Intervention de Benoît Hamon aux Journées d'été... par agauchepourgagner
benoît hamon - Page 10
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Intervention de Benoît Hamon aux Journées d'été d'AGPG à La Rochelle le 11 septembre 2016
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L'actualité des socialistes du 2 au 8 septembre
ANALYSES
OFCE - Le quinquennat de François Hollande : enlisement ou rétablissement ?
Le quinquennat de François Hollande a été marqué par des difficultés économiques profondes mais également par un début d’embellie cette dernière année de mandat. La France aura donc connu une croissance faible de 2012 à 2014, du fait notamment de la politique de consolidation budgétaire, puis une croissance modérée au-delà.
L’ampleur du choc fiscal en début de quinquennat, dont l’impact négatif sur la croissance avait été sous-estimé par le gouvernement, n’était pas compatible avec une baisse du chômage au cours de la première moitié du mandat.
L’effort d’assainissement des finances publiques aura conduit à un ajustement budgétaire conséquent, en repoussant cependant l’objectif de 3 % de déficit public à la fin du quinquennat. Selon les calculs de la Commission européenne, le solde structurel français (c’est-à-dire le solde corrigé des effets de la conjoncture) se serait amélioré de 2,5 points sur la période 2012-2016. Malgré tout, cet effort n’a pas empêché la dette publique d’atteindre un point haut historique, et de diverger sensiblement par rapport à celle de l’Allemagne.
FRONDEURS
Ils font leur rentrée ce week-end à La Rochelle, sans parvenir à se mettre d’accord sur une candidature unique pour la primaire de la gauche.
En savoir plus surSONDAGEUne très nette désaffection. C'est la principale leçon de l'enquête réalisée par Luc Rouban, directeur de recherche au CNRS, pour le Cevipof et publiée cet été sur la relation entre les enseignants et le PS. Il observe « un affaissement important des intentions de vote en faveur de François Hollande entre janvier 2016 et mai 2016, passant de 30,7 % à 24,3 %. »HOLLANDELe discours était très attendu. Et plus encore que le thème du colloque que François Hollande ouvre "la démocratie face au terrorisme", ce sont les petits cailloux semés par le chef de l'Etat en vue de 2017 qui étaient scrutés. Englué dans les bas-fonds des sondages, encadré par des candidatures dissidentes (Arnaud Montebourg sur sa gauche et Emmanuel Macron sur sa droite), le président de la République était pressé par une partie des siens d'envoyer un signalIl était temps. Même les plus fidèles partisans de François Hollande commençaient à douter de sa capacité à parler à la gauche et à incarner sa possible unité. Les voilà rassurés. Hollande sait encore y faire. Même si un discours, aussi bon soit-il, ne suffira pas pour corriger les manquements et les incohérences de son quinquennat.Tir nourri sur ses adversaires tous bords confondus, anaphores, intentions… Dans le discours le plus percutant de son quinquennat, jeudi à Paris, le chef de l’Etat a posé les premiers jalons de sa future campagne, sans pour autant se déclarer.François Hollande n’a pas fait de déclaration de candidature ou d’annonce surprise dans son discours, jeudi 8 septembre, à la Salle Wagram, à Paris. Il a en revanche défendu son action en allant au-delà du seul thème annoncé de la « démocratie face au terrorisme ». Constitution, cumul des mandats, créations de postes… Retour sur ses principales affirmations.MACRONEn décidant finalement de quitter le gouvernement, Emmanuel Macron a pris un risque calculé. Son pari est que François Hollande ne se représentera pas à l’élection présidentielle et que dans ces conditions il ne doit plus tarder à montrer clairement ses ambitions et à se préparer pour 2017. Ce pari est risqué dans la mesure où, s’il se trompe, il se trouvera dans une situation particulièrement inconfortable. En effet, son départ du gouvernement à lui seul ne lui permettra pas de se présenter contre le président sortant si, déjouant ses calculs, celui-ci se représente. L’image de Brutus serait alors trop prégnante. Il aurait fallu que Macron quitte beaucoup plus tôt le gouvernement et sur une rupture radicale pour pouvoir légitimement se présenter contre François Hollande. Ce ne fut pas le cas. Si le président se représente, il devra donc faire exploser sa fusée porteuse à peine lancée. Fâcheux. Tout repose donc sur le calcul du retrait probable de ce dernier. Ce calcul est-il juste ?Challenges -Pourquoi Macron est obligé d’être candidat socialiste, malgré lui
Un sondage TNS SOFRES pour Le Figaro montre que Macron est surtout perçu par les électeurs de gauche comme un candidat socialiste avant tout tandis que son succès dans l’électorat de droite est faible. A lui d’en tirer les leçons en renonçant à son credo ni gauche, ni droite
MONTEBOURG
Le JDD - SONDAGE. Primaire du PS : le match Hollande-Montebourg
Selon notre sondage Ifop-JDD, la primaire organisée par le PS s'annonce serrée. S'il devance un peu Arnaud Montebourg au premier tour, François Hollande pourrait être confronté à un second tour très compliqué.
