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hollande - Page 11

  • L'actualité des socialistes du 30 décembre au 5 janvier

    PAUVRETE

    Observatoire des inégalités - Qui sont les pauvres en France ?

    24 décembre 2016 - La moitié des pauvres ont moins de trente ans, autant disposent au maximum du brevet des collèges, plus d’un quart vivent au sein d’une famille monoparentale. Portrait de la pauvreté en France.

    Plutôt jeune, vivant en famille, peu diplômé, ouvrier ou employé : voici le portrait robot d’une personne pauvre. Le plus souvent, on mesure la proportion de pauvres au sein d’une catégorie déterminée (les jeunes ou les vieux, les ouvriers ou les cadres, les hommes ou les femmes, etc.). Jamais ou presque on n’observe comment se compose la population des cinq millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté [1]. Quelle est la part des jeunes, de vieux, de diplômés ? Masquer cette répartition évite aussi d’attribuer un âge, un diplôme ou un milieu social à la pauvreté. On dispose pourtant d’éléments sur le sujet.

    PIKETTY

    Blog Le Monde - De la productivité en France et en Allemagne

    En ce début d’année 2017, alors que vont se dérouler les élections françaises au printemps puis allemandes à l’automne, il n’est pas inutile de revenir sur l’un des sujets de fond qui mine le débat européen, à savoir la supposée asymétrie économique entre une Allemagne réputée prospère et une France décrite comme déclinante. Je dis « supposée » car comme nous allons le voir la productivité des économies allemandes et françaises – telle que mesurée par le PIB par heure travaillée, qui est de loin l’indicateur le plus pertinent de performance économique – se situe à des niveaux quasi-identiques. Et de surcroît au plus haut niveau mondial, ce qui montre au passage que le modèle social européen a de beaux jours devant lui, quoi qu’en pensent les Brexiters et les Trumpistes de tous poils. Cela me permettra également de revenir sur plusieurs des thèmes abordés sur ce blog au cours de l’année 2016 (en particulier sur la longue récession européenne et la reconstruction de l’Europe) ainsi que dans ma chronique « Revenu de base ou salaire juste? » du mois dernier.

    GARANTIE JEUNES

    La Vie des idées - Le laboratoire des politiques publiques, Réflexions sur la Garantie jeunes

    Les politiques publiques ne semblent plus pouvoir se passer de l’expérimentation sociale pour prouver leur efficacité. L’exemple de la Garantie jeunes, analysé par le sociologue Jules Simha, révèle pourtant un usage détourné de cette procédure et dément l’idée d’une rationalisation de l’action publique.

    PATRIK VIVERET

    Libé - La fragilité des puissants, Par Patrick Viveret, philosophe

    Les renoncements et les faiblesses loin d’être extérieures à la politique sont au contraire les clés d’un nouveau réalisme.

    En relisant le beau livre de Marie de Hennezel Croire aux forces de l’esprit (1) sur la dimension spirituelle méconnue de François Mitterrand, j’ai été frappé d’une autre face méconnue des puissants : leur fragilité. Ainsi, cet homme que l’on disait cynique, florentin, était aussi tourmenté et passionné par son rapport à l’Invisible. Et le même, comme le montre sa correspondance amoureuse avec Anne Pingeot (2), pouvait laisser percer derrière le séducteur donjuanesque un amoureux craignant par-dessus tout de perdre l’amour de sa belle.

    ALAIN DUHAMEL

    Libé - Les surprises de la présidentielle

    Il n’y a pas, il n’y a jamais eu d’élection présidentielle sans son lot de surprises. Depuis que les Français élisent leur chef de l’Etat au suffrage universel direct, rien ne s’est jamais passé comme prévu. La marque de la souveraineté populaire consiste même à prendre régulièrement à contre-pied experts et augures, pythies et haruspices, éditorialistes inclus, cela va de soi.

    GAEL BRUSTIER

    Le Figaro - Gaël Brustier : 2017, année de la gauche post-marxiste

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Gaël Brustier dresse le bilan de l'année politique à gauche pour FigaroVox et dessine les perspective pour 2017. Selon lui, la crise actuelle de la social-démocratie européenne doit permettre à la gauche de se réinventer.

    Gaël Brustier est docteur en sciences politiques. Il est notamment l'auteur de Le Mai 68 conservateur - Que restera-t-il de la Manif pour tous? (éditions du Cerf, 2014). Son dernier livre #Nuit Debout. Que penser? vient de paraître aux éditions du Cerf.

    REVENU UNIVERSEL

    T.Piketty, Blog Le Monde - Revenu de base ou salaire juste?

    Le débat sur le revenu de base a au moins un mérite : celui de rappeler qu’il existe un certain consensus en France sur le fait que chacun doit disposer d’un revenu minimum. Les désaccords existent sur le montant : 530 euros par mois actuellement pour le RSA accordé aux personnes seules sans enfant, somme que certains trouvent suffisante, et que d’autres voudraient porter à 800 euros.

    Libé - Revenu universel : ce qu'en pensent les candidats à la primaire

    D’utopie, il est devenu l’un des sujets principaux de la primaire à gauche. Le revenu universel, somme versée à tous les citoyens, sans condition de travail ou d’âge, fait débat. Et chacun des candidats, qu’il y soit favorable ou non, n’en a pas la même définition.

    Le Point - Primaire de la gauche : Peillon et Montebourg attaquent Hamon sur le revenu universel

    Christian Paul, soutien d'Arnaud Montebourg, et Patrick Bloche, directeur de campagne de Vincent Peillon, s'opposent au revenu universel défendu par Benoît Hamon.

    Le revenu universel va-t-il cristalliser le débat entre les candidats de la primaire de la gauche organisée par le Parti socialiste (22-29 janvier) ? Entre Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, les deux candidats les plus à gauche, la mesure est devenue un symbole de leurs divergences.

    PRIMAIRE

    Marianne - Primaire à gauche : le PS vise moins de deux millions de votants

    Discrètement, le patron du Parti socialiste revoit ses ambitions à la baisse au fur et à mesure que le premier tour de la primaire à gauche approche. Ce jeudi, Jean-Christophe Cambadélis est passé sous la barre des deux millions d'électeurs espérés.

    France Info - Primaire de la gauche : Valls fait la course en tête, Montebourg et Hamon au coude-à-coude, selon un sondage Harris Interactive pour France Télévisions

    L'ancien Premier ministre recueille 45% des intentions de vote au premier tour, et l'emporterait nettement au second, face à Arnaud Montebourg ou Benoît Hamon.

    "Je ne suis pas favori, je suis outsider", assurait Manuel Valls avant les vacances de Noël. Les enquêtes d'opinion semblent pourtant bel et bien indiquer le contraire. A deux semaines et demi du premier tour de la primaire de la gauche, l'ancien Premier ministre se classe en tête des intentions de vote, au premier comme au second tour, selon un sondage Harris Interactive pour France Télévisions publié jeudi 5 janvier.

    La Tribune - Docteur Hamon, Mister Montebourg (et vice versa) : comment différencier les programmes?

    A trois semaines du premier tour de la primaire de la gauche, les candidats peaufinent stratégie et programme. Mardi, Arnaud Montebourg a mis en ligne ses propositions. Sur la question du régime politique, de l'Europe, de la loi Travail et de l'écologie (entre autres), l'ancien ministre de l'Economie est proche des positions d'un autre ancien camarade au gouvernement, Benoît Hamon. Un constat qui renforce les questions autour de la pertinence de deux candidatures issues de la gauche du parti.

    VALLS

    Le Monde, Les décodeurs - 49.3, sécurité, déchéance : les affirmations de Manuel Valls décryptées

    Le candidat à la primaire de la gauche était l’invité de « L’Emission politique » sur France 2, jeudi. Retour sur certaines de ses déclarations.

    Revirements sur le 49.3 et la politique économique, déchéance de nationalité, sécurité… Manuel Valls était, jeudi 5 janvier, l’invité de « L’Emission politique », sur France 2. L’ancien premier ministre, qui a quitté Matignon en décembre pour être candidat à la primaire de la gauche, y a défendu son action au gouvernement depuis 2012 et ses propositions. Au prix, parfois, d’affirmations discutables. Décryptages.
     

