Conseil national du 12 octobre 2014 : point... par PartiSocialiste
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Conseil national du 12 octobre 2014 : point presse de J-C Cambadélis par Parti socialiste
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Conseil national du 12 octobre 2014 : point presse de J-C Cambadélis par Parti socialiste
Conseil national du 12 octobre 2014 : point... par PartiSocialiste -
L'actualité des socialistes du 29 septembre au 3 octobre (mise à jour)
A la une
Libé - «Vive la gauche»: après l'Assemblée, le parti?
Au Vieux-Boucau, devant les militants du courant de Benoît Hamon, les parlementaires frondeurs ont pris date pour 2015. Ambition: prendre les rênes du PS
Paul Alliès - Une anaphore pour les Etats Généraux du Parti socialiste
Le Parti socialiste boucle, cette semaine la première étape de la préparation de ses Etats Généraux où il s'agira de "reformuler ensemble notre identité", but asigné par J.C. Cambadélis à partir d'une "série de douze questionnements". Un Conseil national fera le point sur les diverses contributions dimanche prochain.
5 octobre
Le JDD - Chacun de leur côté, Montebourg et Hamon veulent "réinventer" la gauche
Les deux principales victimes du dernier remaniement gouvernemental, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg, ont effectué samedi leur rentrée politique. Si le premier estime ne pas être dans "l'opposition", le second entend bien continuer "à s'exprimer".
Ils ont tout pour s'entendre et renverser la table lors du prochain congrès du Parti socialiste. Mais c'est bien en ordre dispersé que les ténors et courants de l'aile gauche du PS, tous hostiles à la ligne du gouvernement Valls, font leur rentrée politique ce week-end.
L'ancien ministre veut que la gauche "retrouve la confiance avec le peuple" dans les deux ans et demi qui viennent.Il doit prononcer dimanche le discours de clôture de cette université d'automne...L'ancien ministre Arnaud Montebourg s'est présenté samedi comme un «citoyen engagé» qui veut continuer «à s'exprimer», estimant qu'il y avait «beaucoup de choses à faire» pour la «réinvention de la gauche».
L'ex-ministre de la Culture prône une VIe République «avec une répartition moins monarchique du pouvoir»...Aurélie Filippetti fait sa rentrée. L'ex-ministre de la Culture prône, plus d'un mois après sa démission du gouvernement, une VIe République «avec une répartition moins monarchique du pouvoir», dans une interview publiée samedi par Médiapart.
4 octobre
L'Express - François Rebsamen et sa non-interview "non relue" un peu trop "libérale"
Le ministre du Travail ne retient pas ses coups contre le PS, Jean-Christophe Cambadélis ou encore Michel Sapin, dans une interview publié par le magazine de Bourgogne, Le Miroir. Le texte a été mis en ligne... puis retiré quelques minutes plus tard, ce vendredi. Que s'est-il passé?
Ça phosphore, ce week-end, au PS. Après des universités de la Rochelle sans saveur et sans débat d'idées, les courants, clubs et écuries du parti, notamment de son aile gauche, se retrouvent pour parler désaccords avec la politique de l'exécutif et pour lancer les bases, disent-ils, de l’union de la gauche... chacun de leur côté !
France 3 - Arnaud Montebourg fait son retour, il n’a pas dit son dernier mot
L’ex-ministre de l’Economie, qui a été éjecté du gouvernement cet été, fait son retour politique à l'occasion d'une université de rentrée dans le Gard samedi 4 et dimanche 5 octobre 2014.
Politis - François Rebsamen, un ministre brut de décoffrage
L’entretien du ministre du Travail publié ce vendredi 3 octobre sur le site du magazine bourguignon Miroir, puis retiré quelques minutes plus tard, fait le buzz. A raison puisque le ministre, hiérarque du PS, s’y vante notamment d’avoir « effectué sa mue idéologique (…) depuis longtemps » et de se battre « depuis longtemps [il insiste, NDLR] pour une vision libérale de l’économie ».
Libé - Hamon : «Je ne voudrais pas qu’en 2017, la jeunesse vote en majorité pour le FN»
INTERVIEW EXCLUSIVE Pour la première fois depuis son départ du gouvernement, l'ex-ministre de l'Education reprend la parole et demande à son camp de défendre les «valeurs de gauche».
3 octobre
Intervention de Gérard Filoche au Bureau national du PS le mardi 30 septembre 2014
Je comprends qu’on tienne des propos s’efforçant d’atténuer notre nouvelle défaite aux élections sénatoriales. Mais il n’en ressort pas moins que c’est la troisième de l’année après le désastre des municipales le 30 mars, et le fait inouï que nous ayons été derrière le Pen aux européennes le 25 mai.
