël Guérini, sénateur et président (PS) du conseil général des Bouches-du-Rhône. Le juge d'instruction marseillais Charles Duchaine qui, en septembre 2011, avait mis l'élu en examen pour "prise illégale d'intérêts", "complicité d'obstacle à la manifestation de la vérité", "trafic d'influence" et "association de malfaiteurs en vue du trafic d'influence", souhaite cette fois le faire entendre sous le régime de la garde à vue dans un dossier portant sur des malversations autour de marchés du conseil général.
Le Lab d'Europe 1 - Montebourg sur la fédération PS des Bouches-du-Rhône : "des mafieux!"
MONTEBOURG VS GUERINI, EPISODE 78 - C'est une colère d'Arnaud Montebourg en marge du Conseil National du PS, samedi 17 novembre, à lire dans Le Nouvel Observateur, ce jeudi 29 novembre : Il va falloir en remettre une couche ! Ce sont des mafieux ! Je sais ce que je dis, j'ai le syndicat des mis en examen contre moi...
La Tribune - Moscovici tente de vendre le crédit d'impôt compétitivité à des députés PS remontés
Le ministre de l'Economie reçoit ce mardi soir à Bercy quelque 70 députés PS. Même les élus qui lui sont plutôt proches ne cachent pas leurs interrogations sur le crédit d'impôt compétitivité. Celui-ci montera plus vite que prévu en régime: la réduction d'impôt équivaudra à 3% de la masse salariale en 2013 et 6% en 2014
Le 27 novembre
Le Lab d'Europe 1 - La chanteuse Camille a "voté PS" et est " complètement dégoûtée"
La chanteuse Camille a le coeur à gauche. Mais elle est déçue par les socialistes au pouvoir. C'est ce qu'elle affirme mardi matin sur le plateau de Canal Plus. Invitée de la matinale, la chanteuse déclare avoir voté pour François Hollande mais être déçue : J'ai voté PS et je suis complètement dégoûtée, je suis très déçue.
Libé - Ayrault coach en emplois d'avenir
Reportage Le Premier ministre était en déplacement à Juvisy-sur-Orge ce lundi pour vanter les mérites de ce dispositif destiné aux 16-25 ans.
Libé - Montebourg dénonce le «chantage et les menaces» de Mittal
La famille Mittal avait dénoncé dans la matinée les propos précédents du ministre. Le PDG du groupe sidérurgiste devrait être reçu mardi à l'Elysée.
Les méthodes d’ArcelorMittal «relèvent du non respect des engagements, du chantage et des menaces», a déclaré lundi Arnaud Montebourg, en marge de son déplacement dans l’usine Duralex près d’Orléans, précisant des propos parus dans Les Echos.
FranceTVinfo - Florange : Comment Montebourg en est arrivé à la nationalisation
FLORANGE – "Nous ne voulons plus de Mittal en France", a lancé Arnaud Montebourg dans Les Echos, dimanche 25 novembre. Le ministre du Redressement productif a même ajouté qu'il souhaitait que l'Etat prenne temporairement le contrôle du site ArcelorMittal de Florange (Moselle), dont les hauts-fourneaux sont menacés de fermeture. Alors que le temps presse, le ministre parle désormais ouvertement de "nationalisation". Un mot jusque-là tabou qu'Arnaud Montebourg brandit désormais comme une arme dans son "bras de fer" avec le géant indien de l'acier.
Le Point - Rebsamen (PS) toujours opposé au non-cumul des mandats
Le président du groupe socialiste au Sénat, François Rebsamen, a maintenu lundi, à l'issue d'un entretien avec François Hollande à l'Élysée, sa demande d'un "statut particulier pour les sénateurs", alors que le Parti socialiste prône le non-cumul strict d'un mandat exécutif local et de parlementaire. Le chef de l'État a entamé lundi ses consultations avec les responsables politiques sur les conclusions de la commission Jospin, qui propose une réforme de la vie démocratique.