    L’ancien premier ministre était l’invité jeudi soir de France 2, à moins de trois semaines du premier tour de la primaire à gauche en vue de la présidentielle.

    Manuel Valls était l’invité de « L’Emission politique » sur France 2, jeudi 5 janvier. Candidat à la présidentielle, l’ancien premier ministre a affirmé qu’« [il ne se retirerait] pas de la vie politique » en cas de défaite lors de la primaire à gauche qui l’opposera à six autres candidats les 22 et 29 janvier. Assumant le bilan du quinquennat de François Hollande, M. Valls a eu l’occasion de rappeler ses positions.

    Le Figaro - Valls attaque la «purge» de Fillon, qui «ouvre les vannes pour l'extrême droite»

    L'ancien premier ministre, actuel candidat à la primaire de la gauche, estime que «cette élection présidentielle est peut-être la plus importante depuis des années. Même plus importante que celle de 1981».

    En lice pour devenir le candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle, Manuel Valls ne veut pas attendre le résultat de la primaire pour se placer comme le premier opposant à François Fillon. Mercredi sur RTL, l'ancien premier ministre a fermement visé le candidat de la droite.

    MONTEBOURG

    Le Monde - Primaire à gauche : Montebourg joue la carte d’un programme économique chiffré

    L’ancien ministre de l’industrie vise un taux de chômage à 6,1 % en 2022, un déficit public à 2,5 % du produit intérieur brut et une dette du pays à 91,2 % du PIB.

    Son programme était en ligne dès la fin du mois de décembre, mais Arnaud Montebourg ne voulait pas laisser deux de ses adversaires à la primaire de la gauche, Manuel Valls et Vincent Peillon, prendre seuls la lumière médiatique en présentant leur projet, mardi 3 janvier. Alors l’ancien ministre du redressement productif a convoqué la presse dès le lendemain pour détailler ses propositions sur le plan économique.
     

    L’ex-ministre revendique une politique de relance keynésienne en augmentant les dépenses publiques.

    On pourrait appeler cela « le pari de Montebourg ». L’ancien ministre du redressement productif est persuadé que la primaire à gauche mais aussi l’élection présidentielle se joueront sur l’économie et l’emploi, et non sur les questions de sécurité ou d’identité. Une position qui le distingue de Manuel Valls, plus en pointe sur les sujets régaliens, ou de Benoît Hamon, dont le programme est davantage axé sur les questions de société.
     
     
    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Prendre le pouvoir pour redresser la France. L'ancien ministre de l'Economie Arnaud Montebourg, en ballotage favorable dans les sondages de la Primaire de la gauche face à François Hollande et Benoît Hamon, veut tout changer. Démocratie, Economie, Europe... tout y passe, ou presque. Revue de détails de ce que serait la France gouvernée par l'homme de Saône-et-Loire.

    Les Inrocks - Pour ne pas mettre la honte à Montebourg, Guy Bedos accepte finalement de présider son comité de soutien

    “Je veux pas mais finalement je veux bien pour éviter que tu te tapes la honte.” Voilà, grosso-modo le résumé de l’histoire de la présidence du comité de soutien d’Arnaud Montebourg, qu’aurait dû présider Guy Bedos. Après avoir refusé, il a précisé à RTL cet après-midi, qu’il accepte finalement car il “ne veut pas gêner” Arnaud Montebourg car il “l’aime beaucoup”.

    HAMON

    Libé - Benoît Hamon: «Le revenu universel est une invitation à s’épanouir»

    Face à la rédaction de «Libération» et à ses «agitateurs», le candidat PS à la primaire explicite ses propositions sur le rapport au travail, le cannabis, la crise migratoire, l’Europe ou encore un nouveau modèle de développemen

    Le JDD - Les cinq raisons qui expliquent la progression de Benoît Hamon

    Benoît Hamon fait un bond de 11 points dans le dernier sondage publié jeudi et talonne Arnaud Montebourg. L'ancien ministre de l'Education compte bien progresser encore, se rêvant en outsider qui finit premier, comme François Fillon avant lui. Comment a-t-il opéré sa remontée? Eléments de réponse.

    Le 8 décembre dernier, Benoit Hamon remplace, au pied levé, Manuel Valls et François Hollande, qui ont tous deux décliné l'invitation de France 2 pour participer à L'Emission politique. L'ancien ministre de l'Education nationale est prévenu seulement 72 heures avant. Il s'enferme, bûche, prépare des notes. Le résultat, en terme d'audience, est décevant – 1,7 million de personnes seulement derrière leurs écrans ce soir-là – mais sur les réseaux sociaux, la prestation est loin de passer inaperçue. Cité par Les Inrocks, un journaliste de l'émission confirme : "Nous n'avons jamais eu autant de messages positifs sur les réseaux sociaux."

    Le Figaro - Primaire à gauche : Hamon accuse ses adversaires de piocher dans son projet

    Benoît Hamon a le sourire. «Je la sens bien, cette campagne. Il va se passer quelque chose.» Mardi soir, le candidat a réuni une cinquantaine de ses soutiens à son QG, à Paris, pour mobiliser les troupes à trois semaines du premier tour de la primaire. Alors que Manuel Valls et Vincent Peillon ont présenté leur programme quelques heures plus tôt, le député des Yvelines n'entend pas leur laisser le champ libre

    La Croix - Benoît Hamon : « Pour la jeunesse, on est resté au milieu du gué »

    Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche et ancien ministre de l’éducation était jeudi 29 décembre l’invité de l’émission « Face aux chrétiens », animée par Dominique Gerbaud et coproduite par Radio Notre-Dame.

    Il répondait aux questions de Sophie Nouaille (Radio Notre-Dame), Romain Mazenod (RCF) et Alban de Montigny (La Croix).

    MACRON

    Les Echos - Présidentielle 2017 : Macron se rapproche d’une qualification au second tour

    Selon un sondage Elabe pour « Les Echos », le candidat d’En Marche se hisserait au second tour de la présidentielle en cas de succès d’Arnaud Montebourg à la primaire du PS et d’absence de François Bayrou.
     
    ..... Après une fin d'année tonitruante qui l'a vu rassembler 15.000 personnes porte de Versailles à Paris, l'année commence donc bien pour le candidat Macron. C'est la première fois qu'une enquête d'opinion le donne au second tour, le mettant en situation de l'emporter.
     
    PEILLON

    Atlantico - Vincent Peillon : "Le travail que j'ai d'abord à faire au sein du Parti socialiste, c'est de rassembler"

    Après avoir dévoilé les grandes lignes de son programme, l'ancien ministre de l'Éducation était l'invité de "L'Entretien politique", mardi soir sur France 2.

    FILOCHE

    20 minutes - Gérard Filoche: «Je verrai qui de Montebourg ou de Hamon peut le mieux relayer mes idées»

    PRIMAIRE SOCIALISTE Malgré un recours en justice, Gérard Filoche ne participera pas à la primaire PS, lors de laquelle il soutiendra Arnaud Montebourg ou Benoît Hamon…

    PS

    Huffington Post - En 2016, le Parti socialiste a souffert, en 2017, il peut disparaître

    Profondément divisé, écartelé entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron, le PS doit à tout prix réussir sa primaire pour ne pas imploser.

    De mémoire socialiste, le danger n'a jamais été aussi palpable. Après une année 2016 cataclysmique, celle qui s'annonce peut se révéler fatale pour le PS qui sort éreinté d'un quinquennat horribilis.

    Après les déroutes européennes, sénatoriales, municipales, cantonales et régionales de 2014 et 2015, 2016, année sans rendez-vous électoral majeur, se voulait une année de reconstruction avant l'échéance présidentielle. "L'année du dépassement" du PS, selon les propres mots de son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis. Il y a un an, ce dernier faisait miroiter une "primaire de la refondation, ouverte sans exclusive, d'Emmanuel Macron à Jean-Luc Mélenchon" pour sauver les meubles en 2017.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    BMFMTV - Le Grand Oral de Gilles Keppel, spécialiste du monde arabe, le 26 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PËILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PËILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PËILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • L'actualité des socialistes du 9 au 15 décembre

    A LA UNE

    Le Parisien - Débat : le Parti socialiste est-il fini ?

