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Valls: "Avec une croissance autour de 0%, il est impossible de créer de l'emploi"
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Pierre-Alain Muet - Europe, austérité, Loi Macron : les idées décapantes de Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie
Lors de sa conférence à l'Assemblée nationale le 13 janvier 2015, Joseph Stiglitz, l'un des plus grands économistes contemporains, prix Nobel d'économie, a dressé un panorama affligeant de l'idéologie dominante en Europe et des politiques économiques stupides qu'elle a inspirées, enfonçant l'Europe dans la dépression et la déflation.
Citant le diagnostic allemand selon lequel les déficits budgétaires excessifs et les rigidités structurelles seraient responsables de la crise, il l'a qualifié en s'excusant de s'exprimer clairement, dans un langage « ni diplomatique, ni académique : c'est une aberration totale ! L'Espagne et l'Irlande avaient des excédents et un faible ratio d'endettement avant la crise. La crise a provoqué les déficits, et non l'inverse. La raison pour laquelle les États-Unis s'en tirent mieux que l'Europe, c'est que nous n'avons pas succombé au crédo de l'austérité, tout du moins pas dans la même mesure. »
« ... L'idée que les problèmes structurels au sein des différents pays sont à l'origine des mauvaises performances économiques est une pure absurdité. La croissance de la productivité horaire en France avant la crise était honorable, et même aujourd'hui, dans certains secteurs comme la santé, la productivité française est incomparablement meilleure que celle des États-Unis. Ce ne sont pas les rigidités structurelles qui ont causé les bulles immobilières aux États-Unis et en Espagne. Ce ne sont pas les rigidités structurelles qui ont donné lieu aux excès du secteur financier, qui sont à la racine de la crise dont nous souffrons encore. »
« Bon nombre des soi-disant réformes structurelles qui sont demandées ne sont rien d'autre que des politiques qui réduisent le niveau de vie par le biais de salaires plus bas, d'une insécurité croissante de l'emploi et de prestations sociales inférieures. Comment peut-on prétendre que la meilleure façon d'élever le niveau de vie est d'adopter des politiques visant à les abaisser pour la grande majorité des citoyens? Ou encore des politiques qui augmentent le niveau déjà très élevé des inégalités, avec une distribution de la richesse plus inéquitable encore – en violation de l'un des principes clés de la Révolution française »
« Le problème auquel sont confrontés la France, l'Europe, et le monde est un déficit de demande globale (dû aux politiques d'austérité). Ce n'est pas un problème d'offre. Ainsi, bon nombre de ces réformes structurelles pourraient aggraver le malaise de l'Europe, en augmentant l'écart entre l'offre et la demande, aggravant ainsi la menace actuelle de déflation en France. »
« Les dévaluations internes (par la baisse du coût du travail) n'ont jamais marché, tout comme l'austérité n'a jamais marché. Si cela avait été le cas, l'étalon or n'aurait présenté aucun problème durant la Grande Dépression... Les améliorations qui se sont produites ces dernières années dans la balance courante ont été en grande partie la conséquence de la baisse des importations – résultant des efforts concertés pour affaiblir les niveaux de vie dans ces pays – et non de la hausse des exportations. »
Il critique les déréglementations aveugles qui peuvent nuire aux performances économiques, comme cela a été le cas dans le secteur financier, ainsi que les accords commerciaux nouvellement proposés qui se développent à l'écart d'un débat démocratique et peuvent avoir des effets néfastes sur l'emploi dans la conjoncture mondiale actuelle. Enfin, il plaide pour de vraies réformes structurelles corrigeant les défaillances les plus criantes de l'union monétaire
Dans la suite de cette note, l'intégralité de son intervention.
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Vive la Gauche - Nos réformes structurelles : Propositions alternatives et priorités législatives pour l’emploi, l’activité et la croissance 2015-2017
Nous n’ignorons pas que la relance de l’économie ne règle pas l’ensemble des problèmes de notre République, ses inégalités et ses fractures. Mais nous savons que le redressement et la transformation, de notre modèle économique et social sont plus urgents chaque jour.
En 2015, pour faire réussir notre pays, nous proposons un ensemble de réformes réellement structurelles, qui respectent et prolongent les engagements pris en 2012.
