Christophe Borgel : Notre campagne #PrendsGarde... par PartiSocialiste
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Christophe Borgel : Notre campagne #PrendsGarde est un jalon sur la marche qui mène à l'élection présidentielle. Nous ne resterons pas muets!
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Christophe Borgel :"Les sondages nous préviennent que la division, c'est l'élimination"
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Le #17h00 Épisode 48 - Présidentielles 2017 : inscrivez-vous sur les listes électorales !
Le #17h00 Épisode 48 - Présidentielles 2017... par PartiSocialiste -
Discours de Christophe Borgel lors du 21e rassemblement des secrétaires de section
Discours de Christophe Borgel lors du 21e... par PartiSocialiste -
9 novembre 2015 : Point presse de Christophe Borgel
9 novembre 2015 : Point presse de Christophe... par PartiSocialiste -
Christophe Borgel(Ps): « Ce référendum génère la remobilisation de la gauche »
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L'actualité des socalistes du 31 août au 6 septembre (mise à jour)
A la une
Le Monde - Réfugiés : l’appel solidaire de Martine Aubry
Martine Aubry a annoncé lors d’un point presse en mairie, vendredi 4 septembre, que la ville de Lille allait prendre ses responsabilités en accueillant« sans difficulté une centaine de réfugiés ».
Depuis quinze jours, la maire de Lille travaillait avec les services de la ville pour trouver des terrains.
« Nous avons deux résidences appartenant à la Ville [et que la Ville comptait mettre en vente] pour accueillir des familles ou des individus isolés. Lille est prête. Et nous allons travailler sur la scolarisation des enfants, sur la santé, l’accompagnement psychologique et professionnel de ces personnes. »
6 septembre
Dominique Villemot monte au créneau pour défendre François Hollande face au livre de l'éditorialiste du "Monde" Françoise Fressoz, "le stage est fini". Ainsi, pour cet intime du chef de l'Etat, quand le président explique qu'il n'aurait pas dû supprimer la TVA sociale, il prouve qu'il "n'a pas un ego démesuré et sait reconnaître ses erreurs". Cet hollandiste de la première heure estime d'ailleurs que "ce n’est pas parce que le président n’a pas le comportement d’un monarque condescendant et autoritaire, comme certains de ses prédécesseurs, qu’il ne sait pas où il va."
Le JDD - Hollande : "Si nous avons échoué, Valls ne peut pas gagner"
CARREFOUR DES GAUCHES - La journaliste du Monde François Fressoz publie jeudi sa chronique du quinquennat : Le stage est fini. Elle a recueilli les confidences de plusieurs acteurs de premiers plans, dont François Hollande. C'est ce qui donne toute sa valeur au livre. Jugement critique d'Hollande sur son propre quinquennat, scène étonnante d'un Montebourg déboulant dans le bureau de Moscovici pour lui mettre un marché en main et contenu de l'accord Ayrault-Duflot pour que le premier puisse rester à Matignon après les municipales. Voilà quelques unes des pépites du livre
5 septembre
Le Figaro - Les frondeurs du PS et Mélenchon reçoivent le leader de Podemos
Alors que la gauche française est en pleine restructuration, les responsables consultent leurs homologues européens pour s'inspirer de leurs expériences. Ce week-end, le chef de file du parti antilibéral Podemos Pablo Iglesias est à l'honneur.
Après la diffusion d'une photo choc et en réponse à l'appel de François Hollande et Angela Merkel, le député PS toulousain, C. Borgel, demande aux maires d'accueillir des migrants.
France 24 - Migrants: appel socialiste à la constitution d'un "réseau de villes solidaires"
PARIS (AFP) - Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a lancé jeudi un appel à la "constitution d'un réseau de villes solidaires" qui s'engageraient à accueillir des réfugiés.
Dans un communiqué signé également par Pierre Cohen, le président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (Fnesr), le responsable PS appelle "l?ensemble des élus locaux socialistes et apparentés à prendre leur part, aux côtés des villes qui s?y sont déjà engagées, dans une grande mobilisation pour les réfugiés, afin de structurer un réseau de villes solidaires prêtes à s?engager à accueillir des familles sur leur territoire".