    Le quinquennat de François Hollande sonnera-t-il le glas du Parti socialiste ? Un président sortant décrédibilisé qui renonce à se représenter, des législatives qui se profilent comme la chronique d'une déroute annoncée... Et, surtout, une ligne idéologique tellement distendue que la primaire, qui s'ouvre le 17 décembre, n'aura jamais été aussi riche ou encombrée (selon les points de vue) de projets et d'ambitions en marche. Du social-libéralisme de Manuel Valls au patriotisme économique d'Arnaud Montebourg, en passant par l'encore indéfinissable Vincent Peillon... sans compter ceux qui, aux deux extrêmes du spectre à gauche, briguent l'Elysée en sautant la case primaire, comme Jean-Luc Mélenchon ou Emmanuel Macron. Quelle famille ! A n'en pas douter, le Parti socialiste de Mitterrand et de Jospin, pôle fédérateur de toutes les gauches, a vécu. Peut-il donner naissance à un autre PS ?

    INEGALITES

    L'Observatoire des inégalités - Les inégalités de niveau de vie continuent à augmenter

    15 décembre 2016 - Depuis une vingtaine d’années, les inégalités de revenus augmentent. Un changement profond.

    Si l’on prend comme point de comparaison le début des années 1970, les inégalités de revenus ont baissé. Depuis une vingtaine d’années, changement de cap : les inégalités repartent à la hausse. D’abord, les niveaux de vie des très riches se sont envolés. Depuis une dizaine d’années, ceux des plus pauvres diminuent. Le jugement que l’on peut porter sur les inégalités de revenus dépend de l’échelle de temps et de l’instrument de mesure que l’on utilise.

    PRIMAIRE

    Le Monde - Sept candidats retenus pour la primaire de la gauche par la haute autorité

    La candidature du militant socialiste Gérard Filoche et celle du conseiller municipal de Châteaudun (Eure-et-Loir) Fabien Verdier n’ont pas été validées par la haute autorité.

    Sept candidats, quatre socialistes et trois membres d’autres partis, ont été définitivement retenus pour la primaire de la gauche, a annoncé samedi 17 décembre la haute autorité de la « primaire citoyenne », lançant officiellement le début de la campagne. Il s’agit des socialistes Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls. La seule femme en lice, Sylvia Pinel (Parti radical de gauche), Jean-Luc Bennahmias (Front démocrate) et François de Rugy (Parti écologiste) participeront eux aussi à cette primaire qui se tiendra les 22 et 29 janvier.

    Le Monde - Primaire à gauche : qui sont les neuf candidats déclarés ?

    Ils sont neuf, dont une femme, à avoir déposé, jeudi, les parrainages nécessaires pour participer au scrutin organisé par le Parti socialiste les 22 et 29 janvier 2017.

    Ils sont donc neuf, dont une seule femme, sur la ligne de départ pour la primaire à gauche organisée par le Parti socialiste (PS) les 22 et 29 janvier 2017. Les prétendants socialistes avaient jusqu’à jeudi 15 décembre, 18 heures, pour déposer les parrainages nécessaires.

    20 minutes - Le PS parviendra-t-il à diviser le coût de la primaire par deux?

    FINANCEMENT Le PS mise sur un coût global de 3,5 millions d'euros pour la primaire, une opération qui avait coûté 6 millions d'euros en 2011...

    Diviser le coût de la primaire par deux. C’est apparemment l’objectif affiché par le Parti socialiste. Christophe Borgel, le président du Comité d’organisation des primaires, a estimé mercredi que le coût de ce scrutin serait de 3,5 millions d’euros, bien moins que les 6 millions consacrés à la première opération en 2011. Mais comment comptent-ils faire pour réduire les coûts de près de moitié ?

    L'Obs - Le suicide des baleines du PS

    EDITO. Le renoncement de François Hollande a provoqué une forme de "burn out", comme un trou noir, chez les éléphants socialistes. Leurs divisions, dignes des Atrides, les conduisent tout droit dans le gouffre.

    Le Point - Présidentielle : les désespérés du PS

    VIDÉO. Des députés socialistes ne croient ni au rassemblement post-primaire ni à une victoire en mai. Un marasme où le seul espoir... s'appelle Macron !

    Huffington Post - Vincent Peillon candidat: la primaire de la gauche éparpillée façon puzzle

    Avec la candidature de l'ancien ministre, quatre candidats se disputent le leadership de deux camps antagonistes au Parti socialiste....

    Avec la candidature de Vincent Peillon, confirmée ce dimanche 11 décembre sur le plateau de France2, pas moins de quatre anciens ministres de François Hollande se disputent désormais l'investiture à la prochaine élection présidentielle. Outre l'ancien titulaire à l'Education, grand promoteur de la réforme des rythmes scolaires, sont également en lice son éphémère successeur Benoît Hamon,

    Le Figaro - Primaire PS: 3 débats prévus avant le 1er tour

    La Parti socialiste a précisé aujourd'hui les modalités d'organisation de sa primaire pour l'élection présidentielle de 2017, à deux jours de la clôture des candidatures pour ce scrutin interne prévu les 22 et 29 janvier. Environ 7400 bureaux de vote, sur les 8000 prévus au final, étaient validés, selon les informations données lors d'une réunion du Comité national d'organisation de la primaire (Cnop) organisée ce soir au siège du parti, à Paris

    CAZENEUVE

    Libé - Oui, les frondeurs PS votent Bernard Cazeneuve

    .... Pour les deux mois de débats qui restent à l’Assemblée nationale, ces parlementaires ont donc choisi, ce mardi, d’enterrer la hache de guerre parlementaire qui a usé la majorité jusqu’à contraindre l’exécutif à utiliser le 49.3 sur la loi travail. Preuve supplémentaire de ce «changement de période», comme le qualifie l’un de leurs chefs de file, le député de la Nièvre Christian Paul : ils ont accompagné leurs camarades dans la standing ovation qui a suivi son discours de quarante-cinq minutes. Tous les socialistes debout dans l’hémicycle : une première depuis bien longtemps.

    HOLLANDE

    L'Obs - François Hollande renonce : 4 économistes liquident son bilan

    Chômage, impôts, croissance... Thomas Piketty, Philippe Aghion, Thomas Porcher et Daniel Cohen dressent le bilan du quinquennat de François Hollande. C'est sévère.

    Au lendemain du renoncement de François Hollande à se représenter à l'élection présidentielle, "l'Obs" a interrogé les économistes Philippe Aghion et Thomas Porcher sur le bilan économique du quinquennat. Verdict : "un échec", "il a raté l'occasion de réformer le pays". Nous republions également des extraits des entretiens avec Thomas Piketty et Daniel Cohen, déjà parus dans "l'Obs", dans lesquels eux aussi jugeaient sévèrement l'action du président.

    SONDAGE

    Paris Match - Baromètre Ifop : Cazeneuve en tête, Fillon s'effrite

    Le nouveau Premier ministre Bernard Cazeneuve détrône Alain Juppé dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio. Derrière, les cartes sont redistribuées. Arnaud Montebourg monte sur le podium devant Emmanuel Macron tandis que François Fillon recule de 6 points. 

    OLIVIER FAURE

    Libé - Cinq choses à savoir sur Olivier Faure, nouveau patron des députés PS

    Olivier Faure, 48 ans, député de Seine-et-Marne, a été élu mardi à la tête du groupe socialiste, écologiste et républicain à l’Assemblée. Il succède à Bruno Le Roux, nommé au ministère de l’Intérieur. Portrait en cinq points.

    MONTEBOURG

    L'Express - Montebourg propose une "relance keynésienne de nature écologique"

    Arnaud Montebourg a proposé jeudi une "relance keynésienne de nature écologique", estimant que la transition écologique était porteuse d'"activité vertueuse" donc de croissance, et a fait de la lutte contre le carbone une priorité sur la sortie du nucléaire qu'il a décrite comme "une décroissance naturelle de long terme".