Elles se distinguent, par leur nature et leur ampleur, des projets d’inspiration libérale, qui se polarisent essentiellement sur la réduction des budgets publics et entraînent l’affaiblissement des droits des salariés. Ces réformes attaquent à la racine les difficultés du pays, les obstacles au financement des entreprises, les retards des investissements de transitions, et portent une ambition de transformation.
En concentrant les projets actuels, dans la précipitation, sur quelques déréglementations sectorielles, on court le risque de dégâts considérables, pour beaucoup d’entreprises et de salariés. Nous faisons d’autres choix : celui des régulations ciblées, de l’intervention stratégique de la puissance publique, de l’investissement durable dans des secteurs clé, vecteurs de relance économique et de cohésion sociale, au service d’une société plus juste, plus écologique.
Soucieux de traquer les rentes abusives (après l’occasion manquée de renégocier les contrats des concessions autoroutières), nous souhaitons nous y atteler effectivement dans le domaine bancaire.
Conscients des responsabilités de chacun devant la situation réelle du pays, nous proposons de concentrer utilement la dépense publique dans les domaines prioritaires, en particulier le numérique et les énergies renouvelables.
En redéployant les ressources du pacte de responsabilité, nous dégageons les financements nécessaires aux politiques fiscales et sociales synonymes d’investissements réels : des dépenses importantes à court terme peuvent rapporter beaucoup demain, par l’augmentation du taux d’emploi, par l’amélioration de la compétitivité, et par l’avènement d’une société où progressent l’égalité et la cohésion.
Face à la récession -aggravée en 2014- en France et en Europe, le plan d’urgence que nous avons demandé en septembre dernier devient toujours plus nécessaire.
Un nouveau départ pour l’économie française, les moyens de la troisième révolution industrielle, des progrès sociaux à la clé : voilà l’enjeu de cette plate-forme.
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Visite chaotique du premier ministre dans le Doubs par Le Monde.fr
Visite chaotique du premier ministre dans le Doubs par lemondefr -
France Inter - L'édito politique : "Syriza et les socialistes français"
L'édito politique : "Syriza et les socialistes... par franceinter -
Michel Rocard : "Je ne rate jamais le pavé de Paris"
Michel Rocard : "Je ne rate jamais le pavé de... par franceinter -
Sébastien Pietrasanta : "Il faut s'habituer à vivre avec la menace terroriste"
Sébastien Pietrasanta : "Il faut s'habituer à... par Europe1fr -
Atlantico - Christian Paul : “Le PS devrait analyser pourquoi son homologue grec est aujourd’hui à 3%"
Pour l'une des figures emblématiques des frondeurs, le groupe "dissident" au Parlement sera plus constructif en 2015, et commencera notamment par de multiples contre-propositions lors des débats qui porteront sur la loi Macron à partir du lundi 26 janvier.
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Jean-Marc Germain (PS) : « L’esprit du 11 janvier 2015 doit nous ramener au 6 mai 2012 »
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L'actualité des socialistes du 19 au 25 janvier (mise à jour)
A la une
Public Sénat - Après les attentats, le congrès du PS est-il « fini » ?
Suite aux attentats, certains socialistes pensent qu’il ne sera plus possible pour l’aile gauche du PS de contester la ligne économique de François Hollande et Manuel Valls. A l’aile gauche, si on n’enterre pas encore le congrès du mois de juin, on parle de « dispute apaisée »…
Slate - Syriza, une chance pour Hollande
Evidemment, les soutiens français les plus évidents de la gauche radicale grecque sont plutôt Cécile Duflot, Pierre Laurent et Jean-Luc Mélenchon. Mais, si le parti d'Alexis Tsipras accède au pouvoir, Hollande pourrait se retrouver dans la position qu’il adore: celle du médiateur et du conciliateur entre deux orientations extrêmes, celui qui fait la synthèse.
24 et 25 janvier
Europe 1 - Attentats : Aubry félicite Hollande et Valls
La maire de Lille, d'habitude critique vis-à-vis de l'exécutif, a estimé vendredi que François Hollande "était un chef d'Etat au plein sens du terme".