Le Lab d'Europe 1 - Le PS discute avec toute la gauche… sauf Mélenchon
Le patron du Parti socialiste, Harlem Désir, recevra les responsables des partenaires de gauche du PS. Tous, sauf le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon. "S’il le souhaite, il sera le bienvenu", explique, lundi 26 novembre, la porte-parole du PS Frédérique Espagnac.
Le Monde - Florange : les méthodes de Mittal "relèvent du chantage et de menaces", selon Montebourg
Les méthodes d'ArcelorMittal "relèvent du non respect des engagements, du chantage et des menaces", a déclaré lundi 26 novembre Arnaud Montebourg, en marge de son déplacement dans l'usine Duralex près d'Orléans. Dans un entretien au quotidien économique Les Echos, le ministre du redressement productif avait déclaré ne plus vouloir de Mittal dans l'Hexagone "parce qu'ils n'ont pas respecté la France".
Le Figaro - Ne pas laisser "Mittal sacrifier Florange"
Le Parti socialiste avertit que la majorité ne laisserait pas "Mittal sacrifier Florange", dans un communiqué où il dit "soutenir la solution d'une prise de contrôle public temporaire de l'Etat".
Le 26 novembre
Libération - «Toc toc, je suis Harlem Désir, je vous présente Julien Landfried»
Reportage Porte-à-porte avec le numéro 1 du PS pour soutenir le jeune candidat PS, qui tentera de déboulonner de l’Assemblée nationale Patrick Devedjian lors de la législative partielle des 9 et 16 décembre dans les Hauts-de-Seine. Par LILIAN ALEMAGNA
Ils ont ressorti les coupe-vent rouges. Les mêmes qu’aux législatives, la mention «François Hollande» en moins. Les militants socialistes sont une quarantaine ce samedi soir devant le Rex, le cinéma de Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine). Prêts à une tournée de porte-à-porte avec leur nouveau premier secrétaire, Harlem Désir, venu soutenir Julien Landfried.
La Dépêche - Christophe Borgel (PS) veut s'attaquer aux syndics de copropriété
Officiellement, il ne sera pas question d'accords ou de désaccords politiques le 29 novembre, à l'occasion du rendez-vous entre Christophe Borgel et Cécile Duflot. A sa demande, le député de la 9e circonscription de Haute-Garonne, reconduit dans ses fonctions de secrétaire national aux élections du PS, rencontrera la ministre écologiste pour évoquer avec elle la prochaine grande loi sur le logement qui arrivera au printemps et dans laquelle le socialiste souhaite voir figurer un chapitre sur les syndics de copropriété.
Le Nouvel Obs - Notre-Dame-des-Landes : le gouvernement ne convainc pas
La colère des opposants au projet ne faiblit pas malgré le "souci d'apaisement" exprimé la veille par Matignon
Le Monde - Notre-Dame-des-Landes : Ayrault veut reprendre la main, la contestation se durcit
Jean-Marc Ayrault a tenté dimanche 25 novembre de reprendre la main face à la violente contestation du futur aéroport Notre-Dame-des-Landes, en se prononçant pour une "commission du dialogue" qui aura pour tâche d'"exposer le projet et d'entendre toutes les parties prenantes". La colère, malgré cela, est loin de retomber. L'Acipa, la principale organisation de militants hostiles au projet d'aéroport, a appelé à une nouvelle mobilisation lundi face aux forces de l'ordre qui ont lancé une opération d'expulsion vendredi.
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Bourdin direct : Michel Sapin
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Michel Sapin invité du Grand Jury
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Michel Sapin: "Oui" les prévisions de croissance sont tenables
Michel Sapin: "Oui" les prévisions de croissance... par FranceInfo -
L'INVITE POLITIQUE,Michel Sapin
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L'actualité des socialistes du 29 octobre au 4 novembre (mise à jour)
Le 4 novembre
La Croix - Tandem exécutif: le doute s'installe dans la majorité
Le doute et l'inquiétude gagnent la majorité face au tandem exécutif qui ne parvient pas à reprendre l'initiative, la semaine écoulée ayant encore été marquée par des maladresses et des difficultés, et plusieurs voix appellent à mieux expliquer l'action entreprise.
