Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lienemann - Page 3

  • L'actualité des socialistes du 2 au 8 décembre

    A LA UNE

    Libé - La gauche sans voix

    La social-démocratie perd son dernier représentant de poids en Europe avec la démission de Matteo Renzi. Si la poussée xénophobe sur le continent explique en partie la déroute de la gauche, celle-ci paye aussi le prix de ses compromissions libérales.

    France Info - François Hollande a-t-il tué le PS ?

    Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes, et qui n'est plus dominée par le PS.

    Rarement la gauche a abordé une campagne présidentielle avec la crainte de ne pas accéder au second tour. Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes. Le Parti socialiste, autrefois hégémonique et garant de la capacité de la gauche à remporter des combats électoraux, a perdu une grande partie de son influence.

    LAICITE

    Gilles Kepel : «L'enjeu de la laïcité c'est l'intégration»

    Société - Gilles Kepel, universitaire, spécialiste de l'Islam

    Jamais la laïcité n'a été autant en débat, comment l'expliquez-vous ?

    En 1905, la laïcité était basée sur la séparation. C'était la loi de séparation de l'Église et de l'État, une séparation qui avait pour but de lutter contre l'influence, jugée à l'époque excessive, du Vatican sur les consciences et la jeunesse, et qui, d'une certaine manière était perçue comme quelque chose qui faisait obstacle à la vocation de la République de former des citoyens. En 2005, 100 ans après, l'enjeu est un peu différent. L'objectif de la laïcité, c'est de construire l'inclusion et l'intégration, et non plus la séparation.

    France Info - "Quand les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics" : une journaliste de France 2 veut "briser la loi du silence"

    Le "20 heures" a diffusé jeudi un reportage consacré à des femmes qui alertent sur des quartiers dans lesquels elles ne sont plus les bienvenues. Pour franceinfo, l'auteure de l'enquête revient sur le sens de sa démarche. 

    CAZENEUVE

    Le Monde - Ce qui attend le gouvernement pour les cinq prochains mois

    Comme souvent à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure n’est attendue d’ici à avril, mais des dossiers délicats sont toujours en suspens.

    Nommé pour cinq mois, le gouvernement de Bernard Cazeneuve aura pour « mission » de « préparer l’avenir », a déclaré François Hollande mardi 6 décembre. Comme c’est souvent le cas à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure ne devrait toutefois être mise en œuvre. Reste que le nouveau gouvernement aura à gérer quelques dossiers politiques délicats en cette période électorale.
     
    PRIMAIRE
     
    Challenges - Primaire de la gauche: Montebourg et Valls au coude-à-coude

    L'ancien Premier ministre et l'ex-ministre de l'Economie sont donnés dans un mouchoir de poche au second tour de la primaire de la gauche.

    Manuel Valls arriverait largement en tête au 1er tour de la primaire organisée par le PS en vue de l'élection présidentielle, devant Arnaud Montebourg, mais les deux candidats seraient ensuite au coude à coude au second, selon un sondage Harris Interactive diffusé jeudi.

    L'Obs - Pourquoi la primaire de la gauche s'engage mal

    Devant le trop plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a dû siffler la fin de la récréation. Mais le premier secrétaire du PS n'a pas dissipé la confusion qui règne autour du scrutin.

    Des stars qui la jouent perso, des recrues en toc et une ribambelle de réservistes rêvant d'entrer sur le terrain... Avec ses 11 candidats, l'espace de quelques heures, la primaire de la gauche a davantage ressemblé à une équipe de Ligue 1 qu'au scrutin devant désigner le futur candidat socialiste à la présidence de la République. Et puis Jean-Christophe Cambadélis a mis le holà

     
    Le PS veut faire place nette. Face à l'afflux de candidatures à la primaire de la Belle alliance populaire, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, et Christophe Borgel, responsable des élections au sein du parti, lancent un avertissement: tous ne passeront pas. Les candidatures de Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), de Bastien Faudot (MRC) et de Sébastien Nadot (MdP) ont été recalées par le comité national d'organisation de la primaire, réuni mercredi.
     