HAMON
L'Express - Primaire à gauche: Benoît Hamon crée son micro-parti, baptisé "Elpis"
Le candidat de l'aile gauche du PS vient de créer son parti de poche pour recevoir des dons en vue de financer sa campagne pour la primaire à gauche.
KIMELFELD
Lyon Première - "J'ai très envie d'être maire de Lyon" David Kimelfeld (PS)
David Kimelfeld, maire du 4ème arrondissement et premier fédéral du PS du Rhône, a été désigné par Gérard Collomb comme son dauphin pour les élections de 2020.
JACQUEMAIN
L'Humanité - Dans les entrailles du hollandisme
Un ex-conseiller de Myriam El Khomri lève le voile sur la genèse de la loi travail. Un voyage hallucinant où l’on découvre qui détient le vrai pouvoir.
On ne ressort pas indemne du « petit bout de chemin » dans les entrailles du pouvoir de la présidence Hollande que raconte Pierre Jacquemain. Ex-conseiller « stratégie » de la ministre du Travail, Myriam El Khomri, il a démissionné en février de ses fonctions, précisément en raison de son opposition à la loi qui porte désormais le nom de son ancienne patronne. L’auteur d’Ils ont tué la gauche (Fayard, 198 pages, 16 euros) lève aujourd’hui « le voile sur la fabrique de la politique » du quinquennat finissant, depuis cet observatoire ô combien privilégié.
CAROLINE FOUREST
Menteuse, vous avez dit menteuse ?
La Cour d’appel de Paris vient de confirmer ce que je disais sur le plateau d’On n’est pas couché en mai 2015. Elle a constaté que depuis janvier 2015, soit plusieurs mois avant l’enregistrement de cette émission, la plainte que me reprochait Aymeric Caron était bien prescrite. J’ai donc bien gagné le procès intenté par Madame Rabia Bentot, condamnée à me verser 4000 euros pour frais de procédure.
IDEES
Le Monde - Une révolution conservatrice qui avance à visage découvert, Par Daniel Lindenberg
« Déchéance de nationalité », « constitutionnalisation de l’état d’urgence », « expliquer le terrorisme, c’est déjà l’excuser », « tous pouvoirs à la police »… Que ces mots et ces déclarations d’intention soient à présent ceux d’un gouvernement de gauche devrait stupéfier. C’est tout de même le cas pour certains. Mais même ceux-là savent-ils vraiment comment « en un plomb vil l’or pur s’est-il changé » ? Que Jean Racine nous pardonne, mais l’Olympe n’a rien à voir dans cet affaissement des principes républicains les plus basiques.
ISLAM
Quelle instance représentative pour les musulmans de France? Comment financer les lieux de culte? Comment former les imams? Alors que les interrogations se multiplient dans un pays en proie à la violence djihadiste, notre spécialiste religion Henri Tincq et l'islamologue Rachid Benzine font le point.
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Benoit Hamon : "Il faut une primaire de toute la gauche"
Benoit Hamon : "Il faut une primaire de toute... par francetvinfo -
Benoît Hamon était l'invité de RTL le 26 août 2016
Benoît Hamon était l'invité de RTL le 26 août 2016 par rtl-fr -
Benoît Hamon : "Il y a des choses positives dans ce quinquennat, mais nous avons échoué sur la question sociale"
Benoît Hamon : "Il y a des choses positives... par franceinter -
Benoît Hamon : Il faut abroger la loi travail mais continuer à négocier
Benoît Hamon : Il faut abroger la loi travail... par franceinter -
B. Hamon annonce sa candidature à la Primaire au JT de 20h de France 2 - 16/8
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Présidentielle 2017 : Benoît Hamon se lance dans la primaire à gauche
L'ancien ministre Benoît Hamon a annoncé mardi soir sa candidature à la primaire de la gauche lors du journal télévisé de France 2. Une candidature attendue et qui se veut représentative d'une alternative à gauche. Un créneau déjà revendiqué par Arnaud Montebourg, qui devrait officialiser sa candidature dimanche.