    Le Monde - Arnaud Montebourg conteste « formellement » devoir 80 000 euros au PS

    D’après deux sites d’information, le candidat à la primaire de la gauche aurait une dette envers le Parti socialiste, à qui il n’aurait pas versé les cotisations dues quand il était député entre 2007 et 2012.

    Libé - La primaire du Hollande bashing (1/5) : Montebourg et le pouvoir d'achat

    La candidat socialiste impute à la politique de François Hollande une baisse de 1 650 euros du pouvoir d'achat des Français. Un peu vite.

    Haro sur le quinquennat Hollande. Sans surprise, la primaire de la gauche a tendance à virer en jeu de massacre à l’évocation de la politique menée depuis cinq ans. C’est un exercice qui se prête rarement à la nuance. Pendant une semaine, Désintox vient corriger les affirmations un peu trop sévères et les tableaux un peu trop noirs. Premier épisode avec Arnaud Montebourg et le pouvoir d’achat des ménages

    HAMON

    La Croix - Benoît Hamon, l’anti-homme providentiel

    Candidat à la primaire organisée par le parti socialiste, le député des Yvelines a tenu son premier grand meeting, mercredi 14 novembre au soir à Paris.

    Dans un discours fleuve, il a balayé les différents thèmes de son programme tout en attaquant à plusieurs reprises l’action de l’exécutif.

    L'Obs - Ce que contient le programme (vert fluo) de Benoît Hamon

    Il récuse "l'option sociale-libérale, sociale-démocrate, présentée par Manuel Valls et Vincent Peillon". Il reconnaît "incontestablement des valeurs communes" avec Arnaud Montebourg, mais se veut "moins productiviste, moins souverainiste, plus européen, attaché à un modèle de développement plus tempérant" que son ancien collègue du gouvernement. Benoît Hamon, député socialiste des Yvelines, est l'un des

    Les Inrocks - Benoît Hamon ou l’homme qui commençait à y croire

    Une semaine après sa prestation remarquée dans “L’Emission politique” sur France 2, l’outsider à la primaire de gauche Benoît Hamon tenait hier soir son premier grand meeting de campagne à Paris. Un rassemblement où le député des Yvelines a voulu affirmer sa stature de présidentiable et se faire le porte-parole d’une gauche résolument décomplexée.

    Huffington Post - Comment Benoît Hamon espère vous surprendre

    Donné loin derrière les favoris, le candidat à la primaire de la gauche cultive ses réseaux et une candidature atypique en phase avec l'époque.

    Il n'est pas aussi connu que Valls, moins central que Peillon, son créneau est parasité par Montebourg, les petits candidats refusent de le rallier, les sondages le donnent loin derrière. Et pourtant... A quarante jours du premier tour, Benoît Hamon sent qu'il a les cartes en main pour renverser la table de la primaire de la gauche.

    FILOCHE

    L'Obs - Filoche, le troll de la primaire : "Les dirigeants du PS ne veulent pas de moi"

    Une primaire "open bar". C’était la grande crainte des dirigeants socialistes. Devant le trop-plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a sifflé la fin de la récréation, le 8 décembre dernier. Exit les Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), Sébastien Nadot (Mouvement des progressistes) et Bastien Faudot (Mouvement républicain et citoyen).

    Libé - La primaire du Hollande bashing (2/5) : le CICE n'a pas profité qu'au grand patronat

    Haro sur le quinquennat Hollande. Sans surprise, la primaire de la gauche a tendance à virer en jeu de massacre à l’évocation de la politique menée depuis cinq ans. C’est un exercice qui se prête rarement à la nuance. Pendant une semaine, Désintox vient corriger les affirmations un peu trop sévères et les tableaux un peu trop noirs. Deuxième épisode avec Gérard Filoche et le CICE.

    PEILLON

    Slate - Vincent Peillon est le seul personnage intéressant de la primaire socialiste

    De tous les personnages du theâtre socialiste, Vincent Peillon est le seul susceptible de nous faire réfléchir. L’agacement que lui inspire le jeu politique ne doit pas le masquer: cela fait partie de l’attrait de cet homme qu’une colère habite, dont on ne sait si elle est dirigée contre la médiocrité du temps, ou contre la part qu’il prend à cette médiocrité. Il a lâché un mot, hier soir sur France 2, «éthique», dans une interview qui lui déplaisait par ailleurs, où il n’était guère; il ne prise plus la lumière, ni la gymnastique soyeuse des plateaux. Il s’était retiré de ce monde sans regret et ses yeux clignaient: il faisait violence à son corps d’en être à nouveau. Il a dit «éthique», donc, il sera «le candidat de l’éthique politique», et le mot est piégeux, qui fait aussitôt sourire. Le sourire et la moquerie sont la plaie de ce monde, pour ceux qui prennent les mots au sérieux.

    Le Figaro - Vincent Peillon a réglé ses dettes auprès du PS

    Contactée par Le Figaro, l'équipe de campagne du candidat confirme l'information de BFMTV selon laquelle il a bien remboursé ses arriérés ce mercredi. On refuse toutefois d'en préciser le montant exact. «L'affaire est close, c'est fini. Tout est calé, il n'y a pas de sujet», balaie-t-on, avant de regretter que «certains jouent un mauvais jeu». «Nous nous sommes là pour faire gagner la gauche, pas pour nous faire perdre entre nous. Mais cela prouve que notre candidature fait peur...», sourit-on.

    ECONOMIE

    AlterEco - Sur le toboggan néo-libéral, Michel Husson

    Il y a un mois, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne recommandait « une orientation budgétaire positive pour soutenir la reprise » (voir le commentaire de Gilles Raveaud). Dans ses dernières Perspectives économiques, l’OCDE vient de lui emboîter le pas en suggérant de « lancer des initiatives budgétaires efficaces » pour « sortir du piège de la croissance molle ». Ces prises de position révèlent une inquiétude croissante, voire un véritable effroi. En témoigne aussi une tribune récente, passée inaperçue, mais qui est proprement hallucinante.

    AlterEco - Faut-il supprimer l’ISF ?, Guillaume Duval

    A droite, tous les candidats à la primaire entendaient réduire la fiscalité dans quasiment tous les domaines. Mais un impôt concentre particulièrement leurs critiques : l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Pour l’opposition, il ne s’agit pas de le réduire, mais de le supprimer purement et simplement. Un mauvais procès.

    Remplacer des cotisations salariales par la CSG, erreur ou projet caché  - Par Henri Sterdyniak

    Monsieur Emmanuel Macron propose de remplacer les cotisations salariales maladie et chômage par des points de CSG. Actuellement, un salarié du privé paye 2,4 points de cotisations chômage et 0,75 point de cotisation maladie. Ces cotisations seraient remplacées par 1,75 point de CSG, de sorte que les salariés gagneraient 1,4 % de salaire de plus, tandis que les retraités, les chômeurs (sauf les allocataires les plus pauvres dispensés de CSG) et les bénéficiaires de revenus du capital perdraient 1,75% de  pouvoir d’achat.

    OFCE - Renouveler le mix : réaliser la transition énergétique, enfin !

    Le quinquennat qui s’achève aura été marqué par le succès de la COP21, qui a conduit à la signature en décembre 2015 de l’Accord de Paris visant à limiter la hausse des températures mondiales à 2°C d’ici la fin du siècle. Pourtant, les questions climatiques et de politique énergétique ne semblent pas figurer parmi les priorités du débat présidentiel qui s’ouvre.

    Cette question mériterait pourtant d’être traitée en profondeur tant les décisions nécessaires engagent la France à long terme.  Afin d’atteindre les objectifs que la France s’est fixée dans la loi relative à la Transition Energétique et pour la Croissance Verte (LTECV), il est nécessaire d’engager au plus vite les transformations nécessaires de notre mix énergétique, et d’en améliorer l’efficacité afin de modérer la demande des principaux secteurs consommateurs d’énergie, résidentiel, tertiaire, des transports et de l’industrie.

