PS : Stéphane Le Foll "surpris" par Jean... par francetvinfo
Actualités socialistes - Page 983
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PS : Stéphane Le Foll "surpris" par Jean-Christophe Cambadélis
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"Les défaites de Marisol Touraine et Najat Vallaud-Belkacem n'ont rien à voir " explique O.Mazerolle Reposter RTL par RTL 5,7K 10 vues
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En Tunisie, des manifestants réclament le droit de manger en public pendant le ramadan
Début juin, quatre non-jeûneurs ont été condamnés à un mois de prison pour « outrage public à la pudeur » après avoir mangé dans un jardin en plein mois de jeûne.
Des dizaines de personnes ont manifesté, dimanche 11 juin, à Tunis, pour réclamer le droit de manger et de boire en public durant le ramadan et pour protester contre l’arrestation des non-jeûneurs. Début juin, quatre hommes ont été arrêtés puis condamnés à un mois de prison pour « outrage public à la pudeur » après avoir mangé dans un jardin en plein mois de jeûne musulman. -
OFCE - Climat : Trump souffle le chaud et l’effroi
Donald Trump a donc une nouvelle fois respecté une de ses promesses de campagne. Le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris ne semblait pourtant pas acquis.
Des personnalités centrales du lobby pétrolier américain comme le Secrétaire d’Etat, Rex Tillerson, ancien patron d’Exxon-Mobil, son actuel PDG, Darren Woods, ou encore le gouverneur du Texas, principal Etat producteur de pétrole aux Etats-Unis, conseillaient au président de maintenir les Etats-Unis au sein de l’accord – ne serait-ce que pour en influencer l’application.
Ce retrait n’est assurément pas une bonne nouvelle. Il n’en constitue pas pour autant la catastrophe que l’on pourrait redouter.
Sur le plan international, la Chine a tout de suite renouvelé son engagement en remplaçant l’ancien axe sino-américain par une nouvelle alliance climatique sino-européenne.
Malgré l’importance du charbon dans son mix énergétique, la Chine est en effet devenue la première puissance mondiale en matière d’énergie solaire, tant en puissance installée qu’en capacité de production de cellules photovoltaïques. Les dirigeants chinois n’ont aucune intention de tourner le dos à ce virage technologique, qui place leur pays dans une position enviable de leadership technologique et industriel.
Par ailleurs, au-delà de la problématique globale du changement climatique, la réduction de la consommation de charbon est d’abord pour la Chine un enjeu majeur de politique locale.
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L'Obs - L'islam, facteur aggravant de radicalité chez les lycéens
Une étude menée à l’automne auprès de 6828 lycéens souligne le lien très net entre appartenance à la religion musulmane et sensibilité aux idées radicales. Des résultats peu politiquement corrects, à interpréter avec délicatesse.
Quelle est donc cette matière fissible que viennent ce lundi de nous livrer les deux sociologues depuis les salons Empire du CNRS, dans le 16e arrondissement ? Eh bien, il s’agit des résultats d’une enquête "les Lycéens et la radicalité" menée à l’automne dernier, en réponse à l’appel à projet "attentats-recherche" lancé par l’organisme public, au lendemain des attentats du 13-Novembre… Une étude qui souligne, statistiques à l’appui, que, plus que tout autre déterminant, l’appartenance revendiquée à la religion musulmane rend les jeunes lycéens sensibles aux idées radicales, "en rupture avec le système politique, social et économique, et plus largement avec les normes en vigueur dans la société".
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___________________Le journal du CNRS - Une vaste enquête sur la radicalité chez les lycéens
Les sociologues Anne Muxel et Olivier Galland ont dévoilé ce matin les premiers résultats d’une étude qu’ils coordonnent auprès de plus de 7 000 lycéens pour mieux comprendre les facteurs d’adhésion des jeunes à la radicalité politique et religieuse.
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Slate, Gaël Brustier - La Ve République est morte, vive l'hyper Ve République
L’élection d’Emmanuel Macron n’a de signification politique véritable qu’au regard de la crise de régime rampante qui ronge la Ve République depuis la crise de 2008, sinon depuis l’instauration du quinquennat au début des années 2000.
