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Débat - Page 4

  • PS - Le grand débat | Sommes-nous entrés dans une société de marché ?

    Animation : Maxime des Gayets, secrétaire national PS aux grandes transitions, président du groupe des élus socialistes et apparentés au conseil régional d'Île-de-France

  • #OKBOOMER! : Va-t-on abandonner la jeunesse ?

    Retrouvez ces ateliers en podcasts audio sur Spotify, Deezer, Podcast addict, Apple podcast, etc...
    Débat participatif animé par Boris Vallaud, secrétaire national du PS au Projet, porte-parole du PS, député des Landes et Hervé Saulignac, député de l’Ardèche,

    Intervenants.es :
    - Nicolas Duvoux, sociologue, spécialiste de la pauvreté, des politiques
    sociales et de la fiscalité
    - Orlane François, présidente de La Fage
    - François Dubet, sociologue, spécialiste des inégalités ayant notamment
    déconstruit les discours et politiques publiques centrés sur « l’égalité des
    chances »
    - Claire Lejeune, co-secrétaire fédérale des Jeunes Écologistes
    - Inès RABEÏ, animatrice fédérale du MJS de la Gironde
    - Maïwen BLANDIN, membre du Groupe socialiste universitaire (GSU)
    - Lucille Bertaud, secrétaire générale du MRJC et VP du CNAJEP en
    charge des questions de jeunesse

    Au cœur d'une crise sans précédent qui nous conduit à reconsidérer la hiérarchie de nos priorités et de nos valeurs, d'insondables défis nous font face, économiques, écologiques, sociaux et démocratiques ... L'avenir nous met à l'épreuve du présent. De la réponse à cette crise dépendra le nouvel ordre politique et social sur la base duquel nous aborderons le jour d’après. La jeunesse, impatiente, sévère et exigeante, mais jamais résignée, qui tant de fois débordant par les rues pour s'élever contre l'injustice ou défendre le climat, est aujourd'hui en première ligne. Elle est la clef ou le verrou du monde que nous avons à construire et son sort déterminera celui de toute une nation. Lui donner les moyens de son envol plutôt que lui couper les ailes, voilà le choix qui s'offre à nous.

    Parmi les réponses possibles, la proposition de loi AILE(S) : donner à la jeunesse les moyens de son émancipation pour préparer l'avenir, guidé par l'idéal d'égalité, l'impératif de justice et l'exigence de solidarité. Donner à chacune et chacun, sans considération de sa naissance, le pouvoir de vivre dignement, de se former, de trouver un emploi, de se loger, de fonder une famille et de prendre part au grand dessein d'un monde qui change, c'est ce que rend possible cette Aide Individuelle à L'Emancipation (Solidaire) fondée sur l'attribution d'une dotation universelle et un revenu de base inconditionnel. La jeunesse, disait Pierre Mendès-France, il faut y penser constamment pour construire toujours en fonction du futur, c’est la seule méthode pour être certain de ne jamais sacrifier l’avenir au présent.

    Les députés Socialistes mettent sur la table une proposition de loi financée pour une réelle émancipation à 18 ans. Une consultation nationale va être lancée en septembre.

  • Numérique, complotisme, fake news : comment revaloriser les faits et le débat démocratique ?

    Chaque semaine, retrouvez le Replays des ateliers du RDV de la Gauche d'après !

    Animé par Maxime des Gayets, secrétaire nationale du PS aux élections et à la
    formation, 1ère adjointe à la mairie du 18ème arrondissement de Paris

    Intervenants.es :
    - Sylvie Guillaume, députée européenne, cheffe de la délégation
    écologique et sociale française
    - Rudy Reichstadt, directeur de l’Observatoire du conspirationnisme
    - Karim Bouamrane, maire de Saint-Ouen
    - Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre, directrice france de ONE
    - Gilles Filchenstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès
    - Paula Forteza, députée, coprésidente du groupe EDS

    Nous constatons depuis quelques années que la frontière est de plus en plus floue dans nos débats publics entre ce qui tient des faits et ce qui tient des opinions de ceux qui s'expriment. Cette confusion est souvent entretenue de manière délibérée. Et cela n'est pas que de la responsabilité des personnalités publiques, puisque les réseaux sociaux sont une caisse de résonance d'individus qui interviennent sur tout sujet en alimentant souvent cette confusion entre faits et opinions. La riposte y est possible mais difficile. Nos débats publics nécessitent de la clarté, car un débat c'est ce qui permet de se positionner par rapport à un enjeu, de choisir et d'agir. Un déficit de clarté dans le débat public c'est un maillon qui manque dans la chaîne démocratique. Revaloriser les faits et les distinguer des opinions constituent donc un combat contemporain, urgent et démocratique.

  • Gauche d'Après : Quel service public de la culture ?

    Animation : Clément Sapin, délégué national du PS à la Culture et Karine Gloanec-Maurin, Codirectrice de l’observatoire de la culture de la Fondation Jean-Jaurès.

