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Hollande et les sondages : pas même un frémissement
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L'actualité des socialistes du 7 au 13 avril (mise à jour)
A la une
FranceTVinfo - Manuel Valls veut-il mettre la France au smic ?
Le Premier ministre a promis de supprimer les charges des entreprises pour chaque salarié payé au salaire minimum.
"Voilà le changement", a annoncé le Premier ministre. Manuel Valls a promis la suppression des charges pour l'employeur d'un salarié payé au smic, à partir du 1er janvier 2015. C'est l'une des principales mesures du pacte de responsabilité, détaillé lors de la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre, mardi 8 avril.
11, 12 et 13 avril
Le Monde - « Hollande n'a rien compris à la raclée qui a été infligée au PS »
Beaucoup de militants socialistes sont « déçus » par le remaniement ministériel finalisé le 9 avril avec la nomination de quatorze secrétaires d'Etat. Parmi ceux qui ont répondu à l'appel à témoignages lancé jeudi 10 avril par Le Monde.fr, une grande majorité ont voulu exprimer leur désaprobation et leur inquiétude.
Europe 1 - Comment Hollande veut (ré)occuper le terrain
IL VA PARLER - Le chef de l’État veut être davantage présent sur la scène nationale et s'exprimera prochainement.
Le changement de com', c'est bientôt. François Hollande ne compte pas laisser Manuel Valls occuper seul le terrain. À la tête d'un exécutif renouvelé, le chef de l'Etat a l'intention de s'exprimer prochainement et d'être davantage présent sur la scène nationale, confie sa garde rapprochée en marge de la visite présidentielle au Mexique. Le président de la République a été beaucoup accaparé par les voyages à l’étranger ces derniers mois, reconnaît-on dans son entourage auprès d'Europe1. Mais, y assure-t-on, la communication changera dès les prochains jours.
Le Monde - « Camba », l'homme qui rêvait d'être chef du parti
Certains responsables politiques rêvent d'être président de la République depuis qu'ils sont tout petits. Jean-Christophe Cambadélis, lui, a toujours poursuivi un autre dessein : devenir premier secrétaire du Parti socialiste. A 62 ans, son souhait s'est enfin réalisé mercredi 9 avril, avec la promotion-sanction d'Harlem Désir au gouvernement comme secrétaire d'Etat aux affaires européennes.
RTL - Européennes 2014 : "Peillon n'a rien demandé pour l’Ile-de-France", assure Cambadélis
Le futur premier secrétaire du PS "ne croit pas" que l'ancien ministre de l'Education veuille mener la liste socialiste en Ile-de-France pour les prochaines européennes.
"Nous verrons qui va diriger la liste socialiste aux prochaines élections européennes", a déclaré Jean-Christophe Cambadélis. "Nous avons un meeting avec Martin Schulz, nous allons décider ensemble", a expliqué celui qui devrait succéder à Harlem Désir à la tête du parti socialiste.
"La nomination d’Harlem Désir est une insulte à l’Europe." La charge de Nathalie Kosciusko-Morizet, ce jeudi 10 avril, sur France 2, résume le sentiment donné jusque dans son propre parti par l’exfiltration d’Harlem Désir de la direction du PS, nommé secrétaire d’Etat aux Affaires européennes du gouvernement Valls – un portefeuille rétrogradé avec le changement de gouvernement de ministre délégué à secrétaire d’Etat-. Une nomination qui met fin, de facto, à son mandat de député européen.
Libé - Qui sont les nouveaux secrétaires d'Etat ?
Au nombre de quatorze, ils complètent le gouvernement de Manuel Valls. Neuf d'entre eux n'étaient pas membres du précédent gouvernement.
Les Echos - Cambadélis, la voix sociale du PS, enfin aux manettes ?
Candidat malheureux à la succession de Martine Aubry en 2012, Jean-Christophe Cambadélis devrait remplacer Harlem Désir à la la tête du PS. L'ancien militant trotskyste a multiplié au cours des derniers mois les prises de position acérées.
10 avril
Le Nouvel Obs - Pourquoi Cambadélis à la tête du PS ?
Harlem Désir, c'est fini ! Avant même l'exfiltration du premier secrétaire, l'ex-lieutenant de DSK a reçu les soutiens nécessaires pour lui succéder.
Libé - La Gauche Forte veut un vote des militants socialistes pour désigner le chef de Solférino
Devenu secrétaire d'Etat, le patron de Solférino Harlem Désir a proposé que Jean-Christophe Cambadélis le remplace. Déclenchant la fureur d'au moins un courant du PS, qui y voit un déni de démocratie interne.
Europe 1 - Tête du PS : Désir a proposé Cambadélis
REMANIEMENT, LA SUITE - Le patron du PS a été nommé secrétaire d’Etat aux affaires européennes.
Harlem Désir, qui a été nommé mercredi secrétaire d’Etat aux Affaires européennes dans le gouvernement Valls a "proposé", devant l'exécutif du Parti socialiste, le nom de Jean-Christophe Cambadélis pour lui succéder à la tête du PS.
Europe 1 - Cambadélis, "un homme de coups" à la tête du PS ?
PORTRAIT - Ancien trotskiste et ex-lieutenant de DSK, le théoricien de la "gauche plurielle" devrait succéder à Harlem Désir.
C'est l'histoire d'un homme né à Neuilly, devenu militant trotskiste avant de s'imposer comme un cadre du parti socialiste… et de le diriger ? Sauf surprise de dernière minute, Jean-Christophe Cambadélis remplacera en effet Harlem désir à la tête du principal parti de gauche. L'ancien patron de SOS Racisme, qui a été nommé secrétaire d’État aux Affaires européennes, a "proposé" son nom devant l'exécutif du Parti socialiste, en accord avec le numéro 2 du parti, Guillaume Bachelay. "Camba" devrait ainsi être officiellement désigné mardi prochain.
Le Monde - Ce qu'il faut retenir des nouvelles nominations au gouvernement Valls
On en attendait une douzaine. Ce sont finalement quatorze secrétaires d'Etat qui rejoignent le gouvernement de Manuel Valls. Leurs noms ont été dévoilés un peu avant 17 heures, mercredi 9 avril, par Pierre-René Lemas, le secrétaire général de la présidence de la République, dans des circonstances quelque peu particulières dans la mesure où le départ de celui-ci de l'Elysée avait été annoncé quelques heures plus tôt.