Le Monde - Moscovici : «Je ne veux pas ruiner la crédibilité du pacte, ni la mienne»
C'était l'affluence des grands jours pour l'audition par le Parlement européen, jeudi 2 octobre, du Français Pierre Moscovici, candidat au poste de commissaire à l'économie
Pierre Moscovici peine à convaincre les députés européens
PARIS (Reuters) - Pierre Moscovici, candidat désigné au poste de commissaire aux Affaires économiques, a bataillé jeudi pour tenter de convaincre les députés européens qu'il saurait faire appliquer les règles budgétaires communes à tous les pays sans exception, au moment où le déficit public de la France dérape.
L'Express - Vache folle: suppression des tests de dépistage en France
Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll a cherché à rassurer les éleveurs inquiets en annonçant des aides ponctuelles et la levée des tests de dépistage de l'ESB.
Libé - Bartolone contre la fonction de 1er ministre
Avant la nomination de Manuel Valls à Matignon, Claude Bartolone fut un temps considéré comme un possible premier ministrable. Mais voilà que le président de l’Assemblée, dans un livre à paraître le 8 octobre (Je ne me tairais plus. Plaidoyer pour un socialisme populaire, Flammarion), préconise la suppression de cette fonction. Et le passage à un régime présidentiel.
2 octobre
Libé - Filippetti et Montebourg dans le piège people
Idylle. L’ex-ministre de la Culture n’ira pas au raout de rentrée de l’ex-ministre de l’Economie.
La presse people attendra… Après avoir un temps hésité, l’ex-ministre de la Culture Aurélie Filippetti a finalement tranché. Non, ce week-end elle n’ira pas dans le Gard, sur les terres du député Patrice Prat, prendre part à l’université de rentrée d’Arnaud Montebourg. L’idylle entre les deux ex-ministres est trop fraîche, la pression encore trop forte.
Le Figaro - Bruno Le Roux purge la commission des affaires sociales de ses députés frondeurs
Outre le symbole de la sanction, le chef de file des députés socialistes s'assure que le projet de loi de financement de la Sécurité sociale ne sera pas rejeté en commission.
Dans le jargon de Twitter, cela s’appelle un petit « clash ». Ce mardi après-midi, le président PS du conseil général de l’Essonne, Jérôme Guedj et son vice-président aux finances, Carlos Da Silva, se sont livrés à un échange musclé sur le réseau social. Le premier, figure nationale de l’aile gauche du PS a contesté la décision du président du groupe socialiste à l’Assemblée de mettre à l’écart six députés frondeurs de commissions clés comme celle des affaires sociales.
Le Monde, Les décodeurs - Depuis 2009, la gauche abandonne ses bastions de pouvoir
1er octobre
Le Point - Présidentielle 2017 - Cambadélis : "Tout est possible, y compris le pire"
Si le premier secrétaire du PS juge que "tout est possible" pour 2017, même "le pire", il assure que la "volatilité de l'opinion peut se retourner".
30 septembre
Le Parisien - Fessenheim : un rapport parlementaire préconise de fermer la centrale après 2016
Combien coûterait la fermeture de Fessenheim (Haut-Rhin) ? Très cher. «Au moins 5 milliards» d'euros à en croire un rapport parlementaire rendu public ce mardi et qui préconise de reporter la fermeture de la doyenne française des centrales nucléaires prévue pour fin 2016. Ce sont des «calculs farfelus», rétorque mardi Ségolène Royal, la ministre de l'Ecologie et de l'Energie, qui dénonce des manœuvres politiques à la veille du début de l'examen à l'Assemblée du projet de loi sur la transition énergétique qui prévoit notamment une réduction de la part du nucléaire dans la consommation d'électricité à l'horizon 2025.
Le Monde - La gauche relativise la perte du Sénat
L'année électorale catastrophique des socialistes n'en finit plus. Après avoir perdu les municipales et les européennes, la gauche a abandonné le Sénat à la droite, dimanche 28 septembre. Une conséquence logique du renversement du rapport de forces au sein du collège des grands électeurs, composé en grande partie de conseillers municipaux. Il n'empêche : après deux ans de présidence de François Hollande, la majorité a perdu une assemblée et offre à l'UMP un bastion et une tribune, qui lui seront fort utiles dans sa stratégie de reconquête du pouvoir.
Le Monde - Coup de rabot généralisé sur les allocations familiales
Le gouvernement a décidé d’économiser sur les prestations familiales. Marisol Touraine, ministre de la santé et des affaires sociales, et Christian Eckert, secrétaire d’Etat chargé du budget, ont confirmé lundi 29 septembre que plusieurs prestations allaient subir un large coup de rabot dans le cadre du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2015.
Le Nouvel Obs - Budget de la Sécu : "Faire des enfants va bientôt devenir un luxe"
REVUE DE PRESSE. "Bricolage", "une politique qui va à l'encontre du bon sens"... Les éditorialistes de la presse quotidienne critiquent vivement le budget de la Sécurité sociale.
