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Premiers pas houleux pour Emmanuel Macron par Libération
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« Illettrées » : les excuses d'Emmanuel Macron
« Illettrées » : les excuses d'Emmanuel Macron par Mediapart -
Emmanuel Macron: "Etre ministre dans un gouvernement: ça n'est pas commenter" par BFMTV
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Alternatives Economiques - Hollande, Valls, Macron ou la caricature des deux gauches
Le président de la République, le Premier ministre et le ministre de l’Economie s’intronisent comme les porte-paroles d’une gauche moderne face à des contradicteurs présentés comme des irresponsables de la dépense publique, crispés sur les acquis, anti entreprises et anti mondialisation. Une caricature qui ne tient pas l’analyse.
Monsieur Manuel Valls dispose d’un don indéniable pour la communication. Après avoir recueillis 5,6 % des voix de son camp lors de la primaire socialiste de 2011, le voici Premier ministre de la France et coupeur de têtes de ses opposants. Pour compenser cette faiblesse de légitimité politique, il a aujourd’hui recours à une stratégie classique dans le monde politique : se présenter comme le chantre d’une élite moderniste éclairée face à l’obscurantisme d’adversaires renvoyés à l’irresponsabilité économique. C’est également le positionnement du nouveau ministre de l’Economie dont les idées de ceux qui ne pensent pas comme lui sont qualifiées « d’étoiles mortes ».
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Alternatives Economiques : Emmanuel Macron dans le texte : Volontarisme, patriotisme, individualisme
Si le symbole de la nomination de Monsieur Macron est catastrophique pour le président de la République, que porte comme idées le nouveau ministre de l’économie ?
Banquier d’affaires : les conséquences
D’abord, un mot sur le parcours de banquier d’affaires d’Emmanuel Macron. Cela ne suffit pas à le disqualifier comme potentiel bon ministre. Le perdant symbolique est ici le président de la République : le candidat de 2012 semblait avoir pris acte que les dérives de la finance demandaient une reprise en main politique qui ne pouvait passer que par une forme d’affrontement avec le milieu de la finance, tout en trouvant les compromis nécessaires. Il l’avait promis. Il ne l’a pas fait. Son ministre est tombé dans la compromission, avant d’abandonner le terrain.
De ce point de vue, la nomination d’un ex banquier d’affaires à un poste important confirme le sentiment de trahison d’une grande partie des électeurs de gauche vis-à-vis de ce combat. Pourtant, de la banque centrale des Etats-Unis à l’ex commissaire européen centriste Michel Barnier, on pense que la finance reste insuffisamment régulée et qu’un autre round est nécessaire. Le président s’exclut de ces débats, économiquement nécessaires, et qui, politiquement, lui ouvriraient un fort soutien des électeurs de gauche.
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L'actualité des socialistes du 25 au 31 août (mise à jour)
A la une
Le Monde - Cambadélis : « Le social-libéralisme ne fait pas partie de notre vocabulaire »
Dans un entretien au Monde, Jean-Christophe Cambadélis se pose en rasembleur de la gauche et appelle les uns et les autres à la retenue. A la veille de sa première université d'été en tant que premier secrétaire du PS, il appelle « tous les socialistes à ne pas surjouer leurs différences ».
28 août
Le Monde - « L'appel des 200 » députés socialistes, ni godillots ni déloyaux
Depuis le début de ce quinquennat, les parlementaires socialistes seraient confrontés à une impossible alternative : faire preuve de déloyauté en refusant le soutien au gouvernement de gauche et au président de la République, faire preuve de passivité en revêtant le costume de godillot au Parlement.
Ce débat n'est pas nouveau dans l'histoire des socialistes. La double nature des députés, porte-parole de leur famille politique et en même temps porte-voix de leurs électeurs, a toujours été acceptée. Le groupe parlementaire n'est pas la fraction parlementaire du parti comme c'est le cas en Allemagne, il a toujours cherché son équilibre entre la singularité et la solidarité.