Libé - Gouvernement, PS, Elysée : Hollande et Valls font bon ménage
Proches et poids lourds à tous les étages du dispositif : le Président et son Premier ministre ont fait table rase de l’organisation des débuts du quinquennat.
Le Figaro - Élysée, PS : Hollande remanie tout
Au nom du professionnalisme, le président renforce son dispositif en nommant Jean-Pierre Jouyet au secrétariat général de l'Élysée et en plaçant Jean-Christophe Cambadélis à la tête du PS
Libé - Grand Lyon : Collomb va-t-il résister à la vague bleue ?
Alors que l'élection pour la présidence de la communauté urbaine aura lieu mercredi prochain, le candidat UMP François-Noël Buffet veut croire à sa victoire contre le socialiste.
Le Monde - Nos portraits des 14 secrétaires d'Etat
Au lendemain du discours de politique générale de Manuel Valls devant l'Assemblée nationale et une semaine après la nomination des ministres, le gouvernement est au complet. Pierre-André Lemas, qui sera remplacé par Jean-Pierre Jouyet au poste de secrétaire général de l'Elysée, a donné, mercredi 9 avril, la liste des 14 secrétaires d'Etat qui vont compléter le gouvernement resserré et paritaire de 16 ministres.
Le Nouvel Obs - Secrétaires d'Etat : des nouveaux, des revenants
Frédéric Cuvillier garde les Transports et Geneviève Fioraso, l'Université. Fleur Pellerin passe au Commerce extérieur. Harlem Désir arrive aux Affaires européennes...
Libé - Désir et Le Guen rejoignent le gouvernement Valls
Quatorze secrétaires d'Etat ont rejoint l'équipe Valls ce mercredi.
Une semaine après la nomination de seize ministres, le gouvernement de Manuel Valls s'étoffe aujourd'hui de quatorze secrétaires d'Etat, au lendemain du discours de politique générale du Premier ministre. La perspective de ces nominations agitait la classe politique depuis plusieurs jours, et notamment les jeunes socialistes dont certains espéraient intégrer l'équipe Valls.
Le Monde - Jean-Pierre Jouyet nommé secrétaire général de l'Elysée
Contacté par Le Monde, François Hollande justifie ce choix, mercredi 9 avril : « L'idée est de faire un changement qui s'inscrit dans le changement. Dès lors qu'une nouvelle équipe s'installait à Matignon, je souhaitais qu'il y ait une nouvelle équipe à l'Elysée », explique le chef de l'Etat. Pour lui, Matignon et l'Elysée doivent désormais travailler de façon « totalement imbriquée ». Il faut, précise-t-il, « une cohérence absolue, une équipe quasiment fusionnelle, une véritable unité de commandement ».
Le Monde - Fusionner des régions, une si vieille idée
Vingt-sept régions, 101 départements, 4 055 cantons, 2 456 établissements publics de coopération intercommunale (communautés d'agglomération, de commune...) et 36 680 communes, sans oublier les districts de sous-préfectures, tel est, en 2014, le portrait administratif des territoires français. Après quelques annonces de François Hollande en janvier, c'est au tour de Manuel Valls de promettre de réduire la taille du millefeuille administratif français. Il n'est pas le premier, loin de là.
Europe 1 - Désir remplacé par Cambadélis rue de Solférino ?
REMANIEMENT, LA SUITE - Le patron du PS pourrait devenir secrétaire d’Etat aux affaires européennes.
Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a salué dans un communiqué mardi les "réformes audacieuses, courageuses et justes" exposées par Manuel Valls dans sa déclaration de politique générale et qui "transformeront profondément notre pays". Sa dernière prise de parole en tant que patron des socialistes ? Selon les informations recueillies par Caroline Roux, l’éditorialiste politique d’Europe 1, Harlem Désir pourrait être nommé mercredi secrétaire d’Etat aux affaires européennes pour "libérer la rue de Solférino". Pour le remplacer, le nom de Jean-Christophe Cambadélis est cité.
Le Monde - Harlem Désir menacé à la tête du Parti socialiste
Après le gouvernement et le cabinet de l'Elysée, le remaniement au PS ? Après avoir nommé Manuel Valls premier ministre, remanié le gouvernement, et remplacé Pierre-René Lemas par Jean-Pierre Jouyet au secrétariat général de l'Elysée, François Hollande pourrait également changer la direction du Parti socialiste.
Libé - Les principaux extraits de la déclaration de politique générale de Manuel Valls
..... La confiance a finalement été votée à 306 voix pour et 239 contre. Au PS, onze députés de l'aile gauche se sont finalement abstenus, dont Pouria Amirshahi, Jérôme Guedj, Henri Emmanuelli ou Barbara Romagnan. Côté écologistes, 10 ont voté la confiance, six se sont abstenue et une a voté contre (Isabelle Attard, qui a quitté EE-LV). 14 radicaux sur 17 ont voté pour (3 abstentions). Comme annoncé, les députés Front de gauche ont voté contre.
Assemblée Nationale - Analyse du scrutin n° 785 Première séance du 08/04/2014
Scrutin public sur la déclaration de politique générale du Gouvernement de M. Manuel Valls (en application de l'article 49, alinéa premier, de la Constitution).
9 avril
Manuel Valls a proposé mardi 8 avril, lors de sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale, une vaste réforme territoriale.
Dans le viseur du premier ministre: la suppression des conseils départementaux et de la clause générale de compétences mais aussi dessiner une nouvelle carte du pays en se penchant sur les intercommunalités et en réduisant par deux le nombre de régions.
Le Blog de Françoise Fressoz - Manuel Valls, l’homme de la rupture fiscale
Après avoir écouté Manuel Valls prononcer sa déclaration de politique générale, on comprend mieux pourquoi François Hollande avait tellement besoin de nommer un nouveau premier ministre après le désastre électoral de mars.