L'Humanité - Benoît Hamon : « L’idée selon laquelle le politique ne peut rien est absurde »
Pour l’ancien ministre, Benoît Hamon, le brouillage des lignes politiques rend le clivage droite-gauche désormais illisible. L’animateur de l’aile gauche du PS veut travailler à l’émergence d’un mouvement et n’exclut pas de participer à des primaires de la gauche en 2017.
4 septembre
Public Sénat - Gérard Filoche : «Manuel Valls ne connaît rien au code du travail»
Gérard Filoche, membre du bureau national du PS et de l’aile gauche du parti, apprécie peu les propos de Manuel Valls (voir la vidéo) qui veut « revoir en profondeur » le code du travail. « Il pense aux patrons, pas aux salariés » affirme cet ancien inspecteur du travail. Manuel Valls veut « faire plaisir à Monsieur Gattaz » selon Gérard Filoche, qui affirme que « plus d’un patron sur deux est un délinquant » car ils ne payent pas les heures supplémentaires. Entretien.
Le Point - Ces ministres qui n'ont pas de métier
La ministre du Travail est l'incarnation d'une singularité française : les membres du gouvernement n'ont souvent rien connu d'autre que la politique ou l'Ena
Le Figaro - 2017 en tête, Benoît Hamon annonce un nouveau mouvement à la gauche du PS
L'ancien ministre de l'Éducation n'exclut pas de participer à une éventuelle primaire de la gauche en vue de la présidentielle.
«Instruit par l'expérience, je considère que l'idée selon laquelle le politique ne peut rien est absurde», lance Benoît Hamon ce jeudi dans les colonnes de l'Humanité. Et l'éphémère ministre de l'Éducation, qui n'avait pas eu l'occasion de suivre une seule rentrée scolaire, entend bien se retrousser les manches pour réussir celle de cette année. Le programme annoncé par le député des Yvelines et figure de la gauche du PS est chargé: il annonce la création d'un nouveau mouvement à l'automne et sa volonté de se porter candidat à une éventuelle primaire de la gauche pour l'élection présidentielle.
Huffington Post - Mea culpa de Hollande: sa déclaration sur la TVA sociale ne trompe personne
Il commence son inventaire bien tôt. À un an et demi de la fin de son mandat, François Hollande regarde déjà dans le rétroviseur pour voir ce qu'il a bien fait et là où il a échoué depuis le début de son quinquennat. Une manière de préparer un peu plus encore une probable nouvelle candidature en 2017. Une manière surtout de se démarquer de son prédécesseur et possible rival; Nicolas Sarkozy n'a en effet jamais procédé publiquement à l'analyse de son passage à l'Elysée.
3 septembre
Libé (octobre 2014) - Myriam El-Khomri. Son nouveau pari
Ce jour de remaniement, elle achetait des chaussures en promotion au BHV, quand son portable a sonné. Dans le vacarme des annonces commerciales, elle captait un mot sur deux. C’était Manuel Valls : «Je te passe le Président.» François Hollande : «Un sujet… important… il va falloir beaucoup travailler.» Difficile de dire non, dans de telles circonstances, surtout lorsqu’on s’attend à tout, sauf à devenir secrétaire d’Etat à la politique de la Ville. Au journal de 20 heures, Valls a écorché son nom. La nuit suivante, Myriam el-Khomri n’a pas fermé l’œil. «Je n’aime pas quand tout va hypervite, on ne maîtrise rien», confie-t-elle. Née quelques jours après Najat Vallaud-Belkacem, elle est la benjamine du gouvernement.
Le Monde - L’ascension éclair de Myriam El Khomri, nouvelle ministre du travail
C’est un léger remaniement qu’ont opéré François Hollande et Manuel Valls, mercredi 2 septembre. En nommant Myriam El Khomri au ministère du travail, en remplacement du démissionnaire François Rebsamen, le président de la République et le premier ministre créent la surprise avec la promotion éclair de celle qui était jusque-là secrétaire d’Etat chargée de la politique de la ville. Son précédent portefeuille sera repris en main par son ministre de tutelle, Patrick Kanner. En revanche, avec ce remplacement poste pour poste, ils limitent la portée politique de ce changement au gouvernement.Elue du XVIIIe arrondissement de Paris, l'ex-adjointe d'Anne Hidalgo est pourtant davantage spécialisée dans les questions de sécurité.
