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Uberisé·e·s, précarisé·e·s [...] : Quelles protections pour les nouvelles formes de travail ?

Titre original de la table ronde : Uberisé·e·s, précarisé·e·s, franchisé·e·s, sous-traitants, télétravailleur·euse·s : Quelles protections pour les nouvelles formes de travail ?

Intervenant·e·s : - Émilie Vayre, MCF Psychologie du travail et des organisations, université Lumière Lyon II - Olivier Jacquin, sénateur de Meurthe-et-Moselle - Jérôme Giusti, avocat, directeur de l’observatoire justice FJJ - Brahim Ben Ali, chauffeur VTC, fondateur du syndicat UVH, Secrétaire général du syndicat INV (Intersyndicale Nationale Vtc) - Dylan Boutiflat, consultant chez Gestion Locale, premier secrétaire adjoint à la Fédération PS de Paris et membre du Bureau National du Parti socialiste - Hind El Idrissi, fondatrice de Wemind

Pendant la période de confinement, le télétravail a fait son apparition de manière soudaine dans le quotidien de nombreux travailleurs salariés et non salariés. S'appuyant sur la performance des outils numériques, le télétravail émergeait ainsi au rang des nouvelles formes de travail propulsées ou relayées par le bond technologique du numérique ces dernières années. Ces évolutions du travail s'accompagnent d'une précarisation accrue des tâches peu qualifiées (uberisation, retour au tâcheronnage) et présentent de réels risques psycho-sociaux pour les travailleurs concernés, d'autant plus largement qu'elles s'accompagnent d'une fragilisation de leur statut. S'il ne s'agit pas de refuser la transformation numérique de notre économie, de nouvelles protections doivent être envisagées pour protéger les travailleurs. L'économie numérique ne peut être le cheval de Troie d'un nouveau précariat.

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