Peut mieux faire - Le décret sur les rythmes scolaires est maintenu
"Le décret sur les rythmes est maintenu"... Il aura fallu que l'entourage du ministre de l'éducation nationale, Benoît Hamon, explicite la formule ambiguë utilisée par le chef du gouvernement lors de son discours de politique générale. Manuel Valls venait de jeter un doute en déclarant qu'il proposait un "assouplissement du cadre des rythmes". En dépit de son habillage simple, la formule n'était pas immédiatement lisible. Elle est restée ambiguë jusqu'aux précisions de la rue de Grenelle.
Le Monde - L'ambitieuse feuille de route de Manuel Valls
« Trop de souffrances, pas assez d'espérance, telle est la situation de la France », c'est par ces mots que le nouveau premier ministre, Manuel Valls, a ouvert sa déclaration de politique générale, mardi 8 avril, à l'Assemblée nationale. Prévue par l'article 49-1 de la Constitution, mais pas obligatoire, cette déclaration est un rituel fondateur qui engage durablement son auteur.
Libé - Suppression des conseils départementaux : «Un discours jacobin, pas décentralisateur»
Claudy Lebreton, président de l’Assemblée des départements de France, dénonce la volonté de Manuel Valls de supprimer cette collectivité d'ici 2021.
Libé - Valls veut réduire de moitié le nombre de régions
Le Premier ministre a également annoncé, lors de son discours de politique général, vouloir supprimer les conseils départementaux.
Libé - Secrétaires d'Etat : «Il faut faire émerger la génération Hollande 2017»
A la veille de l'annonce des noms de la douzaine de secrétaires d'Etat du gouvernement Valls, certains plaident pour une valorisation de la jeune génération. Résultat : les jeunes pousses socialistes sont fébriles.
Com'c'est bizarre - La com’ trop soignée du discours de Valls
Il était difficile de le rater durant sa première semaine comme Premier ministre : magazines, presse, télés, Manuel Valls a soigné sa communication auprès du grand public. Objectif ? Faire vite oublier Jean-Marc Ayrault et préparer l’opinion à son discours de politique générale censé ouvrir une « nouvelle étape » du quinquennat. Mais le professionnalisme du Premier ministre, au demeurant très classique dans la méthode, ne saurait suffire à renouer la confiance avec les Français. Le teasing trop appuyé du premier grand discours de chef de gouvernement pourrait provoquer un sentiment de déception dans l’opinion.
Le Monde - Valls aura-t-il la confiance de l'Assemblée ?
Le premier ministre, Manuel Valls, a prononcé un discours de politique général, mardi 8 avril, à l'Assemblée nationale. Après la défaite du Parti socialiste lors des municipales, il devrait préciser la politique économique du gouvernement (dont les détails du pacte de responsabilité) et rassurer les députés qui auront, à l'issue de ce disours, à voter la confiance au gouvernement.
Le Nouvel Obs - Discours de Valls : "Je ne pense pas qu'il y aura d'abstentions au PS"
Pour Bruno Le Roux, chef du groupe PS à l'Assemblée, Manuel Valls s'est montré suffisamment rassurant et rassembleur devant les socialistes, avant son discours de politique générale.
Le Nouvel Obs - 10 questions que Manuel Valls va devoir trancher
Réforme pénale, Roms, économies budgétaires, coup de pouce pour les ménages… Les dossiers brûlants ne manquent pas pour le Premier ministre, qui prononce à 15 heures son discours de politique générale.
Le blog de Françoise Fressoz - François Hollande face à la fracture européenne
Le scrutin municipal de mars a réveillé les vieilles fractures de la gauche. Dominé par la déroute du parti socialiste et la municipalisation du Front national, il a eu pour effet de pousser les écologistes en dehors du gouvernement et de réveiller la contestation qui couvait depuis le début du quinquennat Hollande au sein du parti socialiste: près d’un tiers de ses députés réclament la fin de «la politique d’austérité » et une réorientation de l’Europe .
8 avril
Le Nouvel Obs - EXCLUSIF. Sondage : Valls démarre fort, avec 56% de satisfaits
56% des Français ont une image positive du nouveau Premier ministre, selon un sondage LH2 pour "le Nouvel Observateur". C'est le double de la popularité de François Hollande (27%).
Le Monde - Claude Bartolone : « Ne pas sacrifier la France à l’Europe libérale
A la veille du discours de politique générale de Manuel Valls, mardi 8 avril, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, veut rester vigilant sur le « changement de scénario » qui suivra, après la déroute des élections municipales.
DOCUMENTAIRES - Nouveau cap, nouveau premier ministre, nouveau gouvernement. Oui mais pour quoi faire? Avant même de fêter sa deuxième année à l'Elysée, voilà donc François Hollande contraint d'entamer à marche forcée la seconde mi-temps de son quinquennat. Le coup d'envoi est attendu ce mardi 8 avril avec le discours de politique générale de son tout nouveau chef de gouvernement Manuel Valls.
LE PLUS. Après la déroute des municipales, les députés PS attendent Manuel Valls au tournant. Alors que le Premier ministre doit prononcer son discours de politique générale mardi 8 avril, une centaine d’entre eux ont signé une lettre réclamant un changement de cap politique. Le député du Finistère Richard Ferrand fait parti des signataires "frondeurs". Il revient sur les objectifs de cette démarche.
Libé - Le Roux : «Quand on est député de la majorité, il y a un devoir de solidarité»
Dans une lettre à ses troupes, le président des députés PS Bruno Le Roux plaide pour un «nouvel équilibre» dans la politique du gouvernement. Tout en mettant en garde les éventuels frondeurs.
Le JDD - Le texte et la liste des 89 frondeurs du PS
INFO JDD - Avant le discours de politique générale de Manuel Valls et le vote de confiance à son gouvernement mardi, 89 responsables socialistes, dont des députés issus de l'aile gauche du parti, des amis de Martine Aubry et d'autres sensibilités du PS réclament, dans un texte que publie le JDD, un nouveau "contrat de majorité".
7 avril
Le Monde - Municipales : comment la gauche a perdu Limoges
Pour les uns, ce fut un « séisme », pour les autres un « coup de tonnerre » ou un « tsunami ». Comme si seul un déchaînement des éléments avait pu provoquer un tel événement. Limoges la rouge, « la Rome du socialisme », Limoges « terre de gauche », de Résistance et de luttes ouvrières a tremblé, dimanche 30 mars. La capitale limousine, socialiste depuis 1912, sauf pendant quatre années de collaboration et deux années de communisme entre 1940 et 1947, a basculé à droite.