Libé - Rouges et verts mettent leurs «espoirs» en «chantiers»
A la gauche du PS, ça bouge. Après avoir soutenu les Grecs de Syriza lundi soir à Paris et avoir redoublé de bonnes intentions depuis cet été, le temps des travaux pratiques semble venu.
Dans un appel intitulé «Chantiers d’espoir» et publié sur Mediapart, plusieurs responsables politiques, associatifs, syndicaux et intellectuels ont annoncé jeudi vouloir «construire […] et élaborer une alternative politique, sociale et écologiste», «susciter des rencontres, partout en France, pour tracer un nouveau chemin».
Mediapart - Chantiers d’espoir
« Mettre un coup d’arrêt à l’avancée de la droite et de l’extrême droite », revivifier les « valeurs d’égalité et de liberté » et « faire émerger une alternative à gauche porteuse d’une politique, citoyenne, féministe, écologiste et solidaire »: c'est le projet porté par l'appel « Chantiers d'espoir », construit par des animateurs du mouvement social, militants syndicaux, associatifs, altermondialistes, féministes, des représentants nationaux d’Europe EELV, du Front de Gauche…
Le site Web de Chantiers d'espoir
Libé - A la gauche du PS, l'espoir en «chantiers»
Dans un appel publié par Mediapart, 500 personnalités politiques, associatives, syndicales et intellectuelles appellent à «construire une alternative». Duflot et Mélenchon compris.
23 janvier
Europe 1 - BCE : une (discrète) satisfaction pour Hollande
BONNE NOUVELLE - Le chef de l'Etat militait pour une relance monétaire au niveau européen. Mais il devrait se garder de tout triomphalisme, le sujet étant un point de crispation avec l'Allemagne.
L'Obs - Morale, laïcité, bénévolat... Ce que propose Najat Vallaud-Belkacem pour l'école
Renforcement de la formation des professeurs, cours d'éducation aux médias... Le gouvernement dévoile une batterie de mesures pour réaffirmer les valeurs républicaines à l'école.
Le Monde - « Apartheid » : Valls appelle Sarkozy à « penser à la France »
« Dans ces moments-là, ceux qui gouvernent et ceux qui hier ont gouverné, doivent être grands, pas petits. » Manuel Valls a répondu, jeudi 22 janvier, à Nicolas Sarkozy, qui l’avait accusé d’avoir commis une « faute » en parlant d’« apartheid ». Le premier ministre a également reproché à l’ex-président de vouloir « briser l’esprit [d’unité nationale] du 11 janvier ».Le Monde - Valls veut lutter contre la « ghettoïsation et la ségrégation »
Manuel Valls a déclaré, jeudi 22 janvier, que la lutte contre la « ghettoïsation » dans les quartiers pauvres passait par une « politique du peuplement ». Le premier ministre s’exprimait à Matignon en introduction des mesures annoncées par sa ministre de l’éducation dans le cadre de la « grande mobilisation » déclenchée après les tueries des 7, 8 et 9 janvier à Paris et à Montrouge.L'Obs - Dans le Doubs, les attentats parisiens rebattent les cartes de la campagne électorale
Des tracts FN sur le "péril islamiste", des militants PS qui espèrent surfer sur le regain de popularité de François Hollande: dans le Doubs, appelé à pourvoir le 1er février le siège de député de Pierre Moscovici parti à Bruxelles, les attentats de Paris ont rebattu les cartes d'une élection très ouverte.
Lyon Capitale - Régionales 2015 : Collomb dément vouloir écarter Queyranne
Selon Le Progrès, le maire de Lyon chercherait à évincer le président de l’actuel conseil régional de sa propre succession. Gérard Collomb dément l’information.
Le Monde - Manuel Valls annonce la création de 2680 postes pour lutter contre le terrorisme
Un renforcement des moyens humains et matériels : c’est l’essentiel de la réponse apportée mercredi 21 janvier par l’exécutif, deux semaines jour pour jour après la tuerie de Charlie Hebdo, en matière de lutte antiterroriste. Le premier ministre a annoncé un budget de 425 millions d’euros sur trois ans en matériel. Avec le coût du personnel, l’enveloppe devrait se monter à 736 millions d’euros d’ici 2017, dont 246 millions pour 2015 Le président l’avait confié à ses proches, ces derniers jours : « L’attitude de la droite, illustrée par ce que faisait Sarkozy, c’est : “un événement, une loi”. La gauche, elle, explique qu’il n’y a qu’à appliquer les textes. J’entends pour ma part être pragmatique : ce qu’il faut, c’est corriger, améliorer. »Libé - Le PS face aux douze travaux de Macron
Le nombre de dimanches ouvrés demeure le principal point de division entre élus socialistes.
