Discours de J.-C. Cambadélis lors de la plénière «Après les élections municipales et européennes, l’unité de la gauche : pourquoi, comment ?» - Université d'été 2014 Parti socialiste

Discours de J.-C. Cambadélis lors de la... par PartiSocialiste

Que peut le volontarisme politique pour le développement de l’économie et la réindustrialisation ? par Parti socialiste

Que peut le volontarisme politique pour le... par PartiSocialiste

Revivez la plénière «Tenir la promesse républicaine de l'égalité» ! par Parti socialiste

Revivez la plénière «Tenir la promesse... par PartiSocialiste

Univesité d'été : Cambadelis

140830192856 par PartiSocialiste

Auditorium: L'Europe sociale, comment faire ?

Auditorium: L'Europe sociale, comment faire ? par PartiSocialiste

Auditorium: La désindustrialisation en France, pourquoi, comment ? Parti socialiste

Auditorium: La désindustrialisation en France... par PartiSocialiste

PS: les frondeurs montrent leurs muscles

PS: les frondeurs montrent leurs muscles par LEXPRESS

Université d'été du Parti socialiste à la Rochelle - Evénements Public Sénat

Université d'été du Parti socialiste à la... par publicsenat

Baumel: "nous regrouper pour infléchir la politique du gouvernement" BFMTV

Baumel: "nous regrouper pour infléchir la... par BFMTV

Frondeurs du PS: "Il faut débattre sans nous mettre le couteau sous la gorge" par LEXPRESS.fr

Les frondeurs du PS maintiennent la pression après le remaniement. Leu rendez-vous, ce samedi matin, est un moment fort de l'université d'été de La Rochelle. L'un d'entre eux, Jean-Marc Germain, explique qu'il "n'y a aucun schisme, aucun risque de crise institutionnelle"

Frondeurs du PS: "Il faut débattre sans nous... par LEXPRESS

Vive la Gauche : Appel de La Rochelle

30 août 2014

 

« Pour que Vive la gauche »

 

L’heure n’est plus à la déception ou à l’alerte, mais à un puissant sursaut collectif. Plusieurs crises s’additionnent et n’en finissent pas. La durée et la profondeur de la récession minent le quotidien des Français et la confiance en un destin collectif.

 

Privées d’une amélioration de leurs conditions de vie, les classes populaires et moyennes ont exprimé leur colère. Le vote majoritaire d'un sombre dimanche en faveur de l’extrême-droite a été le

révélateur insupportable d’une société sous tension.

 

Nous devons retrouver notre force collective pour orienter le présent et permettre un avenir de progrès. Il y a urgence à redonner justice et efficacité à des politiques enlisées, sans résultats ni perspectives. 

 

La vocation de la gauche, c’est de porter l'espoir, non pas de risquer un renoncement continu, ou de s’excuser sans cesse de ce que nous sommes. A s’écarter de leurs engagements, les socialistes se divisent. A les oublier, nous nous perdrons. Les applaudissements du Medef ne seront jamais le critère de notre réussite.

 

Nous choisissons de ne pas subir une suite d’événements qui préparent d’amers lendemains. Nous avons une conviction bien ancrée : pour se réinventer, la France a besoin d'une gauche fière d'elle-même et de ses valeurs.

 

L’idéal progressiste est notre ressort, comme il est celui de millions de gens. Au lendemain des élections municipales et européennes, deux défaites sans précédent, des parlementaires de notre majorité ont choisi de s’exprimer dans l’Appel des 100 et d’agir, conscients des enjeux et responsables du mandat qui leur a été confié. Nous leur apportons notre soutien pour les choix décisifs des prochaines semaines au Parlement.