Maville - Expulsion d’Aurore Martin. Jean-Jacques Urvoas défend le ministre de l’Intérieur
Le président de la commission des Lois de l’Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas (PS), a jugé vendredi qu’il n’y avait « aucune raison » de reprocher au ministre de l’Intérieur Manuel Valls l’interpellation d’Aurore Martin, car elle ne « relève pas de sa compétence ».
Le Figaro - Valls/Martin: les critiques "infondées"
Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a défendu à son tour ce soir le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, cible à ses yeux de critiques "totalement infondées" dans l'affaire Aurore Martin.
Le 3 novembre
Le Figaro - «Hollande doit fixer le cap et rassurer sur sa méthode»
INTERVIEW - André Vallini, sénateur PS de l'Isère, répond aux questions du Figaro.
Le Monde - "Il y a désormais une défiance des Français à l'égard de Jean-Marc Ayrault"
La cote de confiance de Jean-Marc Ayrault recule de 7 points, seuls 34 % des Français faisant confiance au premier ministre, selon le baromètre de novembre de TNS Sofres-Sopra group pour Le Figaro Magazine. François Hollande perd, lui, 5 points, seuls 36 % des Français lui faisant confiance. C'est, dans le sixième mois suivant sa nomination, le niveau le plus bas atteint par un premier ministre depuis Alain Juppé en 1995 (33 % de confiance), à l'exception notable d'Edith Cresson (30 %).
Les Echos - Compétitivité : ce que propose Montebourg
Le ministre du Redressement productif préconise 20 milliards d'euros d'allégements de cotisations patronales pour les salaires compris entre 1,6 et 2,5 SMIC. Les entreprises n'en bénéficieraient qu'à condition d'investir.
Le Monde - Compétitivité : les critiques déjà formulées d'un rapport très attendu
A quelques jours de la publication tant attendue, lundi 5 novembre, du rapport Gallois, du nom de l'ancien patron d'EADS mandaté par le premier ministre pour préparer un "pacte en faveur de la compétitivité de notre industrie", a été rendu, mercredi 31 octobre, dans une discrétion assez remarquable, le premier rapport du Haut Conseil du financement de la protection sociale.
Le manque de lisibilité de la politique de l'exécutif commence à agacer parmi les socialistes. Trois sénateurs PS appellent le chef de l'Etat à plus de pédagogie.
Le JDD - Ces ténors socialistes qui tapent sur le gouvernement
Ils ne font pas partie du gouvernement et ont la parole libre. Gérard Collomb, François Rebsamen, Jean-Christophe Cambadélis… les ténors socialistes sont de plus en plus nombreux à critiquer ouvertement l'action du gouvernement.
Le JDD - Valls critiqué après l'arrestation d'Aurore Martin
L'arrestation et le transfert de la Française Aurore Martin, jeudi vers Madrid, est au cœur de nombreuses contestations. Au niveau local, des élus basques du PS, EELV ou PCF s'insurgent contre l'application du mandat d'arrêt européen qui menaçait la militante depuis deux ans. Batasuna, l'organisation à laquelle la jeune femme appartient, accuse Manuel Valls d'avoir "cassé" un accord tacite, respecté par son prédécesseur Claude Guéant.
Libé - Amiante: Aubry sera convoquée mardi chez la juge d'instruction
L’ancienne patronne du PS pourrait être mise en examen pour homicides involontaires dans le cadre de son action au ministère du Travail entre 1984 et 1987.
Le 2 novembre
Le Monde - "La presse abuse du mot 'couac'", le nouveau refrain des ministres
"Couac". Le mot commence sérieusement à les agacer... Plusieurs ministres l'ont pointé du doigt pour reprocher aux journalistes de monter en épingle les ratés de la communication du gouvernement, les accusant de se borner à relater "l'écume des choses". Cette salve est une riposte à une polémique déclenchée mardi 30 octobre par une phrase ambiguë de Jean-Marc Ayrault sur les 35 heures, vite corrigée par le premier ministre lui-même, mais ayant suscité de nombreuses railleries à droite et d'articles dans la presse.
