frondeur
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Les 4 vérités - Christian Paul
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Le Point - Christian Paul : "Notre courant peut gagner la primaire !"
Le chef de file des frondeurs, rangé derrière la candidature de Montebourg, évoque la primaire de la gauche en prenant soin de ne pas diviser son courant.
Le Point.fr : Vincent Peillon a officialisé dimanche soir sa candidature à la primaire ? Que vous inspire-t-elle ?
Christian Paul : (long silence) Je pars d'un principe simple : il n'y a pas de candidature illégitime. Néanmoins, je ne pense pas que la multiplication des candidatures vienne simplifier la situation dans laquelle se trouve la gauche française à la veille de l'élection présidentielle
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Christian Paul : "Je souhaite qu'il y ait une candidature unique" de l'aile gauche à la primaire PS
INTERVIEW - Dans son livre Les îles et l'archipel: pourquoi la gauche (re)vivra, le député de la Nièvre, Christian Paul, dresse un portrait au vitriol du président Hollande et de son quinquennat. Pourtant le chef de file des frondeurs socialistes est convaincu qu'une "alternance à gauche" est toujours possible en 2017. Ce proche d'Arnaud Montebourg œuvre, en coulisses, pour une candidature unique de l'aile gauche du parti lors du premier tour de la primaire.
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Libé - Christian Paul propose de «sortir» du PS... «sans partir»
L'un des porte-voix de l'aile gauche socialiste étrille dans un ouvrage le quinquennat Hollande et milite pour un «nouveau parti».
C’était en fin d’été, au bord de l’Atlantique, dans une petite salle rochelaise. Christian Paul, chef de file de l’aile gauche socialiste appelait les siens à «un nouveau parti et un parti d’un type nouveau après 2017». «Je ne crois pas possibles, plus possibles les tentatives de rénovation "intra-muros" du Parti socialiste. […] Les partis de la gauche française devront trouver le courage de faire tomber les murs», lançait alors le député de la Nièvre. Dans un ouvrage (1) à paraître cette semaine à la Fondation Jean-Jaurès, Christian Paul donne de nouveaux indices sur cette «prochaine gauche» qu’il imagine après l’élection présidentielle : «Il faudra tourner la page du PS dans sa forme actuelle.»
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Le Figaro - Christian Paul veut «tourner la page du PS»
Dans Les Îles et l'Archipel : pourquoi la gauche (re)vivra, le chef de file des frondeurs se projette dans l'après-2017. Il juge que «le fil s'est rompu entre le monarque républicain et le peuple souverain».
Les grandes manœuvres peuvent commencer. Alors que de nombreux cadres socialistes se consacrent pleinement à leurs ambitions présidentielles, d'autres à gauche semblent avoir déjà assimilé l'idée d'une défaite et paraissent plus préoccupés par l'après-2017. C'est notamment le cas du député de la Nièvre et chef de file des frondeurs, Christian Paul, qui publie ce mardi un livre intitulé Les Îles et l'Archipel: pourquoi la gauche (re)vivra, où il étrille François Hollande et esquisse l'avenir de son parti.
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE : EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
REPUBLIQUE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE : EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
REPUBLIQUE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE : EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
REPUBLIQUE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.
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L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.
-
L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE : EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
REPUBLIQUE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.
-
L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre
A LA UNE : EMMANUEL MAUREL
L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»
« Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »
Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.
REPUBLIQUE
Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.
Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.
JEUNESSE
Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes,
Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi
Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.
Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.
RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"
La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde".
BUDGET 2017
Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité
Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.
Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu
La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?
La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.
L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS
La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.
Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?
A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.
L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.
L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande
PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.
MONTEBOUG
Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon
L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire
Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre
Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po
BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche, a qualifié de "grave" ce que "raconte" Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration et s'est "désolé" du soi-disant manque de clarté politique du co-fondateur du Parti de gauche sur le sujet.Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter
L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu
Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »
L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6
L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.
Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.
LIENEMANN
Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.
FRONDEURS
Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes
Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.