     
    « Ils vont bientôt être dix, si ce n’est onze. C’est une équipe de foot, ce n’est plus une primaire ! » Ainsi Jean-Christophe Cambadélis raillait-il, au début de l’année, la prolifération de candidats à la primaire de la droite. Une déclaration en train de se retourner contre le premier secrétaire du PS, qui a mis sur les rails la primaire de la Belle Alliance populaire (BAP)... et se retrouve débordé par les candidatures, pleuvant ces derniers jours de tous côtés !
     

    « Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent », a déclaré mercredi le président du comité d’organisation du scrutin.

    Christophe Borgel, président du comité national d’organisation de la primaire de la gauche, s’est inquiété mercredi 7 décembre du grand nombre de candidatures au scrutin. Invité de la presse parlementaire, il a déclaré :

    « Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent. »
    LIENEMANN
     
     
    Figure historique de la gauche du PS, Marie-Noëlle Lienemann a été une des premières à s'engager dans la primaire de la gauche. Elle renonce à la course pour favoriser l'unité de son courant.
     

    La sénatrice de Paris veut éviter « un éparpillement des voix » et « regrette » que Montebourg et Hamon n’aient pas entendu ses appels à l’unité.

    Marie-Noëlle Lienemann annonce dans Le Monde qu’elle ne sera pas candidate à la primaire organisée en janvier par la Belle Alliance populaire. La sénatrice de Paris, située à l’aile gauche du Parti socialiste, a décidé de se retirer pour éviter « un éparpillement des voix », alors qu’Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont eux aussi candidats pour incarner une alternative à la majorité gouvernementale.
     
     
    Candidate à la primaire, Marie-Noëlle Lienemann enjoint à Hamon et Montebourg de s’associer à elle autour d’un socle commun.

    Cher Arnaud, cher Benoît, chers amis,

    En annonçant qu’il ne briguerait pas un second mandat, François Hollande a fait un constat lucide : il n’est pas en situation d’assurer un large rassemblement des forces de gauche et écologistes. Mais ce qui lui est impossible l’est tout autant pour son Premier ministre, Manuel Valls, concepteur de la thèse des deux gauches irréconciliables, et pour celles et ceux qui ont promu ou soutenu les choix et orientations qui ont creusé un fossé entre l’exécutif, le peuple de gauche et les Français.

    VALLS

    La Monde - Après la candidature de Manuel Valls, des doutes sur sa capacité de rassembler et son bilan

    Après l’annonce de la candidature de Manuel Valls à la primaire de la gauche, des doutes émergent sur sa capacité à rassembler la gauche, et à « occulter [son] bilan ».

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/12/05/apres-la-candidature-de-manuel-valls-des-doutes-sur-sa-capacite-de-rassembler-et-son-bilan_5043847_823448.html#DiB0EKgpiDf3xX70.99
    Avant même l’annonce de Manuel Valls, de se porter candidat à la présidence de la République à travers la primaire de la gauche, la maire socialiste de Lille, Martine Aubry, avait mis en doute, lundi 5 décembre, sa capacité à rassembler la gauche.
     
    HAMON
     
     
     
    Le candidat à la primaire à gauche a proposé ce jeudi dans L'Emission Politique de taxer les robots qui remplacent les emplois peu qualifiés afin de financer un revenu universel d'existence.
     

    Candidat à la primaire de la gauche, l’ancien ministre issu de l’aile gauche du PS a déroulé ses propositions en vue de l’élection présidentielle.

    On le présente souvent dans l’ombre d’Arnaud Montebourg avec qui il avait été sorti du gouvernement en août 2014. Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a affirmé ses différences, jeudi 8 décembre, en déroulant ses propositions sur le plateau de « L’émission politique » sur France 2. Temps de travail, éducation, cannabis, revenu universel… Voilà ce que l’on peut retenir de son intervention.
     

    Invité par La Fabrique écologique, après Nathalie Kosciusko-Morizet, le candidat à la primaire de la gauche plaide pour une politique environnementale et sociale plus audacieuse.