Dans une interview au «JDD», le nouveau Premier ministre évoque aussi les «ravages» de la hausse des impôts.
Manuel Valls assure dans le JDD que les Verts seront «associés» à la politique du gouvernement qu’il dirige, s’ils lui votent la confiance mardi après son discours de politique générale.
Le Monde, Florence Aubenas - « Ici, faut être contremaître pour voter PS »
Pour certains, c’est la première fois, ils ont en même temps peur et envie. Ils viennent de partout dans le Pas-de-Calais, ils sont très jeunes, très socialistes, leur chef a tout juste 22 ans. Peu avant les élections municipales, la fédération PS avait confié à sa section juniors une distribution de tracts à Hénin-Beaumont. Hénin-Beaumont ? Depuis des années, la France entière a le regard fixé sur ce gros village où le Front national dévore des voix à gauche, de scrutin en scrutin.
Les Echos - Manuel Valls, version douce
Le Premier ministre prend très au sérieux la fronde des 88 parlementaires socialistes. Les discussions sont ouvertes pour infléchir la politique économique.
Les Echos - 88 députés socialistes menacent de ne pas voter la confiance au gouvernement Valls
Le « JDD » publie la liste des « 88 frondeurs du PS », qui réclament un nouveau « contrat de majorité » et posent leurs conditions pour voter la confiance au gouvernement. La liste pourrait s’allonger.
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François Hollande "aime qu'on le prenne un peu pour un con", dit Franz-Olivier Giesbert par rtl.fr
François Hollande "aime qu'on le prenne un peu... par rtl-fr -
Franz-Olivier Giesbert : « Je compare Hollande a un écureuil » par Lefigaro.fr
Franz-Olivier Giesbert : « Je compare Hollande... par lefigaro -
L'actualité des socialistes du 31 mars au 5 avril (mise à jour)
A la une
Le Monde - Hollande-Valls, l'histoire secrète du remaniement
Depuis quand le président a-t-il compris qu’il y avait quelque chose de dysfonctionnel dans le couple qu’il formait avec Jean-Marc Ayrault ? « En réalité, il a tranché depuis très longtemps, assure un intime. Depuis la fin de l’été 2012, il sait que cela ne marche pas. » Il aura pourtant fallu patienter jusqu’à la dernière minute de la dernière réunion pour que M. Hollande, après avoir laissé pendant des mois planer un anxiogène suspense, signifie à Manuel Valls qu’il le nommait premier ministre. Et encore le président ne l’a-t-il pas complètement verbalisé. En mai 2012, il le lui avait annoncé sans ambages, en tête à tête : « Tu seras le ministre de l’intérieur. » Cette fois, il est resté plus sibyllin : « Jean-Marc Ayrault m’a adressé sa lettre de démission. »
5 et 6 avril
Le Monde - Cent députés PS en colère réclament un « contrat de majorité »
Ils considèrent que plus rien ne doit jamais être comme avant. Selon nos informations, près de cent députés socialistes – soit un tiers du groupe à l'Assemblée nationale – ont signé une lettre, que Le Monde et BFM TV se sont procurés, réclamant un « contrat de majorité » avec le nouveau gouvernement. La liste définitive des signataires devrait être connue ce week-end, avant le discours de politique générale de Manuel Valls et le vote de confiance à son gouvernement, mardi 8 avril.
Le Nouvel Obs - Vote de confiance : 100 députés PS posent leurs conditions
Près de cent députés socialiste en colère ont signé une lettre réclamant un "contrat de majorité" avec le nouveau gouvernement, juste avant le discours de politique générale de Manuel Valls mardi.
Le Monde - Comment Hollande et Valls ont défini leur plan de bataille
Le remaniement a poursuivi François Hollande jusqu'à Bruxelles. Le président n'a pu profiter de l'entrée servie au dîner des chefs d'Etat et de gouvernement réunis pour le sommet Union européenne-Afrique, mercredi 2 avril : il suivait en direct la première prestation télévisée de Manuel Valls, à 20 heures sur TF1.
Le Monde - L'urgence d'une refondation du Parti socialiste
Henri Emmanuelli aime le parler dru. A 68 ans, l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste – de juin 1994 à octobre 1995 –, auquel il a adhéré dès 1971, a perdu de l'influence, mais il cultive son image de sage un peu « archaïque ». La déroute historique du PS aux élections municipales l'a conduit à assener un véritable coup de semonce. « Le PS n'existe plus, a martelé le député et président du conseil général des Landes, jeudi 3 avril, à Mediapart. Ni à l'attaque ni en défense. » Il est devenu, enchaîne-t-il, « un parc à moutons » en état de « coma profond ».
Le Monde - Le ministère « voiture-balai » de Najat Vallaud-Belkacem
Un « ministère fourre-tout » ou une mission inspirée de Léo Lagrange, secrétaire d'Etat aux sports et aux loisirs du Front populaire ? L'étendue du portefeuille de Najat Vallaud-Belkacem, promue ministre des droits des femmes, de la ville, de la jeunesse et des sports n'a pas manqué d'interroger les acteurs des quatre domaines concernés. Est-ce le signe d'une promotion pour la jeune et brillante ex-porte-parole du gouvernement Ayrault ? Ou un ministère sans cohérence dans lequel sont rassemblés tous les dossiers sensibles mais sur lesquels le gouvernement ne compte pas faire grand-chose ?
Le Nouvel Obs - Ce que Valls a vraiment proposé aux écolos
Nucléaire, EPR, gaz de schiste, OGM, décentralisation… Voici comment le Premier ministre a tenté de convaincre EELV.
Le Monde - Valls-Montebourg-Hamon : le pacte des ambitieux
C'est l'histoire d'un trio qui ne fait plus qu'un. Depuis mercredi 2 avril, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon sont deux des poids lourds – le premier comme copatron de Bercy, le second à la tête du ministère de l'éducation nationale – du gouvernement d'un troisième, Manuel Valls. S'il peut paraître détonant, vu le parcours de chacun, ce ménage à trois n'est pas une surprise au regard des rapprochements tissés au fil des derniers mois
4 avril
Libé - Le PS est dans un état de «coma profond» pour Emmanuelli
Le député et ex-premier secrétaire du parti appelle à un congrès extraordinaire ou à la démission d'Harlem Désir.