Les Echos - Myriam El Khomri, le pari risqué de François Hollande à l’emploi
La benjamine du gouvernement, qui détenait le portefeuille de la Politique de la ville depuis août 2014, a succédé ce mercredi à François Rebsamen. Le chef de l’Etat a fait le choix du renouvellement et de l’image.
Libé - Les six conseils de «Libé» à Myriam El-Khomri
Tout juste nommée au ministère du Travail, la nouvelle locataire de la rue de Grenelle va devoir user de qualités si elle veut durer à ce poste sensible
Le Figaro - Pour le frondeur PS Baumel, «il ne faut pas enterrer Bayrou» pour 2017
Député d'Indre-et-Loire et figure des frondeurs socialistes, Laurent Baumel juge que face à la lassitude de l'électorat vis-à-vis du duel Hollande-Sarkozy, François Bayrou pourrait créer la surprise.
Le Lab - Le frondeur Laurent Baumel estime que Bruno Le Roux "ne sert à rien"
#PLUTÔTSYMPA - Cela n'a rien de nouveau, les relations entre les membres du gouvernement et les frondeurs n'ont rien d'idylliques. Cependant, un homme ne fait pas (encore?) partie du gouvernement mais provoque quand même l'ire des députés frondeurs. C'est Bruno Le Roux, le patron du groupe socialiste à l'Assemblée et proche de François Hollande.
Le Parisien - PS : Cambadélis et Macron signent la paix des braves
Jean Christophe Cambadélis avait promis une discussion «franche et amicale», l'entretien avec Emmanuel Macron est devenu... «détendu et constructif». Peu importent les termes, le premier secrétaire du PS et le ministre de l'Economie se sont rencontrés lundi après midi à Bercy pour arrondir les angles.
Libé - Jean-Daniel Lévy : «Emmanuel Macron est devenu emblématique»
Le directeur du département politique et opinion de l’institut de sondages Harris Interactive France analyse la cote du ministre de l'Economie.
2 septembre
Le Monde - Pourquoi M. Hollande a décidé de se faire le champion des baisses d’impôts
C’est un regret qui concerne le début du quinquennat mais dont l’aveu éclaire la façon dont le chef de l’Etat envisage la fin de son mandat. Dans un livre à paraître mercredi (Le Stage est fini, Albin Michel, 264 pages, 18 euros), François Hollande fait part à notre collaboratrice Françoise Fressoz du regard critique qu’il porte sur la politique fiscale des débuts de son mandat. « On paie souvent la première loi de finances rectificative, reconnaît le président de la République. Pour Sarkozy, c’était la loi travail, emploi, pouvoir d’achat interprétée comme un cadeau fiscal. Il l’a payé tout son quinquennat. Nous, on a payé les 11 milliards d’impôts nouveaux levés à notre arrivée. »L’ancien premier ministre Jean-Marc Ayrault ne s’en cache plus. Au micro d’Europe 1, le député de Loire-Atlantique s’est dit intéressé par la présidence de l’Assemblée nationale dans l’hypothèse où le titulaire du perchoir, Claude Bartolone, remporterait les élections régionales en Ile-de-France en décembre.Boursorama - Hollande regrette que la gauche française ne soit pas "mature"
PARIS (Reuters) - En plus de trois ans à l'Elysée, François Hollande reconnaît avoir engagé des réformes "qui ne sont pas toutes de gauche" mais il regrette que ses choix aient été critiqués par un Parti socialiste qui manque selon lui de maturité.
Dans un entretien accordé le 9 juillet à la journaliste du Monde Françoise Fressoz, qui en rend compte dans un livre intitulé "Le stage est fini" (Albin Michel) à paraître jeudi, le président fait un constat sévère pour son camp divisé.
Poussée vers la sortie de l'Assemblée nationale par Cécile Duflot, la socialiste Danièle Hoffman-Rispal rêve de prendre sa revanche en 2017. Le parti temporise.
C'était il y a seize mois. Danièle Hoffman-Rispal, députée socialiste emblématique de la 6e circonscription de Paris (11e/20e arrondissements) quittait, «dépitée», son siège du palais Bourbon. Conséquence d'un accord électoral signé avant les législatives de 2012 et du départ de Cécile Duflot du gouvernement. Grâce à Martine Aubry, l'écologiste était parvenue à prendre la place de titulaire dans cette «circonscription en or» pour la gauche, et ce malgré la bronca des socialistes parisiens. Danièle Hoffman-Rispal avait simplement obtenu comme lot de consolation d'être suppléante et de siéger deux ans à l'Assemblée nationale pendant la participation de Cécile Duflot au gouvernement de Jean-Marc Ayrault.