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L'actualité des socialistes du 1er au 14 juillet (revue de presse bi-mensuelle.... en été)
A LA UNEPromenade des anglais, Nice, Marc ChagallC’est un texte important, capital même, que nous publions ci-dessous. Il a pour objectif de faire entendre la voix de cette majorité dite "de culture musulmane", qui rejette l’islamisme et revendique la laïcité et l’universalisme. Contrainte au silence par la menace, les pressions, les compromissions, elle veut aujourd’hui réaffirmer son existence et ses convictions auprès des pouvoirs publics, des politiques, de l’opinion. Ce que pensent les personnes qui ont signé et signeront cet appel est aujourd’hui systématiquement nié, non seulement par les islamistes mais aussi par leurs complices conscients ou inconscients. A "Marianne", nous considérons comme nos compagnons de route les plus exposés de ces femmes et de ces hommes de parole. Nous savons que, dans leur sillage, s’inscrit la multitude des âmes libres. A l’heure des tragédies qui menacent nos valeurs, l’écouter constitue une urgence vitale...En 2007, j’écrivais un livre intitulé « les ghettos de la République » dans lequel j’ai voulu dépeindre la réalité d’une situation que je connais bien. J’y racontais sans fards, la vie des quartiers au quotidien, j’y décrivais la violence, l’économie parallèle, la place prise par les fondamentalistes musulmans, les difficultés d’intégration et la misère. Depuis, c’est la société dans son ensemble qui s’est beaucoup dégradée comme si nous n’étions plus capables de répondre aux défis de l’intégration. Allons-nous laisser l’islamisme et le Front national remplir ce vide, pour notre avenir et pour notre pays ? C’est l’équation historique à laquelle nous devons répondre.ANALYSES
David Chopin - Non, la social-démocratie n’est pas l’accord d’entreprise…
Prenons le temps de la réflexion et du long terme pour comprendre la véritable signification de la « Loi Travail ». Les débats se sont achevés hier, avec l’utilisation de l’article 49.3. Ce texte est un ensemble (trop) touffu de dispositions, dont la rédaction de l’article 2 a finalement fait l’objet du plus de polémiques. Gageons qu’il ne va pas, à lui seul, créer « l’inversion de la hiérarchie des normes ». Mais il participe à un mouvement de fond de la forme iconoclaste de la social-démocratie à la française.Adeptes du 49.3 à l’Assemblée, les dirigeants socialistes ne semblent pas plus apprécier le débat au sein de leur propre parti. Un constat confirmé par l’annulation de l’université d’été par Jean-Christophe Cambadélis ? Entretien avec Rémi Lefebvre.Rémi Lefebvre est professeur de sciences politiques à l’université de Lille 2, et chercheur au CERAPS. Spécialiste du Parti socialiste, il décrit son « autodestruction » en cours.
Professeur de science politique à Paris 8, Yves Sintomer interroge notre système démocratique actuel, où citoyens et élus n'ont plus prise sur les décisions importantes. Et avertit : si on ne redonne pas du pouvoir au peuple, on court à la catastrophe.
FRONDEURS
Député socialiste d’Indre-et-Loire, Laurent Baumel s’est « démené », mercredi 6 juillet, pour déposer une motion de censure contre le gouvernement sur le projet de loi travail. En vain.Comme lors du premier 49.3, au mois de mai, vous n’êtes donc pas parvenu à déposer une motion de censure de gauche. Comment cela se fait-il qu’une fois encore, vous n’ayez que 56 signataires, au lieu des 58 requis ?
Nous avons gagné des voix par rapport à la première fois, mais nous en avons aussi perdues. Il y a eu quatre « entrants » et quatre « sortants ». Yann Galut [PS, Cher] n’a, par exemple, pas signé cette fois car il se situe déjà dans l’après, la primaire, dans laquelle il veut soutenir un autre candidat que François Hollande. Il ne voit pas l’intérêt de cet acte symbolique sans effet concret. Il est sur un autre raisonnement politique et stratégique. Tout comme Karine Berger [PS, Hautes-Alpes] qui, comme lui, appelle pourtant à la démission de Manuel Valls. Mais je n’en veux à personne.