Le député socialiste Henri Emmanuelli a appelé à la tenue d’un congrès extraordinaire du Parti socialiste ou à une démission de son premier secrétaire, Harlem Désir, estimant dans une interview à Mediapart diffusée jeudi que ce parti, «parc à moutons», était plongé dans un état de «coma profond».
L'Humanité - Crise politique et maintenant? On n’a jamais redressé un pays dans l’austérité
Par Christian Paul, député PS de la Nièvre, représentant de la Gauche durable. Le 30 mars, la gauche a subi une des pires déroutes électorales de son histoire sur fond d’abstention massive. Avec la crise politique qui touche droite et gauche, et le poids menaçant de l’extrême droite, quelles réponses apporter à cette coupure profonde avec les Français ? Et pour la gauche, où sont les alternatives ? L’Humanité ouvre d’urgence le débat.
Libé - Ségolène Royal souhaite «remettre à plat» l'écotaxe
La nouvelle ministre de l'Ecologie a indiqué n'être pas favorable à une «écologie punitive» assortie de taxes qui frapperaient ceux qui n'ont pas accès à des transports propres.
Le Figaro - Avec Moscovici à Bruxelles, le PS pourrait perdre la majorité absolue à l'Assemblée
Le député du Doubs serait obligé de remettre en jeu son mandat lors d'une législative partielle risquée pour le PS. En cas de défaite, le Parti radical de gauche deviendrait indispensable au Parti socialiste à l'Assemblée.
Libé - Des députés PS et écolos proposent une loi sur la famille
Après le report de la loi Bertinotti sur la famille, des élus ont déposé une proposition de loi en reprenant le contenu.
Une proposition de loi PS-écologistes concernant «l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant» a été déposée à l’Assemblée nationale, traduction de la promesse de textes spécifiques faite après le report sine die du projet de loi Bertinotti.
Le Point - Lyon : le torchon brûle entre les Verts et l'exécutif
Les membres d'EELV, élus sur les listes PS, ne participeront pas à l'exécutif faute d'avoir trouvé un accord avec le maire de la ville Gérard Collomb.
Les Echos - La France veut négocier le rythme de réduction des déficits, affirme Michel Sapin
Selon Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics, "le rythme" de réduction du déficit public sera "discuté" à Bruxelles, car il est dans "l'intérêt commun de l'Europe de trouver le bon rythme".
Libé - A la télé, Manuel Valls joue la carte de la loyauté
Pour sa première intervention télévisée en tant que Premier ministre, Manuel Valls a évoqué avec déférence le président Hollande et a insisté sur le besoin de justice dans la société française.
Le banquier d’affaires et patron de presse Matthieu Pigasse, ancien conseiller de DSK, a été reçu par Manuel Valls jeudi. L’économiste, qui éreinte dans son dernier livre la politique menée par François Hollande, plaide pour des réformes structurelles associées à une relance économique à l’italienne...
Les Echos - Sondage : pas d’état de grâce pour Manuel Valls
Selon le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique, 41% seulement des Français font « confiance » à Manuel Valls pour « résoudre les problèmes ». Un niveau très bas. 47% ne lui font pas confiance.
Le Monde - Védrine torpille les illusions françaises
Pays en état dépressif mais aux atouts substantiels. Puissance moyenne confirmée mais sur le déclin. Economie largement mondialisée mais victime de blocages structurels et psychologiques. Personnalité collective encline à entretenir des illusions, sur elle-même et sur le monde, victime d'un système politico-médiatique narcissique et hostile au changement. Ce diagnostic porté sur la France, sans complaisance mais sans catastrophisme, est signé Hubert Védrine.
Slate, Laurent Bouvet - L'équation Manuel Valls, ou la nouvelle bataille des deux gauches
Par son réformisme en matière économique comme son républicanisme sur le plan des valeurs et de l’ordre, Manuel Valls incarne une synthèse nouvelle de la gauche qui s'oppose terme à terme à celle défendue par Christiane Taubira, EELV ou l'aile gauche du PS. Mais les deux mouvances sont condamnées à s'unir pour accéder au pouvoir.
Huffington Post - Anciens ministres : les pouvoirs sont passés, que vont-ils devenir?
Ministres, ils ne le sont plus. Par choix personnel ou parce que François Hollande et Manuel Valls l'ont décidé, ils sont une petite dizaine -sur 20 membres de l'équipe Ayrault- à ne pas avoir intégré le gouvernement resserré annoncé mercredi matin. Depuis, ils ont passé les pouvoirs aux nouveaux ministres, au cours de cérémonies souvent convenues où ils ont loué leur bilan et adressé leurs encouragements à leur successeur.
3 avril
Le Monde - Royal, Montebourg, Hamon... l'équation risquée de Manuel Valls
Au lendemain de la passation de pouvoir à Matignon entre Jean-Marc Ayrault et le nouveau premier ministre, Manuel Valls, la composition du gouvernement a été annoncée par le secrétaire général de l'Elysée, Pierre-René Lemas, mercredi matin. Seuls les ministres de plein exercice ont été donnés, il faudra attendre la semaine prochaine pour connaître les secrétaires d'Etat.
Le Monde - L'éducation, un « short » ministériel taille XL pour Benoît Hamon
Ces derniers mois, Benoît Hamon s'estimait à l'étroit au ministère délégué à l'économie sociale et solidaire et à la consommation. « Il trouve que Hollande lui a donné un short trop petit dans l'équipe du gouvernement », plaisantait un cadre socialiste. En privé, ce quadra, fan de rugby, hésitait entre trois futurs possibles: soit un «short» ministériel taillé plus grand, soit la tête du PS, soit briguer la présidence de la région Ile-de-France en 2015. Ce sera donc le «short» taille XL.
Le Monde - La revanche de Ségolène Royal
Ségolène Royal, ministre de François Hollande. Comment ne pas sourire ? Comment ne pas penser à tout ce qu'a d'extraordinaire une telle situation ? En entendant Pierre-René Lemas, le secrétaire général de l'Elysée, annoncer mercredi 2 avril que « Madame Ségolène Royal » était nommée « ministre de l'écologie », il était évidemment impossible de rester impassible.
