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Actualités socialistes - Page 1206

  • Primaire à gauche : Stéphane Le Foll conseille de ne pas tomber dans un « abaissement improductif »


    Primaire à gauche : Stéphane Le Foll conseille... par lemondefr

  • Thierry Mandon : "Arnaud Montebourg aura contribué à 50% au bilan de ce quinquennat"


    Thierry Mandon : "Arnaud Montebourg aura... par franceinter

  • Jean-Michel Aphatie sur France Info : la candidature d'Arnaud Montebourg, "assez hypothétique"

  • Élection présidentielle: Arnaud Montebourg peut-il se passer de la primaire?

  • La Vie des Idées - Épistémologie du capitalisme À propos de : Robert Boyer, Économie politique des capitalismes. Théorie de la régulation et des crises, La Découverte

    Recensé : Robert Boyer, Économie politique des capitalismes. Théorie de la régulation et des crises, Paris, La Découverte, octobre 2015, 384 p., 25€.

    La parution du livre de Robert Boyer, Économie politique des capitalismes, est un événement important pour la réflexion économique [1]. Il résume les avancées de la théorie (ou « école ») de la régulation, qui se déploie depuis maintenant plusieurs décennies. Cette théorie, dont Robert Boyer est un des fondateurs, se veut une synthèse entre l’histoire économique, la pensée marxienne et la pensée keynésienne. Elle propose une approche originale du capitalisme, ne reposant pas sur une seule critique, mais sur une inquiétude : le capitalisme est instable, génère des déséquilibres économiques et sociaux, mais il est pourtant aujourd’hui le système économique dominant sur la planète. Quelles sont les instances de stabilisation, de médiation des conflits ou, en d’autres termes, de régulation des économies de marché ? Comment l’échec de ces mécanismes de stabilisation conduit-il à des crises ? Les différentes formes de déséquilibres économiques actuels (inégalités aux États-Unis, difficulté de rendre compatibles les économies en Europe, suraccumulation du capital en Chine, déstabilisation des pays émergents) montrent la pertinence de cette inquiétude et des recherches régulationnistes.

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  • La Vie des Idées - Quand la gauche était au pouvoir À propos de : Mathias Bernard, Les Années Mitterrand. Du changement socialiste au tournant libéral, Belin

    Le premier septennat de Mitterrand : grandes réalisations de la gauche au pouvoir ou fin des espérances collectives ? Politique de modernisation ou trahison du peuple ? Retour sur la décennie 1980, qui achève la « seconde révolution française ».

    Recensé : Mathias Bernard, Les Années Mitterrand. Du changement socialiste au tournant libéral, Paris, Belin, 2015, 349 p.

    C’est un sujet complexe, tant scientifiquement que politiquement, qu’étudie Mathias Bernard, historien spécialiste des phénomènes politiques contemporains. Le premier septennat de François Mitterrand constitue un objet d’étude marqué par une double spécificité. Il suscite un défrichement croissant de la part des historiens, facilité par l’ouverture des archives, le « refroidissement » des enjeux et le renouvellement des thématiques.

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  • France Inter - Faut-il plafonner les salaires ?

    Pour en parler le débat de midi reçoit :

    Henri Sterdyniak, Economiste à l’OFCE, membre des économistes atterrés, signataire de l’appel des 40 au CAC 40.

    Olivier Godechot, sociologue, est codirecteur du MaxPo, chercheur à l'Observatoire Sociologique du Changement et enseignant à Sciences Po

    Olivier Babeau, Porte-parole de la Fondation Concorde, professeur à l’université de Bordeaux

    Léonidas Kalogeropoulos, vice-président du mouvement patronal éthique, fondateur du cabinet Médiation et Arguments

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  • Qu’est-ce qu’être réaliste ? A propos de : John Bew, Realpolitik. A History, Oxford University Press.

    Les décideurs politiques sont souvent accusés de faire preuve de cynisme dans la conduite des affaires internationales. Pour d’autres, il s’agit seulement de « réalisme ». Mais que recouvre exactement ce terme ? Deux ouvrages récents reviennent sur la genèse des concepts Realpolitk et géopolitique et remettent en cause la dichotomie entre les valeurs et les intérêts.

    Recensés : - John Bew, Realpolitik. A History, Oxford, Oxford University Press, 2016 ;- Olivier Zajec, Nicholas John Spykman. L’invention de la géopolitique américaine, Paris, Presses de l’Université Paris Sorbonne, 2016.
     
    À en croire l’ancien Premier ministre François Fillon, la tragique guerre civile qui meurtrit la Syrie depuis 2011 aurait eu pour effet de faire apparaître au grand jour la radicale divergence entre l’appréhension poutinienne des relations internationales d’une part, et celle qui prévaudrait dans les chancelleries occidentales de l’autre. Alors que « l’Amérique et ses alliés européens se sont drapés dans une posture morale aussi irréprochable qu’inopérante » en refusant d’intervenir militairement contre les jihadistes au prétexte de ne pas renforcer le régime dictatorial de Bachar al-Assad, « une seule puissance a fait preuve de réalisme : la Russie » qui n’a pour sa part pas hésité à envoyer ses chasseurs pilonner les rebelles islamistes, quitte à faire de nombreuses victimes parmi les populations civiles. Sous la plume de l’homme politique français, la référence au « réalisme » russe est clairement connotée positivement, et contraste avec le dédain affiché à l’égard de la « posture » occidentale qui, pour être moralement « irréprochable » sur le papier, n’en serait pas moins totalement « inopérante » sur le terrain 
     
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  • Non Fiction - Il faut rouvrir le débat sur la RTT !

    Résumé : Accroissement du chômage, ralentissement de la croissance : les promoteurs de la réduction du temps de travail se remobilisent.  

    Même avec le renfort d’Albert Einstein, qui préconisait en 1933 de réduire le temps de travail, il sera compliqué de remettre au centre des discussions de politique économique la réduction du temps de travail, tant la droite et le patronat ont martelé, depuis les lois Aubry, à quel point celle-ci avait contribué à affaiblir notre économie.

    Un appel publié il y a quelques semaines par la revue Alternatives économiques a participé, modestement, à remettre la réduction du temps de travail sur le devant de la scène. La polémique déclenchée ces jours-ci à propos d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) sur les 35 heures, non publié, y contribue à son tour, de même qu’une note du think tank Ecolinks, datant de 2015 et publiée sur le site de la Fondation Jean Jaurès, qui préconise d’aller vers la semaine de 4 jours.

    Le livre de Pierre Larrouturou et de Dominique Méda, qui ont tous les deux déjà beaucoup œuvré en faveur de la réduction du temps de travail, s’inscrit dans le même mouvement, en nous rappelant les arguments en sa faveur pour remédier au chômage de masse que renforcent certaines évolutions récentes.

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