    Diesel, pesticides, santé publique, nucléaire… sans oublier l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. La liste est longue des critiques adressées par Benoît Hamon au gouvernement de Manuel Valls, gouvernement auquel il a appartenu jusqu’en août 2014. Le candidat à la primaire de gauche, en vue de l’élection présidentielle d’avril 2017, était l’invité, mardi 22 novembre, du deuxième petit-déjeuner organisé, à Paris, par La Fabrique écologique, « fondation pluraliste de l’écologie », en partenariat avec Le Monde, en vue d’éclairer les débats sur l’environnement du prochain rendez-vous électoral.
     
     
    Dans une tribune pour «Libération», Benoît Hamon répond à l'appel lancé par Marie-Noëlle Lienemann.

    Chère Marie-Noëlle,

    Ton interpellation sur la nécessaire unité d’une gauche alternative à l’occasion de nos primaires est juste et essentielle. Juste, car jamais la gauche ne gagne divisée. Essentielle, car alors que seuls 35% des Français comptent voter à gauche à l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle, la présence de plusieurs candidats de gauche au premier nous condamne à l’échec.

    MONTEBOURG
     

    L’ancien ministre de l’économie se rend en Algérie du 10 au 12 décembre, sur les traces de sa famille mais aussi pour adresser un message aux Français d’origine maghrébine.

     
    VIDÉO. L'ex-ministre de l'Économie se voit déjà comme le conciliateur des gauches, celui par qui le rassemblement est possible. Sa tactique pourrait payer.
     
    Il n'est plus l'avocat volcanique qui enflammait les foules, combattait les paradis fiscaux, militait pour une VIe République, tentait de traîner le président Chirac devant la Haute Cour de justice ou vendait le « fabriqué en France » en marinière. Depuis trois mois, les Français découvrent une nouvelle cuvée montebourgeoise : un candidat sobre, un idéologue qui veut « libérer les Français » des « oligénarques » (une contraction d'oligarques et d'énarques).
     
    PEILLON

    Eduardo Rihan-Cypel: "Vincent Peillon sera le François Fillon de la primaire à gauche"

    Le député socialiste de Seine-et-Marne soutient la probable candidature de l’ancien ministre de l’Education nationale qui est selon lui "au coeur de la gauche". Une manoeuvre qui fait plutôt figure de torpille anti-Valls pour l’après 2017.

    L'Obs - Philo, cannabis et saumon fumé...10 choses à savoir sur Vincent Peillon

    L'ex-ministre de l'Education devrait annoncer sous peu sa candidature à la primaire de la gauche selon plusieurs députés socialistes. Voici 10 choses à savoir sur cet agrégé de philosophie.

    EMPLOI

    La Tribune - La France renoue avec de fortes créations d'emplois

    51.200 postes ont été ét créés dans le secteur marchand au troisième trimestre selon l'Insee. Sur un an, les créations nettes d'emplois atteignent 178.700

    Bonne nouvelle, au troisième trimestre 2016, selon l'Insee, l'emploi dans le secteur marchand a continué de croître avec 51.200 créations de postes, soit une progression de 0,3%. Un volume jamais vu depuis 2007. Déjà au trimestre précédent, 29.400 postes nouveaux postes avaient été enregistrés. C'est le sixième trimestre consécutif de hausse. Sur un an, au total, les créations nettes d'emplois ont atteint 178.700 (+1,1%). Or, la population active progressant « naturellement » d'environ 120.000 personnes par an, il y a donc eu assez de postes pour « absorber » ces nouveaux entrants, ce qui explique, en partie, la récente baisse du nombre des demandeurs d'emploi... qui arrive trop tard pour François Hollande.

    PISA

    Le Parisien - Etude Pisa sur le niveau des élèves : l’OCDE met en garde la droite française

    L'étude Pisa dévoilée mardi révèle que les élèves français de 15 ans affichent des performances dans la moyenne de leurs pairs des pays de l'OCDE en sciences, mathématiques et compréhension de l'écrit. Mais la France se distingue par le poids de l'origine sociale des enfants sur les résultats.