Avec prudence mais détermination. Larvée la semaine dernière, l’offensive de la majorité contre la loi «pour la croissance et l’activité», dite loi Macron, s’organise en vue de son examen dans l’hémicycle à partir de lundi.
22 janvier
Libé - Valls dénonce un «apartheid territorial, social et ethnique» en France
.... Il a fait du «parler vrai» sa marque de fabrique. Manuel Valls, en adressant mardi ses vœux à la presse, en a apporté une nouvelle preuve. Après les attentats des 7, 8 et 9 janvier, le Premier ministre a dressé le portrait d’une partie de la France où sévit, selon lui, «l’apartheid territorial, social et ethnique». Dans son discours distribué à la presse quelques minutes plus tôt, ce mot chargé d’histoire est venu coiffer celui de «relégation périurbaine et de ghettos». Auxquels «s’additionnent les discriminations quotidiennes, parce qu’on n’a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau ou bien parce que l’on est une femme».
Libé - Hollande opposé au retour de la «peine d’indignité nationale»
La mesure défendue par la droite, et un temps envisagée comme l'une des pistes pour lutter contre le terrorisme, ne devrait pas figurer dans les annonces du Premier ministre ce mercredi.
Libé - La photo trompeuse d’une gauche «Syriza» à la française
.... Et que dire des socialistes présents... Il s’en est fallu de très peu pour que Guillaume Balas, eurodéputé proche de Benoît Hamon et pourtant très critique avec les «politiques d’austérité imposées» par la Commission européenne, ne soit sifflé par une partie de la salle. S’il a reçu des applaudissements, on a entendu certains militants présents se moquer de lui. Ils n’ont plus aucune confiance dans les responsables politiques tenant le poing et la rose. Même s’ils leur apportent des preuves de leur rédemption.
L'Obs - Anne Hidalgo (PS) veut créer une carte du citoyen parisien
La maire de Paris Anne Hidalgo (PS) a dévoilé mercredi une batterie de mesures destinées à conforter le vivre-ensemble, parmi lesquelles la création d'une "carte du citoyen de Paris", deux semaines après les attentats qui ont ensanglanté Paris.
Libé - Cazeneuve défend Taubira, attaquée par la droite
Pas d'unité nationale qui tienne entre l'UMP et la garde des Sceaux. Alors que la droite plaide pour un durcissement dans le contexte post-attentats, le ministre de l'Intérieur a vanté la sévérité de la politique pénale.
Bondy Blog - Bariza Khiari : "les musulmans sont dans une injonction contradictoire"
Sénatrice (PS) de Paris depuis 2004, Bariza Khiari se dit “farouchement républicaine et sereinement musulmane”. Peu sollicitée par les médias depuis les attentats qui ont frappé Paris la semaine dernière, elle confie ses frustrations, ses colères, mais aussi ses espoirs dans une société plus égalitaire où les citoyens auraient envie de “faire ensemble”. Entretien réalisé en marge d’une conférence sur la liberté d’expression à l’Unesco.
21 janvier
Le Monde - L’« apartheid » en France ? Pourquoi les mots de Manuel Valls marquent une rupture
Manuel Valls avait déjà parlé de « ghetto » et de « ségrégation », voire d’« apartheid ». C’était en 2005, et il n’était alors que maire d’Evry (50 000 habitants) et socialiste en rupture idéologique avec son parti sur les enjeux d’intégration et de sécurité. Dix ans plus tard, à l’occasion de ses vœux à la presse, mardi 20 janvier, c’est le premier ministre qui parle. Avec des mots inédits pour qualifier la situation des quartiers sensibles en France, une semaine après les attaques terroristes qui ont fait 17 morts. Pour décrire la gravité de la situation des quartiers français, Manuel Valls parle publiquement de « ghettos » et d’« apartheid territorial, social, ethnique » – chaque mot compte, et le dernier plus que les autres dans un pays où la question ethnique demeure un tabou politique et intellectuel.
