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actualité - Page 73

  • PS - Christine Pires-Beaune : à quand des contreparties pour ceux qui fraudent vraiment ?

  • RFI - Stéphane Troussel (PS): «Il y a besoin pour cet exécutif de reconnexion au terrain»

    Stéphane Troussel, Président du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et Secrétaire national du Parti socialiste, était ce jeudi 21 février l’invité du matin de RFI. Il répond aux questions de Frédéric Rivière.

  • Affaire Benalla : le Parti socialiste salue la persévérance et le travail des sénateurs

    Il y a des contre-attaques parfois grossières. Celle du Premier ministre en fait partie. Ce qui est attendu du pouvoir exécutif, ce sont des explications sur l’implication de l’entourage proche du Chef de l’État dans l’affaire Benalla, pas la disqualification du travail méthodique et documenté des sénateurs. Pour la République en marche qui porte bien mal son nom, les bonnes commissions sont celles qui n’enquêtent pas et qui ne rendent pas des conclusions comme la majorité en a fait l’éclairante démonstration à l’Assemblée Nationale.
     
    Le scandale ce n’est pas que la vérité avance. Le scandale d’État c’est qu’à chaque étape l’Elysée a tout fait pour protéger, camoufler, distraire. Sans la détermination et la persévérance de la presse et du Sénat, rien ne serait aujourd’hui dénoncé et les petits arrangements entre amis se poursuivraient. Il est temps que le Président de la République s’exprime.

  • Faure appelle Macron, sur RTL, à être présent à la Marche contre l'antisémitisme

  • Le Parti socialiste appelle à un sursaut de la France dans la protection des Kurdes de Syrie

    Alors que les États-Unis ont annoncé le retrait prochain de leurs troupes présentes en Syrie dans le cadre de la Coalition internationale contre l’organisation terroriste État Islamique, le Parti socialiste exprime sa vive inquiétude pour le sort du peuple kurde.
    Les Forces démocratiques syriennes, dont la majorité des combattants est kurde, ont confirmé qu’elles étaient nos alliées indéfectibles contre le terrorisme djihadiste.

    Le Parti socialiste observe que, malgré le discours dominant aujourd’hui sur l’imminence d’une victoire finale contre Daech, ce qui aura pour effet d’accélérer le retrait des troupes américaines, l’organisation constitue une menace persistante en Syrie comme en Irak, et par conséquent en Europe. Le retrait des troupes américaines pourrait également précipiter une intervention militaire de la Turquie qui visera essentiellement les forces et les autorités civiles kurdes, et non pas les groupes djihadistes.

    Face aux risques d’un retrait américain impréparé qui aurait de lourdes conséquences sur le sort des Kurdes du nord-est de la Syrie et sur la relance d’un processus menant à une transition en Syrie, le Parti socialiste interpelle le président de la République et le gouvernement français pour que :

    • le relais d’une zone d’exclusion aérienne dans le nord-est de la Syrie soit assumé par la France et des alliés européens afin de prévenir tout bombardement de la Turquie ou du régime syrien ;
    • un engagement actif pour que la requête d’autonomie des Kurdes et leur contribution à la sécurisation de la frontière avec la Turquie soient prises en compte dans la relance des négociations sous l’égide de l’ONU.

    Le Parti socialiste considère que les autorités actuelles d’Ankara ont prouvé en Turquie leur mépris pour l’exercice des droits de la communauté kurde qu’elles assimilent au terrorisme, même quand il s’agit de forces démocratiques pacifistes et démocratiquement élues. Les menaces que la Turquie profère régulièrement contre les Kurdes de Syrie font craindre le pire, et constituent également un danger pour les forces spéciales françaises présentes en Syrie. Il est urgent que la France et les alliés volontaires de l’UE unissent leurs efforts pour prévenir les conséquences du retrait unilatéral américain.

  • Regards, Gaël Brustier - Parti socialiste : la maison des destins croisés

    Après Hollande, avec Macron, les socialistes ont complètement perdu le Nord. C’est comme si plus personne dans la maison PS n’était capable de trancher sur la ligne à adopter : la social-démocratie ou le libéralisme ?

    Le Parti socialiste, (re)fondé en 1971 par François Mitterrand, allié à la droite et à la gauche de ce parti, contre un centre qui lui résistait en vain, a porté au pouvoir avec le présidence Hollande des idées en phase avec le consensus doctrinal de l’Union européenne et un personnel politique davantage soucieux de plaire aux milieux dirigeants de l’économie globalisée qu’à la base électorale historique de la gauche.