    Intervenants :
    - Thierry Ardisson, animateur et producteur de cinéma et de télévision
    - Jacques Renard, ancien membre du cabinet auprès de Jack Lang et ancien directeur du centre national des variétés, de la chanson et du jazz
    - David Assouline, sénateur de Paris, membre de la commission de la culture, de l'éducation et de la communication
    - Jérôme Montchal, directeur de la Scène Nationale d'Equinoxe de Châteauroux

    La crise sanitaire frappe de plein fouet le secteur culturel et son économie touchés durablement par le confinement, l’interdiction des rassemblements et la fermeture des lieux publics. Même si l’inventivité des artistes n’a pas cessé pendant cette période inédite, qui d’ailleurs n’est pas totalement terminée, c’est tout un secteur d’activités, d’emplois et d’influence qui risque d’être en grave difficulté au moment où les aides d’urgence prendront fin.
    Aussi, faut-il renforcer et prolonger ces aides et réfléchir à un modèle économique plus stable pour la Culture qui représente une diversité de métiers. Le Parti socialiste s’engage à considérer la Culture dans la « France d’après » et « l’Europe d’après » comme un pilier essentiel d’une sortie de crise aussi fondamental que l’éducation, l’écologie, la justice ou l’économie solidaire.
    Quelque soit la taille ou la situation de leur territoire, en France métropolitaine comme en outre-mer, nos concitoyen.ne.s ne doivent pas être privés de l’accès à l’art, à la poésie porteuse d’espoir, de cohésion sociale et d’émancipation.

    Si les médias et la lecture publique sont déjà considérées comme un service public, le parti socialiste place tous les secteurs de la culture à ce niveau d’accès pour tous. Aussi, plusieurs questions se posent :

    - Quels financements ? Alors que le ministère de la culture souffre d’un manque de budget évident ;

    - Le déséquilibre des financements de l’État entre l’Île-de-France et les autres régions françaises. Le rapport est de 1 à 10 par habitant ! Comment redonner un équitable accès à la culture à tous nos concitoyens partout sur le territoire français ?

    - Comment mieux répartir les aides entre toutes les disciplines artistiques et toutes les filières du secteur culturel ?

    - Santé – Éducation — Culture, même combat ?

    - Les partenariats du ministère de la culture avec les Collectivités territoriales et les autres ministères régaliens doit-il être repensé ?

    - Faut-il inscrire la compétence régalienne de la culture comme compétence obligatoire pour tous les niveaux de pouvoirs locaux ?

    - Doit-on créer un secrétariat à l’éducation artistique et culturelle ou un super-ministère comprenant l’Éducation Nationale et la Culture ?

  • En finir avec la «Société de rentiers», instaurer un impôt juste et progressif sur les successions ?

    Retrouvez les Replays du RDV de la Gauche d'Après qui s'est tenu à Blois !

    Animation : Christine Pirès Beaune, secrétaire nationale du PS au
    Budget et à la Fiscalité, députée du Puy-de-Dôme
    Intervenants.es :
    - Nicolas Frémeaux, enseignant, chercheur auteur « Les nouveaux
    héritiers »
    - Clément Dherbecourt, docteur en économie de l’École d’Économie
    de Paris, expert à France Stratégie, auteur d’une note « Peut-on éviter
    une société d’héritiers ? »

    Est-il acceptable que certains reçoivent "gratuitement" plusieurs millions d'euros avec une imposition faible quand la moitié de la population n'héritera de rien ou presque ?

    Notre système fiscal se montre incapable d'empêcher la concentration des richesses dans les mains de quelque uns seulement. L'accélération des inégalités de patrimoine est telle que nous assistons au retour d'une société de rentiers.

    Comment remédier à cette situation ? Cet atelier permet d'étudier le principe d'une taxation efficace, juste et progressive sur les successions.

  • Uberisé·e·s, précarisé·e·s [...] : Quelles protections pour les nouvelles formes de travail ?

    Titre original de la table ronde : Uberisé·e·s, précarisé·e·s, franchisé·e·s, sous-traitants, télétravailleur·euse·s : Quelles protections pour les nouvelles formes de travail ?

    Intervenant·e·s : - Émilie Vayre, MCF Psychologie du travail et des organisations, université Lumière Lyon II - Olivier Jacquin, sénateur de Meurthe-et-Moselle - Jérôme Giusti, avocat, directeur de l’observatoire justice FJJ - Brahim Ben Ali, chauffeur VTC, fondateur du syndicat UVH, Secrétaire général du syndicat INV (Intersyndicale Nationale Vtc) - Dylan Boutiflat, consultant chez Gestion Locale, premier secrétaire adjoint à la Fédération PS de Paris et membre du Bureau National du Parti socialiste - Hind El Idrissi, fondatrice de Wemind

    Pendant la période de confinement, le télétravail a fait son apparition de manière soudaine dans le quotidien de nombreux travailleurs salariés et non salariés. S'appuyant sur la performance des outils numériques, le télétravail émergeait ainsi au rang des nouvelles formes de travail propulsées ou relayées par le bond technologique du numérique ces dernières années. Ces évolutions du travail s'accompagnent d'une précarisation accrue des tâches peu qualifiées (uberisation, retour au tâcheronnage) et présentent de réels risques psycho-sociaux pour les travailleurs concernés, d'autant plus largement qu'elles s'accompagnent d'une fragilisation de leur statut. S'il ne s'agit pas de refuser la transformation numérique de notre économie, de nouvelles protections doivent être envisagées pour protéger les travailleurs. L'économie numérique ne peut être le cheval de Troie d'un nouveau précariat.