Le Lab d'Europe 1 - Quand la nouvelle plume de Désir critiquait Aubry ... et Désir
On apprend dans le Nouvel Observateur du 31 octobre qu'Harlem Désir est en passe de se trouver une nouvelle plume. Désormais premier secrétaire officiel du Parti socialiste, il a confié son premier discours - prononcé à la fin du congrès de Toulouse le 28 octobre - à son ancien conseiller Medhi Ouraoui.
Le Monde - Les bons conseils de Schröder à Hollande
A chacun ses martyrs. Angela Merkel a torpillé son compatriote Tom Enders, le patron d'EADS qui voulait fusionner Airbus avec le groupe de défense britannique British Aerospace. Trop risqué pour les usines allemandes du groupe aéronautique. L'Elysée ne décolère pas, qui espérait bâtir un champion européen susceptible de faire jeu égal avec Boeing.
Europe 1 - Il faut sauver le soldat Thévenoud
Quand McDo s’en prend à un élu PS, toute la majorité monte au front pour le défendre.
Parfois divisée, la majorité s’est trouvé une cause commune : la défense de Thomas Thévenoud. Ce député socialiste est l’auteur d’un rapport prônant une hausse de la TVA dans la restauration. Depuis, il est devenu la cible, entre autres, de McDonald’s, qui récuse les accusations portées à son encontre dans ce texte. Alors ses camarades socialistes prennent fait et cause pour lui.
Le Monde (abonnés) - Les nominations de François Hollande passées au crible
L'Etat Hollande, ce n'est pas maintenant. Cinq mois après son élection, le président a jusqu'ici tenu la promesse d'"impartialité de l'Etat" à laquelle s'astreignait le candidat socialiste en meeting, le 3 mars 2011 à Dijon, se posant alors en défenseur de hauts fonctionnaires "déplacés comme des pions, moqués comme des petits pois, regardés comme des gêneurs, considérés comme des subalternes" et fustigeant des "nominations partisanes parfois issues des cercles les plus intimes"....
Le 1er novembre
Libé - Hollande et Ayrault dégringolent dans un sondage
Ils perdent respectivement 5 et 7 points de cote de confiance selon le baromètre de novembre TNS-Sofres. Les cotes de confiance de François Hollande et Jean-Marc Ayrault reculent respectivement de 5 et 7 points, seuls 36% des Français faisant confiance au chef de l’Etat et 34% au Premier ministre, selon le baromètre de novembre de TNS Sofres-Sopra group pour Le Figaro Magazine.
En langage sportif, cela s'appelle "marquer à la culotte". Deux jours à peine après le congrès de Toulouse, au cours duquel Harlem Désir a été investi premier secrétaire du PS, le député socialiste de Paris, Jean-Christophe Cambadélis, candidat battu à ce poste, a défendu mardi 30 octobre l'idée d'une "pétition nationale" en faveur du droit de vote pour les étrangers non communautaires aux élections locales.
Le Monde - Comment Hollande voit la crise
Le président a-t-il sous estimé la crise ? Dans un entretien au Monde, réalisé jeudi 25 octobre en vue d'un récit racontant le début du quinquennat, François Hollande s'en défend et explique comment a évolué son état d'esprit face à la dégradation de la situation économique.
Le Point - Harlem Désir propose l'entrée de Pierre Mendès France au Panthéon
Le premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, s'est prononcé mercredi en faveur de l'entrée de Pierre Mendès France au Panthéon, lors du dépôt d'une gerbe dans le jardin du Luxembourg, à Paris, à l'occasion du trentième anniversaire de sa mort.
Le Monde - François Hollande rassure les "maîtres du monde"
C'était une opération de communication destinée à démontrer que François Hollande est de plain-pied avec les "maîtres du monde". Elle a été plutôt réussie, lundi 29 octobre, au château de La Muette (16e arrrondissement de Paris), siège de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE).