Le Monde - La démonstration de force de Jean-Noël Guérini
Jean-Noël Guérini a gagné son pari politique. Malgré ses multiples mises en examen dans le cadre de dossiers portant sur des marchés publics frauduleux, malgré son divorce tumultueux avec le Parti socialiste, « son parti de toujours », malgré sa prochaine convocation, le 13 octobre, devant le tribunal correctionnel de Marseille pour une affaire de licenciement abusif présumé, le président du conseil général des Bouches-du-Rhône a obtenu sa réélection à son siège de sénateur.
29 septembre
Le Monde - Les résultats des élections sénatoriales 2014
Le Nouvel Obs - Le Sénat repasse à droite : les 3 leçons du scrutin
La droite retrouve sa majorité, mais le PS évite la déroute, tandis que pour la première fois, le Front national fait son entrée au Sénat.
Le Monde - Sénatoriales : les résultats circonscription par circonscription
Le basculement du Sénat à droite semble désormais être une question de temps. Les premiers résultats des élections sénatoriales, publiés au compte-gouttes dimanche 28 septembre, montrent que trois sièges de gauche ont déjà été conquis par la droite et le centre.
20 Minutes - «Front démocrate»: Bennahmias lance son nouveau parti en présence de Cambadélis
L'ancien Vert et ex-MoDem Jean-Luc Bennahmias a lancé samedi à Paris son nouveau parti, le Front démocrate (FD), parti d'alliance de l'exécutif, en présence notamment du premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis qui a appelé à une «alliance progressiste».
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Jean-Christophe Cambadélis : "la gauche résiste" Le Monde.fr
Jean-Christophe Cambadélis : "la gauche résiste" par lemondefr -
Jean-Christophe Cambadélis pessimiste sur l'issue du scrutin des sénatoriales par Public Sénat
Jean-Christophe Cambadélis pessimiste sur l... par publicsenat -
L'actualité des socialistes du 22 au 27 septembre (mise à jour)
27 septembre
Le Lab - Les ABCD de la langue de bois par Najat Vallaud-Belkacem
Détrompez-vous, Najat Vallaud-Belkacem n'est plus porte-parole du gouvernement. Mais la ministre de l’Éducation nationale a gardé une habitude caractéristique de son ancienne fonction : la langue de bois (chose pour laquelle elle a d'ailleurs été primée dans le palmarès des "PS d'or").
Le Nouvel Obs - Grève Air France : Matignon rejette la médiation exigée par les pilotes
Le principal syndicat des pilotes conditionne la levée du mouvement à la nomination d'un médiateur.
Libé - Vers une mesure «anti-Thévenoud» à l’Assemblée
HISTOIRE Comment éviter un nouveau scandale Thévenoud, ce député PS devenu ministre et débarqué du gouvernement après neuf jours pour inconséquence fiscale ? Interrogé par Mediapart, le déontologue de l’Assemblée nationale, Ferdinand Mélin-Soucramanien (successeur de Noëlle Lenoir) prône, comme Christiane Taubira, la ministre de la Justice, la mise en place d’un «quitus fiscal».
Le Lab - Le livre de Michel Sapin, "L’Ecume et l’Océan", fait un bide en librairie
Les livres de politiques ne font pas tous autant recette que celui de Valérie Trierweiler, devenue millionnaire en quelques semaines grâce à Merci pour ce moment. Et Michel Sapin, ami de trente ans de François Hollande, peut en témoigner.
Libé - Sarkozy + Assouline = deux fois plus de bobards
DESINTOX Le sénateur PS de Paris s'est fait un plaisir hier de reprendre les mensonges énoncés par Sarkozy... en rajoutant lui même bonne couche d'intox
Le Monde - François Hollande pointe « des manquements » lors du retour de djihadistes présumés
De New York, le président de la France, François Hollande, a réagi, mercredi 24 septembre, à l'imbroglio causé par le retour en France de trois djihadistesprésumés, expulsés de Turquie la veille. Le chef de l'Etat a reconnu qu'il y avait eu « à l'évidence des manquements » alors que les individus sont parvenus à rentrer en France sans être inquiétés. M. Hollande a jugé nécessaire de renforcer la coopération avec la Turquie, estimant qu'elle était « indispensable ».
26 septembre
RFI - Assassinat d'Hervé Gourdel: «un acte odieux et abject »
Les réactions affluent après l'annonce de l'assassinat de l'otage français en Algérie, Hervé Gourdel. Tous se disent horrifiés par cette exécution «odieuse». Selon François Hollande, Alger promet ce soir de « mobiliser toutes les forces possibles pour retrouver les assassins».