  • L'actualité des socialistes du 9 au 15 décembre

    A LA UNE

    Le Parisien - Débat : le Parti socialiste est-il fini ?

    Le quinquennat de François Hollande sonnera-t-il le glas du Parti socialiste ? Un président sortant décrédibilisé qui renonce à se représenter, des législatives qui se profilent comme la chronique d'une déroute annoncée... Et, surtout, une ligne idéologique tellement distendue que la primaire, qui s'ouvre le 17 décembre, n'aura jamais été aussi riche ou encombrée (selon les points de vue) de projets et d'ambitions en marche. Du social-libéralisme de Manuel Valls au patriotisme économique d'Arnaud Montebourg, en passant par l'encore indéfinissable Vincent Peillon... sans compter ceux qui, aux deux extrêmes du spectre à gauche, briguent l'Elysée en sautant la case primaire, comme Jean-Luc Mélenchon ou Emmanuel Macron. Quelle famille ! A n'en pas douter, le Parti socialiste de Mitterrand et de Jospin, pôle fédérateur de toutes les gauches, a vécu. Peut-il donner naissance à un autre PS ?

    INEGALITES

    L'Observatoire des inégalités - Les inégalités de niveau de vie continuent à augmenter

    15 décembre 2016 - Depuis une vingtaine d’années, les inégalités de revenus augmentent. Un changement profond.

    Si l’on prend comme point de comparaison le début des années 1970, les inégalités de revenus ont baissé. Depuis une vingtaine d’années, changement de cap : les inégalités repartent à la hausse. D’abord, les niveaux de vie des très riches se sont envolés. Depuis une dizaine d’années, ceux des plus pauvres diminuent. Le jugement que l’on peut porter sur les inégalités de revenus dépend de l’échelle de temps et de l’instrument de mesure que l’on utilise.

    PRIMAIRE

    Le Monde - Sept candidats retenus pour la primaire de la gauche par la haute autorité

    La candidature du militant socialiste Gérard Filoche et celle du conseiller municipal de Châteaudun (Eure-et-Loir) Fabien Verdier n’ont pas été validées par la haute autorité.

    Sept candidats, quatre socialistes et trois membres d’autres partis, ont été définitivement retenus pour la primaire de la gauche, a annoncé samedi 17 décembre la haute autorité de la « primaire citoyenne », lançant officiellement le début de la campagne. Il s’agit des socialistes Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls. La seule femme en lice, Sylvia Pinel (Parti radical de gauche), Jean-Luc Bennahmias (Front démocrate) et François de Rugy (Parti écologiste) participeront eux aussi à cette primaire qui se tiendra les 22 et 29 janvier.

    Le Monde - Primaire à gauche : qui sont les neuf candidats déclarés ?

    Ils sont neuf, dont une femme, à avoir déposé, jeudi, les parrainages nécessaires pour participer au scrutin organisé par le Parti socialiste les 22 et 29 janvier 2017.

    Ils sont donc neuf, dont une seule femme, sur la ligne de départ pour la primaire à gauche organisée par le Parti socialiste (PS) les 22 et 29 janvier 2017. Les prétendants socialistes avaient jusqu’à jeudi 15 décembre, 18 heures, pour déposer les parrainages nécessaires.

    20 minutes - Le PS parviendra-t-il à diviser le coût de la primaire par deux?

    FINANCEMENT Le PS mise sur un coût global de 3,5 millions d'euros pour la primaire, une opération qui avait coûté 6 millions d'euros en 2011...

    Diviser le coût de la primaire par deux. C’est apparemment l’objectif affiché par le Parti socialiste. Christophe Borgel, le président du Comité d’organisation des primaires, a estimé mercredi que le coût de ce scrutin serait de 3,5 millions d’euros, bien moins que les 6 millions consacrés à la première opération en 2011. Mais comment comptent-ils faire pour réduire les coûts de près de moitié ?

    L'Obs - Le suicide des baleines du PS

    EDITO. Le renoncement de François Hollande a provoqué une forme de "burn out", comme un trou noir, chez les éléphants socialistes. Leurs divisions, dignes des Atrides, les conduisent tout droit dans le gouffre.

    Le Point - Présidentielle : les désespérés du PS

    VIDÉO. Des députés socialistes ne croient ni au rassemblement post-primaire ni à une victoire en mai. Un marasme où le seul espoir... s'appelle Macron !

    Huffington Post - Vincent Peillon candidat: la primaire de la gauche éparpillée façon puzzle

    Avec la candidature de l'ancien ministre, quatre candidats se disputent le leadership de deux camps antagonistes au Parti socialiste....

    Avec la candidature de Vincent Peillon, confirmée ce dimanche 11 décembre sur le plateau de France2, pas moins de quatre anciens ministres de François Hollande se disputent désormais l'investiture à la prochaine élection présidentielle. Outre l'ancien titulaire à l'Education, grand promoteur de la réforme des rythmes scolaires, sont également en lice son éphémère successeur Benoît Hamon,

    Le Figaro - Primaire PS: 3 débats prévus avant le 1er tour

    La Parti socialiste a précisé aujourd'hui les modalités d'organisation de sa primaire pour l'élection présidentielle de 2017, à deux jours de la clôture des candidatures pour ce scrutin interne prévu les 22 et 29 janvier. Environ 7400 bureaux de vote, sur les 8000 prévus au final, étaient validés, selon les informations données lors d'une réunion du Comité national d'organisation de la primaire (Cnop) organisée ce soir au siège du parti, à Paris

    CAZENEUVE

    Libé - Oui, les frondeurs PS votent Bernard Cazeneuve

    .... Pour les deux mois de débats qui restent à l’Assemblée nationale, ces parlementaires ont donc choisi, ce mardi, d’enterrer la hache de guerre parlementaire qui a usé la majorité jusqu’à contraindre l’exécutif à utiliser le 49.3 sur la loi travail. Preuve supplémentaire de ce «changement de période», comme le qualifie l’un de leurs chefs de file, le député de la Nièvre Christian Paul : ils ont accompagné leurs camarades dans la standing ovation qui a suivi son discours de quarante-cinq minutes. Tous les socialistes debout dans l’hémicycle : une première depuis bien longtemps.

    HOLLANDE

    L'Obs - François Hollande renonce : 4 économistes liquident son bilan

    Chômage, impôts, croissance... Thomas Piketty, Philippe Aghion, Thomas Porcher et Daniel Cohen dressent le bilan du quinquennat de François Hollande. C'est sévère.

    Au lendemain du renoncement de François Hollande à se représenter à l'élection présidentielle, "l'Obs" a interrogé les économistes Philippe Aghion et Thomas Porcher sur le bilan économique du quinquennat. Verdict : "un échec", "il a raté l'occasion de réformer le pays". Nous republions également des extraits des entretiens avec Thomas Piketty et Daniel Cohen, déjà parus dans "l'Obs", dans lesquels eux aussi jugeaient sévèrement l'action du président.

    SONDAGE

    Paris Match - Baromètre Ifop : Cazeneuve en tête, Fillon s'effrite

    Le nouveau Premier ministre Bernard Cazeneuve détrône Alain Juppé dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio. Derrière, les cartes sont redistribuées. Arnaud Montebourg monte sur le podium devant Emmanuel Macron tandis que François Fillon recule de 6 points. 

    OLIVIER FAURE

    Libé - Cinq choses à savoir sur Olivier Faure, nouveau patron des députés PS

    Olivier Faure, 48 ans, député de Seine-et-Marne, a été élu mardi à la tête du groupe socialiste, écologiste et républicain à l’Assemblée. Il succède à Bruno Le Roux, nommé au ministère de l’Intérieur. Portrait en cinq points.

    MONTEBOURG

    L'Express - Montebourg propose une "relance keynésienne de nature écologique"

    Arnaud Montebourg a proposé jeudi une "relance keynésienne de nature écologique", estimant que la transition écologique était porteuse d'"activité vertueuse" donc de croissance, et a fait de la lutte contre le carbone une priorité sur la sortie du nucléaire qu'il a décrite comme "une décroissance naturelle de long terme".