Le Nouvel Obs - Le gouvernement "n'a pas l'intention de revenir" sur les 35 heures
Matignon est revenu sur les déclarations du nouveau ministre de l'Economie, qui s'était dit favorable à des dérogations aux 35 heures.
Slate - Le malentendu Montebourg: pourquoi il n'est pas un «frondeur»
L’évolution idéologique du montebourgisme ne se situe en rien «à la gauche de la gauche», mais est une des tentatives de réponse à la crise idéologique de cette dernière.
Par Gaël Brustier a été directeur de cabinet adjoint d'Arnaud Montebourg au conseil général de Saône-et-Loire et son directeur opérationnel de campagne pendant la primaire socialiste de 2011.
Le JDD - Le nouveau gouvernement ne convainc pas les Français
Dans un sondage Ifop-Fiducial pour Sud-Radio publié mercredi, près des deux tiers des Français (63%) se disent insatisfaits de la composition du gouvernement et, pour la moitié d'entre eux (51%), de la reconduction de Manuel Valls à Matignon.
Le Nouvel Obs - INFO OBS. La lettre secrète de Montebourg à Hollande
"Le Nouvel Observateur" s'est procuré une note confidentielle envoyée en février par l'ex-ministre de l'Economie au président de la République. Il y exposait sa ligne politique et estime avoir été trahi.
Le Monde - Quelle politique économique pour le gouvernement ?
Le remaniement ministériel survient après un désaccord sur la politique économique. Le PS est divisé entre les partisans d'un « socialisme de l'offre », qui misent sur la réduction de la dépense publique pour retrouver de la croissance, et ceux d'une politique de relance par la demande. Faut-il faire confiance aux entreprises ou faire le choix des investissements publics pour créer des emplois ?
Le JDD - Le député PS Christian Paul : "Une faute politique majeure"
INTERVIEW - Proche de Martine Aubry et "frondeur" parmi les plus actifs à l'Assemblée nationale, le député PS de la Nièvre Christian Paul estime que la démission du gouvernement est "une faute politique majeure". Il prévoit déjà "de fortes difficultés" à venir au Parlement pour François Hollande, qui "rétrécit" selon lui sa majorité mois après mois.
27 août
Le JDD - Les frondeurs socialistes vers la rupture?
Avec le départ d'Arnaud Montebourg, les voix qui s'élevaient au PS contre la politique de François Hollande perdent leur meilleur défenseur au sein du gouvernement. Peuvent-ils désormais cesser de soutenir la majorité? Les "frondeurs" expliquent que la balle est dans le camp du chef de l'Etat.
Libé - Radiographie du gouvernement Valls II
Le gouvernement dit « Valls II » se veut une équipe guidée par « la cohérence » et « la clarté », après la période de secousse qui a provoqué les départs d'Arnaud Montebourg, de Benoît Hamon, d'Aurélie Filippetti et de Frédéric Cuvillier. C'est chose faite depuis l'annonce, mardi 26 août, de la nouvelle équipe gouvernementale.
Le Monde - Qui entre, qui sort, qui reste... le gouvernement Valls II
Libé - Avec Sapin et Macron, l'ordre règne à Bercy
DÉCRYPTAGE Ces deux sociaux-démocrates assumés appliqueront sans états d'âme la ligne économique fixée par François Hollande et Manuel Valls.Bercy a toujours deux têtes, mais plus qu’une seule voix. En maintenant Michel Sapin aux Finances et aux Comptes publics, en remplaçant Arnaud Montebourg par Emmanuel Macron à l’Economie et à l’Industrie, François Hollande et Manuel Valls se garantissent une application scrupuleuse de leur politique de l’offre.
Libé, Coulisses de Bruxelles - Arnaud Montebourg, un licenciement paradoxal
Le licenciement sans préavis d’Arnaud Montebourg ne va pas faire pleurer grand monde en Europe : « les choses sont désormais claires. François Hollande et Manuel Valls confirment que la politique économique mise en œuvre depuis deux ans, avec plus ou moins de succès pour l’instant, sera poursuivie jusqu’en 2017 », se réjouit-on à Bruxelles.