25 septembre
Aqui - La Fête de la Rose du PS landais s'annonce frondeuse
.... Pour le meeting au Hall des sports de Soustons après le traditionnel banquet, c'est Pierre-Alain Muet qui est annoncé à la tribune samedi après-midi, au côté de Laura Slimani, présidente des Jeunes socialistes et Renaud Lagrave, premier fédéral des Landes. Le député du Rhône, ex-conseiller de Lionel Jospin, n'était a priori pas attendu du côté de l'aile gauche du PS. Mais par la force des choses, cet économiste chevronné qui s'oppose à une politique de l'offre « absurde », s'est rapproché des « frondeurs »
Le Nouvel Obs - "La trahison" de Hollande ? Mauduit, en bloc et en détail
Dans son dernier livre, le journaliste de Médiapart établit un lien direct entre "la trahison" de Hollande et la "corruption" de ses soutiens. Si la thèse est claire, la démonstration, elle, l’est beaucoup moins.
Libé - Hollande rate une nouvelle inversion de courbe
A force, cela va ressembler à une malédiction. A chaque fois que, dans la noirceur de l'économie française, François Hollande croit discerner un signal positif, cette petite flamme de l'espoir est douchée par des chiffres vengeurs. Il avait cru voir une stabilisation du chômage ? Celui ci est reparti à la hausse. Il avait décelé un frémissement de la croissance ? Le PIB national est collé au plancher depuis le début de l'année. Et voilà qu'Hollande va devoir à nouveau déchanter, victime cette fois du taux de marge qui, après avoir un peu grimpé au premier trimestre vient de dégringoler illico au deuxième, selon un rapport de l'Insee publié ce mardi.
24 septembre
La phrase d'Emmanuel Macron sur les ouvrières "illettrées" de Gad, mercredi 17 septembre sur Europe 1, a choqué, à droite comme à gauche. Elle a même été à l'origine d'un échange pour le moins musclé entre le député PS de l'Ardèche Olivier Dussopt et le ministre de l'Économie, dans les couloirs de l'Assemblée.
Le Monde - Aquilino Morelle « Certains avaient planifié de longue date mon élimination politique »
Pendant un peu moins de deux ans, il occupa l'un des bureaux les plus convoités de la République, à deux pas de celui de François Hollande. Conseiller politique mais aussi responsable de la communication, Aquilino Morelle avait dû quitter ce poste précipitamment, le 18 avril, au lendemain de la parution d'un article de Mediapart affirmant qu'il avait conseillé des laboratoires pharmaceutiques alors qu'il était à l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS).
Libé - Aquilino Morelle : «Ca va saigner»
L'ancien conseiller du président de la République estime, dans des entretiens à la presse, qu'il a été exfiltré de l'Elysée car il «gênait» et réfute que ses agissements constituent une «affaire Morelle»
"EVIDEMMENT"- François Hollande sera-t-il candidat à sa propre succession en 2017 ? Si le principal intéressé a refusé de s’exprimer sur ce sujet le 18 septembre lors de sa conférence de presse, ses principaux conseillers le font pour lui. C’est Bernard Combes, maire de Tulle et conseiller à l'Elysée, qui s’est confié dans un reportage sur publicsenat.fr.
Libé - Pouria Amirshahi veut renouer avec les déçus de la gauche
«Nous voulons reparler à tous ces acteurs engagés qui sont déçus par la gauche au pouvoir», confie le député socialiste des Français de l’étranger, Pouria Amirshahi, un des parlementaires «frondeurs». Samedi, pour renouer le dialogue, ce proche de Benoît Hamon réunira à la salle parisienne de la Bellevilloise des représentants d’Attac, du collectif ACLeFeu, mais aussi des salariés qui ont lutté lors du conflit des Fralib ou l’acteur Philippe Torreton et le fondateur de Mediapart Edwy Plenel.
23 septembre
Slate - Martine Aubry est-elle en train de devenir la Alain Juppé de la gauche?
À égale distance de «frondeurs» qui la rêvent en chef de file et de membres du courant majoritaire qui attendent d’elle un soutien salutaire au président, elle pourrait redevenir une figure centrale du paysage de gauche en contribuant à l’apaisement des contentieux.
Le Monde - Au PS après le retour de Sarkozy : « On ne va plus être seuls à boxer sur le ring »
Ils en étaient venus eux aussi, ces derniers jours, à attendre avec impatience son retour. Les socialistes sont presque soulagés de voir Nicolas Sarkozy réapparaître dans le champ politique. Sa capacité à attirer la lumière médiatique tombe à pic pour un exécutif qui ne sera pas mécontent de faire un peu moins la une des journaux, entre remaniement et crise de groupe à l’Assemblée. « Le retour de Sarkozy, c’est du pain bénit pour le gouvernement et le PS : enfin, on ne va plus être seul à boxer sur le ring », confie un dirigeant du Parti socialiste.