1er septembre
Europe 1 - Régionales : l'impossible union PS-écologistes
N'en déplaise à Manuel Valls, les militants PS ont fait le deuil des alliances électorales avec EELV.
L'appel se voulait le plus solennel possible. Le problème, c'est que personne n'y croit. Dans son discours clôturant l'université d'été du Parti socialiste à La Rochelle, dimanche, Manuel Valls a appelé à des listes communes avec les écologistes dès le premier tour des élections régionales de décembre. "Socialistes, écologistes, radicaux doivent combattre, unis dès le premier tour, dans le Nord-Pas-de-Calais et Picardie, en Provence Alpes-Côte d'Azur, et si possible partout en France", a lancé le Premier ministre. Mais même si Manuel Valls a mouillé la chemise, il n'est pas sûr que cela suffise à transformer cette exhortation en réalité...
France 3 - Le Parti socialiste prépare les élections régionales
L'université d'été du Parti socialiste, à la Rochelle, est l'occasion pour le mouvement de préparer les élections régionales de décembre 2015. Pour cela des ateliers destinés aux élus candidats à ce scrutin sont organisés. L'un d'eux concernait la nouvelle région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes.
Marianne - La Rochelle, "un grand cru", vraiment ?
L'université d'été du Parti socialiste s'achève à La Rochelle. Discordes internes, discussions houleuses avec ses alliés écolos, rien ne va plus. Jean-Christophe Cambadélis a vu sans rire dans cette édition 2015 « un grand cru.
Libé - La Rochelle, une gauche à implosion
Démissions chez les écologistes, débat sur les 35 heures, recomposition des «progressistes»… L’université d’été du PS a montré l’étendue des chantiers de la majorité.
31 août
Le JDD - Réforme fiscale : Jean-Marc Ayrault veut faire "bouger les lignes"
Depuis l'université d'été du PS à La Rochelle, Jean-Marc Ayrault a appelé samedi le gouvernement à mettre en place une vraie réforme fiscale, allant plus loin que le simple prélèvement à la source. L’ancien Premier ministre a écrit à ce sujet un livre avec le député socialiste Pierre-Alain Muet
Le Parisien - Cambadélis à «BFM Politique» : le PS est «social-écologique»
«Le Parisien» - «Aujourd'hui en France» s'associe désormais à BFMTV pour recevoir, chaque dimanche soir, un invité politique. Cette fois, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, est venu débriefer l'intense week-end d'université d'été de son parti, entre divisions et rabibochages.
Manuel Valls a mouillé la chemise, au propre comme au figuré. Le premier ministre, une heure durant et la chemise blanche trempée de sueur, a livré dimanche 30 août un discours de clôture de l’université d’été du PS à La Rochelle dont la nouveauté n’était pas dans des annonces particulières – il n’y en a eu aucune – mais dans sa tonalité.Le Monde - A La Rochelle, Manuel Valls appelle à l’union avec les écologistes pour les régionales
Manuel Valls a opté pour un discours énergique à l’occasion de la clôture de l’université du PS, dimanche 30 août à La Rochelle, sous un soleil de plomb. Un discours plutôt réussi dans la forme, mais sur le fond, aucune annonce ni nouveauté. Le premier ministre s’est appliqué à défendre le cap de sa politique, a appelé à l’union des gauches pour les élections régionales et est revenu sur la crise migratoire à laquelle doit faire face l’Europe.Le Premier ministre a livré un discours habité en clôture de l'université d'été de la Rochelle, portant sur les migrants, le droit du travail, la politique économique, les régionales et la cohésion au sein du PS.
