Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

politique - Page 157

  • PS - Blanquer, la droite décomplexée pour une école du passé

    Le Parti socialiste exprime son étonnement et sa désapprobation à la suite des déclarations de Monsieur Blanquer, Ministre de l’éducation nationale, dans les colonnes du JDD.

    Pour le Ministre,  » l’ennemi du service public, c’est l’égalitarisme. Son ami, la liberté« . Comment peut-on vouloir la liberté sans l’égalité ? Pourquoi dévoyer ainsi l’égalité et la confondre avec l’égalitarisme ? La liberté dont se réclame le Ministre serait-elle le parangon du libéralisme à l’école ?

    Plus inquiétant, Monsieur Blanquer semble oublier que depuis des années notre système scolaire souffre d’abord d’être l’un des plus inégalitaire de l’OCDE, que les déterminismes sociaux y pèsent davantage qu’ailleurs dans le destin scolaire des élèves et qu’il est donc du devoir de l’Etat d’intervenir pour donner les mêmes chances de réussir à tous les élèves, quelles que soient leurs origines, dans tous les territoires. Pour les socialistes, puisqu’il s’agit d’élever le niveau général de savoir, de connaissances et de culture de notre pays, l’ennemi reste la reproduction, et même l’aggravation, des inégalités sociales et culturelles à l’école. C’était tout le sens de la Refondation de l’école qui aurait dû se prolonger et que le gouvernement détricote avec méthode pour faire des économies sur l’éducation, de la maternelle à l’université.

    Le Ministre déclare un peu plus loin  » Nous ne venons pas de nulle part, nos racines gréco-latines structurent notre vie « . Qu’avait-il besoin de rouvrir ce débat ? et avec autant de maladresse ? Le Parti socialiste reste en effet interdit devant de tels propos qui s’inscrivent dans une vision erronée et tronquée de l’histoire de France qui ferait passer Clovis pour un romain et les Celtes pour des hellénistes. Comment le Ministre peut-il parler de  » vivre ensemble  » en négligeant toutes les origines et influences qui se sont brassées sur notre sol pour constituer la France ? Monsieur Blanquer avait émis des doutes en mai dernier sur les programmes d’histoire, nous ne saurions trop lui conseiller de profiter de l’été, d’abord, pour les réviser.

    Il n’est donc pas étonnant que l’hebdomadaire Valeurs Actuelles ait affiché son soutien à Monsieur Blanquer, à la suite de ses déclarations qui empruntent très largement à la droite décomplexée. Pour le Parti socialiste, cette voie apparient au passé et l’expérience nous a montré que l’école n’avait rien à y gagner.

  • Pour Arnaud Montebourg, Boris Vallaud est "meilleur qu'Emmanuel Macron"

    L'ancien ministre de l'Économie a loué les qualités de Boris Vallaud lors de la Fête de la rose tout en taclant publiquement Emmanuel Macron.

    Arnaud Montebourg ne tarit pas d'éloges sur Boris Vallaud. Lors du traditionnel regroupement de la Fête de la rose, l'ancien chantre du made in France a loué les capacités et le talent de son ancien collaborateur, qui était l'invité d'honneur de ce rassemblement dimanche 27 août à Frangy. Alors que l'ancien ministre de l'Économie arrête la politique, il semble avoir trouvé son successeur en la personne de Boris Vallaud.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Interview de Boris Vallaud

    Boris Vallaud, député des Landes et porte-parole du groupe « Nouvelle gauche » à l’Assemblée nationale était invité d'honneur à la 45e fête de la Rose, à Frangy-en-Bresse, en Saône-et-Loire, dimanche 27 août 2017.

  • Libé - En «refondation», les socialistes font profil bas

    Dans le huis clos de la Maison de la chimie à Paris, le PS est tombé d'accord sur une «feuille de route» à faire adopter dans un mois par les militants. Le congrès aura lieu en février 2018.

