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Actualités socialistes - Page 1497

  • Rassemblement des secrétaires de section : Nadia Bellaoui


    Rassemblement des secrétaires de section... par PartiSocialiste

  • Rassemblement des secrétaires de section : le reportage


    Rassemblement des secrétaires de section : le... par PartiSocialiste

  • Rassemblement des secrétaires de section: Sacha Reingewirtz (UEJF)


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  • Rassemblement des secrétaires de section : Christophe Deloire (RSF)


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  • Rassemblement des secrétaires de section : Najat Vallaud-Belkacem


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  • BFM Story: Législative dans le Doubs: une élection à risque pour le PS - 30/01


    BFM Story: Législative dans le Doubs: une... par BFMTV

  • Telos - Juncker: un plan pour quoi faire? Elie Cohen

    Trop pingre, trop flou, trop artificiel… C’est en ces termes que l’on critique le Plan Juncker de relance par l’investissement.

    315 milliards d’euros, c’est une enveloppe qui n’est pas à la hauteur des besoins et des urgences. La transition énergétique, la diffusion du numérique, les infrastructures transfrontières, l’investissement dans le capital humain requièrent des investissements d’un montant bien supérieur et dont l’utilité est incontestable. De plus nul ne sait ce qui sera financé, infrastructures traditionnelles intenses en BTP ou immatérielles, intenses en intelligence. Des catalogues de projets existent certes, mais rien qui puisse constituer une liste prête à l’emploi. Enfin les 315 milliards ne seraient que la vision très grossie d’un programme d’investissement qui ne mobiliserait que 21 milliards d’argent communautaire (6 milliards en capital et 15 milliards en garanties), le reste venant de la dette contractée par la BEI (63 milliards) et par d’autres concours publics ou privés ! La relance européenne serait donc une tromperie.

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  • La Vie dees Idées : E. P. Thompson, une vie de combat

    Grand historien de la classe ouvrière anglaise, figure intellectuelle majeure des débats sur le marxisme dans les années 1960-1970, militant antinucléaire à l’origine d’une critique écologiste du capitalisme : tels furent les visages multiples d’Edward Palmer Thompson, dont l’œuvre continue d’imprégner en profondeur l’ensemble des sciences sociales.

    Longtemps peu connue en France, l’œuvre de l’historien anglais Edward P. Thompson fait désormais l’objet d’une importante reconnaissance dont témoignent des traductions et publications récentes [1]. Figure majeure de l’historiographie britannique et activiste insatiable, Thompson mena de front l’élaboration d’une œuvre originale et de virulents combats politiques. Son écho a d’ailleurs rapidement dépassé le seul monde des historiens : en renouvelant l’étude des classes sociales et du droit, en plaçant les acteurs et leur expérience au cœur de sa réflexion, en explorant de façon inédite les racines du capitalisme et les résistances populaires, il marqua de son empreinte les sciences sociales de la seconde moitié du XXe siècle. Même s’il fut l’objet de vives critiques de son vivant, il n’a cessé d’être canonisé depuis son décès en 1993. Un retour sur la trajectoire et les engagements de l’une des grandes figures intellectuelles du XXe siècle s’impose donc.

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  • Non Fiction : L’économiste et le romancier

    Résumé : Un ouvrage qui, à travers l’œuvre de Houellebecq, dénonce les théories économiques, responsables d’une société devenue invivable pour l’homme.

    En hommage à Bernard Maris, tué le 7 janvier dans les bureaux de Charlie Hebdo, nous vous proposons le compte rendu de son dernier essai.

    Rares sont les écrivains qui, de leur vivant, suscitent autant de passion et de curiosité que Michel Houellebecq. Son influence dépasse le champ strictement littéraire. Il suffit de considérer son actualité l’année dernière alors qu’il n’avait même pas sorti de nouveau roman. L’écrivain a eu le rôle principal dans deux films français : L’Enlèvement de Michel Houellebecq du réalisateur Guillaume Nicloux, Near Death Experience de Gustave Kervern et Benoît Delépine. Le chanteur Jean-Louis Aubert lui a consacré un album tiré d’un de ses recueils : Les parages du vide. Son roman Les particules élémentaires a été adapté au théâtre par le metteur en scène Julien Gosselin et a séduit la critique au festival d’Avignon. En ce début d’année, la parution de Soumission agite la sphère médiatique, parce que Houellebecq y invente une présidence de la République française qui émanerait d’un parti musulman.  

    Une autre transformation de Michel Houellebecq nous est proposée par l’économiste Bernard Maris. Le titre de son essai Houellebecq économiste est une référence au tableau du personnage de La Carte et le Territoire (2010) intitulé Michel Houellebecq, écrivain

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  • OFCE - Flexibilités contre nouvel effort budgétaire, la messe n’est pas encore dite

    29 janvier 2015

    par Raul Sampognaro

    Le 13 janvier dernier, la Commission Juncker a clarifié sa position concernant les flexibilités mobilisables par les Etats dans l’application du Pacte de Stabilité et de Croissance (PSC). La nouvelle lecture du PSC devrait se traduire par une atténuation de la consolidation budgétaire nécessaire pour certains pays[1]. Dorénavant, la Commission pourra appliquer la « clause de réformes structurelles » à un pays soumis au volet correctif[2] du Pacte alors qu’auparavant, ceci n’était possible que pour les pays soumis au volet préventif du Pacte[3]. Cette clause permettra à l’Etat membre de dévier temporairement de ses engagements préalables pour les reporter à un moment où les fruits des réformes devraient faciliter l’ajustement. Pour que la Commission accepte de déclencher la clause, certaines conditions devront être réunies

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  • La Vie des Idées - L’émancipation dans la précarité par Cyprien Tasset

    La précarité peut-elle être émancipatrice ? Pour le sociologue Patrick Cingolani, elle ne consiste pas seulement en une forme d’emploi dégradée, mais dessine des possibilités libératrices pour tous les travailleurs. Reste à mesurer ce potentiel révolutionnaire.

    Recensé : Patrick Cingolani, Révolutions précaires. Essai sur l’avenir de l’émancipation. Paris, La Découverte, 2014, 150 p, 13 €.

    Plusieurs décennies après que le terme de « précarité » s’est imposé comme le symbole de maux que la critique sociale ne peut faire que dénoncer sans en enrayer la progression, il y a de l’audace à soutenir, comme Patrick Cingolani le fait dans Révolutions précaires, que l’avenir de l’émancipation doit être recherché du côté des « formes de liberté des précaires » (p. 87). On pourrait objecter, comme P. Cingolani l’a écrit lui-même, qu’« il n’y a pas de précarité qui soit une liberté » et que « ceux qui le disent, à droite ou à gauche, se bercent et bercent d’illusion » [1] Sans renier cet avertissement, Révolutions précaires se penche sur les pratiques et les expériences de travailleurs précaires, pour montrer qu’elles sont ambivalentes plutôt qu’unilatéralement dominées, et que cette ambivalence recèle des pistes de réponse à plusieurs des impasses dans lesquelles sont actuellement enlisés les efforts d’émancipation. Cette proposition est l’aboutissement d’un parcours de recherche de long cours, qui s’est caractérisé dès l’origine par un investissement du lexique de la précarité en tension avec ses usages dominants.

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