Actualités socialistes - Page 1671
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Jean-Christophe Cambadelis : « Le PS est confronté à de grandes… » par RFI
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Bourdin Direct: Benoît Hamon - 12/05
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Vincent Peillon, invité de Guillaume Durand avec LCI
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La démocratie face à la finance 1/6 - Introduction
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Le Monde - François Hollande : « L'Europe que je veux »
Le 8 mai 1945, au terme de six années d'un conflit sanguinaire et barbare, la paix était proclamée.
Cette victoire fut celle de la liberté. Elle a conjuré l'un des plus grands dangers qui aient jamais menacé l'humanité. A cause des pertes effroyables liées aux combats, aux bombardements et au martyre des civils, qui ont culminé dans la Shoah, les pays européens sortaient de la guerre décimés, leur jeunesse sacrifiée et leur économie ruinée.
Et pourtant, le même continent, les mêmes peuples, les mêmes nations se sont relevés et connaissent depuis lors la plus longue période de paix jamais vue dans leur histoire. Les villes ont été rebâties, le niveau de vie a décuplé, la disparition des frontières a assuré la libre circulation des personnes, et la multiplication des échanges a favorisé le retour à la prospérité.
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OFCE - La java des fréquences : une explication du « krach éclair »
29 avril 2014
par Sandrine Jacob Leal[1], Mauro Napoletano[2], Andrea Roventini[3], Giorgio Fagiolo[4]
Le 6 mai 2010, conjointement à la chute sans précédent du cours de l’E-Mini S&P 500[5], de nombreux indices boursiers américains, y compris l’indice Dow Jones, se sont effondrés en quelques minutes (les baisses enregistrées ont été de plus de 5%), et ont rebondi tout aussi rapidement, jusqu’à récupérer une grande partie des pertes observées. Au cours de ce « krach éclair », la plupart des prix des actifs ont perdu tout rôle informationnel. En particulier, plus de 20 000 transactions, portant sur plus de 300 titres, ont été exécutées à des prix bien au-delà de leur valeur avant le krach (des écarts de plus de 60% ont été notés). Certains contrats ont par exemple été exécutés à 0,01$ ou en de-deçà, ou à plus de 100 000$, avant que le prix de ces titres reviennent à leurs niveaux d’avant le krach (CFTC et SEC, 2010). Ces anomalies excessives des prix ont été associées à une évaporation soudaine de la liquidité sur le marché, à une volatilité accrue du prix des actifs et à une crise de confiance prolongée sur ces marchés (les volumes journaliers moyens sont restés à des niveaux faibles pendant plusieurs mois après cet épisode). En outre, de tels incidents peuvent être à l’origine de crises systémiques notamment du fait de pratiques de comptabilité financière basées sur la valeur de marché. Dès lors, les actifs des banques et autres institutions financières sont évalués à leur prix de marché. -
Non Fiction : Union sacrée du social et de l’écologie?
Résumé : Après le mot d’ordre : « concilier économie et écologie c’est possible ! », voici que « concilier social et environnemental ne peuvent qu’aller de pair »…
Alors que bon nombre des environnementalistes en France accueille l’arrivée de Ségolène Royal au ministère du développement durable avec, au mieux, un air dubitatif, ou sinon un soupir las, voire narquois, le Think Tank « Terra Nova » publie ce 14 avril une note qui semble dire : vite, conjurons le recul de la cause écologique subordonnée au traitement social de la crise.
Dans cette note, la sociale-écologie arrive à point nommé pour tenter d’opérer, en 16 pages, un reversement de la perspective la plus communément admise : l’écologie placée au sommet de la pyramide des besoins est un luxe de riches. Une cerise sur leur gâteau?
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OFCE - Banques centrales : le dernier rempart ?
28 avril 2014
par Xavier Timbeau, @XTimbeau
Ce texte résume les perspectives 2014-2015 de l’OFCE pour l’économie mondiale
La croissance du PIB est à nouveau positive dans la plupart des pays développés ! Faut-il s’en réjouir et crier victoire parce que nous sommes sortis de la pire récession depuis la Seconde Guerre mondiale ? Les sacrifices consentis et les sueurs froides, tout ceci a-t-il finalement payé ?
Et bien non. La croissance est positive, mais insuffisante pour induire une baisse du chômage. Y compris aux Etats-Unis, où pourtant le chômage a baissé, le taux d’emploi ne se redresse pas (graphique 1). C’est qu’on peut sortir du chômage vers l’emploi mais aussi vers l’inactivité, c’est-à-dire le retrait du marché du travail. Et c’est ce découragement des chômeurs qui domine aux Etats-Unis.
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Non Fiction : Comparer les carrières et les emplois des femmes et des hommes.
Résumé : Les inégalités de salaires qui persistent entre les femmes et les hommes tiennent pour une part à la dévalorisation des emplois à prédominance féminine.
Le salaire des femmes reste inférieur d’un quart à celui des hommes. Une plus faible durée du travail en explique une partie. L’idée que leur salaire ne constitue qu’un salaire d’appoint, dont l’auteure, économiste à l’université de Paris X, retrace l’histoire dans les deux premiers chapitres, continue de produire ses effets, notamment dans l’acceptation du temps partiel féminin.
Les difficultés d’accès aux emplois les mieux rémunérés en expliquent une autre. Car leur parcours professionnel demeure dans l’ensemble beaucoup moins valorisant que celui des hommes, en lien notamment avec la maternité. Contre cela, des femmes, certes encore peu nombreuses, ont entrepris de faire reconnaître leurs retards de carrière. L’auteure présente dans les deux chapitres suivants les cas d’une demi-douzaine d’entre elles. Utilisant les mêmes outils que ceux mis au point pour démontrer la discrimination syndicale, consistant à comparer l’évolution des rémunérations de salariés entrés dans l’entreprise à la même période avec un même niveau de qualification, elles ont pu obtenir gain de cause devant les tribunaux, comme cette analyste financière qui a ainsi obtenu une compensation représentant un montant important pour discrimination de salaire et de carrière en raison de congés de maternité, parental et conventionnel.
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7 jours BFM: François Hollande, opération reconquête - 10/05 BFMTV
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7 jours BFM: Impopularité: François Hollande, autopsie d’une chute - 10/05 BFMTV