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Gouverner à gauche : entre conquête et exercice du pouvoir ? Cent ans après le congrès de Tours

Cette table-ronde, animée par Jean-Numa Ducange, professeur à l’université de Rouen, réunit Sophie Cœuré, professeure à l’université de Paris, Éloïse Dreure, doctorante à l’université de Bourgogne, Romain Ducoulombier, historien, expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, Jean Vigreux, professeur à l’université de Bourgogne, et Serge Wolikow, président du conseil scientifique de la Fondation Gabriel Péri, dans le cadre des Rendez-vous de l’Histoire de Blois.

Il y a un siècle, en décembre 1920 à Tours, la gauche française se déchire autour de la question de la solidarité avec la Russie bolchévique : socialistes et communistes se séparent. Dans les décennies qui suivent leur influence réciproque évolue. À plusieurs reprises ils s’affrontent, parfois avec virulence, pour être la première force à gauche. Mais se pose également la question des alliances entre frères ennemis pour gouverner le pays (1936, 1945, 1981, 1997). Par-delà la grande diversité des contextes (dans chaque situation historique), se pose à chaque fois la question de leur identité : que faire de l’internationalisme, de l’idéal révolutionnaire et plus généralement du changement social et politique lorsque socialistes et communistes occupent les plus hautes responsabilités ?

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