Laurent Baumel se «fiche un peu» de ce que va... par lefigaro
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« Je ne sais pas comment Manuel Valls peut se regarder dans la glace » - Marie Noëlle Lienemann
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Laurent Bouvet : “Le PS, tel qu’on l’a connu depuis une quarantaine d’années, c’est terminé”
Laurent Bouvet : “Le PS, tel qu’on l’a connu... par Europe1fr -
Pour Benoît Hamon, Manuel Valls "ne respecte pas la démocratie"
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L'Obs - A Lille, Aubry torpille Macron, Hamon déplore le "caractère" de Mélenchon
En difficulté dans les sondages, lâché par Manuel Valls, le candidat socialiste s'est affiché aux côtés de la maire de Lille, mercredi, dans le Nord.
Très discrète depuis le début de la campagne, Martine Aubry a fini par sortir de son silence. Alors que les difficultés se multiplient autour du candidat Hamon, relégué en cinquième position dans plusieurs sondages et "abandonné" par Manuel Valls, la maire de Lille a apporté un soutien appuyé au socialiste, mercredi soir, lors d'un meeting organisé dans sa ville. Dans un discours d'une vingtaine de minutes, la socialiste a lâché de nombreux coups, d'abord contre l'ancien Premier ministre, avec lequelle les rapports ont toujours été âcres, puis surtout envers Emmanuel Macron, le favori des sondages et principal bénéficiaire de la logique du vote utile à gauche.
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Europe 1 - Laurent Bouvet : “Le PS, tel qu’on l’a connu depuis une quarantaine d’années, c’est terminé”
Le politologue, auteur de La gauche zombie : chroniques d'une malédiction politique insiste sur le point de non retour atteint par le parti socialiste depuis la primaire.
INTERVIEWAprès le ralliement de Jean-Yves Le Drian, poids lourd du PS, à Emmanuel Macron, le refus de Valls de soutenir le vainqueur de la primaire, et la progressive avance de Jean-Luc Mélenchon sur Benoit Hamon selon plusieurs sondages, les difficultés au sein du parti socialiste s’accumulent. Invité dans l'émission C'est arrivé cette semaine, le politologue Laurent Bouvet répond à la question : que deviendra le PS à la fin de la présidentielle ?
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L'actualité des socialistes du 17 au 23 mars (Revue de presse hebdomadaire)
A LA UNE
Benoît Hamon appelle à "voter pour", plutôt qu'à voter "par défaut" pour Emmanuel Macron. Il faut "mettre de côté cette logique qui consiste à se réunir derrière une candidature qui ne propose qu'une chose : poursuivre ce qui a été fait et qui a échoué déjà", déclare le candidat socialiste.
BFMTV - Une élue PS appelle son parti à repenser sa stratégie contre le FN
Sarah Proust, membre de l'équipe de campagne de Benoît Hamon, juge que le PS fait fausse route en condamnant les électeurs du Front national.
Le Monde - Vers une société hyper-industrielle ?
On entend plus souvent parler de la fin de l’industrie que de sa renaissance. En s’intéressant au renouveau du capitalisme productif, l’ingénieur et sociologue Pierre Veltz (Wikipédia) livre, dans un ouvrage très synthétique pour l’excellente collection de la République des idées, un stimulant contrepoint.
LES RETRAITES
En 1991, le « Livre blanc sur les retraites » avait sonné l’alarme : les régimes de retraite français couraient à la catastrophe financière du fait de leur trop grande générosité, d’un âge trop précoce de la fin d’activité, du passage à la retraite des générations nombreuses du baby-boom et de l’allongement de la durée de vie.
Depuis 1993, à l’occasion de réformes successives, les paramètres des régimes de retraite ont été modifiés. La durée de cotisation requise pour obtenir une retraite à taux plein a été allongée de 40 à 42 ans, et passera à 43 ans en 2035 ; l’indexation des salaires pris en compte et des retraites ne se fait plus sur les salaires, mais sur les prix ; le rendement des régimes complémentaires a été progressivement diminué ; l’âge ouvrant le droit à la retraite est passé de 60 à 62 ans ; enfin les taux de cotisation ont été relevés.
L'EURO
Libé - Euro, réformer ou sortir,
La monnaie unique mérite mieux qu’une défaite en rase campagne, solution prônée par les populistes. Mais un aggiornamento, loin d’être utopique, est difficile : il demande un travail politique.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec au fur et à mesure de sa chute pour se rassurer se dit «jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien». Il y a quelques mois, un beau matin de juin, à New York, je prenais un café avec un vieux copain de thèse, de passage pour un mois à la NYU. Il était alors en contact avec un potentiel candidat à la présidentielle et participait assez activement à l’élaboration de son programme.