Le Point - Cambadélis : Sarkozy a "la rancune au coeur et la revanche à l'esprit"
Le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a vu un Nicolas Sarkozy "la rancune au coeur et la revanche à l'esprit" lors de son intervention télévisée dimanche soir et l'a accusé de "caresser un sentiment islamophobe" en évoquant une refonte de Schengen.
Le Figaro - Les socialistes ravis et inquiets de retrouver leur meilleur ennemi
Avec un mélange d'impatience, de crainte et de fascination, les socialistes ont retrouvé leur meilleur ennemi. Dimanche, ils étaient nombreux devant leur télévision pour observer Nicolas Sarkozy effectuer son grand retour. Il ne les a pas déçus. «Ça m'a fasciné. Le personnage est tellement incroyable!... Il tient cinq minutes sur “j'ai changé” et après, c'est distribution générale de paires de baffes», s'amuse un responsable socialiste qui, comme beaucoup de ses camarades, voit plutôt d'un bon œil ce come-back attendu de l'ancien chef de l'État.
Le JDD - Hollande et "le président d'hier"
François Hollande a chargé le patron du PS et ses ministres de répondre à Nicolas Sarkozy.
François Hollande l'a déjà battu. Le pouvoir se sent donc en terrain connu et ne cesse de banaliser le retour de Nicolas Sarkozy. Qu'est-ce que cela change dans la vie politique? "Rien", balayait Manuel Valls samedi après-midi en marge de sa visite du réservoir Montsouris, à Paris, pour les Journées du patrimoine. "Dans ma fonction de chef du gouvernement, je ne dois pas être préoccupé par ce type d'affaires sur la vie du parti d'opposition.
22 septembre
Le Lab - Gérard Collomb s'autoproclame "Deng Xiaoping de la France" devant des journalistes chinois
Il n'a cessé de l'appeler de ses voeux, et de se féliciter du virage social-démocrate de François Hollande. Et use de son sens aigu de la comparaison pour expliquer aux chinois qui il est. Gérard Collomb, maire socialiste de Lyon, a récemment reçu des journalistes chinois à sa mairie, et Le Progrès raconte également l'éclair de lucidité de Gérard Collomb
Le Lab - Emmanuel Macron sur les "illettrées" de Gad : "Parfois, on fait des erreurs de débutant"
LA POLITIQUE, ÇA S'APPREND - Il est ministre de l'Économie mais n'en reste pas moins un "petit nouveau" en politique. Alors forcément, le risque de faire un faux-pas n'est pas négligeable. Emmanuel Macron s'en est rapidement rendu compte, après sa toute première interview depuis sa nomination, mercredi 17 septembre sur Europe 1.
Soupçonné par un journaliste de Mediapart d'avoir usurpé ses diplômes, Jean-Christophe Cambadélis dit avoir "une petite idée" des personnes qui ont "ourdi ce complot"
Le JDD - Première tranche d'impôt : une suppression très politique
Manuel Valls a surpris mercredi en annonçant la suppression de la première tranche. Explications.
Manuel Valls a pris tout le monde par surprise. Mercredi, il a annoncé une baisse d'impôt pour les foyers modestes, initialement préparée pour son discours de politique générale. Le Premier ministre et le gouvernement ont dû néanmoins s'y reprendre à trois fois pour en donner les détails. L'essentiel pour l'exécutif était d'afficher une mesure fiscale favorable pour 2015, concernant la moitié des foyers. Et réduire le nombre de ménages imposables. "Nous allons sortir de l'impôt davantage de contribuables que ceux qui y sont entrés depuis trois ans", promet-on à Bercy. Par rapport à 2013, quelque 6 millions de familles paieraient moins et trois millions seraient exonérées.
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Jean-Christophe Cambadélis : "Nicolas Sarkozy revient pour lui" rtl.fr
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C politique du 21-09 avec JC Cambadelis
C politique du 21-09 | Saison 6 [Intégrale] par francetvinfo -
L'actualité des socialistes du 15 au 21 septembre (mise à jour)
A la une
Sarkozy, pour la gauche, est l’autre nom de la facilité et de la paresse intellectuelle et politique.
Quand il déclarait sur BFMTV, le 8 mars 2012, «Si je perds la présidentielle, j'arrête la politique», Nicolas Sarkozy mentait. Ceux qui l’ont cru ou ont voulu y croire, à gauche tout particulièrement, en sont donc pour leurs frais.
Leur meilleur ennemi est de retour, et il est bien décidé à reprendre tout ce qu’il a dû abandonner, à regret, avec sa défaite de mai 2012.
Ce retour annoncé, claironné, très minutieusement mis en scène en tout cas, ne devrait pas pour autant réjouir la gauche. Pas plus d’ailleurs celle qui gouverne que celle qui la critique.
