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Actualités socialistes - Page 1453

  • La Vie des Idées - La transition écologique, avenir de l’Europe (Gaël Giraud)

    Pour Gaël Giraud, la démesure financière est à l’origine de la crise de la zone euro et de l’instabilité croissante de la finance mondialisée depuis les années 1980. La transition écologique ne peut être impulsée par la finance privée mais doit l’être grâce à une refonte de la BCE et de la gouvernance européenne.

    Recensé : Gaël Giraud. Illusion financière. Des subprimes à la transition écologique. Les Éditions de l’Atelier, 2014, 254 p.
    • Les vues exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne représentent pas celles du FMI.

    Comment l’Europe s’est-elle retrouvée dans un marasme économique aussi profond ? Quel projet de société peut apporter la prospérité à l’Europe et lui permettre de sortir de la déflation et du chômage de masse ? Comment, enfin, financer ce projet ? Ce sont les questions auxquelles Gaël Giraud, directeur de recherche au CNRS et notamment auteur de Vingt Propositions pour réformer le capitalisme (2009), tente d’apporter une réponse dans un livre audacieux, l’Illusion financière. Le fil d’Ariane tient en trois interrogations liées : comment réguler la finance pour garantir son utilité sociale ? Comment transformer les institutions européennes pour mobiliser la finance au service de la transition écologique ? S’agit-il d’un projet de société capable de générer une prospérité durable en Europe ?

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  • La Tribune - Grèce : comment Tsipras a renversé la situation

    En agissant avec prudence et détermination, Alexis Tsipras a su contourner la stratégie du "noeud coulant" des Européens. Désormais, la pression est de nouveau sur Angela Merkel.

    Et si, désormais, la pression dans l'affaire grecque s'exerçait surtout sur les... Européens ? A mesure que l'on se rapproche de la date cruciale du 9 avril, où l'Etat grec devra débourser 458 millions d'euros au FMI, on assiste en effet à un remarquable retournement. Progressivement, le gouvernement grec, en ayant su ne pas céder sous la pression de ses créanciers, retrouve une position de force qui est celle, naturelle dans les négociations de ce type, du débiteur face à son créancier et où ce dernier doit accepter les conditions du premier ou risquer de tout perdre

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  • La Vie dees Idées - L’avant-garde situationniste : une analyse sociologique

    Dissous en 1972, le mouvement situationniste continue de fasciner. Éric Brun passe au crible de l’analyse sociologique la courte vie de l’Internationale Situationniste. En soutenant la thèse de l’avant-garde, l’ouvrage ne brise que partiellement le mythe forgé autour de Guy Debord.

    Recensé : Éric Brun, Les situationnistes. Une avant-garde totale (1950-1972), Paris, CNRS Éditions, 2014, 454 p. 25 €.
     

    De tous les courants d’idées révélés par les années 1968, le mouvement situationniste a sans doute la plus longue et la plus riche postérité. Son projet révolutionnaire fut conçu par son leader Guy Debord (1931-1994) comme une réponse aux échecs à la fois des marxistes et des avant-gardes artistiques, de Dada aux Lettristes. Depuis son autodissolution en 1972, il a nourri plusieurs générations de militants, d’intellectuels, d’artistes qui se sont appuyés sur ses textes pour critiquer radicalement ce qui fait la modernité de nos sociétés : la subversion dans l’art – de Dada aux happenings –, les conceptions de la ville héritées de Le Corbusier, le consumérisme de biens matériels et de loisirs, le système de représentation médiatique, etc.

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  • Fleur Pellerin : "L'emploi ne peut pas être la seule variable d'ajustement à Radio France"


    Fleur Pellerin : "L'emploi ne peut pas être la... par franceinter

  • Christiane Taubira : "La politique, c'est se hisser à la hauteur des autres, et agir pour eux".


    Christiane Taubira : "La politique, c'est se... par Europe1fr

  • Christiane Taubira : "Le Front National passe son temps à fragmenter la société".


    Christiane Taubira : "Le Front National passe... par Europe1fr

  • Le Monde - Dans « socialiste », il y a « social » et le PS l’a oublié !