Libé- Cambadélis (PS): Manuel Valls ne sera pas «le droitier de service»
Le député et secrétaire national du PS Jean-Christophe Cambadélis a jugé mardi qu’il existait «une confusion» au sujet de Manuel Valls, qui ne sera pas «le droitier de service» mais a été nommé à Matignon pour «mettre en mouvement la feuille de route de François Hollande».
2 avril
Libé - Valls à Matignon : de nouveaux espaces pour «l'opposition de gauche» ?
Très remontée vis-à-vis du nouveau Premier ministre, la gauche radicale espère rallier les mécontents dans la rue le 12 avril – et pourquoi pas s'entendre avec les écologistes, si ceux-ci quittent l'exécutif
Le Nouvel Obs, Laurent Joffrin - Valls est-il trop à droite ?
Le nouveau Premier ministre, au profil jugé "droitier", correspond à la demande des Français exprimée dans les urnes. Encore faut-il qu'il obtienne des résultats.
Le Nouvel Obs, Renaud Dély - Manuel Valls, l'évidence
Comme souvent, ce n’est pas le président de la République qui choisit le nouveau Premier ministre. C’est la situation politique qui le lui impose.
Le Nouvel Obs - Ces chantiers qui attendent le gouvernement Valls
Economie, chômage, énergie, éducation... Les chantiers qui attendent le nouveau Premier ministre Manuel Valls s'annoncent difficiles.
Le Nouvel Obs - Le non de EELV à Valls : "C’est de la folie !"
"Il y a une fracture énorme entre les parlementaires et les instances dirigeantes du parti", fait savoir François-Michel Lambert, député EELV qui, lui, "veut gouverner". Interview.
Le Huffington Post, Julien Dray - 1977 à l'envers...
Les urnes ont parlé et, comme toujours en pareille circonstance, on aurait tort de se focaliser sur le seul Front National. On a d'ailleurs tort de succomber à la fascination, tort de s'en remettre aux seuls anathèmes et à des discours incantatoires. Le FN obtient des victoires dans plusieurs communes, comme Hayange, Hénin-Beaumont, Fréjus et a soutenu la victoire de Robert Ménard à Béziers... Ce sont des faits, mais il faut savoir les comprendre rationnellement. Au-delà de ces quelques très emblématiques communes, c'est le bleu horizon des listes UMP, UDI, DVD qui a coloré la carte de notre pays et c'est cela la leçon première à tirer de ces élections.
LE PLUS. François Hollande a fini par trancher. Fragilisé par la claque reçue par le PS lors des élections municipales, le président de la République a choisi de changer de Premier ministre : Jean-Marc Ayrault s'en va et c'est Manuel Valls qui le remplace à Matignon. Une nomination qui est loin de réjouir notre contributeur Roland Greuzat, militant socialiste proche de la gauche du parti.
RTL - Remaniement ministériel : les guerriers de Manuel Valls seront avant tout "hollandais"
DÉCRYPTAGE - Depuis sa nomination, Manuel Valls est est à la manœuvre pour composer son gouvernement, dont les membres seront annoncés mercredi dans la matinée.
Les Echos - Valls aurait proposé aux Verts un grand ministère de l'Ecologie
Pour convaincre les Verts de participer à son gouvernement, Manuel Valls leur aurait proposé un grand ministère de l'Ecologie. Il se serait également engagé sur trois thèmes : la transition énergétique, la décentralisation et la justice sociale.
Lyon Capitale - Bret engage le bras de fer avec Collomb
Jean-Paul Bret annonce, ce mardi, qu'il veut monter avec les socialistes de Villeurbanne son propre groupe politique. Il se démarque de Gérard Collomb, engageant ainsi un rapport de force. Le maire réélu avec 45% des voix veut récupérer plus de projets et de financements pour sa commune. Pour lui, "la métropole doit être moins polarisée" sur Lyon.
Libé - Seine-Saint-Denis : de la ceinture rouge à la vague bleue
Malgré la conquête de Montreuil et d'Aubervilliers, l'emprise communiste a encore reculé dans le département francilien, principalement au bénéfice de la droite, qui y détient désormais plus de communes que la gauche.
Libé - Les syndicats inquiets face à la feuille de route donnée à Valls
Changement de cap ou continuité ? Mardi, plusieurs syndicats ont fait part de leur perplexité au regard des instructions données par François Hollande à son nouveau Premier ministre.
Rue 89 - Grand Lyon : comment Gérard Collomb peut résister à la vague bleue
Maire de Lyon, ce n’est finalement qu’une étape dans la conquête du pouvoir sur le grand territoire lyonnais. Après l’hécatombe de la gauche qui a vu plusieurs de ses villes basculer à droite dans le Grand Lyon, le socialiste Gérard Collomb va devoir batailler pour conserver la présidence de la communauté urbaine, future Métropole.
Le Nouvel Obs - Ce qu'il faut retenir de l'intervention de Hollande
VIDEO. Manuel Valls est nommé Premier ministre. Le président annonce un pacte de solidarité pour redonner du pouvoir d'achat aux Français.
Le Monde - Hollande nomme Valls à Matignon et promet des baisses d'impôts
Le chef de l'Etat a confirmé lundi 31 mars qu'il avait confié à Manuel Valls la mission de « conduire le gouvernement de la France ». Une triple mission lui incombe, a indiqué le chef de l'Etat lors d'une allocution télévisée diffusée à 20 heures : relancer l'économie, garantir la justice sociale et créer le rassemblement.
1er avril
Libé - Manuel Valls, une ascension depuis l'Intérieur
CHRONO Manuel Valls a été nommé lundi soir Premier ministre, après la démission de Jean-Marc Ayrault. Retour sur ses deux années Place Beauvau
Libé - Presque deux ans de gouvernement Ayrault
BILAN Légalisation du mariage gay, efforts budgétaires dans un contexte économique tendu, chômage record et aussi quelques couacs. Que retenir des gouvernements dirigés par Jean-Marc Ayrault depuis le 15 mai 2012 ?
