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Actualités socialistes - Page 1225

  • Marianne - Face au terrorisme islamiste, les déni-oui-oui, Joseph Macé-Scaron

    Avec raison, les Français ne voient aujourd’hui qu’une chose : la France est en train de perdre des batailles face au terrorisme. Ces défaites sont payées au prix fort, au prix du sang, et conseiller le fatalisme dans ce domaine est non seulement inepte, mais surtout inaudible. Oh, certes, il est possible de trouver toutes les arguties possibles pour nous conter que l’internationale de la haine est affaiblie, que des coups terribles lui sont portés, que sa stratégie est inconséquente et autres fadaises du même genre. Autant d’éléments de langage concoctés par des communicants de crise s’étant arrêté au premier épisode de la série « Scandal ». Mais rien n’y fait. Les faits sont têtus et nos concitoyens aussi. Ils savent très bien que Daech a succédé à Al-Qaida et que demain surgira une nouvelle monstruosité totalitaire tant que l’on persistera à ne pas regarder le mal en face.

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  • La Régle du jeu - Sérénade Chafik, anti-Moubarak place Tahrir et anti-islamistes en France (mars 2016)

    Bernard Schalscha s’entretient avec la féministe franco-égyptienne. Venue de la gauche de la gauche égyptienne, puis passée par la LCR en France, la militante féministe et laïque née en Egypte dénonce tout autant les dictatures arabes que l’islam politique et ses alliés gauchistes. Fondant ses engagements sur des valeurs universelles d’émancipation, elle estime qu’une révolution sexuelle est indispensable au Maghreb et au Machrek où sévissent patriarcat et oppression des femmes.

  • Observatoire des inégalités - Qui va partir en vacances ?

    12 juillet 2016 - 80 % des cadres supérieurs partent en congés chaque année, contre 50 % des ouvriers. Et encore, entre catégories, on ne part ni aussi souvent, ni aussi longtemps, ni dans les mêmes conditions.


    Près des deux tiers des Français déclaraient partir en vacances [1] au milieu des années 1990, selon le Crédoc. Le taux de départ en vacances a ensuite diminué petit à petit jusqu’à tomber à quasiment 50 % en 2008. Depuis 2011, il repart à la hausse et a atteint 60 % en 2014 (dernières données disponibles) [2].

    Qui sont les chanceux qui vont faire leurs valises ? Pour partir, il faut en avoir les moyens. 40 % des personnes aux revenus inférieurs à 1 200 euros mensuels ont quitté leur domicile pour des congés en 2014, contre 86 % de celles qui disposent de plus de 3 000 euros. Un « budget vacances » pour une famille peut représenter plusieurs milliers d’euros : impossible pour la majorité des bas salaires. Les plus pauvres ne sont pas les plus aidés et les plus aisés ont davantage l’occasion de bénéficier d’hébergements gratuits dans la famille ou chez des amis.

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  • Fondation Jean Jaurès - Eurobaromètre spécial du Parlement européen : les grands enseignements

    Julien Zalc, consultant pour TNS opinion, revient sur les attentes des Européens, particulièrement en matière de lutte contre le chômage et le terrorisme, révélées par l’Eurobaromètre spécial du Parlement européen réalisé en avril 2016

  • France Culture - Finance et politique : les liaisons dangereuses

    Révélée en milieu de semaine dernière, l’arrivée de José Manuel Barroso chez Goldman Sachs a soulevé une vague de protestations… mais d’ordre très différent.

    Pour certains c’est, en soit, le passage de l’ancien président de la Commission Européenne à une banque d’affaire qui pose problème. Il n’est certes pas le premier mais prête le flanc de façon caricaturale à l’accusation d’appartenir à ces élites déconnectées au service de la finance plutôt que de l’intérêt général.

    D’autres se sont montrés plus nuancés : c’est le choix de Barroso d’aider spécifiquement Goldman Sachs à gérer l’après Brexit qui est critiqué. L’éthique personnelle aurait dû guider le Portugais à refuser d’intégrer cette banque qui a largement participé à la crise des subprimes et s’est illustré, dans le maquillage des comptes Grecs.

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  • OFCE - Le référendum britannique du 23 juin 2016 : le saut dans l’inconnu Par Catherine Mathieu

    13 juillet 2016

    Le 23 juin 2016, les Britanniques ont décidé (par 52% contre 48%) de sortir de l’Union européenne. Après avoir longtemps critiqué le fonctionnement de l’UE et les contraintes qu’il faisait porter sur le Royaume-Uni, David Cameron avait obtenu, le 19 février 2016, un accord censé permettre le maintien du Royaume-Uni dans l’UE, mais cela n’a pas suffi à convaincre les électeurs. Dans le Policy Brief de l’OFCE (n°1 du 13/07), nous montrons que plus que des arguments économiques, c’est le souci des Britanniques de préserver (ou de retrouver) leur souveraineté politique qui a compté.