21 septembre
Les décodeurs, Le Monde - Depuis 50 ans, aucun vote de confiance n'avait eu qu'une majorité relative
Quasiment tous les chefs de gouvernement depuis 1958 ont obtenu la confiance à la « majorité absolue des membres composant l'Assemblée ». C'est la première fois depuis 1962 qu'un gouvernement n'obtient qu'une majorité relative à l'Assemblée pour un vote qu'il a sollicité. Donc depuis 52 ans !
Le Nouvel Obs - François Hollande : "Moi, toujours président"
Les sondages peuvent le démentir et la crise grandir, Hollande a voulu démontrer qu'il y avait encore un chef à la tête de l'Etat, jeudi, lors de sa conférence de presse.
20 septembre
Le Nouvel Obs - Ouvrières "illettrées" : ce qu'Emmanuel Macron aurait dû dire
Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron, qui a qualifié les ouvrières de Gad d'"illettrées", a oublié que tout terme désignant un manque peut être pris pour une insulte.
Le Figaro - Les frondeurs du PS en quête d'un second souffle
Finalement, la menace des frondeurs n'est pas si terrible. Alors, après avoir obtenu la confiance de l'Assemblée nationale mardi, Manuel Valls les a pris à contre-pied en annonçant la possible suppression de la première tranche du barème de l'impôt sur le revenu. «Ça fait partie des propositions que nous soumettrons au Parlement», a expliqué le premier ministre sur France Inter. Sauf que les frondeurs sont contre et défendent de leur côté la progressivité de l'impôt. Mais au regard des résultats du vote de confiance, ils n'ont que peu de chance d'obtenir satisfaction dans l'Hémicycle. Résultat, ils sont furieux.
19 septembre
Le Monde - Revivez la conférence de presse de Hollande commentée en direct
Europe 1 - Alerte "hémorragie" au Parti socialiste
ENQUETE E1 - Entre 15 et 20% des militants vont quitter le parti cette année. Les adhésions chutent, et les cotisations aussi.
C'est l'un des enjeux de la conférence de presse que tient François Hollande jeudi : mettre un peu de baume au cœur des troupes du Parti socialiste. Car celui-ci va mal. Selon les informations d'Europe 1, entre 15 et 20% des militants vont quitter le parti cette année. Il y avait encore 174.000 militants socialistes l'an dernier. Au minimum, ils seront 30.000 de moins fin 2014.La Croix - Immigration, le parti socialiste précise sa ligne
Secrétaire nationale à l’immigration, Sandrine Mazetier a fait le point, jeudi 18 septembre, sur les positions du PS.
L'Express - Un livre de Pierre Moscovici écrit en partie avec l'argent de Bercy?
Selon le Canard Enchaîné, le tout nouveau commissaire européen à l'Économie aurait rédigé un livre personnel, Combats, grâce à une partie de l'argent du ministère de l'Économie. Le ministre dément.
Libé - Hollande : «Il n'y aura pas de troupes au sol en Irak»
LIVE Le Président de la République se plie pour la quatrième fois à l'exercice, à suivre en direct avec Libération à partir de 17 heures.
Couriier International, le 16 septembre - Le Parti socialiste a-t-il un avenir ?
La confiance devrait être accordée au gouvernement. Mais ce vote à l'Assemblée aura surtout des conséquences sur l’avenir du Parti socialiste, estime la presse américaine.
L'édito du Monde - Un premier ministre entravé
C'est son tempérament, et sa qualité première. Manuel Valls prend sesresponsabilités. Et les risques qui vont avec. Cinq mois après sa nomination, en butte au trouble et aux critiques dans son camp et jusque dans son équipe, le premier ministre voulait une clarification.
18 septembre
Libé - PS : alors ce congrès, c'est pour quand ?
Les dates des élections départementales et régionales étant connues, les demandes d'un congrès socialiste en 2015 vont reprendre. L'exécutif veut repousser à 2016.
Libé - A qui profitera la suppression d'une tranche d'impôt ?
Après le «ras-le-bol fiscal», voici le «haut-le-cœur» : tel est le terme coloré qu’a employé Manuel Valls, mercredi, pour décrire l’état d’esprit des contribuables. Au lendemain de sa déclaration de politique générale, le Premier ministre a confirmé sa volonté de réduire la fiscalité des ménages. Et évoqué, pour ce faire, un renforcement de la décote votée en 2013, ainsi que la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu (IR). Annonce confirmée dans l’après-midi par le ministre du Budget, Christian Eckert. Le point.
Le Monde - Macron s'excuse pour ses propos sur les « illettrées de Gad »
Les déclarations du ministre de l'économie au micro d'Europe 1, mercredi 17 septembre, évoquant les « illettrées » de l'abattoir Gad à Lampaul-Guimiliau dans le Finistère, ont provoqué un certain émoi.