    Au Parti socialiste aussi, le nouveau monde chasse l’ancien. Ce samedi après-midi, à la Maison de la chimie où se tenait ce week-end le séminaire de rentrée du parti, le sénateur de Paris David Assouline parle «rénovation» devant les caméras. Mais quand le couple Najat Vallaud-Belkacem et Boris Vallaud arrive de l’autre côté, les caméras se tournent instantanément, le plantant seul, sur le trottoir.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

    Europe 1 - PS : la direction provisoire veut "tourner la page des vieux congrès"

    Après deux jours de séminaire à huis clos, la direction provisoire du PS a annoncé la tenue, en février 2018, d'un "grand congrès" pour refonder le parti.

    La direction collégiale provisoire du PS va proposer aux militants de modifier les statuts du parti, avant d'organiser un "grand congrès de refondation politique", a priori en février 2018, a-t-elle annoncé dimanche à l'issue de deux jours d'un séminaire à huis clos.
    _______________
    _______________

     
    La direction collégiale du Parti socialiste tente de faire renaître le parti de ses cendres.

    Tenter de rebondir. C'était l'objectif de la réunion ce week-end à Paris des cadres du Parti socialiste (PS). Laminé aux dernières élections présidentielle et législatives, abandonné par nombre de ses anciens ténors, le PS tente de renaître de ses cendres en réfléchissant à son avenir à l'orée d'une rentrée sociale chargée.

  • Le Parisien - PS : Lienemann pas prête à céder la marque «Les Socialistes» à Le Foll

    La sénatrice PS de Paris, propriétaire du nom «Les socialistes», explique pourquoi elle l'a déposé à l'INPI.

    Et si le Parti Socialiste changeait de nom ? Comme Le Parisien le révèle ce vendredi matin dans ses colonnes, Stéphane Le Foll, fidèle parmi les fidèles de François Hollande, propose de rebaptiser le PS «Les Socialistes». Sauf que le nom a déjà été déposé à l’INPI, l’organisme qui gère le dépôt des marques, par la sénatrice PS de Paris... et frondeuse Marie-Nöelle Lienemann. Oups ! Stéphane Le Foll n’y avait pas pensé avant de faire sa proposition. Comment l’accueille-t-elle ? Nous lui avons demandé...

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • François Kalfon: «Le gouvernement doit assurer la rentrée malgré la baisse des contrats aidés»

  • Non Fiction - La politique est-elle une vocation ?

    Depuis l'analyse magistrale de Max Weber dans Le savant et le politique, l'étude des responsables politiques est devenue un classique de la sociologie. Vivant par et pour la politique, selon la formule célèbre de Weber, les hommes (et, bien plus tardivement, les femmes) politiques ont progressivement fait de leur activité une vocation (Beruf en allemand, dans le texte de Weber), sinon une profession ou un métier, alors même que l'exercice des fonctions politiques pour les notables traditionnels était complémentaire de leur activité principale (avocat ou médecin par exemple), comme l'avait expliqué Daniel Halévy dans son célèbre essai La fin des notables.

    Aujourd'hui, alors que la professionalisation du champ politique est volontiers critiquée par les citoyens, qui considèrent souvent que les responsables politiques ne doivent pas vivre uniquement de leurs activités d'élus, et tandis que les récentes élections législatives (les premières depuis la loi sur le non-cumul des mandats) ont témoigné d'un profond renouvellement du personnel parlementaire classique, où en est-on à ce sujet ?

    Lire la suite
    _____________________
    _____________________

  • Le Parisien - PS : un dernier tour pour Cambadélis ?

    Le premier secrétaire du parti, en séminaire ce week-end, qui avait annoncé son retrait après les déroutes électorales, doit bientôt tirer sa révérence. Vraiment ?

    Jean-Christophe y es-tu ? Que fais-tu ? Comme le loup de la comptine, le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, joue à cache-cache. Depuis son retrait le 18 juin, au lendemain de la cinglante défaite de son parti aux législatives (dont il avait été lui-même éliminé dès le 1er tour à Paris), les militants socialistes le guettent partout.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Gérard Filoche sur la réforme Travail: «une vraie rupture qui s'aggrave avec Macron»