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aides sociales

  • Le meilleur de 2018/2019 - Les aides sociales coûtent-elles un "pognon de dingue" ?

    L'État met-il trop d'argent dans des prestations sociales inefficaces ? C'est la question au cœur des Idées claires, notre programme hebdomadaire produit par France Culture et franceinfo et destiné à lutter contre les désordres de l'information, des fake news aux idées reçues.

    Mais de quoi parle-t-on exactement lorsqu’on invoque les aides sociales ? Combien coûtent-elles à l'État ? Sont-elles vraiment efficaces ? Autant de questions que nous avons posées à Antoine Bozio, maître de conférences à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et directeur de l’Institut des politiques publiques (IPP).

  • La Vie des idées - Ce que demande la non-demande, Autour du non-recours aux aides sociales

    Le non-recours aux aides sociales peut prendre plusieurs formes et s’expliquer diversement ; mais elle traduit fondamentalement, selon Philippe Warin, une attente de justification adressées aux pouvoirs publics.

    Depuis plusieurs années, de nombreux constats attestent qu’un nombre important de personnes renoncent à faire valoir leurs droits en matière d’aides sociales. Le phénomène de non-recours n’est certainement pas nouveau, mais comme il fait de plus en plus l’objet de mesures, son ampleur apparaît et le besoin de réponses grandit. Avec des taux de non-recours variant entre 40 et 60 % dans les pays de l’Union européenne [1], des solutions techniques se mettent en place pour faciliter l’accès des aides sociales et services publics.

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  • Alternatives économiques - Désintox : Pourquoi les aides sociales ne sont pas des trappes à inactivité

    Les aides sociales et la prime d’activité ont particulièrement été ciblées par l’exécutif ces dernières semaines. Fin mai, Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics les accusaient de piéger leurs bénéficiaires dans « des trappes à inactivité ». Il prenait plus particulièrement pour cible la prime d’activité : « En 2016, quand elle a été créée », elle coûtait « quatre milliards d’euros », mais « aujourd’hui, c’est six. En deux ans, il y a eu deux milliards de primes d’activité en plus alors qu’on a une croissance économique et des créations d’emplois. Il y a un système qui fonctionne mal. »

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