Une étude à paraître analyse les conséquences d’une sortie de la France de la zone euro, en faisant l’hypothèse que la monnaie unique disparaîtrait
GUILLUY
Causeur - «En 2017 ou en 2022, la France périphérique fera basculer la présidentielle»
Entretien avec le géographe social Christophe Guilluy
Faut-il encore présenter Christophe Guilluy ? Le géographe social, fin observateur de la France périphérique et théoricien de l'insécurité culturelle, voit ses analyses confirmées par les sondages. Si Marine Le Pen ne l'emportera peut-être pas dès 2017, la France périphérique finira cependant par triompher un jour ou l'autre dans les urnes face aux candidats des gagnants de la mondialisation que sont Hamon, Fillon et Macron.
HOLLANDE
Dans son dernier livre, La gauche zombie, chroniques d'une malédiction politique, Laurent Bouvet fait l'état des lieux de la gauche française cinq ans après la victoire de François Hollande, décrypte les raisons d'un échec historique et dresse des perspectives sombres.
Le Monde - Présidentielle : François Hollande livre son testament
François Hollande a défendu son bilan à Crolles, dans la banlieue grenobloise, avant de s’en prendre à l’ambiance délétère de la campagne présidentielle.
Il est enfin entré dans la campagne. Mais pour lui. Lui et son quinquennat. Lui et son bilan. Lui et sa statue, sa postérité. Pour exister, aussi, alors qu’il lui reste moins de deux mois à l’Elysée. Quoi qu’il en soit, il voulait parler. Le président de la République François Hollande a livré un vibrant plaidoyer pro domo samedi 18 mars devant plusieurs centaines d’élus et militants socialistes à Crolles (Isère), à 20 kilomètres de Grenoble, dans un gymnase fervent mais où les dernières rangées de chaises sont toutefois restées inoccupées.MARTIN SCHULZL’ancien président du parlement européen Martin Schulz a été élu à 100 % des voix à la tête du Parti socialiste (SPD) allemand. Le nouveau chef des sociaux-démocrates apparaît comme un challenger sérieux face à Angela Merkel.Martin Schulz a été élu ce dimanche président du SPD. Le social-démocrate a réussi une prouesse : récolter 100% des voix, du jamais vu dans l’histoire du parti qui rêve aujourd’hui de détrôner Angela Merkel lors des élections de septembre. S’immisçant dans la campagne française, le SPD a clairement affiché sa préférence pour Emmanuel Macron, un pied-de-nez au candidat du PS, son parti frère.LE REVENU UNIVERSELEN CAMPAGNELe candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon se rendra mardi à Berlin, où il doit rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel, ainsi que Martin Schulz, président du Parti social-démocrate d’Allemagne (SPD).Benoît Hamon a connu un début de semaine compliqué alors que son meeting de Bercy, dimanche, lui laissait penser qu'il allait relancer sa campagne. Le voilà maintenant dépassé par Jean-Luc Mélenchon dans un récent sondage.
Le candidat PS Benoît Hamon mise sur un écroulement d'Emmanuel Macron pour augmenter son score et passer au second tour.C'est l'un des grands enjeux de ces quatre prochaines semaines : Emmanuel Macron va-t-il s'effondrer dans les sondages d'ici au premier tour de la présidentielle ? C'est en tout cas ce qu'espèrent les autres candidats pour se qualifier au second tour. Et si un effondrement de Macron se produisait, le candidat PS Benoît Hamon pourrait être l'un des grands bénéficiaires de sa chute, le leader d'En Marche ! ayant beaucoup séduit les électeurs du parti socialiste, et notamment plusieurs de ses élus.Quelques heures plus tôt, après un entretien avec le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le socialiste était « bouleversé » par le décès d'Henri Emmanuelli.
Envoyée spéciale à Bruxelles
Comme aspiré par des vents contraires. Après un meeting réussi et un discours remarqué dimanche à Bercy, Benoît Hamon se retrouve une nouvelle fois pollué par l'actualité et les mauvaises nouvelles. Le candidat socialiste est aussitôt reparti en campagne, à Bruxelles, après sa prestation en demi-teinte sur le plateau de TF1, lundi soir.
En meeting à Bercy, le candidat socialiste a fait parler de lui, et même au delà de ses soutiens.Celui qui veut "faire battre le cœur de la France" aura au moins réussi faire battre celui de Bercy. Car de l'avis de nombreux observateurs, et pas forcément de son bord politique, Benoît Hamon a réussi son pari, lui qui était attendu au tournant dans une campagne qui dévissait et qui voyait Jean-Luc Mélenchon accentuer la pression à son encontre.Le candidat du Parti socialiste à la présidentielle a tenu cet après-midi son plus grand meeting de campagne, espérant décoller entre les affaires Fillon et la tentation Macron.Dans un discours très ancré à gauche, le candidat PS a dénoncé «le parti de l'argent».Un Bercy bondé, une marée de drapeaux, français, socialistes ou écologistes, un Benoît Hamon survolté, efficace, faisant appel aux émotions du peuple de gauche. Le candidat socialiste a réussi son pari. Il était loin d'être gagné d'avance tant il semblait avoir du mal, jusqu'ici, à imposer sa stature présidentielle avec un PS profondément divisé. À 34 jours de la présidentielle et à la veille d'un débat télévisé crucial, Benoît Hamon s'est offert une profonde respiration. Et une forme de revanche face aux critiques de son camp.