    Altereco - Rien de nouveau sous le soleil de Pisa

    Les résultats 2015 de la désormais fameuse enquête Pisa (livrée tous les trois ans) risquent de décevoir aussi bien les défenseurs que les contempteurs du système éducatif français. Le « choc » qu'avait produit l'édition précédente (2012) a en tout cas peu de chances de se produire, tant cette nouvelle édition confirme ce que l'on savait déjà, à savoir que les performances de l'école française se situent globalement dans la moyenne des pays de l'OCDE, mais que le lien entre niveau des élèves et leur milieu social y est plus fort que n'importe où ailleurs.

    Le Monde - Enquête PISA : ce que disent les profs sur les inégalités sociales et scolaires

    La sixième édition de l’étude de l’OCDE décrit une école française marquée par les déterminismes sociaux. Des enseignants racontent comment ils les vivent et tentent de les déjouer

    De l’enquête PISA, parue mardi 6 décembre, ils ne parlent pas (ou peu) en salle des profs. Ils préfèrent laisser cette étude, son tumulte médiatique – et les polémiques qu’elle suscite – aux portes de leur classe. « Les enseignants regardent PISA avec distance, voire suspicion ou crainte », observe Jacques Vince, professeur dans un lycée lyonnais. Ce n’est pas que les résultats ne les touchent pas ou qu’ils éludent le débat. Non : « C’est l’instrumentalisation politique de l’enquête comme un outil de pilotage qui nous heurte, alors qu’on ploie déjà sous les injonctions », ajoute celui qui est aussi en charge du suivi des réformes au sein de l’Union des professeurs de physique et de chimie.
     
    PS
     
    Syrie : Le Parti socialiste est solidaire de la population martyre d’Alep, 07 décembre 2016

    Le Premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a reçu ce jour M. Brita Hagi Hasan, Président du Conseil local d’Alep et les représentants des associations qui, en France, se mobilisent pour sauver la population d’Alep affamée et massacrée.

  • Le Monde - Lienemann : « J’ai décidé de ne pas être candidate à la primaire de la gauche »

    La sénatrice de Paris veut éviter « un éparpillement des voix » et « regrette » que Montebourg et Hamon n’aient pas entendu ses appels à l’unité.

    Marie-Noëlle Lienemann annonce dans Le Monde qu’elle ne sera pas candidate à la primaire organisée en janvier par la Belle Alliance populaire. La sénatrice de Paris, située à l’aile gauche du Parti socialiste, a décidé de se retirer pour éviter « un éparpillement des voix », alors qu’Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont eux aussi candidats pour incarner une alternative à la majorité gouvernementale.
     
    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • L'actualité des socialistes du 2 au 8 décembre

    A LA UNE

    Libé - La gauche sans voix

    La social-démocratie perd son dernier représentant de poids en Europe avec la démission de Matteo Renzi. Si la poussée xénophobe sur le continent explique en partie la déroute de la gauche, celle-ci paye aussi le prix de ses compromissions libérales.

    France Info - François Hollande a-t-il tué le PS ?

    Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes, et qui n'est plus dominée par le PS.

    Rarement la gauche a abordé une campagne présidentielle avec la crainte de ne pas accéder au second tour. Après un mandat comme président, François Hollande laisse une gauche éparpillée, traversée par des lignes de fracture profondes. Le Parti socialiste, autrefois hégémonique et garant de la capacité de la gauche à remporter des combats électoraux, a perdu une grande partie de son influence.

    LAICITE

    Gilles Kepel : «L'enjeu de la laïcité c'est l'intégration»

    Société - Gilles Kepel, universitaire, spécialiste de l'Islam

    Jamais la laïcité n'a été autant en débat, comment l'expliquez-vous ?

    En 1905, la laïcité était basée sur la séparation. C'était la loi de séparation de l'Église et de l'État, une séparation qui avait pour but de lutter contre l'influence, jugée à l'époque excessive, du Vatican sur les consciences et la jeunesse, et qui, d'une certaine manière était perçue comme quelque chose qui faisait obstacle à la vocation de la République de former des citoyens. En 2005, 100 ans après, l'enjeu est un peu différent. L'objectif de la laïcité, c'est de construire l'inclusion et l'intégration, et non plus la séparation.

    CAZENEUVE

    Le Monde - Ce qui attend le gouvernement pour les cinq prochains mois

    Comme souvent à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure n’est attendue d’ici à avril, mais des dossiers délicats sont toujours en suspens.