    Le Monde - Arnaud Montebourg conteste « formellement » devoir 80 000 euros au PS

    D’après deux sites d’information, le candidat à la primaire de la gauche aurait une dette envers le Parti socialiste, à qui il n’aurait pas versé les cotisations dues quand il était député entre 2007 et 2012.

    Libé - La primaire du Hollande bashing (1/5) : Montebourg et le pouvoir d'achat

    La candidat socialiste impute à la politique de François Hollande une baisse de 1 650 euros du pouvoir d'achat des Français. Un peu vite.

    Haro sur le quinquennat Hollande. Sans surprise, la primaire de la gauche a tendance à virer en jeu de massacre à l’évocation de la politique menée depuis cinq ans. C’est un exercice qui se prête rarement à la nuance. Pendant une semaine, Désintox vient corriger les affirmations un peu trop sévères et les tableaux un peu trop noirs. Premier épisode avec Arnaud Montebourg et le pouvoir d’achat des ménages

    HAMON

    La Croix - Benoît Hamon, l’anti-homme providentiel

    Candidat à la primaire organisée par le parti socialiste, le député des Yvelines a tenu son premier grand meeting, mercredi 14 novembre au soir à Paris.

    Dans un discours fleuve, il a balayé les différents thèmes de son programme tout en attaquant à plusieurs reprises l’action de l’exécutif.

    L'Obs - Ce que contient le programme (vert fluo) de Benoît Hamon

    Il récuse "l'option sociale-libérale, sociale-démocrate, présentée par Manuel Valls et Vincent Peillon". Il reconnaît "incontestablement des valeurs communes" avec Arnaud Montebourg, mais se veut "moins productiviste, moins souverainiste, plus européen, attaché à un modèle de développement plus tempérant" que son ancien collègue du gouvernement. Benoît Hamon, député socialiste des Yvelines, est l'un des

    Les Inrocks - Benoît Hamon ou l’homme qui commençait à y croire

    Une semaine après sa prestation remarquée dans “L’Emission politique” sur France 2, l’outsider à la primaire de gauche Benoît Hamon tenait hier soir son premier grand meeting de campagne à Paris. Un rassemblement où le député des Yvelines a voulu affirmer sa stature de présidentiable et se faire le porte-parole d’une gauche résolument décomplexée.

    Huffington Post - Comment Benoît Hamon espère vous surprendre

    Donné loin derrière les favoris, le candidat à la primaire de la gauche cultive ses réseaux et une candidature atypique en phase avec l'époque.

    Il n'est pas aussi connu que Valls, moins central que Peillon, son créneau est parasité par Montebourg, les petits candidats refusent de le rallier, les sondages le donnent loin derrière. Et pourtant... A quarante jours du premier tour, Benoît Hamon sent qu'il a les cartes en main pour renverser la table de la primaire de la gauche.

    FILOCHE

    L'Obs - Filoche, le troll de la primaire : "Les dirigeants du PS ne veulent pas de moi"

    Une primaire "open bar". C’était la grande crainte des dirigeants socialistes. Devant le trop-plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a sifflé la fin de la récréation, le 8 décembre dernier. Exit les Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), Sébastien Nadot (Mouvement des progressistes) et Bastien Faudot (Mouvement républicain et citoyen).

    Libé - La primaire du Hollande bashing (2/5) : le CICE n'a pas profité qu'au grand patronat

    Haro sur le quinquennat Hollande. Sans surprise, la primaire de la gauche a tendance à virer en jeu de massacre à l’évocation de la politique menée depuis cinq ans. C’est un exercice qui se prête rarement à la nuance. Pendant une semaine, Désintox vient corriger les affirmations un peu trop sévères et les tableaux un peu trop noirs. Deuxième épisode avec Gérard Filoche et le CICE.

    PEILLON

    Slate - Vincent Peillon est le seul personnage intéressant de la primaire socialiste

    De tous les personnages du theâtre socialiste, Vincent Peillon est le seul susceptible de nous faire réfléchir. L’agacement que lui inspire le jeu politique ne doit pas le masquer: cela fait partie de l’attrait de cet homme qu’une colère habite, dont on ne sait si elle est dirigée contre la médiocrité du temps, ou contre la part qu’il prend à cette médiocrité. Il a lâché un mot, hier soir sur France 2, «éthique», dans une interview qui lui déplaisait par ailleurs, où il n’était guère; il ne prise plus la lumière, ni la gymnastique soyeuse des plateaux. Il s’était retiré de ce monde sans regret et ses yeux clignaient: il faisait violence à son corps d’en être à nouveau. Il a dit «éthique», donc, il sera «le candidat de l’éthique politique», et le mot est piégeux, qui fait aussitôt sourire. Le sourire et la moquerie sont la plaie de ce monde, pour ceux qui prennent les mots au sérieux.

    Le Figaro - Vincent Peillon a réglé ses dettes auprès du PS

    Contactée par Le Figaro, l'équipe de campagne du candidat confirme l'information de BFMTV selon laquelle il a bien remboursé ses arriérés ce mercredi. On refuse toutefois d'en préciser le montant exact. «L'affaire est close, c'est fini. Tout est calé, il n'y a pas de sujet», balaie-t-on, avant de regretter que «certains jouent un mauvais jeu». «Nous nous sommes là pour faire gagner la gauche, pas pour nous faire perdre entre nous. Mais cela prouve que notre candidature fait peur...», sourit-on.

    ECONOMIE

    AlterEco - Sur le toboggan néo-libéral, Michel Husson

    Il y a un mois, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne recommandait « une orientation budgétaire positive pour soutenir la reprise » (voir le commentaire de Gilles Raveaud). Dans ses dernières Perspectives économiques, l’OCDE vient de lui emboîter le pas en suggérant de « lancer des initiatives budgétaires efficaces » pour « sortir du piège de la croissance molle ». Ces prises de position révèlent une inquiétude croissante, voire un véritable effroi. En témoigne aussi une tribune récente, passée inaperçue, mais qui est proprement hallucinante.

    AlterEco - Faut-il supprimer l’ISF ?, Guillaume Duval

    A droite, tous les candidats à la primaire entendaient réduire la fiscalité dans quasiment tous les domaines. Mais un impôt concentre particulièrement leurs critiques : l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Pour l’opposition, il ne s’agit pas de le réduire, mais de le supprimer purement et simplement. Un mauvais procès.

    Remplacer des cotisations salariales par la CSG, erreur ou projet caché  - Par Henri Sterdyniak

    Monsieur Emmanuel Macron propose de remplacer les cotisations salariales maladie et chômage par des points de CSG. Actuellement, un salarié du privé paye 2,4 points de cotisations chômage et 0,75 point de cotisation maladie. Ces cotisations seraient remplacées par 1,75 point de CSG, de sorte que les salariés gagneraient 1,4 % de salaire de plus, tandis que les retraités, les chômeurs (sauf les allocataires les plus pauvres dispensés de CSG) et les bénéficiaires de revenus du capital perdraient 1,75% de  pouvoir d’achat.

    OFCE - Renouveler le mix : réaliser la transition énergétique, enfin !

    Le quinquennat qui s’achève aura été marqué par le succès de la COP21, qui a conduit à la signature en décembre 2015 de l’Accord de Paris visant à limiter la hausse des températures mondiales à 2°C d’ici la fin du siècle. Pourtant, les questions climatiques et de politique énergétique ne semblent pas figurer parmi les priorités du débat présidentiel qui s’ouvre.

    Cette question mériterait pourtant d’être traitée en profondeur tant les décisions nécessaires engagent la France à long terme.  Afin d’atteindre les objectifs que la France s’est fixée dans la loi relative à la Transition Energétique et pour la Croissance Verte (LTECV), il est nécessaire d’engager au plus vite les transformations nécessaires de notre mix énergétique, et d’en améliorer l’efficacité afin de modérer la demande des principaux secteurs consommateurs d’énergie, résidentiel, tertiaire, des transports et de l’industrie.

