L'invité : Benoit Hamon - La Nouvelle Edition... par lanouvelleedition
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L'invité : Benoit Hamon - La Nouvelle Edition - 11/10/2016
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Telos - La solitude du président Gérard Grunberg 28 septembre 2016
Dans sa récente interview à la revue Le Débat (n°191, septembre/octobre 2016), François Hollande regrette d’avoir manqué de partenaires et d’alliés pour pouvoir mener sa politique. Il soulève à ce propos un point important qu’il analyse comme l’un des vices de la Ve République : « En France, le président, même avec une majorité absolue à l’Assemblée nationale, est minoritaire dans le pays, par la nature même du système politique et des clivages structurés par l’élection présidentielle. » Il remarque en effet que le parti majoritaire ne représente dans le pays qu’entre un quart et un tiers des voix. « À la différence des pays parlementaires, poursuit-il, où les dirigeants, grâce à des coalitions, peuvent s’appuyer sur des majorités larges, le président français ne bénéficie en réalité que d’une assise étroite dans le pays ». Cette situation du président sera demain sans issue, ajoute-t-il, puisqu’élu face au Front national, il le sera « par défaut et non par adhésion. La contestation de son action est inscrite dans les données du scrutin », conclut-il.
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Primaire PS : si François Hollande gagne, Arnaud Montebourg "acceptera le résultat" mais ne fera pas "le chauffeur de salle"
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L'actualité des socialistes du 30 septembre au 6 octobre
A LA UNE : PAUL ALLIES
Paul Alliès - Et si les «Primaires citoyennes» étaient le début d’autre chose
Le Conseil national du PS a adopté ce dimanche 2 octobre une résolution (accompagnée d’un vade-mecum détaillé) pour l’organisation de « Primaires citoyennes ». Les conditions pourraient être réunies pour qu’elles ne restent pas au stade de l’opération pro-Hollande telle qu’imaginée par la direction du parti.Les péripéties de l’idée même de Primaire chez les socialistes mériteraient un récit spécifique : entre le 7 juin 2015, quand la majorité du congrès de Poitiers l’enterre, en passant par le 10 janvier 2016, date de l’appel à « Notre Primaire » lancé par un collectif pluraliste, jusqu’à une résolution du Conseil national du PS le 18 juin dernier, le cheminement de la direction Cambadélis aura été contradictoire et erratique. Disons qu’elle est passée de l’hypothèse même d’effacer les Primaires des nouveaux statuts du Parti dans un congrès extraordinaire, à la défense d’une Primaire a minima, réduite au périmètre improbable et restreint de la Belle Alliance Populaire. Le vote de ce dimanche ouvre une nouvelle séquence : les doutes sérieux qui pesaient sur l’organisation du scrutin ont été levés ; celui-ci est ouvert à toute la gauche tant pour ses éventuels candidats (jusqu’au 15 décembre) que pour ses électeurs (les 22 et 29 janvier 2017). La bataille opiniâtre menée par Christian Paul et la gauche du parti (essentiellement le courant « A gauche pour Gagner ») a donc fini par l’emporter. Les résistances de l’appareil, tout entier tourné vers la satisfaction des besoins changeants de François Hollande, ont bel et bien été vaincues.MELANCOLIECHRISTIAN PAUL
LCI - Frondeur du PS : avec Valls, "le verbe a remplacé l'action"
TIEDE BILAN - Invité de "24 Heures en questions" sur LCI mardi soir, le député PS Christian Paul a éreinté le bilan de Manuel Valls. Ce "frondeur" socialiste fustige le bilan "tiède" du gouvernement et juge que la primaire devra trancher les désaccords de la gauche.
PRIMAIRE DE LA GAUCHE
Le Lab - Pour Cambadélis, si Hollande ne va pas à la primaire, "le PS explose"
Jean-Christophe Cambadélis souhaite que François Hollande soit candidat à la primaire de la BAP. Le soutien du Premier secrétaire du PS au président de la République est connu. Mais ce dimanche 2 octobre, le député de Paris va plus loin et conditionne la survie de son parti à la candidature du chef de l’État.