    Nommé pour cinq mois, le gouvernement de Bernard Cazeneuve aura pour « mission » de « préparer l’avenir », a déclaré François Hollande mardi 6 décembre. Comme c’est souvent le cas à chaque fin de quinquennat, aucune réforme majeure ne devrait toutefois être mise en œuvre. Reste que le nouveau gouvernement aura à gérer quelques dossiers politiques délicats en cette période électorale.
     
    PRIMAIRE
     
    Challenges - Primaire de la gauche: Montebourg et Valls au coude-à-coude

    L'ancien Premier ministre et l'ex-ministre de l'Economie sont donnés dans un mouchoir de poche au second tour de la primaire de la gauche.

    Manuel Valls arriverait largement en tête au 1er tour de la primaire organisée par le PS en vue de l'élection présidentielle, devant Arnaud Montebourg, mais les deux candidats seraient ensuite au coude à coude au second, selon un sondage Harris Interactive diffusé jeudi.

    L'Obs - Pourquoi la primaire de la gauche s'engage mal

    Devant le trop plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a dû siffler la fin de la récréation. Mais le premier secrétaire du PS n'a pas dissipé la confusion qui règne autour du scrutin.

    Des stars qui la jouent perso, des recrues en toc et une ribambelle de réservistes rêvant d'entrer sur le terrain... Avec ses 11 candidats, l'espace de quelques heures, la primaire de la gauche a davantage ressemblé à une équipe de Ligue 1 qu'au scrutin devant désigner le futur candidat socialiste à la présidence de la République. Et puis Jean-Christophe Cambadélis a mis le holà

     
    Le PS veut faire place nette. Face à l'afflux de candidatures à la primaire de la Belle alliance populaire, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, et Christophe Borgel, responsable des élections au sein du parti, lancent un avertissement: tous ne passeront pas. Les candidatures de Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), de Bastien Faudot (MRC) et de Sébastien Nadot (MdP) ont été recalées par le comité national d'organisation de la primaire, réuni mercredi.
     
     
    « Ils vont bientôt être dix, si ce n’est onze. C’est une équipe de foot, ce n’est plus une primaire ! » Ainsi Jean-Christophe Cambadélis raillait-il, au début de l’année, la prolifération de candidats à la primaire de la droite. Une déclaration en train de se retourner contre le premier secrétaire du PS, qui a mis sur les rails la primaire de la Belle Alliance populaire (BAP)... et se retrouve débordé par les candidatures, pleuvant ces derniers jours de tous côtés !
     

    « Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent », a déclaré mercredi le président du comité d’organisation du scrutin.

    Christophe Borgel, président du comité national d’organisation de la primaire de la gauche, s’est inquiété mercredi 7 décembre du grand nombre de candidatures au scrutin. Invité de la presse parlementaire, il a déclaré :

    « Si on pouvait ne pas dépasser le nombre de candidats de la droite, on serait collectivement intelligent. »

    VALLS

    La Monde - Après la candidature de Manuel Valls, des doutes sur sa capacité de rassembler et son bilan

    Après l’annonce de la candidature de Manuel Valls à la primaire de la gauche, des doutes émergent sur sa capacité à rassembler la gauche, et à « occulter [son] bilan ».

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/12/05/apres-la-candidature-de-manuel-valls-des-doutes-sur-sa-capacite-de-rassembler-et-son-bilan_5043847_823448.html#DiB0EKgpiDf3xX70.99
    Avant même l’annonce de Manuel Valls, de se porter candidat à la présidence de la République à travers la primaire de la gauche, la maire socialiste de Lille, Martine Aubry, avait mis en doute, lundi 5 décembre, sa capacité à rassembler la gauche.
     
    HAMON
     
     
     
    Le candidat à la primaire à gauche a proposé ce jeudi dans L'Emission Politique de taxer les robots qui remplacent les emplois peu qualifiés afin de financer un revenu universel d'existence.
     

    Candidat à la primaire de la gauche, l’ancien ministre issu de l’aile gauche du PS a déroulé ses propositions en vue de l’élection présidentielle.

