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  • L'actualité des socialistes du 10 au 16 novembre

    L'Obs - Tweet antisémite : Gérard Filoche est exclu du Parti socialiste

    La sanction, attendue, est tombée : Gérard Filoche est exclu du Parti socialiste, après la publication d'une image antisémite sur son compte Twitter.

    A LA UNE

    France Culture - Alerte de 15 000 scientifiques : leurs 9 indicateurs de dégradation de la planète analysés

    15 000 scientifiques de 184 pays signent un appel contre la dégradation de l’environnement. Cet appel d'une ampleur sans précédent se base sur l'analyse de 9 indicateurs mondiaux, dont l'évolution est suivie depuis 1960 jusqu'à 2016.

    Dans la revue Bio Science, ce lundi 13 novembre, 15 000 scientifiques du monde entier alertent sur la dégradation sans précédent de l’environnement. Cet appel se fonde sur l'analyse de neuf indicateurs mondiaux, dont l'évolution est suivie depuis 1960 jusqu'à 2016. Cet appel scientifique fait suite à celui de 1992, dans le contexte du Sommet de la Terre de Rio. Les indicateurs d'aujourd'hui reprennent ceux d'il y a 25 ans en poursuivant leur évolution jusqu'en 2016.

    CENTRALES NUCLEAIRES

    Jean Gadrey - Non, Alain Grandjean, le report de la fermeture des centrales nucléaires n’est pas « réaliste » (1). C’est une défaite politique, écologique et morale

    Alain Grandjean est un avocat efficace et depuis longtemps de la lutte contre le dérèglement climatique mais aussi contre le dérèglement… de la finance. Il fait d’ailleurs partie comme moi des « économistes atterrés » qui se sont constitués initialement contre les dérives destructrices de la finance libéralisée. Je l’ai rencontré à diverses reprises, y compris dans le cadre de ce qui était alors la Fondation Nicolas Hulot dont il était un acteur important, et j’ai eu l’occasion de débattre longuement avec lui sur France Culture en 2013 sur le thème « écologie et capitalisme ». Nous convergeons sur l’essentiel, bien que je sois nettement plus « capitalo-sceptique » que lui…

    MJS

    Libé - Au MJS, des années d’omerta et de duplicité

    En pointe dans les combats féministes, le mouvement a pourtant occulté, sinon couvert, les agissements de son ancien président. Symbole d’un système où la parole des femmes était (auto)censurée pour «ne pas nuire à l’orga».

    Personne n’a été surpris. Samedi 21 octobre, Mathilde M., dirigeante nationale du MJS sur le départ, lâche une petite bombe dans son discours d’adieu. Au sous-sol de La Maison, un bar parisien, une centaine d’amis et de militants l’écoutent retracer ses dix ans au service de la cause socialiste. En plein scandale Weinstein, elle transforme son allocution en plaidoyer pour la parole libérée et réclame des comptes à son organisation.

    EVASIONS FISCALES

    Jean Gadrey - Évasion fiscale : 11 milliards ou 200 milliards par an de pertes pour les finances publiques en France ?

    La formidable enquête du consortium international de journalistes fait beaucoup parler d’elle et j’espère que cela va durer plus de quelques jours. Mais il faut admettre qu’en lisant la presse, on s’y perd dans les estimations globales des déficits de recettes publiques liées à l’évasion fiscale sous toutes ses formes.

    Or dans ce domaine un ordre de grandeur, même grossier, est très important. Selon que cette perte est de 10 milliards/an ou de 100 voire 200 milliards, il est clair que ce qu’on pourrait faire en récupérant à court terme ne serait-ce que la moitié de ces montants est très différent. Est-il sérieux d’affirmer, comme les altermondialistes dont je fais partie, qu’on pourrait financer une ambitieuse transition écologique, énergétique et climatique et créer un million d’emplois utiles en quelques années (voir la fin de ce billet) rien qu’avec le « recyclage » de l’évasion fiscale ? Certainement pas si elle se situe autour de 10 à 20 milliards de manque à gagner.