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  • Le Parti socialiste demande au ministre Blanquer de renoncer à supprimer le CNESCO

    Installé le 28 janvier 2014, dans le cadre de la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’École de la République, le Conseil national d’évaluation du système scolaire (CNESCO) a pour mission d’évaluer, en toute indépendance et en toute transparence, l’organisation et les résultats de l’enseignement scolaire. Ces travaux sont reconnus pour leur qualité, leur rigueur scientifique, leur originalité. Surtout, ils contribuent à améliorer les pratiques éducatives sur le terrain et à faire évoluer les politiques publiques de manière constructive.

    Le 14 novembre dernier, à l’Assemblée nationale, le ministre Blanquer s’est opposé au maintien du budget du Cnesco. Dans le projet de loi sur « l’école de la confiance », il prévoit désormais de le remplacer par une nouvelle instance, le « Conseil d’évaluation de l’école », dont une partie des membres relèverait directement du ministère de l’Éducation nationale qui se trouverait alors juge et partie de ses propres politiques éducatives.

    Face à la levée de bouclier qu’a suscitée la suppression programmée de l’évaluation indépendante de l’école, le ministre a dû reculer.

    Il prétend depuis l’automne transférer le CNESCO dans un nouvel environnement universitaire. Mais la réalité est tout autre : à l’heure où les députés de la majorité s’apprêtent à voter la suppression du CNESCO, aucune mesure concrète ne garantit la poursuite de l’évaluation indépendante de l’école.

    Cette stratégie du leurre est surprenante et inquiétante pour l’évaluation indépendante de l’école.

    Le ministre Blanquer ne semble pas supporter qu’une instance indépendante, ne procédant pas de lui, porte un regard indépendant sur les politiques ministérielles engagées. Il préfère la supprimer plutôt que de ne pas la contrôler. Mais comment celui qui prétend tout évaluer, avec une certaine frénésie, peut-il vouloir supprimer une instance qui en a fait son domaine d’expertise des politiques publiques ?

    Le système éducatif a besoin d’évoluer, de se transformer, de ne plus reproduire – quand il ne les aggrave pas – les inégalités sociales. Le CNESCO est l’un des outils de cette ambition pour l’école de la réussite de tous les élèves. L’enjeu n’est pas aujourd’hui de supprimer le CNESCO, mais de conforter son action.

    C’est pourquoi, aux côtés de nombreux acteurs de la communauté éducative – enseignants, parents d’élèves, lycéens… qui ont adressé récemment une lettre ouverte au ministre Blanquer – le Parti socialiste tient à renouveler son plein soutien au CNESCO dont la disparition porterait préjudice à l’école. En conséquence, les députés socialistes défendront son maintien dans l’hémicycle à l’occasion de l’examen de la disposition dans les heures à venir.

  • Public Sénat - L'adieu à Solférino

    Septembre 2018. Le parti socialiste est obligé de quitter son siège du 10 rue de Solférino à Paris. Acquis en 1980 avant l´élection de François Mitterrand, il était devenu la vitrine de la gauche de gouvernement, celle des victoires comme celle des renoncements. Avec l´élection de François Hollande en 2012, le PS n´a jamais été aussi dominateur. Cinq ans plus tard, il s´effondre, renversé par la révolution promise par Emmanuel Macron, comme si l´identité socialiste s´était d´un coup dissoute. Comment passe-t-on si vite du tout au presque rien ?

    Parmi les intervenants du documentaire : François Hollande, Michel Sapin, Arnaud Montebourg, Jean-Marc Ayrault, Christian Taubira, Jean-Christophe Cambadélis, Olivier Faure, Julien Dray, Aquilino Morelle, Richard Ferrand, Myriam El Khomri, Christia, Paul, Jean-Marie Le Guen...

    Un film de Grégoire Biseau et Cyril Leuthy. Une production TS Productions/ et Public Sénat.

    Le Monde - « L’Adieu à Solférino » : des souvenirs plein les cartons

    Grégoire Biseau et Cyril Leuthy ont suivi le déménagement du siège historique du Parti socialiste.

    Déménager est rarement anodin. En quittant un lieu dans lequel on a vécu ou travaillé longtemps, on laisse des souvenirs, on s’interroge sur l’avenir, on réalise le temps qui passe. Tourné en septembre 2018 à l’intérieur et dans la cour du bel hôtel particulier de la rue de Solférino, dans le très bourgeois 7e arrondissement parisien, siège historique du Parti socialiste français depuis 1981, ce documentaire raconte, à travers le déménagement du PS des beaux quartiers de la capitale à la proche banlieue encore populaire (Ivry-sur-Seine) et les nombreux témoins interrogés, une époque mouvementée de l’histoire politique française.