    On le présente souvent dans l’ombre d’Arnaud Montebourg avec qui il avait été sorti du gouvernement en août 2014. Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a affirmé ses différences, jeudi 8 décembre, en déroulant ses propositions sur le plateau de « L’émission politique » sur France 2. Temps de travail, éducation, cannabis, revenu universel… Voilà ce que l’on peut retenir de son intervention.
     

    Invité par La Fabrique écologique, après Nathalie Kosciusko-Morizet, le candidat à la primaire de la gauche plaide pour une politique environnementale et sociale plus audacieuse.

    Diesel, pesticides, santé publique, nucléaire… sans oublier l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. La liste est longue des critiques adressées par Benoît Hamon au gouvernement de Manuel Valls, gouvernement auquel il a appartenu jusqu’en août 2014. Le candidat à la primaire de gauche, en vue de l’élection présidentielle d’avril 2017, était l’invité, mardi 22 novembre, du deuxième petit-déjeuner organisé, à Paris, par La Fabrique écologique, « fondation pluraliste de l’écologie », en partenariat avec Le Monde, en vue d’éclairer les débats sur l’environnement du prochain rendez-vous électoral.
     
    MONTEBOURG
     
     
    VIDÉO. L'ex-ministre de l'Économie se voit déjà comme le conciliateur des gauches, celui par qui le rassemblement est possible. Sa tactique pourrait payer.
     
    Il n'est plus l'avocat volcanique qui enflammait les foules, combattait les paradis fiscaux, militait pour une VIe République, tentait de traîner le président Chirac devant la Haute Cour de justice ou vendait le « fabriqué en France » en marinière. Depuis trois mois, les Français découvrent une nouvelle cuvée montebourgeoise : un candidat sobre, un idéologue qui veut « libérer les Français » des « oligénarques » (une contraction d'oligarques et d'énarques).
     
    LIENEMANN
     
     
    Candidate à la primaire, Marie-Noëlle Lienemann enjoint à Hamon et Montebourg de s’associer à elle autour d’un socle commun.

    Cher Arnaud, cher Benoît, chers amis,

    En annonçant qu’il ne briguerait pas un second mandat, François Hollande a fait un constat lucide : il n’est pas en situation d’assurer un large rassemblement des forces de gauche et écologistes. Mais ce qui lui est impossible l’est tout autant pour son Premier ministre, Manuel Valls, concepteur de la thèse des deux gauches irréconciliables, et pour celles et ceux qui ont promu ou soutenu les choix et orientations qui ont creusé un fossé entre l’exécutif, le peuple de gauche et les Français.

    HAMON
     
     
    Dans une tribune pour «Libération», Benoît Hamon répond à l'appel lancé par Marie-Noëlle Lienemann.

    Chère Marie-Noëlle,

    Ton interpellation sur la nécessaire unité d’une gauche alternative à l’occasion de nos primaires est juste et essentielle. Juste, car jamais la gauche ne gagne divisée. Essentielle, car alors que seuls 35% des Français comptent voter à gauche à l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle, la présence de plusieurs candidats de gauche au premier nous condamne à l’échec.

    PEILLON

    Eduardo Rihan-Cypel: "Vincent Peillon sera le François Fillon de la primaire à gauche"

    Le député socialiste de Seine-et-Marne soutient la probable candidature de l’ancien ministre de l’Education nationale qui est selon lui "au coeur de la gauche". Une manoeuvre qui fait plutôt figure de torpille anti-Valls pour l’après 2017.

    L'Obs - Philo, cannabis et saumon fumé...10 choses à savoir sur Vincent Peillon

    L'ex-ministre de l'Education devrait annoncer sous peu sa candidature à la primaire de la gauche selon plusieurs députés socialistes. Voici 10 choses à savoir sur cet agrégé de philosophie.