    POLITIQUE DE LA VILLE

    Le Monde - Politique de la ville : « Dans les quartiers populaires comme ailleurs, Macron privilégie les “premiers de cordée” »

    Le sociologue Renaud Epstein revient sur les annonces faites, mardi, par le président de la République en matière de politique de la ville.

    Pas d’énième « plan Marshall » pour les banlieues. Emmanuel Macron s’est montré ferme dans son discours sur la politique de ville, mardi 14 novembre, à Tourcoing. Le chef de l’Etat s’est surtout contenté de rappeler des réformes déjà lancées, pour améliorer la sécurité au quotidien, lutter contre la radicalisation, l’enfermement des territoires ou encore réduire les discriminations.

    Maître de conférences en science politique à l’université de Saint-Germain-en-Laye, Renaud Epstein revient sur le discours du chef de l’Etat, à la lumière des quarante années de politique de la ville menées en France.

    POLOGNE

     
    Le journaliste polonais Tomasz Piatek vient de recevoir le prix TV5-Reporters sans frontière pour la liberté de la presse, signe de leur inquiétude pour les médias polonais depuis l’arrivée au pouvoir en 2015 du parti ultraconservateur Droit et justice (PiS). Journaliste au quotidien Gazeta Wyborcza, il a consacré un livre aux liens de l’entourage du ministre de la défense, Antoni Macierewicz, avec la Russie, ce qui lui vaut d’être poursuivi devant un procureur militaire. De passage à Paris, il a répondu lundi 13 novembre aux questions du Monde.

    CHARLIE/PLENEL

    Libé - «Charlie» vs «Mediapart» Chapelles ardentes

    La bataille clanique qui fait rage depuis deux semaines entre Edwy Plenel et les «laïcards», réunis derrière l’hebdo satirique, révèle la tension latente entre deux gauches irréconciliables sur les questions liées à l’islam.

    Le Monde - « Charlie »-« Mediapart » : halte à l’escalade

    Editorial. L’hebdomadaire satirique et le site Internet aggravent le mal qu’elles prétendent soigner. Un apaisement est une absolue nécessité.

    Editorial du « Monde ». Rien de plus périlleux que de s’interposer au milieu d’une rixe. L’imprudent qui s’y risque a tôt fait de voir les protagonistes se retourner contre lui et le sommer de choisir son camp. Quelle autre attitude, pourtant, est concevable face à la furieuse empoignade qui met aux prises, depuis une quinzaine de jours, l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo et le site Mediapart ? Car c’est une ahurissante éruption de haine qui oppose désormais deux rédactions – et au-delà, deux camps et deux gauches – à propos de la laïcité et de la place de l’islam en France.

    Blog Mediapart - Tariq Ramadan : quelle mouche les pique? Par Roger Evano

    Que se passe t-il? Quelle agitation, soudain! François Bonnet commet un article sur "la croisade des imbéciles". La rédaction de Médiapart semble en ébullition. Il est vrai qu'à travers les révélations sur le producteur Weinstein, Denis Baupin ou Tariq Ramadan les bouches s'ouvrent: les lieux de pouvoir sont aussi ceux d'agressions sexuelles. Une révolution des moeurs est en cours
     
    Que se passe t-il? Quelle agitation, soudain! François Bonnet commet un article sur "la croisade des imbéciles". La rédaction de Médiapart semble en ébullition. Il est vrai qu'à travers les révélations sur le producteur Weinstein, Denis Baupin ou Tariq Ramadan les bouches s'ouvrent: les lieux de pouvoir sont aussi ceux d'agressions sexuelles. Une révolution des moeurs est en cours et je m'en félicite. Médiapart y joue son rôle et je m'en félicite également.
     
     
    Dans son éditorial diffusé ce mardi 14 novembre, le directeur de la rédaction de Charlie Hebdo affirme que son journal ne "pardonnera jamais" une phrase d'Edwy Plenel : la semaine dernière, le fondateur de Mediapart avait jugé que la une du journal satirique faisait partie d'une "campagne générale de guerre aux musulmans".
     