Public Sénat - Primaire de la gauche : un front anti-Hollande peut-il l’emporter ?
Un sondage donne Arnaud Montebourg vainqueur face à François Hollande à la primaire de la gauche. Le rassemblement des frondeurs, autour notamment de Montebourg-Hamon-Lienemann, se prépare.
« Le scenario n’est pas écrit. A la présidentielle, ce n’est jamais le scénario prévu 6 mois avant qui se réalise ». Marie-Noëlle Lienemann est remontée comme une pendule. La candidate à la primaire de la gauche, dont les modalités viennent d’être arrêtées, y croit. La gauche du PS pourraient réussir à « battre la ligne Hollande-Valls pour redonner une chance à la gauche d’être au second tour de la présidentielle » espère la sénatrice de Paris.
Libé - Montebourg (bien) candidat à la primaire
L'ancien ministre a confirmé dimanche sa candidature à la primaire de la Belle Alliance Populaire, dont les modalités d'organisation ont été précisées par le PS. Ce lundi, un sondage le donne vainqueur du scrutin.
FEKL
Il entend réunir « des jeunes, des intellectuels, des élus de toutes les tendances du Parti socialiste (PS), des sympathisants », pour « alimenter le débat public ». Le secrétaire d’Etat au commerce extérieur, Matthias Fekl, va lancer son propre mouvement « pour la vie des idées et des alternatives », baptisé « Movida », a-t-il annoncé au magazine L’ExpressMatthias Fekl, secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, a lancé ce mardi 4 octobre au soir son propre mouvement destiné à "alimenter le débat public" d'ici à la présidentielle. Le jeune ministre, "très critique du social-libéralisme" pourra servir d'atout à un François Hollande en pleine quête de légitimation à gauche.HOLLANDEBercy publie un rapport détaillant les hausses et les baisses d'impôts sur le quinquennat, en triant ce qui est imputable à l'administration actuelle, et ce qui l'est à celle de Nicolas Sarkozy.Un intime de François Hollande envoie aux secrétaires fédéraux du PS un message appelant à soutenir la candidature du chef de l'État à la présidentielle 2017.MACRONDans un débat avec Jean-François Kahn organisé par "Marianne", Emmanuel Macron se positionne sur le sujet de la laïcité, s'opposant vivement aux appels "à la discrétion" des musulmans de Jean-Pierre Chevènement et Manuel Valls. Il estime que la République est "ce lieu magique qui permet à des gens de vivre dans l'intensité de leur religion" et pense qu'un catholique pratiquant, par exemple, peut "considérer que les lois de la religion dépassent les lois de la République", "dans sa conscience profonde". Extrait.« L’État doit donner plus de souplesse au marché du travail », « Le libéralisme est une valeur de gauche », « Le statut de fonctionnaire est de moins en moins défendable », « Il y a la politique des artisans et la politique des fainéants »… Qui a dit cela ? Emmanuel Macron.
Temps de travail, indemnisation chômage, statut des fonctionnaires, modèle social… Les auteurs décryptent la vision de l’économie et de la société française du jeune ex-ministre (38 ans) et montrent que, derrière un discours qui s’affiche comme « moderne », se cache une vision de l’économie dépassée, héritière du libéralisme du XIXe siècle.
JEUNESSE
Marianne - La Cour des comptes dézingue les emplois aidés pour les jeunes
Ce cadre posé, l’explosif rapport de la Cour des comptes sur « L’accès des jeunes à l’emploi », rendu public ce mercredi 5 octobre, éclaire comment les pouvoirs publics ont en partie aggravé le sort de la jeunesse tricolore en dirigeant des bataillons de moins de 25 ans vers des contrats aidés (CUI-CIE, CUI-CAE de 20 heures puis des emplois d’avenir) dans les entreprises et plus encore dans les administrations - 160 000 bénéficiaires fin 2014 ! -, plutôt que vers des formations qualifiantes en alternance (apprentissage ou contrat de professionnalisation).