Ce premier tour des élections législatives a été marquée par une abstention record. 51,29% des électeurs inscrits ne se sont pas rendus aux urnes. Du jamais vu. 48,71% de participation. Pour bien comprendre, rappelons quelques taux de participation au même scrutin au cours des dernières décennies. Rappel de la participation aux élections législatives de 1978: 83%. Aux élections de 1986: 78,5%. Aux élections de 1988: 66% (dissolution consécutive à la réélection de François Mitterrand face à Jacques Chirac). Aux élections de 1997, consécutives à la dissolution par Jacques Chirac et voyant la victoire de la gauche plurielle: 68%. L’abstention à ce premier tour des élections législative est un symptôme de la désaffection d’un nombre croissant de citoyens pour la Ve République.
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Non Fiction - La démocratie : nouveau champ de bataille de la gauche
Les élections nationales de 2017 acteront-elles la fin du clivage droite-gauche ? Pour le Front National, l’alternance de partis de gouvernement issus de la gauche et de la droite et menant peu ou prou la même politique une fois au pouvoir aurait signé l’arrêt de mort de celui-ci. Nos débats politiques se reconfigureraient-ils alors autour d’une opposition entre souverainistes et mondialistes, réactionnaires et progressistes, voire pessimistes et optimistes, pour ne citer que les nouvelles appellations les plus commentées ? A première vue, le second tour de l’élection présidentielle, en écartant les candidats des principaux partis incarnant l’alternative qui structure notre vie politique depuis la Révolution française, apparaît confirmer que ce clivage a cessé d’être pertinent. La complexe recomposition politique à l’œuvre ouvre la voie à différents scénarios, que les économistes Bruno Amable et Stefano Palombarini ont esquissés dans L'illusion du bloc bourgeois. Alliances sociales et avenir du modèle français.
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Centre d'observation de la société - La part de la population vivant en ville plafonne
48,8 millions de personnes – plus des trois quarts de la population – habitent en ville, selon les données 2012 de l’Insee. Depuis 2007, une tendance nouvelle semble se dégager : le plafonnement de la population urbaine. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, le processus d’urbanisation de la France s’accélère. La part de la population urbaine passe de 53 % en 1946 à 70 % en 1968 : l’emploi agricole s’écroule sous l’effet de la modernisation et les ruraux viennent grossir la population des villes portées par la progression de l’industrie et des services.
A partir des années 1970, l’urbanisation ralentit : la population urbaine atteint déjà les trois quarts de la population totale au milieu des années 1990. L’immigration (le plus souvent accueillie en ville) est ralentie, la croissance économique se réduit : l’essor de la ville est alors lié au phénomène de périurbanisation qui comble les espaces ruraux en grande périphérie, fait passer des bourgs ruraux au statut de petite ville. Comme le note l’Insee, l’espace urbain grignote d’anciennes communes rurales. L’urbanisation s’étend surtout dans l’Ouest et au Sud-Est de la France.
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Salman Rushdie - Deux ans, huit mois et vingt-huit nuits
A l'occasion de la 11e édition des Assises Internationales du Roman à la Villa Gillet, rencontre avec Salman Rushdie autour de son livre "Deux ans, huit mois et vingt-huit nuits" aux éditions Actes Sud.
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Paul Alliès - «Que peut-on attendre pour 2017 et après ?»
C’est la question que posait Emmanuel Macron pour l’élection présidentielle de 2012 dans un article souvent cité depuis le 7 mai dernier, paru dans la revue Esprit en Mars 2011. Il n’est pas sans intérêt de la reposer après ces élections législatives, à l’aune des considérations de celui qui est devenu président de la République.On s’en tiendra à ses opinions sur la démocratie et les institutions. Elles se fondent sur un diagnostic critique de leurs mécanismes et de leurs effets, en particulier « une présidentialisation du régime particulièrement tangible à l’approche des élections ; le débat politique se cristallise autour des présidentielles et a du mal à prendre en dehors, tandis que les partis passent l’essentiel de leur temps à débattre de l’identité et de la pérennité du candidat qui, non seulement doit gagner les élections, mais de facto, emmener dans son sillage les parlementaires qui, désormais plus que naguère, dépendent de lui. (…) Le temps politique vit dans la préparation de ce spasme présidentiel autour duquel tout se contracte et lors duquel tous les problèmes doivent trouver une réponse »...... -
Que va devenir la gauche - C à vous - 13/06/2017