Rupture de ban au PS. Le député du Gard Patrice Prat a annoncé mardi 12 juillet sa décision de quitter le Parti socialiste et le groupe socialiste à l’Assemblée nationale.L’élu, proche d’Arnaud Montebourg, explique sur son site vouloir être « cohérent sur toute la ligne » après avoir signé, à deux reprises, en mai et en juillet, des projets de motion de censure du gouvernement.
Le Monde, Les décodeurs - Après la loi travail et les 49.3, qui sont les frondeurs de la majorité PS ?Depuis l'arrivée de Manuel Valls à Matignon, ils sont le poil à gratter de la majorité. Les « frondeurs », tantôt une poignée, tantôt une centaine, mettent en garde le couple exécutif contre une dérive trop social-libérale.
Qui sont-ils ? Vote après vote, sorties médiatiques après coups d'éclat, forment-ils un groupe cohérent ou une nébuleuse à géométrie variable ?
Après l'échec de la deuxième tentative de « motion de censure de la gauche » contre la loi travail, Les Décodeurs font le bilan, en visualisant le rapport de force, au travers de onze grands événements en forme de plébiscite ou de motion de défiance.
Chaque bulle représente un député socialiste. En cliquant dessus, vous pouvez la mettre en évidence pour la suivre plus aisément. A l'aide du menu, parcourez les événements pour voir évoluer le rapport de force entre les loyalistes et les frondeurs.
BUDGET
Après une baisse continue depuis 2013, les dépenses de l’Etat devraient repartir à la hausse en 2017. Dans ce dernier budget du quinquennat avant l’élection présidentielle, elles s’élèveront à 388,5 milliards d’euros (hors charge de la dette et pensions), contre 385,9 milliards d’euros en loi de finances initiale en 2016, le gouvernement ayant décidé de dégager 7 milliards d’euros supplémentaires en faveur des trois secteurs considérés comme prioritaires : sécurité et justice, éducation et emploi.FRANCELes dernières élections, aussi bien nationales que départementales et régionales, ont montré combien les fractures territoriales étaient devenues un enjeu majeur. Un document publié jeudi 7 juillet par France Stratégie, l’organisme de réflexion et d’expertise rattaché au premier ministre, montre que les inégalités territoriales se sont creusées entre 2000 et 2013. Les métropoles, Paris en particulier, concentrent l’activité à haute valeur ajoutée et les populations qualifiées. Le Nord-Est et le Centre ont notamment décroché par rapport au reste du pays. Les villes moyennes et les territoires peu denses se fragilisent.BAPINTERVIEW - Selon Jean-Michel Baylet, ministre et ancien président du PRG, "le pacte fondateur" de la Belle Alliance populaire "est rompu".PSCe week-end, l’Université d’été de la fédération socialiste des Pyrénées-Atlantiques a été violemment interrompue par des militants souhaitant empêcher son bon déroulement.
MACRON
Le Monde - Macron prend le large, Hollande reste impassible
Emmanuel Macron n’a plus de limites. Le ministre de l’économie s’est appliqué à le démontrer dans un discours de plus d’une heure, prononcé mardi 12 juillet à l’occasion du premier meeting de son mouvement En Marche ! « Ce mouvement, rien ne peut plus l’arrêter (…) Nous le porterons jusqu’en 2017 et jusqu’à la victoire », a-t-il conclu sous les applaudissements et les « Macron président ».M. Macron n’a pas fait là que confirmer sa stratégie des derniers mois – l’affichage d’une offre politique innovante au-delà des clivages partisans. Il s’est offert, aussi, une démonstration de force, celle d’« un rassemblement large, fort, volontaire, de toutes celles et ceux qui veulent juste changer le pays ». Et, surtout, il a affirmé, sans vergogne mais sans toutefois jamais mordre formellement le trait, une ambition, la volonté de « commencer à écrire une nouvelle histoire ». La sienne.
Boursier.com - Manuel Valls sonne la charge contre Emmanuel Macron
PARIS (Reuters) - Manuel Valls a ouvertement déclaré la guerre à Emmanuel Macron mercredi, au lendemain du meeting parisien du ministre de l'Economie, en l'accusant de "céder aux sirènes du populisme" et de dénigrer un "système" dont il est le "produit".
Le Figaro - Macron fait un pas supplémentaire vers 2017
Le ministre a tenu son premier meeting parisien mardi soir. Il a assuré vouloir porter son mouvement «jusqu'à la victoire».