    EMPLOI

    La Tribune - La France renoue avec de fortes créations d'emplois

    51.200 postes ont été ét créés dans le secteur marchand au troisième trimestre selon l'Insee. Sur un an, les créations nettes d'emplois atteignent 178.700

    Bonne nouvelle, au troisième trimestre 2016, selon l'Insee, l'emploi dans le secteur marchand a continué de croître avec 51.200 créations de postes, soit une progression de 0,3%. Un volume jamais vu depuis 2007. Déjà au trimestre précédent, 29.400 postes nouveaux postes avaient été enregistrés. C'est le sixième trimestre consécutif de hausse. Sur un an, au total, les créations nettes d'emplois ont atteint 178.700 (+1,1%). Or, la population active progressant « naturellement » d'environ 120.000 personnes par an, il y a donc eu assez de postes pour « absorber » ces nouveaux entrants, ce qui explique, en partie, la récente baisse du nombre des demandeurs d'emploi... qui arrive trop tard pour François Hollande.

    PISA

    Altereco - Rien de nouveau sous le soleil de Pisa

    Les résultats 2015 de la désormais fameuse enquête Pisa (livrée tous les trois ans) risquent de décevoir aussi bien les défenseurs que les contempteurs du système éducatif français. Le « choc » qu'avait produit l'édition précédente (2012) a en tout cas peu de chances de se produire, tant cette nouvelle édition confirme ce que l'on savait déjà, à savoir que les performances de l'école française se situent globalement dans la moyenne des pays de l'OCDE, mais que le lien entre niveau des élèves et leur milieu social y est plus fort que n'importe où ailleurs.

    Le Monde - Enquête PISA : ce que disent les profs sur les inégalités sociales et scolaires

    La sixième édition de l’étude de l’OCDE décrit une école française marquée par les déterminismes sociaux. Des enseignants racontent comment ils les vivent et tentent de les déjouer

    De l’enquête PISA, parue mardi 6 décembre, ils ne parlent pas (ou peu) en salle des profs. Ils préfèrent laisser cette étude, son tumulte médiatique – et les polémiques qu’elle suscite – aux portes de leur classe. « Les enseignants regardent PISA avec distance, voire suspicion ou crainte », observe Jacques Vince, professeur dans un lycée lyonnais. Ce n’est pas que les résultats ne les touchent pas ou qu’ils éludent le débat. Non : « C’est l’instrumentalisation politique de l’enquête comme un outil de pilotage qui nous heurte, alors qu’on ploie déjà sous les injonctions », ajoute celui qui est aussi en charge du suivi des réformes au sein de l’Union des professeurs de physique et de chimie.
     
    PS
     
    Syrie : Le Parti socialiste est solidaire de la population martyre d’Alep, 07 décembre 2016

    Le Premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a reçu ce jour M. Brita Hagi Hasan, Président du Conseil local d’Alep et les représentants des associations qui, en France, se mobilisent pour sauver la population d’Alep affamée et massacrée.

  • Libé - Hamon : «Chère Marie-Noëlle, le premier tour sera donc celui du choix»

    Dans une tribune pour «Libération», Benoît Hamon répond à l'appel lancé par Marie-Noëlle Lienemann.

    Chère Marie-Noëlle,

    Ton interpellation sur la nécessaire unité d’une gauche alternative à l’occasion de nos primaires est juste et essentielle. Juste, car jamais la gauche ne gagne divisée. Essentielle, car alors que seuls 35% des Français comptent voter à gauche à l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle, la présence de plusieurs candidats de gauche au premier nous condamne à l’échec.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Primaire : Lienemann appelle à une candidature unique de l'aile gauche du PS contre Valls

    L’annonce de la candidature de Manuel Valls n’est plus qu’une question d’heures. Pour la gauche du PS, la nécessité de se rassembler contre le chef du gouvernement vaut tout autant que si François Hollande avait décidé de se représenter et d’être candidat dans le cadre de la primaire de la Belle Alliance Populaire. Dans une tribune parue ce lundi dans Libération, la sénatrice socialiste de Paris Marie-Noëlle Lienemann a lancé un appel en faveur d’une candidature unique de l’aile gauche du PS contre Manuel Valls à la primaire.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Lienemann (PS) : "Hollande nous entraîne dans une chienlit alarmante"


    Lienemann (PS) : "Hollande nous entraîne dans... par Europe1fr

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE : EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    REPUBLIQUE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE : EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    REPUBLIQUE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE : EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    REPUBLIQUE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.