Slate, Laurent Bouvet - «L’affaire Thévenoud», ou la démoralisation de la vie publique
Avec Thomas Thévenoud, c'est un membre de la «génération morale» du PS, prompte à jouer les chevaliers blancs, qui est tombé. Plutôt que de le conspuer, ses camarades de parti et de gouvernement devraient y voir le signe qu'après le vide politique, un vide moral s'ouvre désormais sous leurs pieds.
Libé - L’intrigant diplôme du docteur Cambadélis
..... Ajout mercredi à 20h57 : Dans un communiqué à l'AFP, l'université Paris VII-Diderot affirme, «après vérification», « que le cursus universitaire de M. Cambadélis dans l’établissement ainsi que l’obtention de son doctorat se sont réalisés de manière tout à fait régulière».
Le Parisien - PS : accusé d'avoir triché pour obtenir son doctorat, Cambadélis répond
Jean-Christophe Cambadélis, l'actuel premier secrétaire du Parti socialiste, aurait usurpé ses diplômes universitaires, selon les révélations de Mediapart ce mercredi matin, qui s'appuie sur le livre* de Laurent Mauduit, l'un de ses cofondateurs.
Closer - Pierre Moscovici s'est-il servi dans les caisses de l'Etat ?
Encore un couac sous le gouvernement Valls ? Il semblerait.Pierre Moscovici, le tout nouveau commissaire européen à l’Économie et ancien chef de Bercy, se serait servi dans les caisses de l’État pour sortir l'un de ses livres. C'est en tout cas ce que révèleLe Canard Enchaîné.
17 septembre
Ceux qui espéraient ne serait-ce qu'un infléchissement de la politique du gouvernement en auront été pour leurs frais. Pour son second discours de politique générale en seulement cinq mois, Manuel Valls n'a pas dévié de sa ligne réformatrice en appelant sa majorité à la "résistance" dans la tempête politique qui mine l'exécutif.
Regards - Les frondeurs du PS n’ébranlent pas la "confiance" de Valls
Le premier ministre, dans un exercice solitaire de la politique, a obtenu la confiance – très relative – de l’Assemblée. Les députés socialistes "frondeurs" n’ont pas pu infléchir son contenu et n’arrivent guère à fédérer au-delà de leurs propres rangs.
Le Figaro - La fronde s'affirme de plus en plus dans la majorité socialiste
C'est un d'affluence. Les huissiers ont retiré le canapé rouge qui trône d'ordinaire au centre de la salle des Quatre Colonnes, là où les députés viennent rencontrer la presse en sortant de l'Hémicycle. Mardi pour le deuxième discours de politique générale de Manuel Valls, il y a effectivement des députés en nombre et des journalistes en masse. Frondeurs et soutiens du premier ministre arpentent la salle à la recherche de micros et de caméras.
Le Nouvel Obs - Valls arrache une majorité en nette baisse à l'Assemblée
Manuel Valls a de nouveau obtenu mardi la confiance de l'Assemblée mais avec une majorité de 269 voix, nettement inférieure aux 306 recueillies lors du précédent vote en avril, en raison en particulier de 31 abstentions socialistes.
Le Nouvel Obs - Vote de confiance : on a passé la journée avec un frondeur
Le "Nouvel Obs" a accompagné le député PS Philippe Noguès de son café matinal au résultat du vote. Récit.
Le Nouvel Obs - EN DIRECT. Valls obtient la confiance de l'Assemblée nationale
269 votes pour, 244 contre. "Je serai à la hauteur de cette confiance", assure Manuel Valls. Suivez tous les événements minute par minute.
Libé - Valls renonce à des élections locales groupées en 2015
DÉCRYPTAGE Le Premier ministre a annoncé que les départementales auraient lieu en mars et les régionales en décembre.
Le Parisien - Vote de confiance : Jérôme Guedj, meneur des «frondeurs» pas si rebelle
Au premier rang, le regard déterminé, les mains prêtes à applaudir un Pierre Laurent qui appelle à « combattre » la politique économique et sociale du gouvernement. Samedi, Jérôme Guedj était paré pour la bataille à la Fête de l'Humanité pendant le discours du leader communiste. Rien d'étonnant, le président PS du conseil général de l'Essonne s'est imposé comme une figure de proue des frondeurs, fustigeant à longueur de temps le discours économique de Manuel Valls.
Libé - Les frondeurs, combien d'oppositions ?
INFOGRAPHIES Le Premier ministre, Manuel Valls, se présente ce mardi devant l'Assemblée nationale pour demander la confiance des députés. Les frondeurs peuvent-ils faire basculer ce vote ?
