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  • Se relâcher ou durcir - Le Billet de Sophia Aram

    Vendredi dernier, le chef de l’État a organisé avec une quinzaine de parlementaires une sorte de Whats’Apéro, ou si vous préférez, une sorte d’ApériTeams, pour étudier un scénario de retour à la vie normale. Sophia Aram fait la même chose.

  • [live] Justice sociale – Justice fiscale : Faut-il rembourser la dette Covid ? Rdv le mardi 23 février à 18 H 30

    Face à la crise du coronavirus, l’État a dû augmenter massivement les dépenses publiques. Or, depuis longtemps, les néolibéraux prônent des politiques d’austérité et la réduction des investissements publics pour rembourser la dette de l’Etat.  Le gouvernement d’E.Macron ne déroge pas à la règle et envisage « une gestion plus rigoureuse des dépenses publiques » et des « réformes structurelles ». L’après-covid risque de se transformer en une énorme cure d’austérité. Il existe pourtant d’autres solutions. Qu’est-ce que la dette publique ? Faut-il la restructurer ? L’annuler ? Et comment ?  Comment envisager le financement des dépenses publiques ?  Quel rôle pour la politique monétaire et les banques centrales ? Comment la fiscalité peut contribuer à la justice sociale ?   C’est autour de ces questions, et bien d’autres, que nous débattrons avec : • Dominique Plihon, économiste, Attac • Martine Orange, journaliste économiste à Mediapart • Vincent Drezet, syndicaliste, Solidaires Finances publiques • Esther Jeffers, économiste, Les économistes Atterrés - Attac ⇢ Rdv le mardi 23 février à 18 H 30 

  • Le Monde - Najat Vallaud-Belkacem prône l’union de la gauche, y compris avec la France insoumise

    A l’occasion des élections régionales, l’ex-ministre socialiste, pour qui la division de la gauche est « suicidaire », souhaite « construire une coalition » dans la perspective de la présidentielle de 2022.

    L’heure semble être à la cohésion d’une large gauche pour Najat Vallaud-Belkacem. Dans un entretien au Journal du dimanche du 21 février, l’ex-ministre socialiste vise les régionales du mois de juin 2021 comme premier point fort d’entente.

    « Je voudrais que ces élections soient le laboratoire de l’union » de la gauche pour la présidentielle, affirme Mme Vallaud-Belkacem, directrice France de l’ONG ONE depuis un an.

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  • Les Echos - Les socialistes font pression pour un « minimum jeunesse »

    Le PS, qui veut faire de la jeunesse un marqueur politique, repart à la charge, ce jeudi, avec ses propositions de revenu de base et de dotation universelle à partir de 18 ans. Il exhorte l'exécutif d'étendre le RSA aux jeunes, au moins pendant la crise.

    Le texte n'a pas la moindre chance d'être adopté ; il a été rejeté par la majorité la semaine dernière en commission à l'Assemblée. Mais pour les socialistes, sonner une nouvelle fois la charge ce jeudi, à l'occasion de leur niche parlementaire, sur leur proposition de loi pour un « minimum jeunesse », baptisée aide individuelle à l'émancipation solidaire (Ailes), n'est pas dénué d'intérêt. C'est une manière de maintenir la pression sur Emmanuel Macron . Et une tentative de faire de la jeunesse un marqueur politique. « L'accompagnement des jeunes à l'entrée de la vie active, la solidarité avec les jeunes qui sont si éprouvés dans la crise sanitaire, sera une priorité des socialistes pour le quinquennat à venir », promet Olivier Faure, le premier secrétaire du PS.

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  • La Vie des idées - De quoi le PIB est la mesure et comment le dépasser

    Faut-il se débarrasser du Produit intérieur brut (PIB) qui guide actuellement les politiques publiques ? D. Blanchet et M. Fleurbaey invitent à d’abord clarifier l’articulation entre les notions de production, de revenu et de bien-être pour mieux voir comment compléter la comptabilité nationale.

    Aussi clivants que puissent être les débats sur la pertinence du Produit intérieur brut (PIB) et son rôle dans l’orientation des politiques économiques, il y a au moins un point de consensus qui en émerge, le fait qu’il n’est pas un indicateur de bien-être. Qu’il ignore de nombreux déterminants du bien-être et puisse valoriser certains facteurs de mal-être sont les deux principaux reproches que lui font ses détracteurs. Il peut s’agir d’éléments de bien ou de mal-être courants comme la façon dont ce revenu courant est distribué et l’ensemble des déterminants non-monétaires de la qualité de vie. Il peut aussi s’agir de contributions potentielles au mal-être futur, tout ce qui gonfle le PIB d’aujourd’hui et dont les effets négatifs ne se feront sentir qu’à terme, avec les interrogations qui en découlent quant à la soutenabilité de notre mode de vie. Ces critiques peuvent être qualifiées de consensuelles parce qu’elles sont également admises par les avocats du PIB. Assumer ces limites est même une de leurs façons de le défendre en rappelant qu’il n’a jamais prétendu représenter le bien-être et encore moins sa soutenabilité, et que c’est donc un mauvais procès de lui reprocher de ne mesurer ni l’un ni l’autre.

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  • Esther Duflo : "Il y aura d’autres catastrophes climatiques, si nous ne faisons pas un effort"

    Esther Duflo, prix Nobel d'économie, professeure au MIT, professeure invitée à la Paris school of Economics, coauteur de "Économie utile pour des temps difficiles" (Seuil), est l'invitée du Grand entretien de France Inter.