Boursorama - Gouvernement Valls II : "aucune leçon" tirée, pour Baumel
Le gouvernement Valls II, composé de huit hommes et huit femmes comme ministres de plein exercice, est marqué par l'arrivée d'une femme à l'Education, Najat Vallaud-Belkacem et le retour d'un ex-conseiller de Hollande, Emmanuel Marcron, proche du monde de la finance. Pour Laurent Baumel, député PS frondeur, le gouvernement n'a tiré "aucune leçon" des "défaites électorales de l'année".
Manuel Valls a justifié mardi soir l'éviction d'Arnaud Montebourg du gouvernement, un "acte d'autorité", et vanté son remplaçant comme ministre de l'Economie et de l'Industrie, le banquier Emmanuel Macron, une nomination décriée par la gauche du PS.
Le Nouvel Obs - Gouvernement Valls II : ils entrent, ils bougent, ils sortent
Arrivée du fringant énarque Emmanuel Macron, promotion de Najat Vallaud-Belkacem et de Fleur Pellerin... Le point sur les nouveautés du gouvernement Valls II.
Le Nouvel Obs - Emmanuel Macron, "l'hémisphère droit" de François Hollande
Inspirateur de la politique économique du président, le nouveau ministre de l'Economie impressionne, séduit et agace. Qui est ce surdoué de 36 ans qui fut philosophe puis banquier d'affaires ?
Emmanuel Macron, nomination surprise à l'Èconomie
PARIS (Reuters) - Emmanuel Macron a fait son entrée au gouvernement comme ministre de l'Economie, mardi, à la place d'Arnaud Montebourg pour porter la politique de baisse du coût du travail de François Hollande.
Les Echos - Un gouvernement Valls II uni sur l’orientation économique, mais fragile au Parlement
L’ancien conseiller économique de François Hollande, Emmanuel Macron, remplace Arnaud Montebourg. Najat Vallaud-Belkacem devient la première femme ministre de l’Education nationale.
Le chef de l’Etat avait demandé mardi matin au Premier ministre de « composer un gouvernement de clarté sur la ligne, les comportements, la composition et la majorité ». S’agissant de la « clarté de la ligne », le gouvernement Valls II présenté ce mardi la démontre en tous points.
Le Nouvel Obs - Montebourg ou la politique du contretemps
Le remaniement était sans doute inévitable. Et pourtant, la crise politique qu'il a provoqué semble à contretemps
France 3 - Remaniement : un proche de Martine Aubry tire à boulets rouges sur Hollande et VallsLe député européen Gilles Pargneaux, premier secrétaire de la Fédération PS du Nord et proche de Martine Aubry, a qualifié ce mardi sur France Bleu le remaniement gouvernemental d'"acte d'autoritarisme", estimant qu'il s'agit d'une "réponse disproportionnée qui ajoute de la crise à la crise".
Le Monde - « Cette politique, ce n'est pas ce qui nous a été vendu en 2012 »
Le premier ministre, Manuel Valls, a demandé, en accord avec le président de la République, la démission de son gouvernement, lundi 25 août. Une annonce inattendue qui fait suite à la fronde de certains ministres, Arnaud Montebourg en tête, face à la politique économique de François Hollande.
FranceTVinfo - Les trois chemins qui s'offrent à Hollande pour tenir jusqu'en 2017
S'il peut apparaître comme une solution à court terme, le limogeage de plusieurs ministres du gouvernement de Manuel Valls est loin de résoudre tous les problèmes qui se posent au président de la République.
Le Monde, Les décodeurs - Le nouveau gouvernement
FranceTVinfo - Comment Montebourg va organiser son redressement politique
Après son éviction du gouvernement lundi, l'ancien ministre de l'Economie compte profiter pleinement de "cette liberté retrouvée". Dans sa ligne de mire, la présidentielle de 2017. Et pour y arriver, l'élu de Saône-et-Loire a un plan.