VALLS
L’ex-premier ministre, qui a refusé de parrainer le candidat du PS après avoir perdu la primaire de la gauche, réagit aux accusations de trahison de son camp, dans une tribune au « Journal du dimanche ».Manuel Valls réfute en bloc les accusations de « trahison » après son refus de parrainer Benoît Hamon en vue de l’élection présidentielle et appelle à « oublier les vieux clivages » partisans, dans une tribune au Journal du dimanche ce 19 mars.MACRONInfluencé par François Bayrou, le candidat d'En Marche! réactive un vieux serpent de mer qui rompt avec la ligne du gouvernement.....Les jeunes devront effectuer leur service dans les trois ans suivant leur majorité, a-t-il ajouté. Quelque 600.000 jeunes hommes et femmes, encadrés par des militaires ou des gendarmes, acquerront ainsi chaque année "une expérience directe de la vie militaire, de ses savoir-faire et de ses exigences"Le candidat d’En Marche ! a notamment proposé, samedi, l’instauration d’un service national universel obligatoire pour les jeunes après leurs 18 ans.
L’objectif était d’affirmer la stature présidentielle d’Emmanuel Macron sur les grands domaines régaliens par excellence que sont la défense mais aussi la politique étrangère. De par la Constitution, le président de la Ve République est le chef des armées. « C’est une responsabilité politique sans équivalent, par ses implications morales, par les enjeux stratégiques et je dirai même historiques qu’elle recouvre », a d’entrée de jeu déclaré le candidat d’En Marche ! en présentant, samedi 18 mars à Paris, ses grandes options pour la défense et affirmant être prêt « à assumer pleinement ce rôle et celui – il en est inséparable – de responsable de la dissuasion ».Emmanuel Macron livre au JDD sa vision de l’identité française et détaille ses propositions en matière de sécurité, de défense de la laïcité et de lutte contre l’islamisme.
MELENCHONLe cortège de la « marche pour une VIe République » a défilé, samedi, à l’appel de Jean-Luc Mélenchon entre les places de la Bastille et de la République, à Paris.
14 heures, place de la Bastille, à Paris. La foule se masse sur le bitume, la tête du cortège de la « marche pour une VIe République », organisée par le candidat à l’élection présidentielle Jean-Luc Mélenchon, sous l’étiquette La France insoumise, se forme petit à petit à l’entrée du Boulevard Beaumarchais. Les camions musique, englués dans la masse de manifestants, avancent au pas. Équipés de mégaphones, les militants dévoués à l’organisation haranguent les « insoumis ». « Je dis Fillon ! vous dites ? - Dégage ! ».ABDELGHANI MERAHEn moins de dix jours, sept personnes tombent sous les balles de Mohamed Merah. L'homme sera ensuite abattu par le Raid.
Pour dénoncer ces crimes et l'intégrisme islamiste, son frère aîné, Abdelghani Merah, termine dimanche 19 mars à Paris une marche de deux mois dans toute la France sur le tracé de "la marche des beurs" qui s'est déroulée il y a 34 ans.
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Meeting de Lille: extrait du discours de Martine Aubry et discours intégral de Benoît Hamon
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Hamon "regrette profondément" que Mélenchon n'accepte pas une alliance
Benoît Hamon a appelé, ce mercredi, Jean-Luc Mélenchon à se rallier derrière sa candidature. Une offre que le candidat de la France insoumise a refusée: "Je ne négocierai rien avec personne". En meeting à Lille, le vainqueur de la primaire à gauche a déploré ce choix: "Sans rassemblement, la qualification dès le premier tour sera plus difficile (…) Je regrette qu'une fois de plus, un certain caractère empêche Jean-Luc Mélenchon d'être plus utile à la gauche qu'il ne l'est en réalité".
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En soutenant Macron, Valls "s'assoit sur les règles", dénonce un proche de Hamon
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Trahison de Valls: interviews de Hanotin Charaï Lucas Bachelay Lienemann Hammadi Faure Denaja Cherki
Trahison de Valls - Interviews de Mathieu Hanotin, co-directeur de campagne de Benoît Hamon, Naïma Charaï, porte-parole, Benjamin Lucas, conseiller jeunesse de Benoît Hamon et Président des Jeunes Socialistes, Pascal Cherki, du Carrefour des Gauches et de l'Écologie du candidat, Marie-Noëlle Lienemann, chargée des services publics auprès de Benoît Hamon, Razzy Hammadi, chargé de la Consommation auprès du candidat, Olivier Faure, Président du Groupe des Socialistes (SER) à l'Assemblée nationale, Sébastien Denaja, porte parole, Alexis Bachelay, co-animateur de la Permanence Présidentielle de Benoît Hamon, Patrick Mennucci, soutien de Benoît Hamon, et Yannick Jadot, conseiller spécial auprès de Benoît Hamon et vainqueur de la primaire EELV