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Actualités socialistes - Page 1451

  • Christiane Taubira : "La politique, c'est se hisser à la hauteur des autres, et agir pour eux".


    Christiane Taubira : "La politique, c'est se... par Europe1fr

  • Christiane Taubira : "Le Front National passe son temps à fragmenter la société".


    Christiane Taubira : "Le Front National passe... par Europe1fr

  • Le Monde - Dans « socialiste », il y a « social » et le PS l’a oublié !

    Par Karine Berger, députée ; Nicolas Brien, député-suppléant ; Dominique Bertinotti, ancienne ministre ; Yann Galut, député ; Madeleine Ngombet, vice-présidente région Poitou-Charentes

    La sanction est là, sans appel : la gauche perd 28 départements. Le Front national (FN) est arrivé en tête au premier tour dans les anciens cantons de Pierre Mauroy, de Pierre Bérégovoy ou de Léon Blum. Il s’implante sur les terres de Jean Jaurès, progresse encore chez les électeurs de la classe ouvrière et améliore sa présence chez les seniors des zones rurales.

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  • Christiane Taubira : "La gauche doit retrouver ses mots"


    Christiane Taubira : "La gauche doit retrouver... par Europe1fr

  • La Vie des Idées : Promesse oblige

    Le fait de promettre implique-t-il nécessairement que l’on soit obligé de tenir sa promesse ? Et si tel est le cas, comment peut-on le prouver ? La réponse d’Alain Boyer est que toute promesse oblige et que la meilleure manière de le prouver est de relire Hobbes à partir de la théorie des jeux.

    Recensé : Alain Boyer, Chose promise : Étude sur la promesse, à partir de Hobbes et de quelques autres, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Léviathan », 2014, 458 p.

    L’on peut promettre d’être à l’heure à un rendez-vous, de rester fidèle à son conjoint, de respecter la loi de son pays ou de suivre les préceptes d’une religion ; l’on peut promettre toutes sortes de choses, des plus triviales aux plus sacrées, mais, dans tous les cas, promettre c’est s’engager à faire ce que l’on a promis, soumettre son action à la règle de la parole donnée. La promesse apparaît ainsi dotée de deux caractéristiques : elle est à la fois un opérateur linguistique singulier permettant de coordonner des actions efficaces, et une relation morale à autrui, qui crée obligation. Pourquoi un acte de parole – « Je te promets d’être à l’heure » – peut-il faire advenir une action, en l’occurrence, rencontrer quelqu’un à l’heure dite ? Pourquoi respecter sa parole devrait-il constituer un devoir ? De toute évidence, ces deux types de questions entretiennent des correspondances : m’obliger à l’égard d’autrui en lui promettant d’être à l’heure présuppose, à l’évidence, la possibilité pratique de réaliser l’acte auquel je m’engage. Pour autant, il est essentiel de garder présent à l’esprit que l’acte de promettre est susceptible de deux types d’analyse qui ne se réduisent pas l’un à l’autre : l’oublier conduirait à passer sans cesse d’une étude que l’on pourrait dire pragmatique de l’acte de promettre, à la manière de celle qui est proposée par la théorie des actes de langage [1], à l’évaluation de la promesse dans les termes de la philosophie morale, dont un bon exemple nous est donné dans le chapitre XV du Léviathan de Hobbes.

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  • Non Fiction - Le temps de la métropole agile, créative, solidaire et durable est-il venu?

    Résumé : Un ouvrage optimiste sur l'inventivité des métropoles européennes contemporaines.