Europe 1 - Filippetti pointe le "sentiment de ségrégation" en France
La députée socialiste et ancienne ministre de la Culture était l'invitée du Club de la presse, mardi sur Europe 1.
Le Point - Loi Macron : les députés PS frondeurs jugent le texte "pas votable en l'état"
Les députés socialistes frondeurs vont défendre des amendements à la loi Macron, pour des améliorations notamment sur le travail dominical, le texte n'étant "pas votable en l'état" pour eux, ont indiqué mardi leurs animateurs. "Il n'y aurait rien de pire que les attentats terroristes arrêtent le débat au sein de la gauche. Nous espérons que la période permettra un débat de plus grande qualité", a déclaré Jean-Marc Germain, une semaine avant le début de l'examen dans l'hémicycle du projet de loi sur la croissance et l'activité.
Les Echos - L'exécutif va lancer « l'acte II de la refondation de l'école »
François Hollande présente aujourd'hui ses voeux au monde éducatif.
Manuel Valls promet « des propositions immédiates » et « une méthode ».Libé - Départementales: «fierté» retrouvée des candidats PS après les attentats, selon Poignant
Bernard Poignant, conseiller de François Hollande, a affirmé mardi qu’il y avait une «fierté» retrouvée des candidats socialistes aux départementales après la gestion des attentats par l’exécutif, affirmant que le PS ne connaîtrait pas de débâcle lors du scrutin.
Les élections législatives se tiendront dimanche en Grèce, et en France, plusieurs personnalités politiques se sont mobilisées lundi soir... Jean-Luc Mélenchon, du parti de gauche, Pierre Laurent, le patron du parti communiste et Cécile Duflot, l'ancienne ministre de l'Ecologie étaient parmi eux, réunis en meeting à Paris pour soutenir le parti Syriza, favori des sondages. Ils se sont présentés comme une alternative à gauche, réclamant un changement de politique et d'équipe gouvernementale...
Libé - Syriza esquisse une «alternative» en France
Lors d’un meeting de soutien à Paris lundi soir, Cécile Duflot et l’aile gauche du PS ont fait tribune commune avec Mélenchon et les communistes pour soutenir les Grecs de Syriza. Une première depuis 2012.
20 janvier
Le Point - Baromètre Ipsos/"Le Point" - Hollande deux fois plus populaire que le mois dernier !
Tous les acteurs de la marche républicaine profitent d'un rebond de popularité. Et au premier chef, François Hollande et son Premier ministre.
Le Lab - Jean-Christophe Cambadélis sur Nicolas Sarkozy : "Il me connaît depuis le 1er jour"
PASSION ARCHIVE - Non, décidément Jean-Christophe Cambadélis ne veut pas lâcher Nicolas Sarkozy. Après avoir proposé plusieurs fois un débat entre eux deux, le premier secrétaire du Parti socialiste avait tenté de joindre le président de l'UMP le 7 janvier, jour de l'attentat à Charlie Hebdo. En vain, puisque l'ancien président, finalement joint par Manuel Valls lui-même, avait rétorqué : "Je ne connais pas Monsieur Cambadélis".
LCP - Loi Macron : les députés proposent entre 0 et 12 dimanches travaillés
La commission spéciale chargée d’étudier le projet de loi a ajusté, la nuit dernière, les dispositions concernant le travail dominical. Les députés ont modifié dimanche soir, en commission spéciale, les dispositions de la loi Macron concernant le travail dominical. Finalement, les maires pourront fixer de 0 à 12 dimanches travaillés chaque année pour les commerces de leur villes.Le premier secrétaire du PS, qui appelle à «maintenir l’esprit du 11 janvier», estime par contre que Marine Le Pen «ne se nourrit que de la division nationale».Le Figaro - Sénat: les collèges resteront aux départements
Les collèges resteront de la compétence des départements, le Sénat ayant refusé aujourd'hui de les transférer aux régions comme le prévoyait le gouvernement dans son projet de loi de Nouvelle organisation territoriale de la République. Devant l'opposition frontale des sénateurs, le gouvernement a préféré retirer un amendement qu'il avait déposé pour rétablir sa version initiale, alors que la commission des lois du Sénat avait décidé de maintenir la gestion actuelle des collèges par les départements, tout en donnant la possibilité de les transférer aux métropoles.