Le Lab d'Europe 1 - Moscovici, Peillon, Valls ... Le gouvernement revu et corrigé par Martine Aubry
TIR A VUE – En marge du congrès du Parti socialiste à Toulouse, Martine Aubry s’est, d’après le Canard Enchaîné, lâchée sur le gouvernement. Si Pierre Moscovici et Manuel Valls n’échappent pas à ses propos acerbes, Jean-Marc Ayrault fait figure de rescapé et est le seul à trouver grâce à ses yeux.
Le Point - François Hollande : "Exercer le pouvoir, c'est très dur"
François Hollande reconnaît affronter un moment "très dur" dans l'exercice du pouvoir, affirmant qu'il n'y a plus aujourd'hui "aucune indulgence, aucun respect" sur son action, selon des propos rapportés par le quotidien Le Monde daté de jeudi. "Exercer le pouvoir, aujourd'hui, c'est très dur. Il n'y a plus aucune indulgence, aucun respect. Mais je le savais", affirme le chef de l'État, qui enregistre une nouvelle forte baisse de sa cote de confiance.
Le Monde (blog) - Faire ou ne pas faire long feu ?
La presse a beaucoup glosé sur le "faire long feu" utilisé par le premier ministre dans sa réponse à la question d'un lecteur du Parisien (édition du mardi 30 octobre). Sa question était "Pensez-vous faire long feu à Matignon ?" Elle ne pouvait que se comprendre Pensez-vous durer à Matignon ? Ce à quoi il répondit "Oui je pense. L'action que je mène au gouvernement ne peut que s'inscrire dans la durée."
Le Monde - TVA sur la restauration : Montebourg et les députés PS font bloc face à McDonald's
Le Figaro - Le gouvernement bousculé au Sénat
À trois reprises, dont deux avec la droite, les élus du Front de gauche ont voté contre des textes soutenus par le PS. Le torchon brûle entre le gouvernement et le Front de gauche. En deux jours, les sénateurs communistes ont voté trois fois contre des textes soutenus par le gouvernement:
Le Point - Jean-Marc Ayrault fragilisé, un peu, beaucoup, à la folie
"Vous ne trouverez pas un député socialiste pour vous dire que Jean-Marc Ayrault doit partir." Parole de député socialiste. Dans la tempête, le groupe PS à l'Assemblée nationale fait bloc derrière le Premier ministre, qui l'a dirigé quinze ans, de 1997 à 2012. Mais en réalité, ils masquent difficilement leurs "inquiétudes et interrogations", dixit l'un d'eux.
Le Nouvel Obs - "L'école véhicule les mêmes discriminations que la société", selon Michel Teychenné
PARIS (Sipa) -- Michel Teychenné, ancien député européen (PS) et conseiller municipal à Pamiers (Ariège), a été chargé par le ministre de l'Education nationale Vincent Peillon de rédiger un rapport sur les discriminations liées à l'orientation sexuelle, dans le cadre du programme d'action contre l'homophobie présenté mercredi par Najat Vallaud-Belkacem. L'objectif: la mise en place de nouvelles mesures pour lutter contre les discriminations dès la rentrée 2013.
Le 31 octobre
Europe 1 - Vote des étrangers : le PS met la pression
Après l'appel de 75 députés socialistes, Cambadélis lance une pétition nationale.
Alors que le droit de vote des étrangers aux élections locales semble repousser aux calendes grecques, les socialistes entendent mettre la pression sur l'exécutif. Après "l'appel des 75", du nom des 75 députés socialistes qui avaient exhorté, le 17 septembre, François Hollande et le gouvernement Ayrault à accélérer la cadence, une pétition nationale est aujourd'hui lancée par Jean-Christophe Cambadélis.TF1 - Cambadélis lance une pétition pour le droit de vote des étrangers
"Il faut cesser de reculer, de tergiverser, de biaiser !", écrit le député de Paris en relevant que François Hollande a été élu "en étant clair" sur ce sujet notamment.