  • L'actualité des socialistes du 9 au 15 décembre

    A LA UNE

    Le Parisien - Débat : le Parti socialiste est-il fini ?

    Le quinquennat de François Hollande sonnera-t-il le glas du Parti socialiste ? Un président sortant décrédibilisé qui renonce à se représenter, des législatives qui se profilent comme la chronique d'une déroute annoncée... Et, surtout, une ligne idéologique tellement distendue que la primaire, qui s'ouvre le 17 décembre, n'aura jamais été aussi riche ou encombrée (selon les points de vue) de projets et d'ambitions en marche. Du social-libéralisme de Manuel Valls au patriotisme économique d'Arnaud Montebourg, en passant par l'encore indéfinissable Vincent Peillon... sans compter ceux qui, aux deux extrêmes du spectre à gauche, briguent l'Elysée en sautant la case primaire, comme Jean-Luc Mélenchon ou Emmanuel Macron. Quelle famille ! A n'en pas douter, le Parti socialiste de Mitterrand et de Jospin, pôle fédérateur de toutes les gauches, a vécu. Peut-il donner naissance à un autre PS ?

    INEGALITES

    L'Observatoire des inégalités - Les inégalités de niveau de vie continuent à augmenter

    15 décembre 2016 - Depuis une vingtaine d’années, les inégalités de revenus augmentent. Un changement profond.

    Si l’on prend comme point de comparaison le début des années 1970, les inégalités de revenus ont baissé. Depuis une vingtaine d’années, changement de cap : les inégalités repartent à la hausse. D’abord, les niveaux de vie des très riches se sont envolés. Depuis une dizaine d’années, ceux des plus pauvres diminuent. Le jugement que l’on peut porter sur les inégalités de revenus dépend de l’échelle de temps et de l’instrument de mesure que l’on utilise.

    PRIMAIRE

    Le Monde - Sept candidats retenus pour la primaire de la gauche par la haute autorité

    La candidature du militant socialiste Gérard Filoche et celle du conseiller municipal de Châteaudun (Eure-et-Loir) Fabien Verdier n’ont pas été validées par la haute autorité.

    Sept candidats, quatre socialistes et trois membres d’autres partis, ont été définitivement retenus pour la primaire de la gauche, a annoncé samedi 17 décembre la haute autorité de la « primaire citoyenne », lançant officiellement le début de la campagne. Il s’agit des socialistes Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls. La seule femme en lice, Sylvia Pinel (Parti radical de gauche), Jean-Luc Bennahmias (Front démocrate) et François de Rugy (Parti écologiste) participeront eux aussi à cette primaire qui se tiendra les 22 et 29 janvier.

    Le Monde - Primaire à gauche : qui sont les neuf candidats déclarés ?

    Ils sont neuf, dont une femme, à avoir déposé, jeudi, les parrainages nécessaires pour participer au scrutin organisé par le Parti socialiste les 22 et 29 janvier 2017.

    Ils sont donc neuf, dont une seule femme, sur la ligne de départ pour la primaire à gauche organisée par le Parti socialiste (PS) les 22 et 29 janvier 2017. Les prétendants socialistes avaient jusqu’à jeudi 15 décembre, 18 heures, pour déposer les parrainages nécessaires.

    20 minutes - Le PS parviendra-t-il à diviser le coût de la primaire par deux?

    FINANCEMENT Le PS mise sur un coût global de 3,5 millions d'euros pour la primaire, une opération qui avait coûté 6 millions d'euros en 2011...

    Diviser le coût de la primaire par deux. C’est apparemment l’objectif affiché par le Parti socialiste. Christophe Borgel, le président du Comité d’organisation des primaires, a estimé mercredi que le coût de ce scrutin serait de 3,5 millions d’euros, bien moins que les 6 millions consacrés à la première opération en 2011. Mais comment comptent-ils faire pour réduire les coûts de près de moitié ?

    L'Obs - Le suicide des baleines du PS

    EDITO. Le renoncement de François Hollande a provoqué une forme de "burn out", comme un trou noir, chez les éléphants socialistes. Leurs divisions, dignes des Atrides, les conduisent tout droit dans le gouffre.

    Le Point - Présidentielle : les désespérés du PS

    VIDÉO. Des députés socialistes ne croient ni au rassemblement post-primaire ni à une victoire en mai. Un marasme où le seul espoir... s'appelle Macron !

    Huffington Post - Vincent Peillon candidat: la primaire de la gauche éparpillée façon puzzle

    Avec la candidature de l'ancien ministre, quatre candidats se disputent le leadership de deux camps antagonistes au Parti socialiste....

    Avec la candidature de Vincent Peillon, confirmée ce dimanche 11 décembre sur le plateau de France2, pas moins de quatre anciens ministres de François Hollande se disputent désormais l'investiture à la prochaine élection présidentielle. Outre l'ancien titulaire à l'Education, grand promoteur de la réforme des rythmes scolaires, sont également en lice son éphémère successeur Benoît Hamon,

    Le Figaro - Primaire PS: 3 débats prévus avant le 1er tour

    La Parti socialiste a précisé aujourd'hui les modalités d'organisation de sa primaire pour l'élection présidentielle de 2017, à deux jours de la clôture des candidatures pour ce scrutin interne prévu les 22 et 29 janvier. Environ 7400 bureaux de vote, sur les 8000 prévus au final, étaient validés, selon les informations données lors d'une réunion du Comité national d'organisation de la primaire (Cnop) organisée ce soir au siège du parti, à Paris

    CAZENEUVE

    Libé - Oui, les frondeurs PS votent Bernard Cazeneuve

    .... Pour les deux mois de débats qui restent à l’Assemblée nationale, ces parlementaires ont donc choisi, ce mardi, d’enterrer la hache de guerre parlementaire qui a usé la majorité jusqu’à contraindre l’exécutif à utiliser le 49.3 sur la loi travail. Preuve supplémentaire de ce «changement de période», comme le qualifie l’un de leurs chefs de file, le député de la Nièvre Christian Paul : ils ont accompagné leurs camarades dans la standing ovation qui a suivi son discours de quarante-cinq minutes. Tous les socialistes debout dans l’hémicycle : une première depuis bien longtemps.

    HOLLANDE

    L'Obs - François Hollande renonce : 4 économistes liquident son bilan

    Chômage, impôts, croissance... Thomas Piketty, Philippe Aghion, Thomas Porcher et Daniel Cohen dressent le bilan du quinquennat de François Hollande. C'est sévère.

    Au lendemain du renoncement de François Hollande à se représenter à l'élection présidentielle, "l'Obs" a interrogé les économistes Philippe Aghion et Thomas Porcher sur le bilan économique du quinquennat. Verdict : "un échec", "il a raté l'occasion de réformer le pays". Nous republions également des extraits des entretiens avec Thomas Piketty et Daniel Cohen, déjà parus dans "l'Obs", dans lesquels eux aussi jugeaient sévèrement l'action du président.

    SONDAGE

    Paris Match - Baromètre Ifop : Cazeneuve en tête, Fillon s'effrite

    Le nouveau Premier ministre Bernard Cazeneuve détrône Alain Juppé dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio. Derrière, les cartes sont redistribuées. Arnaud Montebourg monte sur le podium devant Emmanuel Macron tandis que François Fillon recule de 6 points. 

    OLIVIER FAURE

    Libé - Cinq choses à savoir sur Olivier Faure, nouveau patron des députés PS

    Olivier Faure, 48 ans, député de Seine-et-Marne, a été élu mardi à la tête du groupe socialiste, écologiste et républicain à l’Assemblée. Il succède à Bruno Le Roux, nommé au ministère de l’Intérieur. Portrait en cinq points.

    MONTEBOURG

    L'Express - Montebourg propose une "relance keynésienne de nature écologique"

    Arnaud Montebourg a proposé jeudi une "relance keynésienne de nature écologique", estimant que la transition écologique était porteuse d'"activité vertueuse" donc de croissance, et a fait de la lutte contre le carbone une priorité sur la sortie du nucléaire qu'il a décrite comme "une décroissance naturelle de long terme".