    Par Karine Berger, députée ; Nicolas Brien, député-suppléant ; Dominique Bertinotti, ancienne ministre ; Yann Galut, député ; Madeleine Ngombet, vice-présidente région Poitou-Charentes

    La sanction est là, sans appel : la gauche perd 28 départements. Le Front national (FN) est arrivé en tête au premier tour dans les anciens cantons de Pierre Mauroy, de Pierre Bérégovoy ou de Léon Blum. Il s’implante sur les terres de Jean Jaurès, progresse encore chez les électeurs de la classe ouvrière et améliore sa présence chez les seniors des zones rurales.

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  • Christiane Taubira : "La gauche doit retrouver ses mots"


    Christiane Taubira : "La gauche doit retrouver... par Europe1fr

  • La Vie des Idées : Promesse oblige

    Le fait de promettre implique-t-il nécessairement que l’on soit obligé de tenir sa promesse ? Et si tel est le cas, comment peut-on le prouver ? La réponse d’Alain Boyer est que toute promesse oblige et que la meilleure manière de le prouver est de relire Hobbes à partir de la théorie des jeux.

    Recensé : Alain Boyer, Chose promise : Étude sur la promesse, à partir de Hobbes et de quelques autres, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Léviathan », 2014, 458 p.

    L’on peut promettre d’être à l’heure à un rendez-vous, de rester fidèle à son conjoint, de respecter la loi de son pays ou de suivre les préceptes d’une religion ; l’on peut promettre toutes sortes de choses, des plus triviales aux plus sacrées, mais, dans tous les cas, promettre c’est s’engager à faire ce que l’on a promis, soumettre son action à la règle de la parole donnée. La promesse apparaît ainsi dotée de deux caractéristiques : elle est à la fois un opérateur linguistique singulier permettant de coordonner des actions efficaces, et une relation morale à autrui, qui crée obligation. Pourquoi un acte de parole – « Je te promets d’être à l’heure » – peut-il faire advenir une action, en l’occurrence, rencontrer quelqu’un à l’heure dite ? Pourquoi respecter sa parole devrait-il constituer un devoir ? De toute évidence, ces deux types de questions entretiennent des correspondances : m’obliger à l’égard d’autrui en lui promettant d’être à l’heure présuppose, à l’évidence, la possibilité pratique de réaliser l’acte auquel je m’engage. Pour autant, il est essentiel de garder présent à l’esprit que l’acte de promettre est susceptible de deux types d’analyse qui ne se réduisent pas l’un à l’autre : l’oublier conduirait à passer sans cesse d’une étude que l’on pourrait dire pragmatique de l’acte de promettre, à la manière de celle qui est proposée par la théorie des actes de langage [1], à l’évaluation de la promesse dans les termes de la philosophie morale, dont un bon exemple nous est donné dans le chapitre XV du Léviathan de Hobbes.

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  • Non Fiction - Le temps de la métropole agile, créative, solidaire et durable est-il venu?

    Résumé : Un ouvrage optimiste sur l'inventivité des métropoles européennes contemporaines.

    Paul Vermeylen nous livre ses réflexions sur le rôle et le fonctionnement des métropoles européennes dans un ouvrage conçu comme un « road trip ». L’ouvrage présente en effet une centaine de pratiques qui témoignent de l’inventivité des métropoles. Il a sélectionné pour nous les métropoles qu’il qualifie d’ « exemplaires » car moteurs de la croissance  et prenant le relais des États. Ces territoires se singularisent par leur « capacité à s’auto-organiser pour assurer les besoins de leur propre développement »  et mettent en place une gouvernance originale associant pouvoirs publics, secteur privé et milieux associatifs. En introduction, l’auteur donne les critères retenus pour sa sélection de métropoles : des villes entre 500 000 et 5 millions d’habitants, pourvues d’une aire de rayonnement, concentrant des fonctions importantes et intégrées à la mondialisation. Ces métropoles doivent surtout posséder quatre vertus essentielles aux yeux de l’auteur : « l’agilité, la créativité, la solidarité et la durabilité ». L’ouvrage s’articule ainsi en quatre chapitres pour aborder la notion de « métropole fertilisante ».

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  • Parlement Hebdo : François Lamy, député SRC de l’Essonne, ancien ministre


    Parlement Hebdo : François Lamy, député SRC de... par LCP