  • Égalité femme-homme : le sexisme est il immortel ?

    Atelier animé par Cécilia Gondard, Secrétaire nationale du Parti socialiste à l'égalité femme-homme.

    Intervenantes : - Laurence Rossignol, ancienne ministre, sénatrice de l’Oise- - Nadège Azzaz, maire de Châtillon - Jocelyne Adriant Metboul, présidente de la CLEF - Fabienne El Khoury, porte-parole d’Osez le féminisme

    Les inégalités et discriminations multiples et systématiques dont les femmes font l’objet dans toutes les sphères de la société sont documentées dans de nombreux rapports, les faits sont têtus: ces dernières subsistent et les droits des femmes font encore trop souvent l'objet de reculs. Pour le Parti socialiste, moteur de grandes avancées pour les droits des femmes en France, il est essentiel de comprendre en quoi le sexisme est un système pour pouvoir le combattre, tout en soutenant les combats dans leur diversité.

    Quelles sont les nouvelles luttes féministes, les nouveaux mouvements qui émergent? Saisir l’ampleur du changement de paradigme dans lequel la lutte contre le sexisme systémique s’inscrit, et son articulation avec notre combat pour l’alternative social-écologique, est essentielle pour penser le monde d’après.

  • Le Grand Procès du productivisme

    Animation : Corinne Narassiguin, secrétaire nationale du PS à la Coordinations et aux Moyens

    Intervenant·e·s : - Clémentine Autin, députée LFI de Seine-Saint-Denis - Julien Bayou, secrétaire national d'EELV - Christophe Clergeau, secrétaire national du PS à l'Europe - Isabelle This Saint-Jean, secrétaire national du PS aux Etudes

    Présentation : Les chefs d'accusation : les dégâts écologiques pour la planète et pour notre santé, mais aussi l'aggravation des inégalités économiques et territoriales, et la persistance de la reproduction sociale. Le productivisme est-il coupable ou bouc-émissaire? Doit-il être définitivement condamné ou peut-il être réhabilité ? Vous en serez juge. Le socialisme a eu longtemps partie liée avec le productivisme. Aujourd'hui, dans ce procès, il se constitue partie civile.

  • Faut-il déployer la 5G en France ? Le Débat Eco

    Alors que les enchères sur le déploiement de la 5G commencent dans quelques jours, le débat fait rage sur les opportunités et les dangers potentiels de cette nouvelle technologie. Dominique Seux et Thomas Piketty reviennent sur les enjeux de ce débat.

  • Fondation Jean Jaurès - Un nouveau multilatéralisme juste et inclusif

    À la veille de l’Assemblée générale des Nations unies, la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS), avec la Fondation Jean-Jaurès et en partenariat avec d'autres organisations, présente des propositions concrètes pour un nouveau multilatéralisme juste et inclusif. L’événement fait notamment intervenir les personnalités suivantes : - Josep Borrell, Haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, - Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, - Fabrizio Hochschild-Drummond, conseiller spécial du Secrétaire général des Nations unies, - Heiko Maas, ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d’Allemagne, - Martin Ziguélé, ancien Premier ministre de la République centrafricaine, - Lim Guan Eng, ancien ministre des Finances de Malaisie, - Neera Tanden, présidente du Centre for American Progress. L'aggravation de la crise mondiale de la santé, du climat et de l’économie a mené à une nouvelle dégradation de l’ordre mondial. Alors que le système des Nations unies, construit il y a soixante-quinze ans dans un contexte très différent, a démontré qu’il était dépassé pour répondre aux nouveaux enjeux communs, la reprise exige une coopération urgente et renforcée à l’échelle internationale. Quelles réformes de l’ONU sont aujourd’hui nécessaires ? Cette question sera débattue lors de la 75e Assemblée générale qui se tient en septembre 2020 et qui constitue une opportunité unique de rebâtir un système multilatéral ne laissant personne au bord du chemin.

  • Écolos = Amish. La comparaison va-t-elle trop loin ?

    Guillaume Roquette, directeur du Figaro Magazine, Jérôme Sainte-Marie, auteur de Bloc contre Bloc, la dynamique du Macronisme et Mathieu Souquière (Fondation Jean-Jaurès) s'expriment sur la récente déclaration d'Emmanuel Macron visant les écologistes au sujet de la 5G.