Le JDD - Hollande s’en remet à Valls pour sauver son quinquennat
ANALYSE - Au terme d’une folle journée émaillée de rumeurs, tensions et même chantage, le chef de l’Etat a fini par trancher en remerciant Jean-Marc Ayrault et nommant Manuel Valls à sa place. Un coup de Poker du Président contraint de tirer les leçons d’une claque monumentale aux municipales. Après vingt-deux mois à l’Elysée, François Hollande joue la suite de son mandat à quitte ou double.
Slate - La nomination de Valls à Matignon va-t-elle faire perdre la majorité absolue au PS?
«Pour gouverner, il faut une majorité nette» à l'Assemblée nationale. Alors encore directeur de la communication du tout fraîchement élu président François Hollande, Manuel Valls appelait le 7 mai 2012 les électeurs à se mobiliser en vue des législatives.
Le JDD - Le remaniement, c'est quand?
François Hollande a confié le soin à Manuel Valls de former un gouvernement « resserré » et « de combat ». Le calendrier du remaniement reste quant à lui inconnu.
Lundi soir, une seule information était certaine quant au remaniement : Manuel Valls remplace Jean-Marc Ayrault à Matignon, à la tête d’un "gouvernement de combat" et "resserré", conformément aux vœux de François Hollande. Combien de ministres composeront cette future équipe, et surtout, quand sa composition sera-t-elle annoncée? Le chef de l’Etat ne l’a pas indiqué.
France Info - Le PS rassuré par le nouveau cap de Hollande
REACTIONS | Le "gouvernement de combat" tel qu'il a été décidé par le chef de l'Etat devra appuyer sur trois leviers : l'économie relancée, la justice sociale renforcée et le pouvoir d'achat privilégié. Message clair, dit-on au PS. Les Verts laissent planer le doute sur leur présence dans la nouvelle équipe. A l'UMP, Jean-François Copé n'a pas entendu de "changement de cap". Marine Le Pen au FN voit Manuel Valls en "homme dangereux."
France Info - Manuel Valls : l'aile droite de la gauche entre à Matignon
Manuel Valls a été désigné par François Hollande pour succéder à Jean-Marc Ayrault. Le nouveau Premier ministre devrait rapidement prendre ses fonctions et composer son gouvernement. Itinéraire de l'ascension politique, de la faculté de Tolbiac à Matignon, de celui que l'on présente souvent comme le "Sarkozy de gauche"
Europe 1 - Le jour où Matignon a valsé
COULISSES - Jean-Marc Ayrault est remplacé par Manuel Valls à Matignon. Retour sur un lundi peu ordinaire.
Un dernier pied de nez. La nouvelle est tombée un communiqué de Matignon, peu avant 18h ce lundi. Fait inédit, Jean-Marc Ayrault a tenu à annoncer lui-même sa démission et celle de son gouvernement, court-circuitant l'Elysée qui avait prévu de le faire. Et dans un ultime défi, le Premier ministre a fait porter sa lettre de démission par son chef de cabinet sans la présenter directement à François Hollande, comme le veut pourtant l'usage de la Ve République. Quelques minutes plus tard, le nom de Manuel Valls bruissait dans tous les médias avant d'être annoncé officiellement par le président en personne, lors d'une allocution télévisée de quelques minutes, enregistrée à l'Elysée et diffusée lundi à 20h.
Le Nouvel Obs - Manuel Valls, l'évidence
Comme souvent, ce n’est pas le président de la République qui choisit le nouveau Premier ministre. C’est la situation politique qui le lui impose.
Le Monde - Manuel Valls, un ambitieux à Matignon
Ce sera donc Manuel Valls. Après des semaines de spéculations, qui avaient vu la liste des prétendants crédibles pour Matignon se réduire à son nom et à celui de Jean-Marc Ayrault, après plusieurs jours d'un intense rapport de force entre les deux hommes et quelques heures qui ont vu, dans la foulée de la sévère défaite reçue aux municipales, ministres et conseillers friser la crise de nerfs, la nomination de M. Valls au poste de premier ministre a été confirmée, lundi 31 mars.
Les Echos - DIRECT François Hollande s'adressera aux Français ce soir à 20H
+ VIDEOS - La vague bleue des municipales accélère le calendrier du remaniement. Le président de la République s'adressera ce soir à 20H aux Français lors d'une allocution télévisée. Ce lundi matin, le président s'est longuement entretenu avec son Premier ministre et leur déjeuner a ensuite été annulé.
La Croix - Limoges, symbole de la déroute du PS aux municipales
Bastion historique du PS depuis un siècle, la préfecture de Haute-Vienne a été remportée dimanche 30 mars par Emile-Roger Lombertie (UMP). L’une des plus belles victoires de la droite.
Le Monde - Nuit de défaite pour le « socialisme municipal »
Ce sont de grosses larmes, lourdes et chaudes, qui, dimanche soir, ont coulé dans les mairies socialistes de France. Des larmes que, comme la maire défaite de Reims, Adeline Hazan – une femme qui pourtant « ne pleure pas facilement » – l'on a séchées à l'écart, mais pas tout le temps. A Palaiseau (Essonne), Roubaix, Tourcoing (Nord), Toulouse, et dans tant d'autres salles de conseil municipal en France, des milliers de militants épuisés, de personnels administratifs sonnés et bientôt désoeuvrés, mais aussi d'édiles sidérés ont inauguré leur soirée du 30 mars en sanglotant. Un gros chagrin. Les larmes du « socialisme municipal ».
Le Point - Municipales 2014 : changement de cap ou de méthode ? Les socialistes se divisent.
La fronde monte dans les rangs socialistes, où percent les clivages entre partisans d'un coup de barre à gauche et ceux qui dénoncent un "problème de méthode"
Libé - Municipales : "Ce vote est un rejet du pouvoir socialiste"
Pour le politologue Gérard Grunberg, la défaite du PS marque l'usure du socialisme municipal et peut entraîner une crise politique majeure. Interview.
Libé - «La confiance au gouvernement, cela se mérite»
INTERVIEW Des parlementaires PS se réunissent ce soir pour plancher sur une politique alternative. Parmi eux, le le député Christian Paul, sévère sur les deux premières années du quinquennat
Libé - François, remanie-toi d’abord !