    ESPAGNE
     
     
    En juillet dernier, Omar Anguita, 26 ans, a pris la tête des Jeunesses Socialistes d’Espagne (JSE). Nous revenons avec lui dans cet entretien sur les évolutions récentes du PSOE suite à la victoire de Pedro Sánchez, ses rapports avec Podemos, la crise de la social-démocratie européenne et la question catalane. 

    LVSL : Que pensez-vous de l’élection de Pedro Sánchez à la tête du PSOE ? Croyez-vous que cela représente un tournant à gauche pour le parti ?

    L’impression que j’ai est qu’il ne s’agit pas d’une question de virage à gauche ou non : le Parti Socialiste a pris une décision, celle d’appuyer majoritairement Pedro Sánchez. A partir du soir des résultats, le  21 mai, nous sommes tous dans le même bateau, comme nous l’avons toujours été. Nous sommes surtout unis pour gagner les élections, c’est la raison pour laquelle nous sommes là.

    ASSURANCE CHOMAGE

    Terra Nova - Gouverner l’assurance-chômage : entre étatisation et tripartisme de façade, quel chemin de réforme ?

    Ce rapport propose une évolution de la gouvernance de l'assurance chômage cohérente avec la volonté actuelle de réviser la place du « paritarisme de gestion » dans son organisation. Après avoir souligné les limites, mais aussi les réussites de cette organisation, ses auteurs écartent la piste d'une simple étatisation et envisagent deux chemins de réforme.

    Synthèse

    Le présent rapport propose une évolution de la gouvernance de l'assurance chômage cohérente avec la volonté du chef de l'État de réviser la place du « paritarisme de gestion » dans son organisation. Après avoir souligné les limites, mais aussi les réussites de cette organisation, nous écartons la piste d'une simple étatisation et nous envisageons deux chemins de réforme. Le premier consiste à maintenir le rôle des partenaires sociaux dans la définition des règles de l’assurance-chômage, mais en complétant le système actuel de l’agrément par un cadrage préalable par le gouvernement. Celui-ci pourrait ainsi définir les objectifs ou les grands principes qui devraient, selon lui, guider la convention et poser le cadre financier de la négociation, avec l’appui d’un comité d’experts. 

    DEMOCRATIE

    Paul Alliès - La question démocratique au cœur de la reconstruction de la gauche

    Dans le champ de ruines qu’est présentement et globalement la gauche en général, quel peut-être l’élément fédérateur de ses bilans et perspectives ? Quel sujet peut la rassembler et la relancer ? La question démocratique peut et doit remplir ce rôle.

    La gauche a ceci en commun que le bilan de ses différentes composantes est au moins lacunaire si ce n’est calamiteux dans le domaine de la révolution démocratique qu’appelle la troisième révolution du capitalisme. Au cours de ces derniers mois d’élections, se sont conjugués sous des formes diverses la défense de l’ordre existant (le présidentialisme de la V° République) et l’appel à son dépassement (par une assemblée constituante), la mise en cause du « système des partis » (au profit des « rassemblements » autour d’un leader) et du dépassement des clivages (politiques ou sociaux) au profit de « mouvements populaires ». C’est peu de dire que l’opinion ou le peuple de gauche n’ont pas trouvé dans ces registres la voie d’une mobilisation citoyenne significative.

    PS

    Libé - Filoche menacé d'exclusion du PS après un tweet jugé antisémite

    Le parti socialiste a lancé une procédure d'exclusion contre ce membre du bureau national qui a posté puis effacé vendredi un message anti-Macron montrant le président de la République portant un brassard nazi.

    Boursorama - PS : qui pour prendre la tête d'un parti moribond ?

    Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas, Emmanuel Maurel... À quatre mois du congrès, les candidats potentiels avancent discrètement leurs pions, mais les ténors ne se bousculent pas pour reprendre un parti en piteux état après sa double défaite historique.

