Sans majorité absolue, le camp présidentiel et ses 246 élus va devoir négocier sur chaque réforme pour pouvoir gouverner. Le RN aura son groupe parlementaire avec 89 sièges.
Le Monde - Olivier Faure réussit son pari et conserve son siège de député en Seine-et-Marne
Elu depuis 2012 dans la 11ᵉ circonscription du département, le premier secrétaire du Parti socialiste a devancé Charlyne Péculier, candidate de la majorité présidentielle.
L’essai est transformé. Après sa victoire lors du premier tour, Olivier Faure est parvenu, dimanche 19 juin, à conserver son siège de député de la 11e circonscription de Seine-et-Marne. Le premier secrétaire du Parti socialiste (PS) l’emporte avec 64,45 % des suffrages exprimés, devant Charlyne Péculier, la candidate de la majorité présidentielle, qui échoue donc avec 35,55 % des voix.
La professeur de 37 ans a bénéficié d’un important report de voix des électeurs déçus par le macronisme.
Coup de théâtre dans la 6e circonscription du Finistère. La candidate PS de la Nupes, Mélanie Thomin, a renversé Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale.
En remportant 133 sièges de députés, l'union de la gauche, emmenée par le leader de La France insoumise, entre en force à l'Assemblée nationale. Une performance liée avant tout à la campagne en trompe-l'œil de Jean-Luc Mélenchon pour briguer Matignon.
Il ne sera certes pas le prochain Premier ministre, mais il a réussi un coup politique. A l'issue du second tour des élections législatives, dimanche 19 juin, Jean-Luc Mélenchon affichait une satisfaction déconcertante. "Ce qui se présente, c'est une situation totalement inattendue, absolument inouïe : la déroute du parti présidentiel est totale, et aucune majorité ne se présente", a-t-il lancé, à Paris, fort de l'entrée à l'Assemblée nationale de 133 députés de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale (Nupes).
La députée sortante de la 1re circonscription du Tarn-et-Garonne est réélue à son siège avec 57,37 % des voix exprimées, contre 42,63 % pour son adversaire du Rassemblement national, Pierre Poma.
Elle siégera pour la troisième fois consécutive sur les bancs de l’Assemblée nationale : la présidente du groupe socialiste, Valérie Rabault, députée depuis 2012 et candidate de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), remporte le second tour des législatives avec 57,37 % des voix dans la 1re circonscription du Tarn-et-Garonne.
La Nouvelle Union populaire écologique et sociale est devenue, dimanche soir, la première force politique d'opposition à l'Assemblée nationale.
La coalition de gauche, à défaut d'obtenir une majorité, est devenue la première force politique d'opposition à l'Assemblée nationale, dimanche 19 juin. À l'issue du second tour des élections législatives, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) a obtenu 133 sièges dans l'hémicycle du Palais-Bourbon.
Le Figaro - Résultats législatives 2022: le socialiste Jérôme Guedj renverse Amélie de Montchalin
L’ancien président du conseil général de l’Essonne devrait être un des piliers du groupe PS à l’Assemblée nationale.
Cinq ans plus tard, Jérôme Guedj tient sa revanche. Candidat au nom de la Nupes, le socialiste a emporté son second tour face à Amélie de Montchalin dans la 6e circonscription de l’Essonne. La macroniste se voit donc contrainte de quitter son poste de ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. En 2017, Amélie de Montchalinl’avait pourtant emporté et Jérôme Guedj avait, lui, été éliminé dès le premier tour dans cette circonscription. De retour à l’Assemblée nationale, le socialiste est attendu pour être un des piliers du groupe PS, et plus largement pour être une des figures de la Nouvelle Union populaire.
L’union des forces de gauche lui permet, à l’issue du second tour des élections législatives, d’être la première force d’opposition à l’Assemblée nationale. Mais sans coalition, la France insoumise, avec 72 députés, se retrouve derrière le Rassemblement national.
Il l’a annoncé : il changera de « poste de combat ». Sans le dire clairement, Jean-Luc Mélenchon a admis, dimanche, à l’issue du second tour des élections législatives, qu’il ne sera pas Premier ministre. En décrochant 131 sièges à l’Assemblée nationale, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) devient toutefois la première force d’opposition au Palais-Bourbon, devant le Rassemblement national et ses 89 députés. Mais pari réussi pour autant ?
Tribune de Lyon - Législatives. Lyon coupée en deux entre la Nupes et Ensemble!
Mickaël Bouloux, maire socialiste du Rheu, candidat de la Nouvelle union populaire, écologiste et sociale (Nupes), a remporté les élections législatives dans la 8e circonscription d’Ille-et-Vilaine (Rennes centre et ouest et canton du Rheu), ce dimanche soir 19 juin 2022. Il bat le député LREM sortant, Florian Bachelier. Un destin qui n’était pas écrit pour cet ingénieur chez Orange, fils d’ouvrier des arsenaux de Cherbourg.
Le Parisien - «Il faudra de la souplesse» : la Nupes saura-t-elle rester unie ?
Avec 131 députés, la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) est devenue la première force d’opposition à l’Assemblée, ce dimanche au second tour des législatives. Mais son fonctionnement, sous la forme d’un intergroupe dominé par les Insoumis, pourrait s’avérer délicat.
Le candidat soutenu par Carole Delga, le socialiste Joël Aviragnet, conserve son siège de député ce dimanche. Il remporte le deuxième tour de l'élection législative face au Rassemblement national dans la 8e circonscription de Haute-Garonne.
Après avoir faire entrer 147 députés à l'Assemblée nationale ce dimanche, l'union de la gauche doit désormais relever le défi de sa cohésion à l'épreuve du Palais-Bourbon. Différences programmatiques, agenda personnel... Plusieurs ténors pourraient être tentés de jouer rapidement leur partition.
France 24 - Quand le programme de la Nupes ravive la bataille entre économistes
Les élections législatives donnent lieu à une bataille de chiffres entre économistes visant les propositions de la Nupes, alors que celles d’Ensemble ! sont plutôt épargnées. Le résultat d’une domination culturelle des économistes orthodoxes depuis une quarantaine d’années.