Allez, c’est reparti comme en 14 ! Ayrault contre Valls, Valls contre Ayrault. Voilà une bonne guerre, façon naguère, pas vrai ? Avec Hollande en Dieu le père à la ligne Maginot enfoncée, ou plutôt en sous-Kaiser à casque sans pointe, qui va finir par décider qui il mettra dans la tranchée, qui en bandes molletières et qui en tenue bleu horizon.
Le Monde - L'avertissement de l'aile gauche du PS à Hollande
L'aile gauche du Parti socialiste n'a pas tardé à réagir. Dès les résultats du second tour des élections municipales connus, le courant socialiste « Maintenant la gauche » dirigé par le conseiller régional d'Ile-de-France Emmanuel Maurel, la sénatrice de Paris Marie-Noëlle Lienemann et le député de l'Essonne Jérôme Guedj, a envoyé un coup de semonce à François Hollande. Dans une « adresse » au chef de l'Etat rendue publique près après 20 heures et que s'est procurée Le Monde, ils remettent directement en cause la politique économique suivie depuis bientôt deux ans. « Le sursaut, c'est maintenant! », lancent-ils.
La Vie - "La déroute du PS était prévisible"
Laurent Bouvet est professeur de sciences-politiques à l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, auteur de Le sens du peuple (Gallimard, 2012). Il décrypte pour nous les résultats des municipales, alors que ceux du deuxième tour viennent de tomber.
31 mars
Les Echos - Majorité : des députés PS envisagent de ne pas voter la confiance au gouvernement
Des députés socialistes se réunissent demain pour réclamer à François Hollande un changement de politique après des municipales mauvaises pour la gauche. Certains menacent de ne pas voter la confiance au gouvernement, issu du remaniement.
Le Figaro - Après les municipales, la révolte gronde au Parti socialiste
Menace sur la majorité de François Hollande. Au lendemain de la défaite historique du PS lors des élections municipales, le chef de l'État se trouve confronté à une fronde au sein de son propre camp pour qu'il engage un changement de politique. Faute de quoi, plusieurs députés socialistes menacent de ne pas voter la confiance lorsque le nouveau gouvernement que compte mettre en place François Hollande se présentera devant l'Assemblée nationale. «Sans réorientation réelle de la politique de la gauche au pouvoir, notre vote de confiance au futur gouvernement n'est pas aujourd'hui acquis», a assuré dès dimanche soir la gauche populaire, mouvement du PS qui compte suffisamment de députés pour pouvoir sérieusement remettre en cause la cohésion de la majorité.
Le Nouvel Obs - Vers un remaniement gouvernemental dès ce lundi ?
A l'heure des résultats des municipales, la question d'un remaniement se pose. François Hollande pourrait être au journal de 20h de TF1 lundi.
Le Figaro - Municipales 2014 : Collomb réélu pour un troisième mandat à Lyon
Gérard Collomb va entamer son troisième mandat à Lyon. Élu pour la première fois en 2001, le sénateur maire PS de la capitale des Gaules, dont les listes ont obtenu 50,65 % des voix au second tour, a remporté dimanche soir six des neuf arrondissements de la ville (IIIe, IVe, Ve, VIIe, VIIIe et IXe), alors que son adversaire UMP, Michel Havard, dont les listes UMP-UDI ont recueilli 34,23 % des suffrages, n'a pas réussi à prendre un seul arrondissement à la gauche, ce qui était la condition sine qua non pour tenter de faire basculer la ville à droite.
Le Nouvel Obs - Municipales : le PS coulé par la vague bleue
VIDEOS. Les appels au sursaut d'entre-deux tours n'auront eu que très peu d'impact. Les basculements annoncés ont eu lieu, touchant jusqu'aux fiefs historiques de gauche.
Le Monde - Municipales : le PS en déroute conserve Paris
Pau, Reims, Saint-Etienne, Limoges, Ajaccio, Roubaix, Belfort basculent à droite. Le FN remporte la mairie à Béziers, Fréjus, Hayange, Beaucaire, Villers-Cotterêts, Le Luc, Le Pontet et Cogolin.
Le Nouvel Obs - Municipales : ce qu'il faut retenir du second tour
VIDEO. Déroute pour la gauche, percée du FN et abstention record : "Le Nouvel Observateur" tire les enseignements du scrutin.
Libé - Municipales : la déroute se confirme pour le PS
Une abstention toujours forte, de nouvelles mairies Front national, de grandes villes perdues par les socialistes : le second tour des élections municipales semble confirmer les tendances du premier.
Une abstention toujours forte, de nouvelles mairies Front national, de grandes villes perdues par le PS : le second tour des élections municipales semble confirmer les tendances du premier. Libération synthétise ici les principaux enseignements du scrutin, et les mettra à jour tout au long de la soirée.
Le Monde - Grenoble : les écolos arrachent la ville au PS
Eric Piolle, candidat EELV allié au Parti de gauche et à un collectif citoyen, a remporté la mairie, dimanche 30 mars, dans une quadrangulaire avec 40,8 % des voix.
Le Monde - Municipales 2014 : Najat Vallaud-Belkacem reconnaît « l'impatience » des Français
Najat Vallaud-Belkacem a reconnu dimanche sur TF1 la « dimension nationale » des résultats « décevants » de la majorité au second tour des municipales. « Nous entendons le message des électeurs ce soir, a déclaré la porte-parole du gouvernement. Il nous faut plus de clarté, renouer le dialogue sur un certain nombre de points de notre politique. »
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Remaniement : "Hollande a imposé ses choix à Valls" par LeNouvelObservateur
Remaniement : "Hollande a imposé ses choix à... par LeNouvelObservateur -
Annonce du nouveau gouvernement par Le Monde.fr
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En mettant Valls à Matignon, Hollande confirme sa rupture par rtl.fr
En mettant Valls à Matignon, Hollande confirme... par rtl-fr -
Valls face aux défis de Matignon par France Info
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Bruno Le Roux : "Manuel Valls est porteur d'un nouvel élan" par rtl.fr
Bruno Le Roux : "Manuel Valls est porteur d'un... par rtl-fr -
Montebourg : "Je soutiens Manuel Valls"