    Annoncé pour février/mars, le congrès devrait finalement avoir lieu la deuxième quinzaine de mars, selon le coordinateur du parti Rachid Temal. Alors qu'une commission statutaire doit dévoiler en décembre des pistes de réforme concernant ses modalités, les candidats devraient se faire connaître "avant la fin de l'année", selon un autre cacique.

    Le Point - "Y a-t-il quelque chose à reprendre au PS ?"

    Les candidatures ne se bousculent pas pour briguer la tête du parti, sonné après sa double défaite. Faute de ténors, les seconds couteaux s'aiguisent...

    Qui pour reprendre la tête d'un PS moribond  ? À quatre mois du congrès, les candidats potentiels avancent discrètement leurs pions, les ténors, eux, ne se bousculant pas pour briguer la tête d'un parti en piteux état après sa double défaite historique.

    Le Point - Un PS éparpillé façon puzzle: une chance pour la gauche?

    Le dynamitage du Parti socialiste a été le fait de nombreux acteurs, à commencer par les socialistes eux-mêmes. Comme un grand bloc de calcaire fissuré par l’érosion, il s’est fragmenté, effondré, dispersé. D’autres sont venus, à des titres divers, concourir à l’affaire, à commencer bien entendu par l’entreprise politique En marche! Je dis bien «l’entreprise politique En Marche!» — entreprise étant pris ici au sens neutre —, et non le seul Emmanuel Macron. Le président de la République, s’il est le personnage central sur la scène publique n’en est pas le personnage unique, de même que la France insoumise, malgré une forte identification à son leader Jean-Luc Mélenchon, ne se limite pas à celui-ci. Si Laurent Wauquiez s’apprête à devenir président de LR, le PS n’a pas de leader unique incontestable et incontesté.

    MACRON

    Lui Président (Le Monde) - Six mois après son élection, où en sont les promesses de campagne d’Emmanuel Macron ?

    Le président Macron n’aura pas tardé à honorer plusieurs promesses emblématiques de sa campagne. Mais, au-delà de mesures phares, comme la réforme du code du travail, d’autres engagements tardent à se concrétiser. Six mois après l’élection d’Emmanuel Macron, Lui Président dresse un premier bilan.

    HAMON

    Libé - Dans les coulisses de la campagne Hamon : de La Rochelle à Washington

    Dans «Que la campagne est belle», Mathieu Hanotin, directeur de campagne de Benoît Hamon, raconte de l'intérieur l'année électorale. Aujourd'hui, une rencontre avec Bernie Sanders.

    Ancien directeur de campagne de Benoît Hamon durant la primaire et l’élection présidentielle, Mathieu Hanotin est actuellement conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis en charge des sports et de l’organisation des Jeux olympiques et membre du bureau national du Parti socialiste. Il était également député de Saint-Denis, Pierrefitte et Villetaneuse lors du précédent mandat. Depuis le 21 avril 2002, son parcours s’est progressivement rapproché de celui de Benoît Hamon. En 2014, ils se retrouvent ensemble aux côtés des autres «frondeurs» de l’Assemblée nationale. Il fut également l’un des premiers soutiens du candidat. Il livre dans Libération le journal de cette campagne atypique vue de l’intérieur.

    Huffington Post (Guimmaume Balas, Isabelle Thomas) - Pourquoi nous quittons le PS pour rejoindre le Mouvement du 1er Juillet de Benoît Hamon

    L'humanité se retrouve confrontée à des défis d'une ampleur qu'elle n'a sans doute jamais rencontrée au long de son Histoire.

    Pour la première fois, les impacts environnementaux que nous avons nous-mêmes générés par nos modes de production et de consommation, percutent violemment les habitants de la planète: réchauffement climatique, réduction exponentielle de la biodiversité, migrations, maladies engendrées par la pollution, tensions sur l'accès à l'eau, aux sols et à la ressource halieutique. Chacun a désormais admis que ces changements, loin de ne concerner que les plus pauvres ou quelques territoires éloignés, affectent l'ensemble de la planète et par là-même, chacun d'entre nous.