    Le Monde - Arnaud Montebourg conteste « formellement » devoir 80 000 euros au PS

    D’après deux sites d’information, le candidat à la primaire de la gauche aurait une dette envers le Parti socialiste, à qui il n’aurait pas versé les cotisations dues quand il était député entre 2007 et 2012.

    Libé - La primaire du Hollande bashing (1/5) : Montebourg et le pouvoir d'achat

    La candidat socialiste impute à la politique de François Hollande une baisse de 1 650 euros du pouvoir d'achat des Français. Un peu vite.

    Haro sur le quinquennat Hollande. Sans surprise, la primaire de la gauche a tendance à virer en jeu de massacre à l’évocation de la politique menée depuis cinq ans. C’est un exercice qui se prête rarement à la nuance. Pendant une semaine, Désintox vient corriger les affirmations un peu trop sévères et les tableaux un peu trop noirs. Premier épisode avec Arnaud Montebourg et le pouvoir d’achat des ménages

    HAMON

    La Croix - Benoît Hamon, l’anti-homme providentiel

    Candidat à la primaire organisée par le parti socialiste, le député des Yvelines a tenu son premier grand meeting, mercredi 14 novembre au soir à Paris.

    Dans un discours fleuve, il a balayé les différents thèmes de son programme tout en attaquant à plusieurs reprises l’action de l’exécutif.

    L'Obs - Ce que contient le programme (vert fluo) de Benoît Hamon

    Il récuse "l'option sociale-libérale, sociale-démocrate, présentée par Manuel Valls et Vincent Peillon". Il reconnaît "incontestablement des valeurs communes" avec Arnaud Montebourg, mais se veut "moins productiviste, moins souverainiste, plus européen, attaché à un modèle de développement plus tempérant" que son ancien collègue du gouvernement. Benoît Hamon, député socialiste des Yvelines, est l'un des

    Les Inrocks - Benoît Hamon ou l’homme qui commençait à y croire

    Une semaine après sa prestation remarquée dans “L’Emission politique” sur France 2, l’outsider à la primaire de gauche Benoît Hamon tenait hier soir son premier grand meeting de campagne à Paris. Un rassemblement où le député des Yvelines a voulu affirmer sa stature de présidentiable et se faire le porte-parole d’une gauche résolument décomplexée.

    Huffington Post - Comment Benoît Hamon espère vous surprendre

    Donné loin derrière les favoris, le candidat à la primaire de la gauche cultive ses réseaux et une candidature atypique en phase avec l'époque.

    Il n'est pas aussi connu que Valls, moins central que Peillon, son créneau est parasité par Montebourg, les petits candidats refusent de le rallier, les sondages le donnent loin derrière. Et pourtant... A quarante jours du premier tour, Benoît Hamon sent qu'il a les cartes en main pour renverser la table de la primaire de la gauche.

    FILOCHE

    L'Obs - Filoche, le troll de la primaire : "Les dirigeants du PS ne veulent pas de moi"

    Une primaire "open bar". C’était la grande crainte des dirigeants socialistes. Devant le trop-plein de candidatures, Jean-Christophe Cambadélis a sifflé la fin de la récréation, le 8 décembre dernier. Exit les Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), Sébastien Nadot (Mouvement des progressistes) et Bastien Faudot (Mouvement républicain et citoyen).

    Libé - La primaire du Hollande bashing (2/5) : le CICE n'a pas profité qu'au grand patronat

    Haro sur le quinquennat Hollande. Sans surprise, la primaire de la gauche a tendance à virer en jeu de massacre à l’évocation de la politique menée depuis cinq ans. C’est un exercice qui se prête rarement à la nuance. Pendant une semaine, Désintox vient corriger les affirmations un peu trop sévères et les tableaux un peu trop noirs. Deuxième épisode avec Gérard Filoche et le CICE.

    PEILLON

    Slate - Vincent Peillon est le seul personnage intéressant de la primaire socialiste

    De tous les personnages du theâtre socialiste, Vincent Peillon est le seul susceptible de nous faire réfléchir. L’agacement que lui inspire le jeu politique ne doit pas le masquer: cela fait partie de l’attrait de cet homme qu’une colère habite, dont on ne sait si elle est dirigée contre la médiocrité du temps, ou contre la part qu’il prend à cette médiocrité. Il a lâché un mot, hier soir sur France 2, «éthique», dans une interview qui lui déplaisait par ailleurs, où il n’était guère; il ne prise plus la lumière, ni la gymnastique soyeuse des plateaux. Il s’était retiré de ce monde sans regret et ses yeux clignaient: il faisait violence à son corps d’en être à nouveau. Il a dit «éthique», donc, il sera «le candidat de l’éthique politique», et le mot est piégeux, qui fait aussitôt sourire. Le sourire et la moquerie sont la plaie de ce monde, pour ceux qui prennent les mots au sérieux.

    Le Figaro - Vincent Peillon a réglé ses dettes auprès du PS

    Contactée par Le Figaro, l'équipe de campagne du candidat confirme l'information de BFMTV selon laquelle il a bien remboursé ses arriérés ce mercredi. On refuse toutefois d'en préciser le montant exact. «L'affaire est close, c'est fini. Tout est calé, il n'y a pas de sujet», balaie-t-on, avant de regretter que «certains jouent un mauvais jeu». «Nous nous sommes là pour faire gagner la gauche, pas pour nous faire perdre entre nous. Mais cela prouve que notre candidature fait peur...», sourit-on.

    ECONOMIE

    AlterEco - Sur le toboggan néo-libéral, Michel Husson

    Il y a un mois, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne recommandait « une orientation budgétaire positive pour soutenir la reprise » (voir le commentaire de Gilles Raveaud). Dans ses dernières Perspectives économiques, l’OCDE vient de lui emboîter le pas en suggérant de « lancer des initiatives budgétaires efficaces » pour « sortir du piège de la croissance molle ». Ces prises de position révèlent une inquiétude croissante, voire un véritable effroi. En témoigne aussi une tribune récente, passée inaperçue, mais qui est proprement hallucinante.

    AlterEco - Faut-il supprimer l’ISF ?, Guillaume Duval

    A droite, tous les candidats à la primaire entendaient réduire la fiscalité dans quasiment tous les domaines. Mais un impôt concentre particulièrement leurs critiques : l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Pour l’opposition, il ne s’agit pas de le réduire, mais de le supprimer purement et simplement. Un mauvais procès.

    Remplacer des cotisations salariales par la CSG, erreur ou projet caché  - Par Henri Sterdyniak

    Monsieur Emmanuel Macron propose de remplacer les cotisations salariales maladie et chômage par des points de CSG. Actuellement, un salarié du privé paye 2,4 points de cotisations chômage et 0,75 point de cotisation maladie. Ces cotisations seraient remplacées par 1,75 point de CSG, de sorte que les salariés gagneraient 1,4 % de salaire de plus, tandis que les retraités, les chômeurs (sauf les allocataires les plus pauvres dispensés de CSG) et les bénéficiaires de revenus du capital perdraient 1,75% de  pouvoir d’achat.

    OFCE - Renouveler le mix : réaliser la transition énergétique, enfin !

    Le quinquennat qui s’achève aura été marqué par le succès de la COP21, qui a conduit à la signature en décembre 2015 de l’Accord de Paris visant à limiter la hausse des températures mondiales à 2°C d’ici la fin du siècle. Pourtant, les questions climatiques et de politique énergétique ne semblent pas figurer parmi les priorités du débat présidentiel qui s’ouvre.

    Cette question mériterait pourtant d’être traitée en profondeur tant les décisions nécessaires engagent la France à long terme.  Afin d’atteindre les objectifs que la France s’est fixée dans la loi relative à la Transition Energétique et pour la Croissance Verte (LTECV), il est nécessaire d’engager au plus vite les transformations nécessaires de notre mix énergétique, et d’en améliorer l’efficacité afin de modérer la demande des principaux secteurs consommateurs d’énergie, résidentiel, tertiaire, des transports et de l’industrie.