France Info - Jean-Marc Ayrault et les 35h : les coulisses d'un couac
Le premier ministre tente d'éteindre l'incendie qu'il a lui même déclenché sur le dossier épineux des 35h... Interrogé dans le Parisien sur un retour aux 39h, le Premier ministre estime qu'il n'y a pas de sujet tabou, avant de corriger le tir sur France Info : "pas question de revenir sur les 35h". Une bourde qui en suit une autre.
Europe 1 - 35 heures : Ayrault clôt la polémique
Le Premier ministre a affirmé que la gauche ne reviendrait pas sur la durée légale du travail. Eteindre la polémique qu'il a lui-même suscitée. Voilà ce à quoi s'est employé Jean-Marc Ayrault toute la journée de mardi. Après une première opération déminage sur France Info, mardi matin, où le Premier ministre a expliqué qu'il n'était "pas question de revenir sur les 35 heures", Jean-Marc Ayrault a tenté de clore définitivement le débat à l'Assemblée nationale.
TF1 - 35h : Ayrault rassure sa majorité
Jean-Marc Ayrault a assuré mardi à l'Assemblée nationale que la durée légale du travail, fixée à 35 heures par semaine, "ne changerait jamais tant que la gauche sera au pouvoir", après avoir dit dans Aujourd'hui en France/Le Parisien que ce n'était "pas un sujet tabou".
Le Lab d'Europe 1 - Congrès du PS : comment la motion de Gaëtan Gorce a explosé en vol
Il était le premier candidat déclaré à la succession de Martine Aubry - souvenez-vous, c’était une info du Lab - à la fin du mois de mai et a mené une intense campagne de médiatique. Mais finalement, Gaëtan Gorce ne fera même pas partie du prochain conseil national du PS.
Le 30 octobre
Libé - Lienemann : «La réquisition doit d'abord être utilisée comme épée de Damoclès»
Interview En 2001, Marie-Noëlle Lienemann, alors secrétaire d'Etat au Logement dans le gouvernement Jospin, avait lancé une vague de réquisitions des bâtiments vides. Elle revient sur cette expérience.
Libé - «Les patrons ont la mémoire courte»
Le député PS Henri Emmanuelli raille le CAC 40 obnubilé par le fait de redistribuer des dividendes Recueilli par Nathalie Raulin Pour Henri Emmanuelli, député (PS) des Landes et président du conseil de surveillance de la Caisse des dépôts, l’appel de l’Afep est «une attaque politique».
Le Monde - Selon Chanteguet, Hollande a fait "un discours pour rien" sur la transition écologique
Le président PS de la commission développement durable à l'Assemblée nationale, Jean-Paul Chanteguet, a fustigé lundi 29 octobre l'absence de "courage" du gouvernement sur la transition écologique. "L'ambition du président de la République de faire de la France le pays de l'excellence environnementale est un discours pour rien", a tranché M. Chanteguet, dans une interview à l'édition en ligne du quotidien Les Echos.
Le Figaro - Les patrons qui ont travaillé avec la gauche se mobilisent
Tous les patrons qui ne peuvent pas être suspectés de collusion avec l'UMP montent au front pour tenter d'infléchir la politique économique du gouvernement. Serge Weinberg, le président de Sanofi, Pierre Pringuet, le directeur général de Pernod-Ricard, ou encore Jean-Pierre Clamadieu, le président du comité exécutif de Solvay: ce n'est pas un hasard si ces dirigeants ont posé pour la photo souvenir illustrant l'appel des grandes entreprises en faveur d'un choc de compétitivité, publié dans Le JDD. Ce sont tous, en effet, des patrons étiquetés à gauche, qu'ils aient usé leurs guêtres dans les cabinets socialistes durant leur jeunesse ou qu'ils affichent leurs convictions.