  • Affaire Marchal-Beck : Benoît Hamon savait "qu'il n'avait pas forcément des comportements adaptés"

  • Libé - Harcèlement sexuel chez les Jeunes Socialistes : 8 femmes accusent

    Huit femmes brisent la loi du silence et accusent Thierry Marchal-Beck, ancien président du MJS, d’agressions sexuelles. Un comportement répété entre 2010 et 2014, parfois en public, et que beaucoup de cadres connaissaient. Révélations.

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  • Le PS réclame des "suites judiciaires" contre un ex-président du MJS accusé d'agressions sexuelles

    Huit femmes ont accusé Thierry Marchal-Beck, l'ancien président du Mouvement des Jeunes socialistes (MJS), d’agressions sexuelles et de harcèlement. Un comportement qui a poussé le PS à réclamer, mardi, des "suites judiciaires" à son encontre.

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  • Le JDD - Avant la rentrée, les jeunes socialistes ont le blues

    Encore déboussolés par les revers électoraux subis par le PS en 2017, les jeunes socialistes s’interrogent sur leur avenir au sein du parti d’Epinay.
     
    "Je ne m’attendais pas à ce qu’on soit au second tour mais pas à un tel échec…" Comme Rémi Marchand, jeune socialiste de 24 ans dans la Sarthe, de nombreux jeunes socialistes se souviendront longtemps de cette soirée du 23 avril 2017. Lorsque les résultats tombent à 20h, c’est l’hécatombe. Leur candidat Benoît Hamon est bas, très bas. Il s’aligne tout juste à la cinquième position avec un très fébrile 6,36% des voix, à des années lumières du quatuor de tête Emmanuel Macron (24,01%), Marine Le Pen (21,3%), François Fillon (20,01%) et Jean-Luc Mélenchon (19,58%).
     
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  • Libé - La jeunesse socialiste, aussi perdue que le PS

    Entre les lignes de Hamon, Valls et Macron, le MJS se cherche, frappé exactement des mêmes dissensions et interrogations que son grand frère.

    «Un bordel sans nom» ; «une déroute jamais vue» ; «une situation des plus floues». Face à l’état de leur parti, les Jeunes Socialistes s’accordent sans difficulté sur un point : le PS va mal, très mal. Mais lorsqu’il s’agit d’évoquer leur avenir, les évidences sont déjà bien loin. Faut-il s’investir dans la reconstruction du Parti socialiste ? Le quitter pour rejoindre le Mouvement du 1er Juillet de Benoît Hamon ? Faire les yeux doux à Emmanuel Macron façon Manuel Valls ?

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  • Discours de Benjamin Lucas à la convention d'investiture de Benoît Hamon


    Discours de Benjamin Lucas à la convention d... par PartiSocialiste

  • Le Monde - Les jeunes socialistes investissent la primaire de la gauche Le Mouvement des jeunes socialistes a accueilli samedi six des sept candidats à la primaire à gauche. Benoît Hamon a été le plus applaudi.

    « On fait de drôles d’exercices cette semaine : un débat à sept, corseté mais passionnant, et désormais une carte blanche devant vous après deux questions. » Manuel Valls est légèrement décontenancé par le format proposé samedi 14 janvier à la Bellevilloise dans le 20e arrondissement de Paris. Pour sa convention nationale, le Mouvement des jeunes socialistes (MJS) a accueilli les candidats à la primaire à gauche. Hormis Sylvia Pinel qui a décliné l’invitation, ils se sont tous relayés à l’estrade, partageant leur projet pour la jeunesse, devant près de 300 militants.
     
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  • "Quand on fait la déchéance de nationalité et la Loi Travail, on fracture la gauche" (MJS)


    "Quand on fait la déchéance de nationalité et... par FranceInfo

  • Benjamin Lucas, président du MJS : "Il y a un risque clair que François Hollande ne soit pas au second tour"


    Benjamin Lucas : "Il y a un risque clair que... par lesechos