Le Monde - L’aile droite du PS sent son heure venue
Ils y verraient presque une heureuse coïncidence. L’aile droite du PS, qui devait tenir à l’initiative du premier ministre sa conférence de rentrée mardi 26 août, voit ce rendez-vous bouleversé par la crise gouvernementale. Mais qu’importe, ceux qui se qualifient de « réformateurs », dans une forme de volontarisme cher au cœur de M. Valls, tiennent là l’occasion d’afficher leur soutien au premier ministre, chahuté sur sa gauche. Et pourquoi pas de pousser leur avantage. Car quoi de plus indiqué pour tenir ce raout que Lyon, le fief du plus ministrable d’entre eux, Gérard Collomb
Le Nouvel Obs - Démission du gouvernement Valls, "une course à la testostérone"
Le député socialiste frondeur des Ardennes Christophe Léonard défend un durcissement du mouvement. Après l'abstention qui dit-il, "trouve à un moment donné ses limites", lui prône le vote contre.
26 août
Libé - La contestation de l'austérité au cœur de la crise politique
ANALYSE Vivant depuis plusieurs années, le débat sur un changement de politique s'étend à mesure que se confirme le marasme français et européen. Et a provoqué le remaniement.
Le Monde, Françoise Fressoz - Les bombes à retardement du quinquennat
Tout n'était donc pas de la faute de Jean-Marc Ayrault! La crise gouvernementale qui s'est ouverte ce lundi 25 août alors que le gouvernement Valls a été nommé il y a moins de cinq mois, pour suppléer le prétendu manque d'autorité de son prédécesseur, frappe par sa rapidité et sa violence.
Libé - A Bercy, le dernier rappel d'Arnaud Montebourg
RÉCIT Sous les applaudissements des membres de son cabinet, le ministre du Rederessement productif a livré son ultime discours avant de reprendre «sa liberté».
Le Monde - Hamon « Il aurait été incohérent que je reste »
Cent quarante-sept jours. Le passage de Benoît Hamon Rue de Grenelle aura été un record de brièveté ministérielle. « Il aurait été incohérent que je reste », a-t-il expliqué sur le plateau du « 20 Heures » de France 2, où il a annoncé sa décision, invoquant ses désaccords avec le gouvernement sur la nature des politiques économiques.
Libé, Revue de presse - «La France pénètre dans des eaux politiques inconnues»
Dans leurs premiers articles sur la démission du gouvernement, les grands journaux étrangers soulignent la fermeté -voire l’entêtement- de François Hollande et de Manuel Valls. Mais dressent un sombre tableau de la situation politique française
Le Monde - Pour la presse européenne, Montebourg veut devenir « le martyr de la gauche »
Dans l'entretien au Monde qui a mis le feu aux poudres et provoqué la chute du gouvernement Valls, Arnaud Montebourg s'en prenait à l'Allemagne, « prise au piège » par sa politique d'austérité. « La France n'a pas vocation à s'aligner sur les axiomes idéologiques de la droite allemande », martelait le ministre de l'économie.
Libé - «On ne peut plus exclure une dissolution»
INTERVIEW Pour le constitutionnaliste Dominique Rousseau, la démission du gouvernement provoque une double crise : politique et institutionnelle.Pour le juriste Dominique Rousseau, spécialiste des institutions de la Ve République, la démission du gouvernement provoque une double crise : politique et institutionnelle.
Marianne - Remanier le gouvernement ou redessiner la majorité ?
Des candidats pour rejoindre le gouvernement Valls II, le pays n'en manque pas. Certains ont même des qualités ! Mais ce dont le Premier ministre a besoin, c'est de personnalités qui "pèsent" au Palais-Bourbon. Car avant les vacances d'été, il ne restait à Manuel Valls que 15 voix de majorité à l’Assemblée...
Libé - Montebourg a toujours un mandat électif
L’ex-ministre de l’Economie, Arnaud Montebourg, est toujours conseiller général de Saône-et-Loire, contrairement à ses déclarations de lundi après-midi où il assurait ne plus détenir aucun mandat. Quand il a annoncé qu’il reprenait «sa liberté» et qu’il ne ferait pas partie du gouvernement Valls II, il a précisé qu’il ne détenait plus aucun mandat et qu’il allait donc «retourner travailler parmi les Français, comme eux».