L'Express - Manuel Valls à La Rochelle: la réforme pour le code du travail, pas pour les 35h
En une heure de discours, Manuel Valls a balayé en clôture de l'université du PS tous les sujets du moment, de la polémique Macron au drame des migrants, du FN aux régionales.Boursorama - La Rochelle : Valls appelle au «volontarisme» et à la «constance»
«Il y a un, pour la première fois comme Premier ministre, je concluais cette université dans cette ville où nous nous retrouvons toujours avec plaisir.» C'est par les sentiments que Manuel Valls a attaqué ce dimanche son discours de clôture du traditionnel rendez-vous des socialistes à La Rochelle (Charente-Maritime). L'an dernier en effet, malgré des coups d'éclats pendant le week-end, le chef du gouvernement avait réussi à séduire les militants et se faire généreusement applaudir. Cette fois encore, Manuel Valls, chemise largement trempée de sueur, a misé sur l'assurance que le gouvernement respectait les valeurs traditionnelles du Parti socialiste et recherchait la «constance» et «l'humanité» dans son action, contrairement à «l'opposition» prête à «adopter tous les points de vue» car «pressée de revenir au pouvoir
Libé - Valls : «le code du travail est si complexe qu’il est devenu inefficace»
Lors du discours de clôture de l'université d'été du PS à La Rochelle, le Premier ministre a ouvert la voie à une réforme du code du travail.
Libé - La base du PS tombe sur Macron
A La Rochelle, la déclaration du ministre contre les 35 heures a été au centre des débats entre militants.
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Parité: le secrétaire aux élections du PS "reconnaît qu'il y a des efforts à faire"
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Départementales : Christophe Borgel appelle à l'unité de la gauche pour le second tour
Départementales : Christophe Borgel appelle à l... by publicsenat -
Conférence de presse Christophe Borgel du 23 mars 2015
Conférence de presse Christophe Borgel du 23... by PartiSocialiste -
L'actualité des socialistes du 26 mai au 1er juin (mise à jour)
A la une
Pour soutenir l'appel des 100.... la page Facebook
Page officielle de l'Appel des 100. Parlementaires et responsables socialistes, engagés pour une politique de gauche juste et efficace.
Laurent Baumel : « Sommes-nous morts pour rien? ou pourquoi les députés socialistes se mobilisent »
Le 30 mars 2014, le socialisme municipal s’est effondré en France dans des proportions inattendues et colossales qu’on peine encore à mesurer. L’attention s’est portée sur l’implacable statistique des «155 villes » de plus de 9 000 habitants tombées dans l’escarcelle de la droite et ses conséquences en chaîne sur la direction des grandes communautés urbaines du pays.
Pouria Amirshahi – « Frondeurs » : qui sommes-nous, que voulons-nous ?
ENTRETIEN À POLITIS
Pouria Amirshahi est l’un des « frondeurs » qui n’ont pas voté le pacte de stabilité défendu par Manuel Valls. Il explique sa démarche. Ils ont été 41 députés socialistes à s’abstenir, le 29 avril à l’Assemblée. Un désaveu pour le nouveau Premier ministre et pour François Hollande. Simple avertissement ou amorce d’une contestation durable ? Pouria Amirshahi penche pour la seconde hypothèse.29, 30, 31 mai et 1er juin
Libé - Duflot et Royal réunies autour de Raoni
Le chef amazonien est l'invité mardi d'une conférence sur le climat organisée par Claude Bartolone à l'Assemblée.
Le Monde - Hollande chez les Bleus, un président en quête d'une France qui gagne
Quoi de mieux qu'une visite présidentielle aux Bleus, en cette période post-déroute électorale et pré-Coupe du monde, pour tenter de se requinquer ? Sans doute faut-il y voir les effets du 4 à 0 sans bavure infligé à la Norvège, mardi soir en match amical, conjugués à ceux des 13,98 % recueillis pas le PS aux européennes, mais force est de constater que François Hollande, ces jours-ci, manifeste un intérêt renouvelé pour la France qui gagne : celle du football.
Le Figaro - François Hollande élude la question de sa candidature en 2017
Le président aurait confié à des proches rester «froid» et «indifférent» face au sondage selon lequel seuls 3% des Français le préféreraient comme candidat socialiste à sa propre succession en 2017.
LCP - "Colère" de Cambadélis contre la presse et "une partie" de la classe politique
La presse et "une partie" de la classe politique sont "irresponsables" en ces temps de "crise politique majeure", a accusé mercredi le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, interrogé sur la désaffection des Français à l'égard de François Hollande.
Le Monde - Hollande et Valls ne fléchissent pas face aux députés PS frondeurs
François Hollande a répondu depuis Bruxelles, mardi 27 mai, aux élus socialistes de l'Assemblée réclamant une inflexion à gauche après la débâcle de la majorité aux Européennes. Plus tôt dans la journée, une partie d'entre eux avaient également eu une discussion avec le premier ministre Manuel Valls, venu s'exprimer devant le groupe de l'Assemblée.
