Olivier Passet, Croissance léthargique : le fatalisme des candidats

Il y a un mot étrangement discret, si ce n’est absent, de cette campagne. C’est celui de croissance. Il paraît déjà loin le temps où Nicolas Sarkozy voulait aller chercher le point de croissance qu’il nous manquait avec les dents. Il est encore plus loin celui où l’on parlait de relance. On serait bien en mal de dire quels sont les objectifs en la matière chez la plupart des candidats, d’ailleurs. Est-ce un renoncement ? Les thématiques de la stagnation séculaire ou de la décroissance auraient-elles peu à peu fertilisé les esprits ? [...]

Benoît Hamon au Grand Jury

Interrogé au "Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro" ce dimanche sur ses discussions qui patinent avec Jean-Luc Mélenchon en vue d'un rapprochement, le représentant socialiste à la présidentielle a affirmé qu'il n'imaginait pas que la gauche se retrouve éliminée du 1er tour. Un risque important si les deux hommes sont bien tous les deux candidats

Pourquoi Benoît Hamon multiplie les déplacements de nuit?

Pourquoi Benoît Hamon multiplie les... par BFMTV

Une semaine après avoir rencontré les ouvriers de nuit d'un chantier du métro parisien, Benoît Hamon s'est déplacé, très tôt ce mercredi, sur le marché d'Alfortville dans le Val-de-Marne. Le candidat socialiste à la présidentielle est allé à la rencontre de "ceux que l'on n'entend jamais dans le débat public", d'après lui. Les travailleurs de nuit, un corps électoral souvent abstentionniste, apparaissent donc comme des cibles privilégiées pour glaner des voix. Selon un récent sondage, la cote de popularité de Benoît Hamon s'envole. Il se hisse même en troisième position du classement des politiques suscitant le plus de soutien ou de sympathie, derrière Emmanuel Macron et Alain Juppé.

Christian Chavagneux, Le grand méchant loup de la dette publique

Il était une fois la dette publique française. A chaque petit mouvement de hausse des taux d’intérêt, ce monstre, tapi dans l’ombre, voit ses crocs et son appétit grandir. A la fin, il mange la France. Ce petit conte de fée berce depuis des années les commentateurs et économistes libéraux qui nous annoncent régulièrement la faillite de notre pays.

Benoît Hamon, en visite au Portugal, rêve d'une "gauche plurielle"

Benoît Hamon envie son voisin européen. Depuis 2015, au Portugal, le Premier ministre socialiste, António Costa, gouverne avec l'appui des radicaux. Pour obtenir une majorité à l'assemblée, les communistes et la gauche radicale ont accepté de soutenir le PS. Une coalition qui a permis, en moins d’un an et demi, de sortir le pays de l'austérité et de réduire les déficits. Un exemple pour le candidat socialiste.

Pascal Bruckner sur le colonialisme : "Emmanuel Macron essaye de satisfaire deux publics"

Pour le philosophe, l'islamophobie relève de l'illusion, elle est même devenu un outil rhétorique qui sert à faire taire toute critique de l’islam. Il est l'invité d'Ali Baddou.

Pascal Bruckner sur le colonialisme : "Emmanuel... par franceinter

"Je veux montrer l'envers du décor pour améliorer demain la situation de ceux qui travaillent dur."

"Une semaine après avoir rencontré les ouvriers de nuit d'un chantier du métro parisien, Benoît Hamon s'est déplacé, très tôt ce mercredi, sur le marché d'Alfortville dans le Val-de-Marne. Le candidat socialiste à la présidentielle est allé à la rencontre de "ceux que l'on n'entend jamais dans le débat public", d'après lui. Les travailleurs de nuit, un corps électoral souvent abstentionniste, apparaissent donc comme des cibles privilégiées pour glaner des voix. Selon un récent sondage, la cote de popularité de Benoît Hamon s'envole. Il se hisse même en troisième position du classement des politiques suscitant le plus de soutien ou de sympathie, derrière Emmanuel Macron et Alain Juppé."
Source — BFMTV

MediapartLive : Sauver l'hôpital et la Sécurité sociale

Entretien avec le professeur André Grimaldi, diabétologue à la Pitié-Salpêtrière, initiateur de la pétition «Pour la Sécu». Par François Bonnet et Martine Orange

Jérôme Guedj (PS) : « Avec Mélenchon, il ne peut pas y avoir comme préalable derrière moi ou rien »

Jérôme Guedj, conseiller départemental de l'Essonne, porte-parole de Benoît Hamon était ce vendredi l'invité matin de RFI. Il répond aux questions de Frédéric Rivière. « Dans les discussions avec Jean-Luc Mélenchon il ne peut pas y avoir comme préalable ce sera derrière moi ou rien »

Jérôme Guedj (PS) : « Avec Mélenchon, il ne... par rfi