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  • Stylo à quatre couleurs et voitures - Le billet de Nicole Ferroni

    Nicole Ferroni se sent ralentie, car elle manque de vitesse et de vie. Bientôt sans encre et sans débit.

  • La Vie des idées - Peut-on ne pas vouloir être libre ? À propos de : Manon Garcia, On ne naît pas soumise, on le devient, Flammarion

    Comment expliquer en féministe que certaines femmes acceptent la domination masculine ? Ce n’est pas un choix, mais un « consentement actif », selon Manon Garcia qui se place dans la lignée de Simone de Beauvoir.

    La philosophe Manon Garcia tente avec son premier ouvrage un véritable numéro d’équilibre. Poser la question de la soumission féminine depuis une perspective féministe relève d’un travail exigeant, puisqu’à tout moment se profile la menace d’une double récupération : l’une antiféministe – les femmes, par nature, aiment être soumises – l’autre colonialiste et orientaliste – les femmes de « là-bas » sont soumises, celles de « chez nous » sont libres et émancipées.

    On ne naît pas soumise, on le devient accomplit le tour de force qui consiste à ne prêter le flanc à aucune des deux. Pour faire cela, l’autrice choisit de travailler à partir de la pensée de Simone de Beauvoir. L’ouvrage propose ainsi une forme d’exégèse appliquée de l’œuvre de la philosophe : Manon Garcia détaille de manière à la fois limpide et précise la pensée beauvoirienne à partir de la problématique du consentement à la soumission.

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  • Fondation Jean Jaurès - Pour révolutionner notre façon de voter, place au jugement majoritaire ! en direct le 7 mars à 18h30

    Et si la solution à la crise démocratique passait par la mise en place du « jugement majoritaire » ? Ce mode de scrutin, inventé en 2002 par deux chercheurs du CNRS, amène l’électeur à évaluer chaque candidat à une élection en leur attribuant des mentions, de « à rejeter » jusqu’à « très bien », en passant par « bien », « assez bien » ou « passable ».

    La Fondation Jean-Jaurès en débat avec Loïc Blondiaux, professeur de science politique à la Sorbonne, spécialiste de la démocratie participative, et Chloé Ridel, haute fonctionnaire, membre du Groupe d’études géopolitiques de l’ENS, tous deux membres du Conseil d’administration du collectif Mieux voter.

  • Cécile Untermaier alerte le gouvernement sur la situation des surveillants de prison

  • Le JDD - Raphaël Glucksmann et Place publique dans une impasse

    Après le refus d'EELV, du PCF et de Benoît Hamon, seul le PS est encore disponible pour une alliance. Un tête‑à-tête dont Place publique ne veut pas.

    Depuis le week-end dernier et la réunion à huis clos de Place publique à Metz, Raphaël Glucksmann n'avait rien dit. Est-ce le signe que son mouvement, lancé avec l'économiste Thomas Porcher et l'écologiste Claire Nouvian pour créer en vue des européennes un large rassemblement d'une gauche écologiste, se trouve dans une impasse? Beaucoup le pensent, au PS, chez Benoît Hamon ou à Europe Écologie-Les Verts (EELV). "Je ne dirais pas que nous sommes dans une impasse, mais il y a un problème, c'est sûr", reconnaît Glucksmann.…

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  • Le pacte social et écologique de Nicolas Hulot, Laurent Berger.....

    Francetvinfo - Nicolas Hulot, la CFDT et 17 organisations lancent "un appel pour un pacte social et écologique"

    Des organisations, associations et syndicats lancent mardi un appel pour "donner à chacun le pouvoir de vivre".

    La CFDT, la Fondation Nicolas Hulot, la Fondation Abbé Pierre et 16 autres organisations* lancent "un appel pour un pacte social et écologique", un "pacte du pouvoir de vivre" comprenant 66 propositions, que franceinfo dévoile en exclusivité mardi 5 mars.

    "Le premier message, c'est de dire qu'il faut changer de modèle de développement et dire qu'il faut remettre la question sociale et écologique au cœur de notre modèle de société", a expliqué Laurent Berger, le patron de la CFDT mardi sur franceinfo. "Le second, c'est vous ne ferez pas sans nous."

    Le Monde, éditorial - Laurent Berger et Nicolas Hulot esquissent un projet de société alternatif

    Le secrétaire général de la CFDT et l’ancien ministre de la transition écologique ont présenté, le 5 mars, 66 propositions dessinant un nouveau « pacte social et écologique », à rebours des choix du gouvernement.

    Représentant une alliance de dix-neuf organisations issues de la protection de l’environnement et du mouvement social, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, et Nicolas Hulot, ancien ministre de la transition écologique, qui a démissionné de son poste en août 2018, aujourd’hui président de la fondation qui porte son nom, présentent un projet « pour donner à chacun le pouvoir de vivre ». Celui-ci rompt avec la politique du gouvernement, sur fond de crise des « gilets jaunes » et de mobilisations pour le climat.

    20 minutes - Nicolas Hulot et Laurent Berger réclament un «big bang fiscal» pour un pacte social et écologique

    PROJET Les 19 organisations environnementales, de solidarité et d’éducation, mutuelles et syndicats veulent « rendre définitivement indissociable l’enjeu écologique et l’enjeu social »

    Un « big bang fiscal », c’est ce qu’ont réclamé, ce mardi, Nicolas Hulot et Laurent Berger, dans le cadre d’un pacte social et écologique, porté par dix-neuf organisations, dont la CFDT et la Fondation Nicolas Hulot, qui comporte 66 propositions.

    « Cette coalition » de 19 organisations environnementales, de solidarité et d’éducation, mutuelles et syndicats « veut rendre définitivement indissociable l’enjeu écologique et l’enjeu social », a déclaré l'ancien ministre de la Transition écologique et solidaire d'Emmanuel Macron dans une interview au Monde, conjointe avec le numéro un de la CFDT.