Huffington Post, Laurent Baumel - La gauche sait-elle tirer les leçons de son Histoire?
"Peuples et gouvernements n'ont jamais rien appris de l'Histoire" a écrit Hegel. S'il n'est pas toujours aisé, en effet, de tirer des leçons réelles du passé, chaque génération devrait au moins être capable de tirer les leçons de sa propre histoire.
Alors la gauche au pouvoir vient de subir une nouvelle défaite cuisante, on peut se demander si ce n'est pas précisément cette capacité-là qui lui manque.
Paul Alliès - RompreLe résultat des élections européennes mais surtout les réactions de François Hollande et Manuel Valls qui les ont suivies amènent à une conclusion: l'exécutif n'entend plus rien et n'est plus à même de reconstruire une quelconque histoire de la gauche d'ici 2017. Il faut donc rompre avec une politique comme avec un système politique qui peuvent nous conduire à un "désastre obscur".
28 mai
Le Parisien - Devant Valls, des députés de la majorité évoquent «un problème Hollande»
Rien ne va plus au PS. Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes et l'ont fait savoir au Premier ministre Manuel Valls qui les rencontrait ce matin à l'Assemblée nationale.
Le Monde - Qui est responsable de la montée du FN ?
La première place du Front national aux élections européennes du 25 mai marque une rupture dans la vie politique française. Quelles sont les responsabilités des partis traditionnels dans cette déroute ? Après l'avoir diabolisé dans les années 1980, les médias n'ont-ils pas contribué à banaliser le FN des années 2010 ? L'UMP survivra-t-elle à cette percée frontiste ? Comment le PS peut-il encore éviter la perspective d'un 21 avril 2017 ? Comment réduire la fracture entre les perdants et les gagnants de la mondialisation ?
Le Monde - Rythmes scolaires : le décret Hamon a-t-il ouvert la boîte de Pandore?
Certaines ne cachent pas leur enthousiasme, d'autres se perdent dans les justifications. Dans les villes candidates à un « assouplissement » de la réforme des rythmes scolaires, comme le permet pour trois ans de « décret Hamon », le soulagement se fait entendre, même si l'embarras demeure.
Public Sénat - Les députés socialistes accusent le choc des européennes
Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes avec un FN en tête, exprimant leurs inquiétudes aiguës devant Manuel...Les députés socialistes ont accusé fortement le coup mardi du choc des européennes avec un FN en tête, exprimant leurs inquiétudes aiguës devant Manuel Valls et allant, pour l'un d'eux, jusqu'à évoquer un "problème" François Hollande.
Le chef de l’Etat ne sera pas en mesure de se représenter en 2017. La gauche doit se mettre en quête du candidat qui pourra résister à la menace Le Pen.
27 mai
Libé - François Hollande : «L’Europe, elle est devenue illisible, j’en suis conscient»
VERBATIM Le Président s'est exprimé ce lundi soir lors d'une brève allocution télévisée.
Libé - Européennes : Hollande admet la claque, mais garde le cap
Le Président s'est exprimé lundi soir, au lendemain des élections européennes qui ont vu la victoire du FN. Sa «ligne de conduite» ne déviera pas.
Le blog de Françoise Fressoz - Le président sans cartouche
En l'écoutant lundi 26 mai faire sa déclaration aux Français dans le cadre du journal de 20 heures, on comprenait pourquoi toute la journée le président de la République avait hésité à parler.
Que pouvait-il annoncer à son peuple qui, dans la foulée des élections municipales, venait de lui infliger une nouvelle gifle électorale ? Rien et c’est tout le problème.
Les Echos - PS : les « hollandais » sonnés, les frondeurs à l'offensive
Les députés PS sont de plus en plus nombreux à appeler le président à ralentir le rythme de réduction du déficit.