Le Figaro - Sujets sociétaux : le PS veut jouer un rôle d'aiguillon
Dans les rangs socialistes, les hésitations, voire la frilosité du gouvernement sur le sociétal, inquiètent. Être en pointe. Le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, intronisé officiellement dimanche à Toulouse, a annoncé la couleur d'entrée: le PS jouera un rôle d'aiguillon vis-à-vis du gouvernement. Pas tant sur l'économique et le social, où les marges de manœuvre sont limitées, que sur le plan sociétal. Mariage et adoption pour tous, droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales, ou encore non cumul des mandats: Désir, qui pourfend la «lepénisation de la droite», veut aller de l'avant.
Libé - Google : Hollande cuisine Schmidt
Des entretiens de cet après-midi entre le président exécutif de Google, Eric Schmidt, et le gouvernement, on retiendra deux choses : le patron du moteur de recherche est resté 40 minutes avec la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, et 45 minutes avec le président de la République François Hollande. Aucun commentaire à la sortie de la réunion rue de Valois, aucune déclaration non plus sur le perron de l’Elysée – la cour était même fermée aux médias. « C’est toujours le cas avec les chefs d’entreprise, et Google n’a pas souhaité de rencontre avec la presse », rétorque-t-on à l’Elysée.
Les Echos - L'Elysée hésite à ouvrir un nouveau front
Echaudé par l'affaire des « pigeons », le chef de l'Etat veut y regarder à deux fois avant de se mettre à dos le très influent lobby de la restauration.
Le Nouvel Obs - PS : 5 leçons pour un congrès
Désir décroche (enfin) son diplôme; Aubry joue les prolongations; la "bande des quatre" fait du surplace..
Le Monde - Le dur combat d’Harlem Désir
Ce dimanche, Harlem Désir n'avait pas droit à l'erreur. Il s'en est bien sorti. Son verbe est haut, clair, énergisant. Il clôt le congrès socialiste de Toulouse en ayant réussi à gommer l'image peu glorieuse de la potiche. Les applaudissements ne sont pas feints. Les socialistes ont un premier secrétaire qui n'est pas seulement la gloire passée de SOS racisme ni le fruit d'un difficile arrangement entre amis plus importants que lui.
Le Monde - Moscovici juge impossible d'abaisser le coût du travail de 30 milliards d'euro
Le gouvernement ne peut pas se permettre d'abaisser le coût du travail de 30 milliards d'euros comme le demandent les grands patrons français car cela pèserait trop sur le pouvoir d'achat des Français, a déclaré lundi le ministre de l'économie, Pierre Moscovici.
Le 29 octobre
Le Nouvel Obs - Congrès du PS : Harlem Désir a pris les clés
Le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste a prononcé son discours d'intronisation, dimanche à Toulouse.
Libé - A Toulouse, le PS à la rescousse
Reportage Autour de Désir, les socialistes se sont relayés pour défendre le gouvernement. Par Lilian Alemagna, Laure Bretton et Gilbert Laval Envoyés spéciaux à Toulouse
Un onzième premier secrétaire installé et un message martelé : tous derrière François Hollande et Jean-Marc Ayrault. Sous la houlette de Harlem Désir, les socialistes sont repartis de Toulouse avec trois leçons dans leurs gibecières floquées aux couleurs de leur 76e congrès : défendre l’action du gouvernement, riposter à la droite et ouvrir le parti. Revue de détail des cinq interventions qui ont compté.Libé - Les socialistes cueillis à froid par l'appel des patrons français
Récit Certains, comme Benoît Hamon, dénoncent un «ultimatum pas acceptable» à propos de cette tribune prônant un choc de compétitivité. Par LAURE BRETTON Envoyée spéciale à Toulouse L’appel des patrons français à un choc de compétitivité de 30 milliards, doublé d’un plan d’économies de l’Etat de 60 milliards, publié par le Journal du Dimanche, a cueilli à froid les socialistes au dernier jour de leur congrès de Toulouse.
Libé - Désir : la droite veut «le sarkozysme en pire»
Pour son premier discours en tant que premier secrétaire du PS, Harlem Désir a lancé une lourde charge contre l'opposition. Le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, a lancé dimanche une forte charge contre la droite, dont le «seul projet» est «le sarkozysme en pire», dans son discours de clôture devant le congrès de Toulouse. «Leur seul projet c’est le sarkozysme en pire !», a-t-il lancé sous les applaudissements.
