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  • Zap Parlementaire | Semaine du 14.06

    Pour le Zap de cette semaine, nouveau format ! Nous avons désormais inclus les réponses du gouvernement après les questions de nos parlementaires. Laissez-nous un commentaire pour nous dire ce que vous en pensez, et si vous l'aimez, un petit pouce en l'air ! ☺️ Cette semaine, les député·e·s ont posé les questions suivantes au gouvernement : - Jean-Louis Bricout sur l'Allocation Adulte Handicapé - Chantal Jourdan sur le remboursement des soins psychologiques - Cécile Untermaier sur les féminicides en France Les sénateurs et sénatrices à avoir posé une question au gouvernement sont : - Michelle Meunier sur la situation de l'hôpital public - Joël Bigot sur l'action de la France dans la lutte contre le réchauffement climatique - Jean-Claude Tissot sur le Ségur de la santé

  • Régionales 2021 : « Les appareils partisans sont délétères pour la gauche »

    La gauche en voie d'effacement au niveau départemental et régional ? On en parle avec Rémi Lefebvre, professeur de science politique à l'université de Lille et à Sciences Po Lille

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  • Héritiers de l’avenir : Henri Nallet

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Henri Nallet, ancien ministre, président de la Fondation Jean-Jaurès, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Henri Nallet devient conseiller technique de François Mitterrand en juillet 1981, chargé des questions agricoles, des problèmes communautaires et de la pêche. Il n'est pas alors adhérent du Parti socialiste, actif dans les années 1960 dans les mouvements de jeunesse, dont la JEC, puis plutôt proche dans les années 1970 des combats pour le tiers-monde. Proche de Pierre Joxe, il rejoint ainsi l'entourage du candidat socialiste pour son expertise sur les sujets agricoles. En 1985, il devient ministre de l'Agriculture. En 1988, il est trésorier de la campagne de François Mitterrand, et il sera tour à tour ministre de l'Agriculture et Garde des sceaux, ministre de la Justice dans les gouvernements de Michel Rocard et d'Édith Cresson, faisant adopter notamment les lois de financements des partis politiques. Parallèlement, il adhère au Parti socialiste et s'implante dans l'Yonne. Il aborde à la fin de l'entretien son attachement à l'idée européenne.

  • Slate - Le congrès d'Épinay, cinquante ans d'une leçon de politique oubliée, Gaël Brustier

    Entrée dans une période qui ressemble à un crépuscule, la gauche française rêve tout haut d'un «nouvel Épinay». Un songe qui fait l'impasse sur la signification politique du congrès de 1971.

    Épinay reste une référence dans notre histoire politique contemporaine, mais la signification du congrès fondateur du Parti socialiste (PS) est largement oubliée ou passée sous silence aujourd'hui.

    La vulgate militante relative au congrès d'Épinay réduit l'événement à un récit simpliste, ôtant toute signification historique au congrès de ce qui était encore le Nouveau Parti socialiste (NPS) d'Alain Savary. En effet, l'imaginaire résiduel des gauches tend à borner Épinay à l'annonce faite aux socialistes par François Mitterrand de leur victoire prochaine, et à la sublime habileté qui aurait été la sienne.

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  • L'arrière-cour - Régionales : Najat Vallaud-Belkacem la joue comme Biden

    Conseillère régionale et vice-présidente adjointe à la culture sous Jean-Jack Queyranne, conseillère générale du Rhône, adjointe à la mairie de Lyon, porte-parole de Ségolène Royal, ministre des Droits des femmes et de l’Éducation sous François Hollande… Les rouages, Najat Vallaud-Belkacem les connaît, et la Région, elle sait comment elle fonctionne. On « ne la [lui] fait pas », c’est elle-même qui le dit. Alors, après une pause « pour prendre du recul en politique », la candidate tête de liste du Parti socialiste se relance dans le match, bien décidée à reprendre la Région à un Laurent Wauquiez « scandaleux et catastrophique ». Avec des envies américaines à la Biden, elle se dit prête à mettre dehors un « mini-Trump » et son « système qui ne fonctionne plus ». Enquête et entretien signés Romane Guigue et illustrés par Jibé.

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