C'est un parlementaire proche de François Hollande qui avoue : « Je ne comprends pas ce qu'on fait. A ce train, on va arriver dans la même situation que Chirac en 1997, à devoir dissoudre » l'Assemblée. C'est un autre parlementaire, toujours un fidèle du chef de l'Etat, qui s'inquiète : « Le président peut bien prendre des initiatives, rien ne passera. Le vote FN devient normal pour certains. L'UMP ne va pas bien, mais, pour le moment, ce n'est pas elle qui est disqualifiée pour le second tour de la présidentielle. »
Le Monde - Européennes : pourquoi le 25 mai est plus grave que le 21 avril
Analyse. Mesurons l'ampleur du séisme politique des élections européennes en France : le 25 mai 2014 est bien plus grave que le 21 avril 2002. Pour trois raisons. D'abord parce que la victoire historique du FN dans un scrutin national ne provoque pas de réaction collective, comme si l'encéphalogramme démocratique restait désespérément plat, là où le 21 avril avait conduit une partie de la société française, notamment de sa jeunesse, à sortir dans la rue et la gauche à se battre pour permettre la victoire de Jacques Chirac contre Jean-Marie Le Pen.
Le Monde - Européennes : 5 enseignements du scrutin passés inaperçus
Après les réactions à chaud, les résultats détaillés des élections européennes fournis par le ministère de l'intérieur permettent de tirer de nouveaux enseignements sur le scrutin du 25 mai.
Le Point - Hollande-Valls : le commando fiscal
Au lendemain du séisme électoral, ils ont recours à la bonne vieille ficelle de la baisse des impôts. Au risque de se contredire et de se répéter.
Les Echos - Le doute s'accroît un peu plus au sommet de l'Etat sur la présidentielle de 2017
Après la déroute de dimanche, les soutiens de François Hollande s'interrogent sur ses chances de se succéder à lui-même.
Ce dimanche, le Parti Socialiste a fait le plus mauvais score aux élections européennes de son histoire et n'a pu que constater la vague bleue marine qui a déferlée dans le pays mais aussi en Midi-Pyrénées. Christophe Borgel, député de de Haute-Garonne et secrétaire national chargé des élections du Parti Socialiste, revient sur cet échec électoral et sur l'avenir du PS.
Les Echos - François Hollande ou le quinquennat bloqué
Sur le plan institutionnel, le scrutin européen ne change rien. François Hollande a été élu pour cinq ans et poursuit son mandat. Mais politiquement, la situation devient intenable, ou presque.
Les Echos - Européennes : le PS a été plus boudé par les salariés du privé que par ceux du public
Ce n’est pas le vote fonctionnaire qui a manqué aux socialistes lors des élections européennes mais celui des salariés du privé.
Direct Matin - Cambadélis (PS) : l'Europe doit "se concentrer sur l'essentiel"
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, a vu dans les résultats aux élections européennes un "message clair" qui est que "l'Europe doit de manière urgente se concentrer sur l'essentiel", l'emploi et la croissance verte.
26 mai
Le JDD - La triste victoire d’Edouard Martin
REPORTAGE - C’est avec la rage de voir le FN en pôle position en France comme dans sa circonscription aux élections européennes qu’Edouard Martin obtient son ticket pour Bruxelles. Récit d’une soirée triste et amère pour l’ancien leader syndicaliste de Florange.
Le Nouvel Obs - Européennes: Hollande veut limiter les dégâts au lendemain de la victoire du FN
Sévèrement désavoué dimanche lors des élections européennes qui ont vu le triomphe du Front national, François Hollande va tenter, dès lundi matin, de tirer avec Manuel Valls les leçons d'un choc électoral qui ébranle la France et l'Europe.
La Tribune - "Il faut de nouvelles baisses d'impôts" (Manuel Valls)
Le Premier ministre estime nécessaire de baisser la fiscalité. Il s'exprime au lendemain de la défaite électorale aux élections européennes pour la majorité.
France Info - Européennes : "Des leçons doivent être tirées" (Elysée)
Après le succès du FN et la déroute du PS dimanche soir, François Hollande réunira Manuel Valls et plusieurs ministres lundi à 08h30. "Des leçons doivent être tirées" de cet "événement majeur", a indiqué l'Elysée. Les européennes sont "un choc", "un séisme" a déclaré le Premier ministre qui a décrit un moment "très grave" pour l'Europe et la France.
Choc, séisme... Ce dimanche soir, dans la bouche des socialistes beaucoup de mots rappelaient ceux prononcés le 21 avril 2002 quand Lionel Jospin avait été éliminé du second tour de la présidentielle. A nouveau troisième d'une élection nationale, le PS subit une seconde déconvenue, deux mois après son camouflet des municipales.