25 août
Le Monde - La dernière chance du président
Edito du « Monde ». La rentrée politique s’annonçait difficile pour le président de la République et le premier ministre. En quelques heures, elle est devenue explosive.
En demandant à Manuel Valls, dès le début de la matinée de ce lundi 25 août, de former un nouveau gouvernement, François Hollande a en effet décidé de trancher, à chaud, une crise qui le menaçait autant que le chef du gouvernement. Cinq mois seulement après la constitution de l’équipe de Manuel Valls, au lendemain d’élections municipales calamiteuses, cette dramatisation, très inhabituelle de la part du chef de l’Etat, a toutes les allures d’un va-tout.
Le Nouvel Obs - Filippetti annonce qu'elle ne souhaite pas rester au gouvernement
"Faudrait-il désormais que nous nous excusions d'être de gauche ?", écrit la ministre de la Culture dans une lettre à François Hollande et Manuel Valls.
Le Nouvel Obs - Remaniement : docteur Benoît et Mister Hamon
Si l’homme situé à la gauche du PS a rejoint les frondeurs, le ministre de l’Education nationale a, jusqu'ici, joué une partition fort sage.
Le Nouvel Obs - INFO OBS. Remaniement : Benoît Hamon sur le départ
Manuel Valls a proposé au ministre de l'Education de garder son poste, au prix d'une fidélité sans faille à la ligne gouvernementale. Refus de Hamon, qui s'en expliquera ce soir sur France 2.
Tribune de Lyon - Remaniement. Gérard Collomb "ne ferme pas la porte" au nouveau gouvernement
Le maire PS de Lyon a tenu ce matin une conférence de presse pour réagir à la démission du gouvernement de Manuel Valls après les déclarations des ministres dissidents Arnaud Montebourg et Benoît Hamon. L'occasion pour lui de réaffirmer son soutien à la politique du Premier ministre et surtout de se positionner en vue d'une nomination dans le nouveau gouvernement qui sera annoncé demain dans la journée....
France Inter - Montebourg et Filippetti prennent la porte
Le quatrième gouvernement Hollande, ce sera sans Montebourg ni Filippetti. Manuel Valls devrait nommer un nouveau gouvernement mardi après-midi : fini le gouvernement de combat, bienvenue au gouvernement restreint.
Le Monde - Des frondeurs de plus en plus nombreux au sein de la majorité
En décidant de remanier le gouvernement après les sorties d’Arnaud Montebourg et de Benoît Hamon, François Hollande et Manuel Valls mettent-ils en péril leur majorité à l’Assemblée nationale ? Alors qu'il n'étaient qu'une poignée au début de l'ère Valls, les « frondeurs » de l'aile gauche du Parti socialiste se comptent désormais par dizaines, et pourraient s’opposer à la ligne économique plus centriste imposée par l'exécutif.
Le JDD - Comment Montebourg a perdu le bras de fer face à Valls
En annonçant la démission de son gouvernement, Manuel Valls a contraint Arnaud Montebourg à quitter le gouvernement. Désormais libre, l’ancien ministre veut prendre sa revanche en mettant en place une "riposte graduée".
RTL - Démission du gouvernement : le PS veut de la "cohésion"
Le Parti socialiste souhaite que le nouveau gouvernement "soit l'occasion d'un rassemblement, d'un élargissement et d'une cohésion".
Le Lab - Gérard Collomb invité incontournable des chaînes d'information en ce jour de remaniement
Bien sûr, il répète à qui veut l'entendre qu'il n'est candidat à rien. Mais il est par-tout. Gérard Collomb, maire socialiste de Lyon, se fait plutôt rare dans les médias d'habitude. Mais ce 25 août, il fait la tournée des popotes.
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Macro, le nouveau ministre qui divise la gauche par Libération
Macro, le nouveau ministre qui divise la gauche par liberation -
L'éminence grise du tournant social-démocrate