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  • Thomas Snégaroff : le panthéon d'Anne Hidalgo

    Tous les jours, jusqu'au premier tour de l'élection présidentielle, Thomas Snégaroff rencontre un(e) candidat(e) et l'interroge sur les hommes et les femmes, connus ou inconnus, qui l'ont construit(e). Aujourd'hui, Anne Hidalgo, candidate du Parti socialiste, nous donne rendez-vous dans la cour de l'Académie du Climat, place Baudoyer, à Paris.

  • Thomas Snégaroff : le panthéon de Yannick Jadot

    Tous les jours, jusqu'au premier tour de l'élection présidentielle, Thomas Snégaroff rencontre un(e) candidat(e) et l'interroge sur les hommes et les femmes, connus ou inconnus, qui l'ont construit(e). Aujourd'hui, Yannick Jadot, candidat Europe Ecologie-Les Verts, nous donne rendez-vous place de la Bastille, à Paris.

  • Jadot et Roussel, artistes contemporains - Le Moment Meurice

    Le Moment Meurice - (5 Avril 2022 - Sophie Calle) Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger des militants et élus, soutiens de Yannick Jadot et Fabien Roussel.

  • Fondation Jean Jaurès - La cristallisation ne se fait plus que le jour du vote

    Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, tire un bilan de la campagne du premier tour en termes de mobilité électorale, grâce aux données de l’Enquête électorale française réalisée par Ipsos pour la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof et Le Monde dont la neuvième vague vient de sortir.

    L’élection présidentielle n’a pas encore livré tous ses secrets. Mais un premier bilan de cette campagne du premier tour peut déjà être dressé. Grâce au panel électoral, parce qu’il interroge les mêmes électeurs depuis le mois d’avril 2021, nous pouvons en effet mesurer et analyser la mobilité électorale – et sa face symétrique, la stabilité électorale. À l’heure de la déstructuration des clivages, de la montée de la société des individus, de la succession de crises majeures, la mobilité électorale est un phénomène majeur, en France comme dans beaucoup d’autres démocraties européennes. Il pourrait même s’agir d’un phénomène déterminant dans cette étrange campagne qui a cumulé offre électorale éclatée – accroissant encore les potentialités de changement d’intention de vote – et intérêt citoyen limité – suscitant des allers-retours entre volonté d’aller voter et tentation de l’abstention.

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  • Le vent se lève - Baisse du chômage : la fausse victoire d’Emmanuel Macron

    Si le chômage a récemment diminué, cela s’est fait en contrepartie d’une précarisation croissante de l’emploi. L’intérim, l’auto-entrepreneuriat uberisé et l’apprentissage sont en effet les domaines qui recrutent le plus. Pour les partisans d’Emmanuel Macron, les politiques de libéralisation du monde du travail doivent être poursuivies durant un nouveau quinquennat, comme en témoignent les annonces sur l’assurance chômage et le conditionnement du RSA. Le développement de l’apprentissage, qui a joué un rôle essentiel dans la réduction du chômage risque par ailleurs de prendre fin dès l’année prochaine. Au « quoi qu’il en coûte » succédera l’austérité, qui mettra en danger les fragiles avancées obtenues en la matière. Concilier plein-emploi et protection des salariés est pourtant possible, à condition de lancer des politiques keynésiennes et d’instaurer une garantie d’emploi.

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  • Thomas Snégaroff : le panthéon de Fabien Roussel

    Tous les jours, jusqu'au premier tour de l'élection présidentielle, Thomas Snégaroff rencontre un(e) candidat(e) et l'interroge sur les hommes et les femmes, connus ou inconnus, qui l'ont construit(e). Aujourd'hui, Fabien Roussel, candidat du Parti communiste, nous donne rendez-vous place du Palais Bourbon, devant l'Assemblée nationale, à Paris.

  • La Vie des Idées - Les cabinets ministériels : la zone grise du pouvoir

    Au sein des ministères, les cabinets nourrissent de nombreux fantasmes, entre opacité de leur rôle et toute-puissance des énarques. Institution pluriséculaire au cœur du pouvoir politico-administratif, leur composition s’est pourtant diversifiée et féminisée au cours du temps.

    Les cabinets ministériels sont une institution coutumière et pluriséculaire. Ils apparaissent sous la Restauration et composent le secrétariat particulier du ministre. À ce titre, leurs membres sont chargés de préparer ses dossiers, ses discours, de faire des études, mais aussi des propositions. Sous la Ve République, ils ont vu leur rôle augmenter proportionnellement au renforcement considérable qu’a connu le pouvoir exécutif (Eymeri-Douzans, Bioy, Mouton, 2015). C’est dans ces lieux du pouvoir que se préparent désormais les lois et décrets, et cela dans le plus grand des secrets. L’opacité qui les entoure, de leur composition à la discrétion du ministre jusqu’à leur « influence », leur vaut une réputation sulfureuse : œuvrant dans l’ombre des ministres, ces entourages de conseiller.es seraient un bastion de « l’énarchie », une chasse gardée très masculine des grands corps de l’État (Conseil d’État, Cour des Comptes, Inspection générale des Finances, Mines et Ponts et Chaussées). Ces derniers, qui étaient à l’origine chargés de contrôler les services de l’État, sont en effet devenus des corps de direction. Étant donné la sélection sociale qui s’opère à l’entrée de ces grands corps, les cabinets seraient ainsi en grande partie responsables de la dérive technocratique de la Ve République et de la fracture croissante entre gouvernants et gouvernés, dont le mouvement des Gilets jaunes n’est qu’une manifestation parmi d’autres.

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