Emmanuel Macron a franchi un pas vers la présidentielle. Assez petit pour ne pas franchir la ligne rouge. Suffisant pour rendre sa situation vite intenable au gouvernement… Avec un certain talent, le ministre de l'Économie a entraîné la Mutualité jusqu'aux frontières de la rupture. «Imaginez où nous serons dans trois mois ; dans six mois ; dans un an!» a-t-il lancé aux militants de son mouvement En marche!, attisant leur envie d'en découdre. Des «Macron président!» ont d'ailleurs fusé dans l'assemblée.
La Tribune - Valls et Macron : c'est la lutte finale !
A la veille de l'interview télévisée du président de la République du 14 juillet, Manuel Valls et Emmanuel Macron ne prennent plus de gants. Le Premier ministre veut la tête de son ministre de l'Economie, dont il dénonce le positionnement « antisystème ». Le président du mouvement en Marche agace ses collègues par ses ambiguïtés calculées, mais ménage François Hollande. Pas sûr que le chef de l'Etat sonne demain la fin de la partie tant la guerre sans merci entre ses deux dauphins le sert... pour l'instant.
Par Timothée Duverger, chargé de cours à l’Institut d’études politiques de BordeauxDans ses mémoires publiés en 2010, Si ça vous amuse. Chronique de mes faits et méfaits (J’ai lu, réédition, 2014), Michel Rocard raconte avoir donné « comme ministre […] un puissant coup d’accélérateur à l’économie sociale ».
Il n’est pas rare que de tels récits soient autant des reconstructions de la réalité historique que des justifications des décisions prises. Rien de tout cela avec Michel Rocard. Il y apporte un témoignage précis et éclairant sur la décennie 1974-1983 qui l’a conduit de l’utopie autogestionnaire à l’institutionnalisation de l’économie sociale.
Libé - Rocard l’intellectuel,Auteur de plus de quarante livres, l’ex-Premier ministre s’entretenait régulièrement avec le philosophe Paul Ricœur. A la passion mitterrandienne, le père de la «deuxième gauche» répondait par la rigueur intellectuelle. Il voulait convaincre plus que persuader.
Le Monde - Michel Rocard, un esprit réaliste, voulant réconcilier la gauche et l’économie
Dans Le Monde, Daniel Cohen, président du Conseil d'orientation scientifique de la Fondation Jean-Jaurès, et Gilles Finchelstein, son directeur général, reviennent sur le parcours et la personnalité de Michel Rocard.
Michel Rocard est mort. C’est la vie politique française tout entière qui est en deuil. Il ne s’agit pas, ici, à chaud, de dresser un bilan: le recul est trop court, la place trop limitée, le chagrin trop présent. Il faut essayer, simplement, de commencer à prendre la mesure de la richesse et, surtout, de l’actualité de cet homme. Il faut tenter de penser ce que, avec lui, la « deuxième gauche » a apporté à la gauche et à la France.
Libé, L.Joffrin - Michel Rocard, un homme moderne
Pionnier de la social-démocratie, mentor d’une génération de socialistes, l’ancien Premier ministre au phrasé caractéristique est mort samedi à 85 ans des suites d’un cancer. Il laisse des réformes essentielles et un sens aigu de la morale en politique.
L'Express - La dernière interview de Michel Rocard, un testament politique
Le 23 juin dernier, Michel Rocard se confiait aux journalistes du Point. Une dernière intervention médiatique qui sonne comme un testament politique, ce dimanche, au lendemain de sa mort.
Le Point - Michel Rocard : sa toute dernière interview
VIDÉO. L'ancien Premier ministre nous avait accordé le 8 juin dernier un entretien-fleuve. Un testament politique qui prend tout son sens aujourd'hui
L'Obs - Économie : ce que Michel Rocard a apporté à la gauche et au Parti socialiste
LE PLUS. Michel Rocard, mort samedi 2 juillet à l'âge de 85 ans, était une figure marquante de la politique française. Premier ministre de 1988 à 1991, théoricien de la "deuxième gauche", il avait fait de l'économie l'un de ses sujets de prédilection. Qu'a-t-il apporté à la gauche en la matière ? Éclairage de l'historien Mathieu Fulla, auteur de "Les socialistes français et l'économie (1944-1981)".
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Polémique attentat de Nice : Benoit Hamon (PS) demande que l'on "reprenne de la hauteur"
Polémique attentat de Nice : Benoit Hamon (PS... par FranceInfo -
Benoît Hamon sur la loi Travail: “Le Premier ministre, dans cette affaire, ramène tout à lui”