Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Réflexions - Page 72

  • Le dernier article de Jean Jaurès : « Sang froid nécessaire »

    Retrouvez le dernier article de Jean Jaurès, paru dans L'Humanité le 31 juillet 1914.

    Le contexte

    A 21h40, le 31 juillet 1914, deux coups de feu retentissent dans Paris. Deux jours plus tard, en France comme en Allemagne, l’ordre est donné de mobilisation générale. Lorsque Jaurès tombe, assassiné, le dernier espoir des pacifistes français est anéanti. Seul défenseur encore actif en France de l’idée de paix européenne, Jaurès s’est battu jusqu’au bout.

    Face à l’engrenage qui s’était mis en branle en juillet 1914, Jaurès avait tendu la main aux socialistes allemands, appelant à la grève générale européenne, sans succès. Cet engrenage se met en marche le 28 juin 1914, avec l’assassinat de l’archiduc François Ferdinand, prince héritier de l’empire austro-hongrois, à Sarajevo. Vienne, soutenue par l’Allemagne, adresse un ultimatum à la Serbie, dont les courants nationalistes sont présumés responsables de l’assassinat.

    Lire la suite
    _________________________
    _________________________

  • Libé - «Cela fait trente ans qu’il n’y a plus de Parti socialiste en Italie»

    INTERVIEW

    La gauche peut elle mourir ? En évoquant, mi-juin, ce possible destin, le Premier ministre, Manuel Valls, a pris la mesure de la déroute électorale du Parti Socialiste français aux européennes et l'ascension vertigineuse du Front National. Mais ailleurs, comment se porte la gauche ? Libération interroge des spécialistes de quatre pays européens. Aujourd'hui : l'Italie. Massimo Cacciari Maire de Venise de 1993 à 2000.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Non Fiction : Accumulation et exclusion

    Résumé : Deux sorties récentes sur les effets du néolibéralisme et de la mondialisation au diagnostic partagé mais aux interprétations divergentes.

    Le capitalisme néolibéral et ses effets délétères semblent une source inépuisable d'inspiration. En témoignent deux nouveautés, qui n’émanent d'ailleurs pas d'économistes,  mais d'une sociologue, Saskia Sassen, et d'un géographe, David Harvey. La première est spécialiste de la mondialisation et enseigne à l'Université de Columbia alors que le second, héritier du marxisme, a ses quartiers à la City University of New York où il a développé notamment l'idée du « droit à la ville » après avoir mis en lumière les liens unissant capitalisme et urbanisme – la ville profitant du surplus généré par le premier. Depuis quelques années, l’œuvre de David Harvey bénéficie du travail éditorial de la maison d'édition Les Prairies ordinaires qui a d'ores et déjà traduit plusieurs de ses ouvrages : Géographie de la domination, Le Nouvel Impérialisme et Paris, capitale de la modernité.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Le monde de Jean Jaurès : 5- Table-ronde, « un monde de paix »


    5- Table-ronde, « un monde de paix » par fondationjeanjaures

  • OFCE - Evolution de la fiscalité en Europe entre 2000 et 2012 : Quelques éléments d’analyse par Céline Antonin, Félix de Liège et Vincent Touzé

    L’Europe fiscale se caractérise par une très grande diversité reflétant les choix d’Etats souverains aux destins différenciés. Depuis le traité de Rome, les Etats-membres ont toujours refusé le transfert de compétences nationales en matière fiscale, à l’exception d’une coordination a minima sur la TVA. Le risque est donc grand en Europe que se développent des stratégies fiscales non coopératives, chacun cherchant à améliorer sa performance économique aux dépens des autres. Deux logiques concourent à de telles stratégies agressives : une logique de compétitivité (ou de dévaluation fiscale) visant à réduire la pression fiscale sur les entreprises pour améliorer leur compétitivité-prix d’une part ; une logique d’attractivité fiscale, visant à attirer sur le territoire national les facteurs de production les plus rares d’autre part. Sur un plan macroéconomique, mettre en évidence séparément ces deux logiques est un exercice difficile. Toutefois, une manière de comprendre comment les Etats européens ont amélioré leur position peut consister à observer la façon dont la pression fiscale sur les entreprises a évolué, par rapport à celle portant sur les ménages.

    Lire la suite
    __________________________
    __________________________