    La sortie de l’UE est, pour reprendre l’expression de David Cameron, « un saut dans l’inconnu », et l’on ne peut qu’élaborer des scénarios sur la base d’hypothèses quant à l’issue des négociations qui vont s’engager avec l’Union européenne : scénario rose où les deux parties voudront maintenir au maximum les liens existants, scénario noir où l’UE voudrait faire un exemple et le Royaume-Uni deviendrait un paradis fiscal et réglementaire.

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  • Michel Rocard : «J’irai dormir en Corse»

    Dans ce texte écrit deux ans avant sa mort, l’ancien Premier ministre, qui n’a «pas une goutte de sang corse» explique pourquoi il voulait reposer à Monticello. Lues par son fils aîné lors de la cérémonie au temple de l’Etoile, ces lignes nous ont été transmises par un ami de la famille.

    Le temps viendra bientôt, pour moi, comme pour tous, de quitter la compagnie des vivants. Enfant de la guerre, préservé presque par hasard des souffrances les plus atroces qu’elle a pu engendrer, j’en ai côtoyé le risque d’assez près pour avoir ensuite voulu découvrir, observer, savoir, analyser, comprendre, visiter aussi les lieux d’horreur d’Alsace, d’Allemagne, de Pologne, plus tard d’Algérie ou du Rwanda. Toute mon adolescence, j’ai rêvé que ma trace soit porteuse de paix. Je ne pense pas avoir manqué à ce vœu. Certains le savent encore en Algérie, tous en Nouvelle-Calédonie, je fus un combattant de la paix. N’était la violence des hommes, la nature étant si belle, la vie aurait toutes ses chances d’être merveilleuse si nous savions y créer l’harmonie. Ce fut l’effort de mon parcours.

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  • JDD - Contre la loi Travail, 58 députés préviennent que "la bataille ne fait que commencer"

    TRIBUNE - Cinquante-huit députés, très majoritairement de gauche, réagissent à l'utilisation du 49-3 par le gouvernement pour faire passer la loi Travail en force en dernière lecture à l'Assemblée. "On aurait tort de croire le débat clos avec l’adoption de la loi Travail. Il ne fait au contraire que commencer. Nous y prendrons toute notre part", avertissent-ils.

    Voici la tribune des 58 députés : "Ce mercredi 20 juillet, la loi Travail a donc été définitivement adoptée. Au cœur de l’été, il ne faut pas lâcher,mais continuer à dire pourquoi ce fut le moment le plus insupportable de ce quinquennat pour qui ne se résigne pas à la dégradation des droits des salariés français et au déni de démocratie.

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  • Jean-Marie Le Guen, invité de RTL le 22 juillet 2016


    Jean-Marie Le Guen, invité de RTL le 22 juillet... par rtl-fr

  • Non Fiction - Dossier : La Turquie d'Erdogan, au-delà du coup d'Etat

    Après l'échec de la tentative de coup de force qui a secoué la Turquie dans la nuit du 16 au 17 juillet, Nonfiction vous propose de redécouvrir certains de nos articles consacrés à la Turquie et à son actuel président, Recep Tayyip Erdogan.

    Pour mieux comprendre les clivages qui partagent la société turque et les grands enjeux politiques de la Turquie. Pour replacer l'actualité brûlante dans le temps long. Mais aussi pour soumettre les analyses passées à l'épreuve du temps.

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  • Libé - Les réfugiés, «Michel», les maires et nous, les rocardiens Par Roland Ries, Maire (PS) de Strasbourg — 13 juillet 2016

    Après les hommages, retour sur une petite phrase qui fit polémique mais qui était amputée de sa partie la plus importante.

    Pour bien comprendre Michel Rocard, il fallait l’écouter jusqu’au bout. Jusqu’au bout de sa logique. Jusqu’au bout de ses formules. Jusqu’au bout de ses argumentations. Ce n’était pas toujours facile… seul le point final donnait quitus pour interpréter la vérité, parfois complexe et toujours subtile, de son propos. La précipitation menait invariablement à l’imprudence. Ainsi, depuis plus de vingt-cinq ans, bon nombre d’observateurs politiques ont préféré faire une exploitation sélective, très intéressée, des différentes versions de «la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde…» Recomposée après plusieurs variations sur un même thème entre 1989 et 1993, cette célèbre citation a été régulièrement amputée de sa chute : «…mais elle doit en prendre toute sa part». Toute la force du message était pourtant contenue dans cette conclusion volontariste, l’attaque n’exprimant que la nuance. A la fin de sa vie, soucieux d’en finir avec la controverse, Michel a choisi des mots beaucoup plus crus pour dire sa «honte» devant le sort réservé aux réfugiés par une Europe dénaturée : «Une somme de pays [qui] négocie le moyen de limiter le nombre de migrants qu’ils vont recevoir. Tout cela est abominable.»

    Une chose est claire : pour lui, et pour nous, «les rocardiens», la solidarité qui transcende les frontières n’est pas seulement une idée, un point de vue, un concept qui resterait à débattre ou, pire, un quota parcimonieux à calculer. C’est un devoir. C’est une dignité. Une «part» d’humanité non négociable dont, hélas, les opinions publiques délèguent la charge aux gouvernements, habitude bien commode, quand elle devrait être partagée par la société tout entière.

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