Europe 1 - Cambadélis n'est pas opposé à l'idée d'une "indignité nationale"
Le premier secrétaire du PS n'a "pas d'a priori" sur cette proposition émise par l'UMP pour punir les terroristes.
Libé - Hollande: «La vie doit continuer mais rien ne sera plus comme avant»»
Le Président, de retour dans son fief de Tulle pour les vœux, appelle à la cohésion du pays et veut que «la vie reprenne sa place», une semaine après les attentats qui ont touché la France.
Libé - Hollande à la recherche d'un nouvel équilibre
Le Président, dont l'action a été saluée durant les dix jours d'émoi qui ont suivi les attentats, entre dans une autre phase. Son défi est de montrer que «la vie continue» sans tourner la page trop vite.
19 janvier
Le Monde - Michel Rocard : « Il n'y a pas lieu de remettre en cause la politique d'immigration »
Michel Rocard, ancien premier ministre socialiste (1988-1991), met en garde dans une interview au Journal du dimanche, dimanche 18 janvier, contre toute remise en cause de la politique d'immigration en France après les attentats en région parisienne de la semaine dernièreLe JDD - Rocard : "On ne peut pas mettre des barbelés à toutes nos frontières"
INTERVIEW - L’ex-Premier ministre socialiste, Michel Rocard, évoque pour le JDD les suites des attentats de la semaine dernière. Il pense notamment que le FN aurait dû trouver sa place dans la marche républicaine. Extraits de l'entretien à paraître dimanche.
Le Figaro - Le PS craint de voir se rallumer la guerre des gauches
«Dans ces moments-là, il ne faut pas trop faire de politique…» Patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis cherche à préserver «l'esprit du 11 janvier» et ce, «le plus longtemps possible». Dimanche sur Europe 1-i-Télé-Le Monde, le député de Paris a ainsi salué «un certain nombre de propositions qui ont été faites dans un esprit constructif» par l'UMP. Avec une mise en garde: «Notre débat national a tendance à culpabiliser tout le monde (…), un jour les quartiers, puis l'école, puis les musulmans.»
Libé - Travail dominical des élus sur la loi Macron
Réforme . Le texte du ministre de l’Economie reste un sujet d’inquiétude pour certains députés de gauche.
20 minutes - Loi Macron: Premier compromis sur le travail le dimanche
Au travail le dimanche pour discuter… du travail le dimanche. C’est le sort réservé aux députés membres de la commission spéciale de l’Assemblée nationale pour examiner le projet de loi Macron. Mais ils ne seront pas venus pour rien car un compromis a été trouvé entre la majorité socialiste, opposée au travail dominical, et Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie.
Le Figaro - Claude Bartolone : « Pas de loi de circonstance » contre le terrorisme
Claude Bartolone ne «veut pas de loi de circonstance (…), pas de loi slogan» pour lutter contre le terrorisme. Invité dimanche soir du «Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro», le président de l'Assemblée nationale a rappelé qu'une loi pour renforcer la lutte contre le terrorisme avait été adoptée le 14 novembre 2014, dont les décrets d'application vont être publiés. «Toute loi a besoin d'être évaluée», a insisté le député PS de Seine-Saint-Denis, qui a ajouté qu'il y avait «besoin de moyens supplémentaires pour le renseignement».
La question très controversée du travail dominical est discutée par les députés.
Les députés de la commission spéciale sur la loi Macron ont commencé ce samedi à minuit à s'attaquer à la réforme des règles d'ouverture des commerces le dimanche, un point très controversé au sein de la gauche. Les députés se sont limités à une discussion générale et commenceront à étudier les amendements ce dimanche matin.
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L'Express - Balas: "Syriza est sur la ligne officielle de la gauche européenne"
Quelques socialistes, issus de l'aile gauche du PS, étaient présents lundi soir lors du meeting de soutien à Syriza, avec le Front de Gauche et EELV. Parmi eux, Guillaume Balas, secrétaire général du courant Un Monde d'Avance, revient pour L'Express sur le sens de ce soutien.Lire la suite
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