Cour des comptes - L’accès des jeunes à l’emploi : construire des parcours, adapter les aides
La structure du marché du travail en France pénalise tout particulièrement les jeunes. Leur durée d’accès à un emploi stable s’est allongée ; ils sont plus confrontés à la précarité dans l’emploi et au temps partiel subi ; leur taux de pauvreté est élevé. Depuis plusieurs décennies, de très nombreuses aides, mises en œuvre par des opérateurs multiples, ont été déployées pour corriger cette situation. Ce système d’aides publiques présente un coût élevé (10,5 Md€ en 2015) et croissant, mais les résultats obtenus du point de vue de l’accès à un emploi durable ne sont à la mesure ni des objectifs affichés, ni des moyens mobilisés.
Les juridictions financières préconisent de concentrer davantage les aides publiques sur les jeunes les plus éloignés de l’emploi et de privilégier les réponses rapides et les dispositifs intensifs. Leur rapport comprend sept cahiers territoriaux : Est-Ensemble, Le Creusot – Montceau-Les-Mines, Limoux, Saint-Étienne, Seine-Eure / Haute-Normandie, Thiers et Toulouse.ISLAMLe professeur de philosophie avait vivement critiqué dans une tribune le lycée musulman Averroès, à Lille.Le parquet a requis mardi la relaxe d'un ex-enseignant d'un lycée musulman de Lille poursuivi pour avoir publié plusieurs articles qui faisaient état de dérives islamistes au sein de l'établissement. La décision du tribunal correctionnel de Nanterre, devant lequel l'affaire était plaidée, a été mise en délibéré.
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La politique étrangère du Front national : l’intervention de Jean-Yves Camus
Dans le cadre de son partenariat avec la Délégation socialiste française au Parlement européen, l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès s’est penché sur la politique étrangère du Front national et la façon dont ce parti se sert des institutions européennes pour affaiblir l’idéal européen. Retrouvez l’intervention de Jean-Yves Camus, politologue et directeur de l’Observatoire des radicalités politiques.
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4 Vérités : Le Foll : "Sarkozy, c'est du Juppé avec du Zemmour, du Buisson et du Maurras"
4 Vérités : Le Foll : "Sarkozy, c'est du Juppé... par francetvinfo -
Policiers blessés à Viry-Châtillon : Pour Benoît Hamon, il faut légaliser le cannabis la "vraie gangrène" des quartiers
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La politique étrangère du Front national : la conclusion de Pervenche Berès
Le débat co-organisé par la Délégation socialiste française au Parlement européen et l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès le 18 juillet 2016 s’est conclu par une allocution de Pervenche Berès, députée européenne et présidente de la Délégation, qui a remis en perspective les propositions du Front national en matière de politique étrangère et les liens tissés par ce parti à l’international.
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Benoît Hamon donne de sa personne lors de vendanges bio
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Slate - Comment Cambadélis est devenu la machine à punchlines du quinquennat
Depuis toujours, l'ancien trotskiste est en roue libre et régale journalistes et politiques de ses bons mots. Pour le meilleur, et parfois pour le pire.
Ce qu'il aime avant tout, Jean-Christophe Cambadélis, ce sont les métaphores. Évoquant la gauche et le risque de division, le premier secrétaire du Parti socialiste exhortait ainsi ses camarades, le 23 septembre: «Il ne s'agit pas de jouer perso, sinon on termine comme Ben Arfa.» Transféré cet été au PSG, le footballeur connu pour ses dribbles chaloupés a été écarté du groupe par son entraîneur... Motif: il ne travaille pas assez!
Puis évoquant la droite, qui occupe tous les radars médiatiques de ce début de primaire, avec Nicolas Sarkozy en guest star, Jean-Christophe Cambadélis osait carrément: «Les quatre Dalton de la droite –et je ne vous dirais pas qui est Joe– sont dans la surenchère.» Tout le monde aura reconnu l'allusion à l'ancien chef de l'Etat, connu pour lancer une polémique par jour: Gaulois, Gabon, migrants, tout y passe... Face au cador médiatique, Cambadélis fait ce qu'il sait faire: régaler la galerie pour allumer des contre-feux.
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Intervention de Najat Vallaud-Belkacem à l'Université de l'Engagement de Lyon
Intervention de Najat Vallaud-Belkacem à l... par PartiSocialiste