Libé - Au PS, le «chers camarades» est une valeur en hausse
Reportage Le vocable, un temps remplacé par «chers amis», a été au coeur de toutes les interventions lors du congrès du parti socialiste à Toulouse. Par GILBERT LAVAL TOULOUSE, de notre correspondant.
C’est le secrétaire fédéral de Haute-Garonne, Sebastien Dénard, qui a ouvert le bal ce dimanche 28 octobre à la tribune du congrès du Parti socialiste. «Chers camarades…», a-t-il lancé en entame de bal.
Challenges - Un vent de jeunesse attendu sur la direction du PS
TOULOUSE (Reuters) - Ce sont de jeunes parlementaires, âgés d'une quarantaine d'années, qui font souffler un vent de modernisation au Parti socialiste : derrière Harlem Désir, investi ce week-end premier secrétaire, une nouvelle génération s'apprête à prendre les rênes du PS. A l'instar de Guillaume Bachelay, 38 ans et désormais n°2 du parti, plusieurs "quadras" pourraient figurer dans le casting de la nouvelle direction et renouveler les idées et l'image d'une formation trop souvent assimilée aux seuls "éléphants".
Le Point - PS - Manuel Valls, la star
Entouré par une nuée de caméras, le ministre de l'Intérieur a pris soin de ne pas en faire trop au congrès de Toulouse. Manuel Valls est aux anges. Samedi en fin de matinée, le ministre de l'Intérieur passe près d'une heure à arpenter les couloirs du congrès du PS à Toulouse, entouré par une nuée de caméras. Encadré de près par quatre gorilles, il se prête à chaque photo, prend la pose avec "Josette" et tous les autres, gourmande l'un quand l'appareil photo ne se déclenche pas, interroge, facétieux, un garçon qui se plante devant lui : "Quelle est la meilleure équipe de foot du monde ?" Bref, Valls, c'est la star de la journée, même si certains relativisent en évoquant les interventions, dans l'après-midi, de Jean-Marc Ayrault et de Martine Aubry.
Le Point - PS - Ce qui se cache derrière "la bande des quatre"
Valls, Peillon, Moscovici et Le Foll ont défilé samedi au congrès de Toulouse avec leur popularité, leurs propositions, leurs manoeuvres. Ils sont quatre, ils sont donc "la bande des quatre". Mais Manuel Valls, Stéphane Le Foll, Vincent Peillon et Pierre Moscovici n'aiment pas cette expression. Ce dernier s'enflammait même sur France Inter le 4 octobre dernier, confiant qu'il la "déteste" !
Le Monde (blog) - Congrès du PS à Toulouse, 26 au 28/10/2012
Vous n'y verrez pas les deux entrées triomphales de Jean-Marc Ayrault. Une première qui surprend les caméras, puis une autre, lourdement mise en scène par sa nouvelle communication. Harlem Désir y est sacré sans gloire. La présence des ministres socialistes et l'adieu à la direction du parti de Martine Aubry occupent le vide d'un congrès entendu, sans passion, ni débat, ni liberté de mouvement pour les preneurs d'images.
Le Point - Sous le feu des critiques, Ayrault "assume"
Au Congrès du PS à Toulouse, le Premier ministre a affirmé sa volonté de refaire de la France "un lieu de production". Jean-Marc Ayrault a "assumé" et "revendiqué" sa méthode, celle du dialogue social et de la "mobilisation", même si cela doit prendre "du temps", plaidant pour un "nouveau modèle français", devant les militants du PS réunis en congrès à Toulouse. Sous le feu des critiques, le Premier ministre a défendu son action : "Une condition fondamentale de la réussite de toutes (les) réformes dans la durée, c'est le dialogue social et je revendique ma méthode." "C'est celle de la mobilisation de toutes les forces du pays (...), de la fédération de toutes les énergies, de l'adhésion des Français à des solutions durables qui permettent d'ancrer le changement dans la durée", a-t-il ajouté.