    Paul Vermeylen nous livre ses réflexions sur le rôle et le fonctionnement des métropoles européennes dans un ouvrage conçu comme un « road trip ». L’ouvrage présente en effet une centaine de pratiques qui témoignent de l’inventivité des métropoles. Il a sélectionné pour nous les métropoles qu’il qualifie d’ « exemplaires » car moteurs de la croissance  et prenant le relais des États. Ces territoires se singularisent par leur « capacité à s’auto-organiser pour assurer les besoins de leur propre développement »  et mettent en place une gouvernance originale associant pouvoirs publics, secteur privé et milieux associatifs. En introduction, l’auteur donne les critères retenus pour sa sélection de métropoles : des villes entre 500 000 et 5 millions d’habitants, pourvues d’une aire de rayonnement, concentrant des fonctions importantes et intégrées à la mondialisation. Ces métropoles doivent surtout posséder quatre vertus essentielles aux yeux de l’auteur : « l’agilité, la créativité, la solidarité et la durabilité ». L’ouvrage s’articule ainsi en quatre chapitres pour aborder la notion de « métropole fertilisante ».

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  • Parlement Hebdo : François Lamy, député SRC de l’Essonne, ancien ministre


    Parlement Hebdo : François Lamy, député SRC de... par LCP

  • La Vie des Idées : L’ambition perdue du PCF

    Comment le Parti Communiste, représentant des classes populaires sur la scène politique jusque dans les années 1970, est-il devenu un parti de professionnels, largement issus de milieux plus favorisés ? Croisant socio-histoire et analyse locale du politique, Julian Mischi met en lumière les causes et les enjeux politiques de ce déplacement.

    Recensé : Julian Mischi, Le communisme désarmé. Le PCF & les classes populaires depuis les années 1970, Contre-feux, Agone, 2014. 332 p., 20 €.

    Un double désarmement

    Après Servir la classe ouvrière, paru en 2010 aux Presses Universitaires de Rennes, Le communisme désarmé constitue le second volet de la vaste enquête entreprise par Julian Mischi pour sa thèse de doctorat de science politique (2002) et poursuivie depuis. Il s’affirme désormais comme l’un des meilleurs spécialistes de la socio-histoire du communisme français et offre, avec ce second ouvrage, une vue d’ensemble de l’évolution du PCF appréhendée notamment au regard de ses rapports avec les classes populaires, vivier du recrutement de ses élites militantes auparavant, de ses implantations électorales et locales mais aussi de sa symbolique comme « parti de la classe ouvrière ».

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  • Stéphane Le Foll & le score PS aux départementales - DESINTOX - 02/04/2015


    Stéphane Le Foll & le score PS aux... par Desintox

  • Mediapart : Camille Landais reçoit Bruno Crépon pour une émission intitulée : "Que faire contre le chômage des jeunes ?"


    EN CLASSE ECO. Bruno Crépon par Mediapart

  • Non Fiction - Refaire société ? (François Dubet)

    Résumé : Une analyse de la crise des solidarités à l’heure de la réussite individuelle.

    Le sociologue François Dubet, tente, dans un court essai au titre presque provocateur, La préférence pour l’inégalité, de saisir comment la société française en est aujourd’hui arrivée à un tel délitement de ses liens de solidarité. Comment les acteurs d’une société républicaine, du citoyen jusqu’au plus haut niveau des pouvoirs publics, peuvent-ils faire ce choix collectif de l’inégalité ?  Selon l’auteur, l’augmentation des inégalités – à tous niveaux – depuis presque vingt ans, a mené à un réel épuisement de la solidarité au sein de la société française.

    Dans son premier chapitre, il revient sur les différents types d’(in)égalité, reprenant notamment quelques répartitions marquantes, évoquant ainsi « les 50% des Français les plus pauvres (qui) partagent 4% du capital, alors que les 10% les plus riches en partagent 62% de manière très inéquitable. » Toutes les inégalités sont rapidement passées au crible : sociales, de genre, spatiales, économiques, etc. Il montre que si les inégalités économiques, la globalisation, tous les phénomènes dits structurels ou systémiques peuvent créer et aggraver les inégalités, c’est aussi et peut-être surtout par les choix des citoyens que les inégalités se font et ne se défont plus.

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