16 septembre
Le Parisien - Les militants PS agacés par les frondeurs
Les ballonssont colorés, les tables ont un air de fête et un chanteur assure la fin de soirée. Mais il en faudrait plus pour réchauffer le coeur des militants socialistes de Haute-Vienne, bien lourd ce vendredi pour leur traditionnel repas de rentrée. En mars dernier, le PS a perdu Limoges qu'il dirigeait depuis 1912. Et depuis, les ennuis du gouvernement et les mauvais résultats économiques rendent encore un peu plus amers les adhérents.
Le Monde - Manuel Valls rappelle la majorité à ses « responsabilités »
A la veille du vote de confiance au gouvernement, les députés socialistes étaient réunis en séminaire à l'Assemblée nationale, lundi 15 septembre. La discussion, qui remplace les traditionnelles journées parlementaires, devait porter sur la politique internationale, le risque terroriste et la transition énergétique, en présence de trois ministres, Laurent Fabius (affaires étrangères), Bernard Cazeneuve (intérieur) et Ségolène Royal (écologie). Mais Manuel Valls a profité de ce hasard du calendrier pour venir distiller ses messages avant son discours de politique générale, mardi après-midi, alors qu'une trentaine de députés « frondeurs » envisagerait de s'abstenir lors du vote.
Le Nouvel Obs - "Foutu" d'ici "six mois" ? "Je suis là pour tenir", rétorque Valls
Manuel Valls sollicite mardi pour la deuxième fois en cinq mois un vote de confiance des députés.
Libé, 10 sept - Pierre-Alain Muet, frondeur malgré lui
Economiste chevronné et modéré, ex-conseiller de Jospin, cet élu lyonnais a lutté durant deux ans en coulisses contre une politique de l’offre «absurde». Et se retrouve à faire cause commune avec l’aile gauche du PS.
Libé, 10 sept - On ne change pas une politique qui perd
Le déficit qui se creuse à 4,4% semble valider le diagnostic sévère des frondeurs du PS sur les choix économiques de l’Elysée… qui ne peut plus changer d’orientation.
Lyon Capitale, 10 sept - Déficits : “Le Gouvernement a raison” pour Muet (PS)
Ce mercredi matin, le ministre des Finances, Michel Sapin, a reconnu que la France n’atteindrait pas ses objectifs de réduction des déficits. Pour le député de la Croix-Rousse, Pierre-Alain Muet (PS), “le Gouvernement a raison”.
15 septembre
Le Monde - La Fête de « L'Huma » a envoyé « le signal de dialogue entre les forces de gauche »
La Fête de L'Humanité, qui s'est terminée dimanche 14 septembre, a atteint son objectif « d'envoyer aux Français un signal de dialogue entre les forces de gauche qui ne se reconnaissent pas dans la politique gouvernementale », a affirmé le secrétaire national du Parti communiste français (PCF), Pierre Laurent.
Le Figaro - Les frondeurs rejouent l'union de la gauche
Pari compliqué, mais pari réussi. Au moins sur la forme. Samedi lors de la Fête de l'Humanité à La Courneuve, le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, a réuni, le temps d'un repas, l'ensemble des forces de gauche hostiles à la politique du gouvernement. Un rendez-vous symbolique à la veille du vote de confiance à l'Assemblée nationale. Peu importe si tous ne partageaient pas la volonté de Pierre Laurent de construire «une alternative à gauche» ou de faire tomber Manuel Valls au plus vite ; peu importe l'assemblage un peu hétéroclite de personnalités aussi opposées que Jean-Luc Mélenchon et le sénateur écologiste Jean-Vincent Placé. Tous étaient soucieux de retisser des liens entre socialistes, écologistes et Front de gauche.
Le Monde - Des « frondeurs » au Front de gauche : déjeuner symbolique à la Fête de « L’Humanité »
Les plans de table ne sont jamais aisés à dessiner, surtout dans les familles recomposées. Celui qui a réuni pour déjeuner samedi 13 septembre, à la Fête de L'Humanité, des personnalités aussi diverses que Jean-Luc Mélenchon, Jean-Vincent Placé, le socialiste « frondeur » Jean-Marc Germain ou encore Pierre Laurent ne dérogeait pas à la règle.
Slate, E. Le Boucher - Le Parti socialiste a perdu la culture du pouvoir
Depuis trente ans, les socialistes sont pris à revers par la réalité mondiale. Ils n'ont pas su prolonger ce qui se dessinait avec le tournant de la rigueur qu'ils avaient eux-mêmes engagé en 1983. Leur crédibilité est en cause.
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Nicolas Sarkozy "n'échappera pas à son bilan, ça sera son boulet" Le Monde.fr
Nicolas Sarkozy "n'échappera pas à son bilan... par lemondefr -
Cambadélis : «Nous entrons dans la phase de préparation de la présidentielle» par Lefigaro.fr